jeudi 31 mars 2022

Elire, c'est abdiquer


"ÉLIRE c'est abdiquer (alors que VOTER c'est décider). Notre sottise c'est de confondre élire et voter, c'est de croire voter alors qu'on ne fait qu'élire, ce qui est rigoureusement le contraire. Il est impossible de penser à l'endroit avec des mots mis à l'envers." Etienne Chouard



(3:46)


Clarens, Vaud, 26 septembre 1885.

Compagnons,

Vous demandez à un homme de bonne volonté, qui n'est ni votant ni candidat, de vous exposer quelles sont ses idées sur l'exercice du droit de suffrage.

Le délai que vous m'accordez est bien court, mais ayant, au sujet du vote électoral, des convictions bien nettes, ce que j'ai à vous dire peut se formuler en quelques mots.

Voter, c'est abdiquer ; nommer un ou plusieurs maîtres pour une période courte ou longue, c'est renoncer à sa propre souveraineté. Qu'il devienne monarque absolu, prince constitutionnel ou simplement mandataire muni d'une petite part de royauté, le candidat que vous portez au trône ou au fauteuil sera votre supérieur. Vous nommez des hommes qui sont au-dessus des lois, puisqu'ils se chargent de les rédiger et que leur mission est de vous faire obéir.

Voter, c'est être dupe ; c'est croire que des hommes comme vous acquerront soudain, au tintement d'une sonnette, la vertu de tout savoir et de tout comprendre. Vos mandataires ayant à légiférer sur toutes choses, des allumettes aux vaisseaux de guerre, de l'échenillage des arbres à l'extermination des peuplades rouges ou noires, il vous semble que leur intelligence grandisse en raison même de l'immensité de la tâche. L'histoire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pouvoir a toujours affolé, le parlotage a toujours abêti. Dans les assemblées souveraines, la médiocrité prévaut fatalement.

Voter c'est évoquer la trahison. Sans doute, les votants croient à l'honnêteté de ceux auxquels ils accordent leurs suffrages — et peut-être ont-il raison le premier jour, quand les candidats sont encore dans la ferveur du premier amour. Mais chaque jour a son lendemain. Dès que le milieu change, l'homme change avec lui. Aujourd'hui, le candidat s'incline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redressera et peut-être trop haut. Il mendiait les votes, il vous donnera des ordres. L'ouvrier, devenu contre-maître, peut-il rester ce qu'il était avant d'avoir obtenu la faveur du patron ? Le fougueux démocrate n'apprend-il pas à courber l'échine quand le banquier daigne l'inviter à son bureau, quand les valets des rois lui font l'honneur de l'entretenir dans les antichambres ? L'atmosphère de ces corps législatifs est malsain à respirer, vous envoyez vos mandataires dans un milieu de corruption ; ne vous étonnez pas s'ils en sortent corrompus.

N'abdiquez donc pas, ne remettez donc pas vos destinées à des hommes forcément incapables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos intérêts à d'autres, défendez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avocats pour proposer un mode d'action futur, agissez ! Les occasions ne manquent pas aux hommes de bon vouloir. Rejeter sur les autres la responsabilité de sa conduite, c'est manquer de vaillance.

Je vous salue de tout cœur, compagnons .

Élisée Reclus.

Lettre adressée à Jean Grave, insérée dans Le Révolté du 11 octobre 1885.

Reclus, Élisée (1830-1905), Correspondance, Paris : Schleicher Frères : A. Costes, 1911-1925.pp.364-366

Qui veut des hommes masqués et piqués ?

 



mercredi 30 mars 2022

mercredi 23 mars 2022

Madeleine Albright, ancienne secrétaire d’Etat américaine, est morte

 



DM (une sorte de Hara-Kiri du web, en moins bête et beaucoup plus méchant) commente :

"SIGNE DIVIN : la youpine génocidaire Madeleine Albright finalement MORTE !

L’anéantissement de millions de goyim, enfants compris, ne lui posait aucun problème. A la tête de la diplomatie américaine sous Clinton, elle admettait, face caméra, soutenir la mise à mort d’un demi million d’enfants en Irak pour soumettre ce pays à l’ordre juif.

