mardi 23 décembre 2025

Vos applis gratuites sont nées au Pentagone



Le plus grand mensonge du siècle : vos applis gratuites sont nées au Pentagone. Et si on vous avait menti depuis le début ?

Imaginez : l’internet, Google, Facebook, Instagram, Microsoft… tout ce que vous utilisez gratuitement tous les jours, en pensant que c’est le fruit du génie pur, du rêve américain version garage de Palo Alto ou chambre d’étudiant à Harvard. Et si ce n’était qu’un rideau de fumée ?

Un professeur chinois, devant une salle hilare, pointe du doigt la photo de Bill Gates et éclate de rire. Il appelle ça le « plus grand scam de l’histoire moderne ». Pas une entreprise privée née du hasard, non. Une opération militaire longuement planifiée, déguisée en success-story pour que vous acceptiez, de votre plein gré, de tout leur donner : vos photos, vos amis, vos goûts, vos peurs, vos trajets, vos nuits.



Parce que, avouez-le, si le Pentagone vous avait envoyé une lettre en 1995 : 

« Bonjour, voici un ordinateur gratuit et un réseau mondial pour que nous puissions tout savoir de vous en temps réel », vous auriez refusé. Trop flippant. Alors ils ont inventé les héros : le jeune prodige qui abandonne Harvard, le nerd sympathique dans son garage, la start-up cool qui « connecte le monde ».

Et vous avez applaudi. Vous avez installé. Vous avez partagé.

Le projet LifeLog de la DARPA arrêté net le jour même où Facebook voit le jour ? Pure coïncidence, bien sûr.

Les financements initiaux de Google via des programmes liés à la CIA ? Simple détail universitaire.

L’ARPAnet devenu internet ? Ancienne histoire.

Sources concordantes, pourtant, murmurent la même chose depuis des années. Mais on préfère rire des « complotistes » plutôt que d’y penser trop longtemps.

Alors la question reste : qui contrôle vraiment le réseau dans lequel nous vivons tous ? Les gentils génies milliardaires… ou ceux qui les ont placés là ?

Réfléchissez-y la prochaine fois que vous acceptez les « conditions d’utilisation » sans les lire.

On ne sait jamais qui lit vraiment de l’autre côté.

Quentin