Portrait d’une sainte des temps modernes qu’on crucifie pour avoir commis le plus impardonnable des crimes : aimer tous les enfants.
Rachel Accurso, alias Ms Rachel. 43 ans, voix douce, salopette rose, des millions de bébés qui prononcent “mama” grâce à elle. Une chrétienne qui a pris la Bible au sérieux : aimer son prochain point final, sans astérisque ethnique et sans clause raciale.
Elle a commencé pour un seul enfant : son fils Thomas, qui ne parlait pas.
Elle a tout quitté pour créer des vidéos rien que pour lui.
Puis elle a décidé que ce serait pour tous les enfants : autistes, trisomiques, sourds, noirs, latinos, arabes, juifs, pauvres, réfugiés. Sans filtre. Sans hiérarchie. Sans haine.
Elle a levé des centaines de milliers de dollars pour l’Ukraine, le Soudan, le Congo. Et quand Gaza s’est mise à hurler, elle a continué la seule phrase qui l’a guidée depuis le début :
"Tous les enfants méritent de vivre".
Elle a montré des enfants palestiniens mutilés, affamés, amputés.
Elle a cité les chiffres de l’ONU.
Elle a pleuré en direct : « Je ne peux pas me taire quand des bébés meurent. »
Et là, les mêmes qui n’ont jamais versé une larme pour un seul enfant palestinien se sont transformés en tribunal inquisitorial.
Elle a été insultée, menacée, accusée d’être “propagandiste du Hamas”. On a même demandé une enquête fédérale contre elle.
Le sommet du ridicule a été atteint en décembre 2025, quand StopAntisemitism l’a sacrée :
"Antisemite of the Year". Miss Antisémite 2025. Pourquoi ?
Parce qu’elle a dit que Kfir Bibas, le bébé otage roux, et les 20 000 enfants palestiniens tués, ont la même valeur.
Parce qu’elle a pleuré les deux.
Parce qu’elle refuse la comptabilité macabre où la compassion serait réservée à une seule catégorie d’enfants.
Voilà la logique des haineux :
Défendre un enfant juif, c'est noble ; défendre aussi un enfant palestinien, c'est un crime. Rachel Accurso n’a pas plié. Elle continue de chanter Wheels on the Bus pendant qu’on l’accuse de haine… elle, qui apprend aux bébés à dire “I love you” en langue des signes.
Et si j’en parle aujourd’hui, c’est aussi parce qu’en France, très peu de gens savent qui elle est, ou ce qu’elle a subi pour avoir osé dire que toutes les vies d’enfants se valent. Il est temps que son nom traverse l’Atlantique.
Honte à ceux qui l’ont diffamée.
Gloire à celle qui a refusé de détourner les yeux.
Et pour comprendre le “scandale”, je joins ici la vidéo où Ms. Rachel apparaît simplement aux côtés d’une enfant palestinienne amputée. Une image d'humanité élémentaire devenue un crime aux yeux de certains.
Elle a levé des centaines de milliers de dollars pour l’Ukraine, le Soudan, le Congo. Et quand Gaza s’est mise à hurler, elle a continué la seule phrase qui l’a guidée depuis le début :
"Tous les enfants méritent de vivre".
Elle a montré des enfants palestiniens mutilés, affamés, amputés.
Elle a cité les chiffres de l’ONU.
Elle a pleuré en direct : « Je ne peux pas me taire quand des bébés meurent. »
Et là, les mêmes qui n’ont jamais versé une larme pour un seul enfant palestinien se sont transformés en tribunal inquisitorial.
Elle a été insultée, menacée, accusée d’être “propagandiste du Hamas”. On a même demandé une enquête fédérale contre elle.
Le sommet du ridicule a été atteint en décembre 2025, quand StopAntisemitism l’a sacrée :
"Antisemite of the Year". Miss Antisémite 2025. Pourquoi ?
Parce qu’elle a dit que Kfir Bibas, le bébé otage roux, et les 20 000 enfants palestiniens tués, ont la même valeur.
Parce qu’elle a pleuré les deux.
Parce qu’elle refuse la comptabilité macabre où la compassion serait réservée à une seule catégorie d’enfants.