"Cela vaut le prix" avait-elle dit, froidement. [...]

Ce sont ces « amis de l’humanité » qui contrôlent l’Amérique, l’UE et l’OTAN.

La mort de milliards de goyim ne leur pose aucun problème de conscience... "



mardi 22 mars 2022

Funny Dog

 




La dictature mondiale est planifiée depuis longtemps






Allocution de Joe Biden du 22 Mars 2022 : "C’est maintenant que les choses changent, il va y avoir un nouvel ordre mondial, et nous devons le diriger".

Jacques Attali, lui, connaît le plan depuis toujours :




Me Virginie de Araujo Recchia

 


Me Virginie de Araujo Recchia, avocate au barreau de Paris, a fait l'objet d'une arrestation mardi matin à son domicile et a été placée en garde à vue, Elle fait partie du collectif d'avocats du "Grand Jury" mis en place par Reiner Fuellmich.


vendredi 18 mars 2022

Ukraine : une alliance entre Juifs et néo-nazis ?



L'article de Thierry Meyssan (ci-dessous) "est important, écrit Eric Montana, car il permet de comprendre la salade judéo-nazie ukrainienne. Et le moins que l'on puisse dire c'est qu'elle est non seulement troublante mais aussi particulièrement indigeste. Et voir nos démocraties de théâtre soutenir un tel régime dépasse l'entendement humain. Nos politiciens sont non seulement irresponsables mais totalement fous. La plus grande menace pour les peuples européens ce n'est pas la Russie de Poutine mais ce clan mafieux qui a pris l'Europe en otage pour notre plus grand malheur ! L'OTAN et l'Union européenne sont devenus des chaînes qui nous maintiennent en esclavage et nous entraînent malgré nous, vers la guerre de tous contre tous. Il est vital de sortir de cet asile de fous et désobéir à ces gouvernements illégitimes et criminels. Si Macron voulait achever notre nation, il n'aurait pas pris d'autre décision que de soutenir un régime judéo-nazi. A se demander si ce type est normal et s'il est sain d'esprit."

Zelensky et la salade judéo-nazie ukrainienne aux épices khazars.



Israël abasourdi par les néo-nazis ukrainiens


Par Thierry Meyssan




La présence organisée par l’État de néo-nazis au sein de l’armée ukrainienne n’est pas anecdotique, même s’il n’est pas possible de la quantifier de manière certaine. Il est par contre aisé de dénombrer leurs victimes. Dans l’indifférence générale, ils ont tué 14 000 Ukrainiens en huit ans. Cette situation est l’une des causes de l’intervention militaire russe en Ukraine. Israël se trouve confronté pour la première fois, à ce qu’il n’a jamais pu imaginer : le soutien de son protecteur US à son ennemi historique, le nazisme.

Israël est confronté à un problème inattendu face à la crise ukrainienne : est-il exact, comme le prétend Moscou, que le pays est aux mains d’une "bande de néo-nazis" financée par des juifs ukrainiens et états-uniens ? Si oui, c’est un devoir moral pour Tel-Aviv de clarifier sa position sur les juifs qui soutiennent des nazis, indépendamment de toute prise de position sur la crise ukrainienne.

La question est d’autant plus cruelle que les quelques juifs états-uniens qui soutiennent ou instrumentent les groupes nazis ukrainiens, sont un groupuscule d’une petite centaine de personnes, les Straussiens, aujourd’hui au pouvoir dans l’entourage immédiat du président Joe Biden.

Que représentent les néo-nazis ukrainiens ?

En février 2014, la "révolution de la dignité", dite aussi "EuroMaïdan", fut un changement de régime sponsorisé par la straussienne Victoria Nuland, assistante des secrétaires d’État Hillary Clinton et John Kerry. Dans ce contexte, un groupe de hooligans supporters du club de football de Kharkiv, la "Secte 82", occupa les locaux du gouvernorat de l’oblast et passa à tabac les employés de l’ancien régime.

Devenu ministre de l’Intérieur, Arsen Avakov, qui avait été gouverneur de Kharkiv durant l’ancien régime et l’un des organisateurs de l’Euro 2012, autorisa la formation d’une force paramilitaire de 12 000 hommes, autour des hooligans de la "Secte 82" pour défendre la "révolution". Le 5 mai 2014, le "Bataillon Azov" ou "Corps de l’Est" était officiellement formé sous le commandement d’Andriy Biletsky.

