Le Tibet "terre de spiritualité" en images

Le Dalaï-lama a 90 ans aujourd'hui. Né le 6 juillet 1935, Tenzin Gyatso pour l’état civil est devenu dès l’âge de 2 ans le 14e chef spirituel et politique des Tibétains.

Le Tibet était une théocratie brutale et corrompue où une grande partie de la population était composée de serfs. L'élite était composée de hauts dignitaires religieux, de propriétaires terriens et d'aristocrates.

La loi stipulait qu'un religieux ou un propriétaire valait son pesant d'or, tandis qu'une femme, un artisan ou un paysan valait son pesant de paille.

Couper les jambes et les bras était une punition courante au Tibet. 

Une punition courante pour les femmes consistait à les forcer à porter une lourde planche de bois autour du cou pendant des semaines. 

Les prisons étant rares au Tibet, les condamnés étaient constamment enchaînés, qu'ils travaillent aux champs ou qu'ils soient enfermés dans des ateliers.

Image montrant une esclave dont le bébé est enregistré par son maître :

Les condamnés par le pouvoir lamaïste devaient travailler constamment dans des conditions brutales et respecter des quotas, quelles que soient les maladies ou les blessures dont ils souffraient.

Les lamas pratiquaient des rituels avec des restes humains : 

Lettre du 13e Dalaï-Lama demandant des intestins, des peaux, des crânes et du sang humains pour une célébration.

Des peaux séchées d'enfants et d'adultes étaient utilisées pour des rites et la fabrication de tambours liturgiques. 

La trompette de fémur humain, appelée kangling, et le damarou, tambourin réalisé à partir de 2 calottes crâniennes, sont utilisés de nos jours par les pratiquants d'un rite tibétain nommé Chöd. (RITUAL OBJECTS MADE OF HUMAN BONES)

Offrandes rituelles des Dalaï-lamas :

Tête humaine fraîchement coupée.

*******

Sang à la place d'eau - Cœur et yeux à la place de fleurs - chair humaine brûlante à la place d'encens - Lampe alimentée par la graisse humaine fondue - Bile à la place d'eau parfumée - Torma faite de chair et d'os.

*******

Cœur d'un enfant né d'une union incestueuse.

Source : "Le Manuscrit d'Or - Visions secrètes du cinquième Dalaï-Lama".

Le 14ème Dalaï-lama :

« J’étais assez jeune quand je reçus dans leur totalité les enseignements des "Visions secrètes du cinquième Dalaï-Lama". Je n’y fis pas très attention à l’époque, mais je me souviens avoir eu d’assez bons rêves ; il en ressort donc que nous avons un lien particulier. Plus tard, à Lhassa, je découvris les œuvres du cinquième Dalaï-Lama, qui avaient été préservées principalement, je crois, par les Dalaï-Lamas suivants. Parmi elles se trouvent les enseignements très secrets, qui existent sous forme de manuscrits illustrés... Plus tard, en Inde, je me procurai ces écrits et passai plusieurs mois en retraite, faisant les pratiques des Kagyé, de Hayagriva, d’Avalokiteshvara, et d’autres encore. Pour ma part, je considère que j’ai beaucoup de chance : depuis le cinquième Dalaï-Lama, grâce aux aspirations et aux prières, je m’inscris dans la longue lignée de ceux qui portent le nom de Détenteur du Lotus. Et il semble bien qu’il y ait un lien tout à fait particulier avec le cinquième Dalaï-Lama. »

Qui est véritablement le 14ème Dalaï-Lama, par François Asselineau en 2013