Voilà la logique des haineux :
Défendre un enfant juif, c'est noble ; défendre aussi un enfant palestinien, c'est un crime. Rachel Accurso n’a pas plié. Elle continue de chanter Wheels on the Bus pendant qu’on l’accuse de haine… elle, qui apprend aux bébés à dire “I love you” en langue des signes.
Et si j’en parle aujourd’hui, c’est aussi parce qu’en France, très peu de gens savent qui elle est, ou ce qu’elle a subi pour avoir osé dire que toutes les vies d’enfants se valent. Il est temps que son nom traverse l’Atlantique.
Honte à ceux qui l’ont diffamée.
Gloire à celle qui a refusé de détourner les yeux.
Et pour comprendre le “scandale”, je joins ici la vidéo où Ms. Rachel apparaît simplement aux côtés d’une enfant palestinienne amputée. Une image d'humanité élémentaire devenue un crime aux yeux de certains.
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Miss Rachel arbore une robe dédiée à Gaza à l’occasion d’une remise de prix
La lauréate Rachel Griffin Accurso, connue sous le nom de Mme Rachel, assiste à la cérémonie des Glamour Women of the Year Awards à l'hôtel Plaza, le 4 novembre 2025, à New York.
Avec ses millions d'abonnés et son émission sur Netflix, l'influenceuse pour enfants est une grande défenseure des enfants de Gaza ; certains la taxent de partialité anti-Israël.
Miss Rachel, l’éducatrice qui s’est bâti un empire médiatique autour des programmes pour les tout-petits, a poursuivi son plaidoyer en faveur des enfants de Gaza en arborant une robe ornée de dessins d’enfants de l’enclave à l’occasion d’une cérémonie durant laquelle elle a reçu un prix.
De nombreux dessins présentaient les couleurs du drapeau palestinien – rouge, noir, blanc et vert – voire le drapeau dans son entier ; d’autres représentaient des pastèques, symbole de l’activisme pro-palestinien, ou des branches d’olivier.
« Leur histoire est dans mon cœur », a-t-elle déclaré lors d’une interview le jour de l’événement. « Ils connaissent cette robe et ils en sont très fiers. »
Cette star du divertissement, dont le nom complet est Rachel Accurso, a été distinguée par le magazine Glamour comme l’une des femmes de l’année 2025 lors d’une cérémonie qui s’est tenue à New York. En lui décernant ce prix, le magazine de mode a évoqué son plaidoyer en faveur de Gaza – une forme de courage pour certains, d’antisémitisme selon d’autres.
Depuis l’an dernier, Accurso a souvent pris la parole au nom des enfants de Gaza, collecté des fonds en leur faveur et fait venir un tout-petit de Gaza, amputé, dans son émission.
« L’amour et l’attention que j’ai pour les enfants ne concernent pas que mes enfants », a-t-elle déclaré à Glamour lors d’une récente interview. « Pas que les enfants de notre pays. Ils s’appliquent à tous les enfants du monde. Je ne crois pas que notre amour devrait s’arrêter à des questions de religion, de couleur de peau ou d’endroit où les gens sont nés. »
Dans les milieux pro-israéliens, certains lui reprochent une forme de parti pris anti-Israël. L’organisation StopAntisemitism, qui l’accuse de diffuser la « propagande du Hamas », a demandé à la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi, d’enquêter sur elle.
Accurso s’est également exprimée à plusieurs reprises en faveur des enfants israéliens, notamment Ariel et Kfir Bibas, enlevés lors du pogrom commis par le Hamas le 7 octobre 2023 et, selon les informations israéliennes, assassinés par leurs ravisseurs.
Elle a balayé d’un revers de main les accusations « absurdes » de collusion avec le Hamas et a déclaré à Glamour que le fait qu’on la traite d’antisémite était « extrêmement douloureux ».
« Dire que je ne me soucie pas de certains enfants parce que je me focalise sur ceux qui sont en situation d’urgence n’est pas correct », a-t-elle expliqué à Glamour. « Ce n’a rien de vrai. Mes amis savent qui je suis et Dieu aussi sait qui je suis. »
Elle a ajouté qu’elle souhaitait maintenant venir en aide aux enfants victimes de la brutale guerre civile qui secoue le Soudan, là où, selon le Département d’État américain, une milice rebelle a commis un génocide.