Ce dernier, dit le "führer blanc", est un théoricien du nazisme. Il avait été le leader des "Patriotes d’Ukraine", un groupuscule néo-nazi partisan d’une Grande Ukraine et violemment anti-communiste.

Andriy Biletsky et Dmitro Yarosh fondèrent ensemble le "Secteur Droit" qui joua le rôle principal sur la place Maïdan, en 2014.

Cette structure, ouvertement anti-sémite, homophobe était financée par le parrain de la mafia ukrainienne, le milliardaire juif Ihor Kolomoïsky.

Au plan international, le "Secteur Droit" est violemment opposé à l’Union européenne et entend au contraire constituer une alliance des États d’Europe centrale et de la Baltique, l’Intermarium. Cela tombe bien, c’est aussi le projet des straussiens qui, depuis le rapport Wolfowitz de 1992, considèrent l’Union européenne comme un rival pour les USA plus dangereux que la Russie. Vous vous souvenez de la conversation téléphonique interceptée entre Madame Nuland et l’ambassadeur US, elle s’y exclamait : "Qu’on encule l’union européenne !" (sic).

Dmitro Yarosh est un agent des réseaux stay-behind de l’OTAN qui organisa avec l’émir Dokou Oumarov un congrès anti-russe à Ternopol, en 2007, sous le regard attentif de Victoria Nuland, qui à l’époque était ambassadrice des États-Unis à l’OTAN.

Yarosh réunit des néo-nazis de toute l’Europe et des islamistes du Moyen-Orient pour faire le djihad en Tchétchénie contre la Russie. Par la suite, il fut le leader du "Trident de Stepan Bandera" (dit "Tryzub"), un groupuscule glorifiant la collaboration ukrainienne avec les nazis. Selon Stepan Bandera, les Ukrainiens authentiques sont d’origine scandinave ou proto-germanique, malheureusement, ils se sont mêlés avec des slaves, les Russes, qu’ils doivent combattre et dominer.

Fin 2013, les hommes de Yarosh et les jeunes d’un autre groupe nazis furent formés au combat de rue par des instructeurs de l’OTAN en Pologne. Je fus très critiqué lorsque je révélais cette affaire car j’avais cité en note un journal satirique, cependant le procureur général de Pologne ouvrit une enquête qui, bien sûr, n’aboutit jamais car elle aurait mis en cause le ministre de la Défense.

À l’été 2014, le bataillon Azov comprenait déjà tous ces groupes néo-nazis, mais pas seulement eux. Ils furent envoyés combattre les rebelles de Donetsk et de Lougansk, ce qu’ils firent avec jouissance. Leur solde fut augmentée pour atteindre plus de deux fois celle des soldats réguliers. Le bataillon prit la ville de Marinka à la République populaire autoproclamée de Donestk où il massacra des "séparatistes".

En septembre 2014, le gouvernement provisoire chargea la Garde nationale d’absorber le bataillon Azov et d’écarter quelques leaders nazis de la formation.

Aux élections d’octobre 2014, deux anciens leaders nazis du régiment Azov, Andriy Biletsky et Oleh Petrenko furent élus à la Rada (Assemblée nationale). Si le "führer blanc" siégea seul, Petrenko rejoignit le groupe parlementaire soutenant le président Petro Porochenko. Le bataillon Azov devint alors le régiment Azov de la Garde nationale.

En mars 2015, le ministre de l’Intérieur (toujours Arsen Avakov) négocia avec le Pentagone qu’une formation militaire soit donnée par les Forces spéciales états-uniennes au régiment Azov dans le cadre de l’opération "Gardien sans peur" (Operation Fearless Guardian). Mais immédiatement les représentants John Conyers, Jr. (démocrate, Michigan) et Ted Yoho (républicain, Floride) dénoncèrent une folie. Ils firent valoir qu’armer les islamistes en Afghanistan avait rendu possible la formation d’Al-Qaïda et la généralisation du terrorisme. Ils convainquirent leurs collègues que les États-Unis ne pouvaient pas former des néo-nazis sans risquer d’en payer un jour les conséquences. Les parlementaires interdirent donc au Pentagone de poursuivre et d’armer le régiment Azov avec des lance-roquettes (MANPAD) lors du vote du budget de la Défense. Cependant le Pentagone revint à la charge et parvint à faire retirer l’amendement, soulevant des protestations du Centre Simon Wiesenthal.

Au cours de cette période, le sénateur John McCain (républicain, Arizona), partisan du soutien aux ennemis de la Russie, après avoir entretenu des liens avec les chefs d’Al-Qaïda puis de Daesh en Libye, au Liban et en Syrie, visita une unité du régiment Azov, Dnipro-1. Il félicita chaleureusement ces braves nazis qui défient la Russie comme il avait jadis félicité ces braves djihadistes.

C’est à ce moment la que le régiment Azov recruta à l’étranger. Il en vint de tout l’Occident, notamment du Brésil, de Croatie, d’Espagne, des États-Unis, de France, de Grèce, d’Italie, de Slovaquie, de Tchéquie, de Scandinavie, du Royaume-Uni et de Russie. Pourtant les Accords de Minsk, dont l’Allemagne et la France sont les garants, interdisent formellement aux autorités de Kiev d’engager des mercenaires étrangers.

Le régiment Azov a aussi organisé des camps de jeunesses pour 15 000 adolescents et des associations pour les civils de sorte que l’ensemble du régiment comprenait environ 10 000 hommes et au moins deux fois plus de "sympathisants". Andriy Biletsky pouvait déclarer que le régiment avait pour mission historique d’unir "les races blanches du monde dans une dernière croisade pour leur survie […] une croisade contre les sous-hommes conduits par les juifs".

Deux rapports du prince Zeid Raad al-Hussein, en qualité de haut-commissaire des Nations Unies pour les Droits de l’homme font état des crimes de guerres commis par le régiment Azov.

En 2017, une délégation officielle de l’OTAN, comprenant des officiers des États-Unis et du Canada, rencontra officiellement le régiment Azov.

De très nombreux médias ont consacré des reportages aux groupes néo-nazis ukrainiens. Tous, sans exception, ont été horrifiés par l’idéologie et la violence du régiment Azov. À titre d’exemple, le Huffington Post mettait en garde contre la complaisance des responsables politiques ukrainiens dans un article intitulé : "Note à l’Ukraine : Arrêtez de blanchir le dossier politique".

En 2018, le FBI entra à nouveau en conflit avec la CIA. Cette fois à propos des néo-nazis états-uniens qui avaient été se former auprès du régiment Azov et étaient revenus perpétrer des violences sur le sol américain. L’ennemi de l’intérieur qu’est le Mouvement pour s’élever au-dessus (Rise Above Movement – RAM) avait été formé par la CIA en Ukraine.

Après les attentats de Christchuch (Nouvelle-Zélande), qui firent 51 morts et 49 blessés en octobre 2019, 39 membres de la Chambre des Représentants US écrivirent au département d’État pour réclamer que le régiment Azov soit qualifié "d’organisation terroriste étrangère" (FTO) car le terroriste avait fréquenté l’organisation ukrainienne. Cependant le néo-zélandais était anti-musulman, tandis que les néo-nazis ukrainiens se sont battus en Tchétchénie avec les djihadistes.

En 2020, le milliardaire Erik Prince, le fondateur de l’armée privée Blackwater, souscrit divers contrats avec l’Ukraine. L’un d’entre eux lui donnait toute latitude pour encadrer le régiment Azov. Prince espérait à terme prendre le contrôle de l’industrie d’armement ukrainienne héritée de l’Union soviétique.

Le 21 juillet 2021, le président Zelensky promulguait une loi sur les "peuples autochtones". Elle ne reconnait la jouissance des Droits de l’homme et du citoyen et des Libertés fondamentales qu’aux ukrainiens d’origine scandinave ou germanique, mais pas à ceux d’origine slave. C’est la première loi raciale adoptée en Europe depuis 77 ans.