La robe noire et blanche de la discorde a été brodée en couleur avec les dessins des enfants. Une de ces broderies représente ce qui semble être une petite fille en train de serrer dans ses bras un morceau géant de pastèque. Une autre représente ce qui semble être le système solaire. Enfin, sur le devant de la robe, une broderie représente une colombe géante couverte de fleurs et tenant dans son bec un rameau d’olivier.
Le jour de la cérémonie, Accurso avait également apporté des photos des enfants auteurs de ces dessins.
Miss Rachel, l’éducatrice qui s’est bâti un empire médiatique autour des programmes pour les tout-petits, a poursuivi son plaidoyer en faveur des enfants de Gaza en arborant une robe ornée de dessins d’enfants de l’enclave à l’occasion d’une cérémonie durant laquelle elle a reçu un prix.
De nombreux dessins présentaient les couleurs du drapeau palestinien – rouge, noir, blanc et vert – voire le drapeau dans son entier ; d’autres représentaient des pastèques, symbole de l’activisme pro-palestinien, ou des branches d’olivier.
« Leur histoire est dans mon cœur », a-t-elle déclaré lors d’une interview le jour de l’événement. « Ils connaissent cette robe et ils en sont très fiers. »
Cette star du divertissement, dont le nom complet est Rachel Accurso, a été distinguée par le magazine Glamour comme l’une des femmes de l’année 2025 lors d’une cérémonie qui s’est tenue à New York. En lui décernant ce prix, le magazine de mode a évoqué son plaidoyer en faveur de Gaza – une forme de courage pour certains, d’antisémitisme selon d’autres.
Depuis l’an dernier, Accurso a souvent pris la parole au nom des enfants de Gaza, collecté des fonds en leur faveur et fait venir un tout-petit de Gaza, amputé, dans son émission.
« L’amour et l’attention que j’ai pour les enfants ne concernent pas que mes enfants », a-t-elle déclaré à Glamour lors d’une récente interview. « Pas que les enfants de notre pays. Ils s’appliquent à tous les enfants du monde. Je ne crois pas que notre amour devrait s’arrêter à des questions de religion, de couleur de peau ou d’endroit où les gens sont nés. »
Dans les milieux pro-israéliens, certains lui reprochent une forme de parti pris anti-Israël. L’organisation StopAntisemitism, qui l’accuse de diffuser la « propagande du Hamas », a demandé à la procureure générale des États-Unis, Pam Bondi, d’enquêter sur elle.
Accurso s’est également exprimée à plusieurs reprises en faveur des enfants israéliens, notamment Ariel et Kfir Bibas, enlevés lors du pogrom commis par le Hamas le 7 octobre 2023 et, selon les informations israéliennes, assassinés par leurs ravisseurs.
Elle a balayé d’un revers de main les accusations « absurdes » de collusion avec le Hamas et a déclaré à Glamour que le fait qu’on la traite d’antisémite était « extrêmement douloureux ».
« Dire que je ne me soucie pas de certains enfants parce que je me focalise sur ceux qui sont en situation d’urgence n’est pas correct », a-t-elle expliqué à Glamour. « Ce n’a rien de vrai. Mes amis savent qui je suis et Dieu aussi sait qui je suis. »
Elle a ajouté qu’elle souhaitait maintenant venir en aide aux enfants victimes de la brutale guerre civile qui secoue le Soudan, là où, selon le Département d’État américain, une milice rebelle a commis un génocide.
La robe noire et blanche de la discorde a été brodée en couleur avec les dessins des enfants. Une de ces broderies représente ce qui semble être une petite fille en train de serrer dans ses bras un morceau géant de pastèque. Une autre représente ce qui semble être le système solaire. Enfin, sur le devant de la robe, une broderie représente une colombe géante couverte de fleurs et tenant dans son bec un rameau d’olivier.
Le jour de la cérémonie, Accurso avait également apporté des photos des enfants auteurs de ces dessins.