Sur suggestion de Victoria Nuland, le 2 novembre 2021, le président Volodymyr Zelensky nomma Dmitro Yarosh, conseiller du commandant en chef des armées ukrainiennes, le général Valerii Zaluzhnyi, avec mission de préparer l’attaque du Donbass et de la Crimée.

Il importe de garder à l’esprit que Yarosh est nazi, tandis que Victoria Nuland et Volodymyr Zelensky sont juifs ukrainiens (d’origine pour Madame Nuland qui est aujourd’hui états-unienne).

En huit ans, du changement de régime à l’opération militaire russe non comprise, les néo-nazis en Ukraine ont tué au moins 14 000 Ukrainiens.

Le défi moral d’Israël

Le président Zelensky répondit à son homologue russe qui dénonçait une "bande de néo-nazis" au pouvoir à Kiev que c’était impossible puisqu’il était juif. Comme cela ne suffisait pas, au sixième jour du conflit, il accusa la Russie d’avoir bombardé le mémorial de Babi Yar où 33 000 juifs furent massacrés par les nazis. Non seulement, il ne soutenait pas les nazis, mais les Russes effaçaient leurs crimes.

Sans attendre, le Mémorial Yad Vashem, l’institution israélienne qui entretient la mémoire de la "solution finale de la question juive" par les nazis se fendit d’un communiqué rageur. Il paraissait outrageant aux Israéliens que la Russie compare l’extrême-droite ukrainienne avec les nazis de la Shoah et plus encore qu’elle bombarde un lieu de mémoire.

C’est alors que des journalistes israéliens se rendirent sur le lieu du crime pour constater qu’il n’avait jamais été bombardé. Le président ukrainien avait menti.

Puis, le porte-parole du Kremlin, Dmitry Preskov, invita le Mémorial Yad Vashem à envoyer une délégation en Ukraine pour constater de visu, sous la protection de l’armée russe, ce dont le président Poutine parle.

Un grand silence suivit. Et si le Kremlin, comme jadis le Centre Simon Wiesenthal, disait vrai ? Et si les juifs straussiens aux États-Unis, le leader juif ukrainien Ihor Kolomoïsky et son employé le président juif Volodymyr Zelensky travaillaient avec de vrais nazis ?

Immédiatement, le Premier ministre israélien, Naftali Bennett, se rendait à Moscou et recevait le chancelier Scholtz à Tel-Aviv, puis téléphonait au président ukrainien dont tous avaient pu constater la mauvaise foi. Présenté comme une énième tentative de paix, ce voyage avait en réalité pour seul but de savoir si oui ou non les États-Unis s’appuyaient sur de vrais nazis. Désorienté, face à ses découvertes, Bennett rappelait le président Poutine qu’il avait quitté la veille. Il téléphonait aussi à divers chefs d’États membres de l’OTAN.

Il serait souhaitable que Naftali Bennett rende public ce qu’il a vérifié, mais c’est peu probable. Il lui faudrait ouvrir un dossier oublié, celui des relations entre certains sionistes et les nazis.

Pourquoi donc David Ben Gourion assurait-il que Ze’ev Jabotinski, le fondateur du sionisme révisionniste, était un fasciste et peut-être un nazi ? Qui sont les juifs qui ont chaleureusement accueilli avant l’arrivée au pouvoir d’Adolf Hitler une délégation officielle du parti nazi, le NSDAP, en Palestine alors qu’il pratiquait des pogroms en Allemagne ?

Qui a négocié en 1933 l’accord de transfert (dit "Accord Haavara") et maintenu un Bureau à Berlin jusqu’en 1939 ?

Comment le demi-juif Vollrath von Maltzan est-il devenu le pourvoyeur de gaz Zyklon B des camps de la mort ? Autant de questions que les historiens laissent habituellement sans réponse. Et aujourd’hui, est-il exact comme le prétendent de nombreux témoins que le professeur Leo Strauss enseignait à ses élèves juifs qu’ils devaient construire leur propre dictature, avec les mêmes méthodes que les nazis, pour se protéger d’une nouvelle Shoah ?

À l’évidence, Naftali Bennett n’a pas adhéré à la narration de l’Ukraine et de l’OTAN. Il a déclaré que le président russe ne théorisait pas de complot, n’était pas irrationnel et ne souffrait pas de maladie mentale.

Au contraire, interrogé sur le soutien de l’État juif, le président Zelenski a répondu : "J’ai parlé au Premier ministre d’Israël. Et je vous le dis franchement, et cela peut sembler un peu insultant, mais je pense que je dois le dire : nos relations ne sont pas mauvaises, pas mauvaises du tout. Mais les relations sont mises à l’épreuve dans des moments comme ceux-ci, dans les moments les plus difficiles, lorsque de l’aide et du soutien sont nécessaires. Et je ne pense pas qu’il [Bennett] soit enveloppé dans notre drapeau".

Israël devrait se retirer du conflit ukrainien. S’il change subitement d’avis sur un autre sujet et entre en conflit avec Washington, vous saurez pourquoi.

Thierry Meyssan


Source : Réseau Voltaire via Réseau International

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"L'Ukraine était autrefois gouvernée par l'empire khazar, qui s'est converti en masse au judaïsme pharisien/kabbalistique au 9ème siècle après JC. Ces convertis khazars étaient les ancêtres des juifs "ashkénazes" modernes, qui n'ont aucun lien avec les Hébreux bibliques, les peuples sémitiques ou la terre d'Israël. Les Khazars croient fermement en la magie kabbalistique qui implique l'adoration de Satan et la canalisation du pouvoir à travers des "sigils". Les armoiries ukrainiennes sont en effet un tel symbole, qui était à l'origine le tamga khazar. Le « conflit » russo-ukrainien moderne est en fait un effort de l'élite dirigeante khazare pour récupérer sa patrie avant d'inaugurer son « monde à venir » talmudique."


jeudi 17 mars 2022

Résumé du discours de Poutine du 16 Mars







16 Mars 2022, les grandes lignes du discours de Poutine :

– Kiev aurait pu obtenir des armes nucléaires, la cible aurait été la Russie

– Les autorités de Kiev ont été invitées par différents canaux à ne pas s’engager dans les hostilités et à retirer leurs troupes du Donbass, mais elles n’ont pas voulu.

– L’opération se déroule comme prévu, la stratégie est réussie.

– L’occupation de l’Ukraine ne fait pas partie du plan de la Russie.

– Les années de mauvais traitements infligés à la population du Donbass ne pouvaient être tolérées.

– L’Occident tente de convaincre ses citoyens que leurs difficultés sont le résultat d’actions russes, mais c’est un mensonge

– Contrairement aux pays occidentaux, nous respecterons les droits de propriété

– La saisie des biens et des entreprises est une leçon pour les entrepreneurs russes, qui doivent investir en Russie.

– Le salaire minimum, les salaires du secteur public, les prestations sociales et les pensions seront augmentés.

– Les entreprises privées doivent jouer un rôle clé pour surmonter les problèmes actuels de l’économie

– Les barrières réglementaires pour les entreprises doivent être abaissées

Partie du discours directement adressée aux oligarques qui amassaient en Occident l’argent qu’ils pillaient :

Je ne condamne pas du tout ceux qui ont une villa à Miami ou sur la Côte d’Azur qui ne peuvent pas se passer de foie gras, d’huîtres ou des soi-disant libertés de genre.

Mais ce n’est pas du tout le problème. Et, je répète, le problème est que ces gens sont essentiellement, mentalement là-bas, et pas ici avec notre peuple, pas avec la Russie. Et ceci, dans leur opinion, est le signe qu’ils appartiennent à la caste supérieure, à la race supérieure.

De tels gens vendraient leurs mères pour simplement pouvoir s’asseoir dans l’antichambre de la caste supérieure. Et ils veulent être comme eux, les imiter en tout.



Le covidisme instaure une société inhumaine

 



mercredi 16 mars 2022

Un mercenaire français en fuite et en pleurs après la destruction de la base de Yavoriv

 



Les mercenaires étrangers de Zelensky

"L'armée russe a affirmé avoir tué des mercenaires étrangers lors de frappes dimanche contre "la localité de Staritchi et la base militaire de Yavoriv" dans l'ouest de l'Ukraine, près de la frontière polonaise. "En conséquence de cette frappe, jusqu'à 180 mercenaires étrangers et une importante quantité d'armes étrangères ont été éliminés", a affirmé lors d'un briefing le porte-parole du ministère russe de la Défense, Igor Konachenkov."

"Plusieurs pays occidentaux encouragent au niveau étatique la participation de leurs citoyens en tant que mercenaires aux hostilités contre les troupes russes en Ukraine. Toute la responsabilité de la mort de ces citoyens étrangers en Ukraine repose sur les dirigeants de ces pays." (Igor Konachenkov sur Twitter)

C. Harlock écrit :

Un Fronssé s’enfuit en pleurant après l’anéantissement de la base des mercenaires de ZOG à la frontière polonaise

L’histoire hier, c’était que la base ukrainienne organisant l’accueil de mercenaires étrangers appelés par Zelensky a été vaporisée par des missiles russes.

Je n’avais vu que la version sans le son et, à en juger par le phénotype du « survivant », je m’étais dit que c’était une sorte de pakistanais britannique envoyé par le MI6.

En fait, c’était un Fronssé. Je l’ai découvert aujourd’hui.

"Un volontaire français en Ukraine pleure comme une fille après que les missiles russes aient frappé le centre d’entraînement."

« La base vient d’être bombardée, certains de mes amis sont morts… la base a été détruite… je dois respirer… la base a été détruite… pour les gens qui disent que ce n’est pas vrai ».

Ce Fronssé aura passé quelques heures sur le sol ukrainien, pensant venir en safari avec la bénédiction des démocraties. Après une thérapie de choc russe, il est déjà sur le chemin du retour. [...]

Les Russes savent ce que recherchent les gouvernements occidentaux en laissant cette piétaille arriver dans le pays : une nouvelle Syrie. C’est pourquoi les Russes vont tout particulièrement traquer les étrangers et leur infliger les pires tourments et le faire savoir. [...]

Le véritable traitement, pour ceux qui ne seront pas torturés et liquidés d’une balle dans la nuque, c’est le goulag sibérien dont aucun ne reviendra jamais.

La Russie n’aura aucune explication à fournir.

Midnight Express est la version colonie de vacances du goulag sibérien. Les types finissent dans des carrés de béton sans chauffage, sans date ni heure, battus et violés par les pires animaux d’Asie Centrale sous la supervision des gardiens spécialement entraînés pour que les détenus ne meurent pas.

Un mois passe comme cinq ans en Sibérie.

Enfin, un jour d’hiver un gardien arrive, confisque la paire de chaussures d’un détenu sélectionné et éclate de rire alors qu’il laisse le détenu seul sous la neige.

C’est la condamnation à mort habituelle au goulag : les pieds gelés.

Mieux vaut mourir d’un tir de missile dès le premier jour. Ces mercenaires de ZOG incinérés peuvent s’estimer heureux, cela leur a évité une longue et pénible fin. 

(Démocratie Participative)


lundi 14 mars 2022

Dépopulation mondiale, Christine Deviers-Joncour implique Jacques Attali







Christine Deviers-Joncour est l'auteure du livre :


En nous racontant par le détail les comportements sentimentaux et familiaux des "Messieurs d'en haut", qu'elle a longtemps côtoyés, Christine Deviers-Joncour nous entraîne dans des coulisses peu reluisantes. Un envers du décor où la femme n'est plus rien. Comme cela arrive souvent dans d'autres milieux aussi.

Une peinture au vitriol des coulisses du pouvoir. Un récit émaillé d'anecdotes toutes véridiques. « Le livre de Christine Deviers-Joncour, que certains pourraient prendre pour de badines confessions, des histoires d'alcôves plus ou moins nettes, est un fort témoignage sur notre temps. Sa politique dévoyée à laquelle nous ne croyons plus, sa justice muselée, son amoralisme qui, donnant le goût de l'excès, fait perdre le goût de la mesure. De la juste mesure. Car sans juste cadence tout glisse en décadence. » A. Walter « Que cela plaise ou non, Christine Deviers-Joncour est l'une des femmes clés de notre époque qu'elle incarne.» (JeanPierre Thiollet, dans Les dessous d'une Présidence)