mercredi 10 décembre 2025

Our Genocide


Israeli human rights group B’Tselem says Israel is committing genocide in Gaza


Jul 29, 2025

B’Tselem has shared a video explaining the findings of their report, which states that Israel is committing genocide in Gaza.

On Monday, Israeli human rights groups B’Tselem and Physicians for Human Rights-Israel published separate reports in which they accused Israel of genocidal crimes and incitement to genocide.

In its report, B’Tselem examined Israel’s policies in Gaza and statements made by senior Israeli politicians and military commanders on its goals in the enclave. It led the group to “the unequivocal conclusion that Israel is taking coordinated action to intentionally destroy Palestinian society in the Gaza Strip”.

Our Genocide 


Since October 2023, Israel has shifted its policy toward the Palestinians. Its military onslaught on Gaza, underway for more than 21 months, has included mass killing, both directly and through creating unlivable conditions, serious bodily or mental harm to an entire population, decimation of basic infrastructure throughout the Strip, and forcible displacement on a huge scale, with ethnic cleansing added to the list of official war objectives.

This is compounded by mass arrests and abuse of Palestinians in Israeli prisons, which have effectively become torture camps, and tearing apart the social fabric of Gaza, including the destruction of Palestinian educational and cultural institutions. The campaign is also an assault on Palestinian identity itself, through the deliberate destruction of refugee camps and attempts to undermine the United Nations Relief and Works Agency for Palestine Refugees (UNRWA).

An examination of Israel’s policy in the Gaza Strip and its horrific outcomes, together with statements by senior Israeli politicians and military commanders about the goals of the attack, leads to the unequivocal conclusion that Israel is taking coordinated, deliberate action to destroy Palestinian society in the Gaza Strip. In other words: Israel is committing genocide against the Palestinians in the Gaza Strip. 

The term genocide refers to a socio-historical and political phenomenon involving acts committed with intent to destroy, in whole or in part, a national, ethnic, racial or religious group. Both morally and legally, genocide cannot be justified under any circumstance, including as an act of self-defense. 

Genocide always occurs within a context: there are conditions that enable it, triggering events, and a guiding ideology. The current onslaught on the Palestinian people, including in the Gaza Strip, must be understood in the context of more than seventy years in which Israel has imposed a violent and discriminatory regime on the Palestinians, taking its most extreme form against those living in the Gaza Strip. Since the State of Israel was established, the apartheid and occupation regime has institutionalized and systematically employed mechanisms of violent control, demographic engineering, discrimination, and fragmentation of the Palestinian collective. These foundations laid by the regime are what made it possible to launch a genocidal attack on the Palestinians immediately after the Hamas-led attack on 7 October 2023.

The assault on Palestinians in Gaza cannot be separated from the escalating violence being inflicted, at varying levels and in different forms, on Palestinians living under Israeli rule in the West Bank and within Israel. The violence and destruction in these areas is intensifying over time, with no effective domestic or international mechanism acting to halt them. We warn of the clear and present danger that the genocide will not remain confined to the Gaza Strip, and that the actions and underlying mindset driving it may be extended to other areas as well. 

The recognition that the Israeli regime is committing genocide in the Gaza Strip, and the deep concern that it may expand to other areas where Palestinians live under Israeli rule, demand urgent and unequivocal action from both Israeli society and the international community, and use of every means available under international law to stop Israel’s genocide against the Palestinian people. 




Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire




Ukraine, la Paix est possible à condition d'avoir le courage de regarder en face les responsabilités de chacun dans l'origine de cette guerre.

Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche , et de nos mains, aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques (Jean Jaurès).

Voici ce que le Monde diplomatique du mois de février 2022, écrivait sur l’Ukraine, quelques jours avant son invasion par l’armée russe, sous le titre « Ukraine, pourquoi la crise ».

⁃ Le malentendu remonte à l’effondrement du bloc communiste en 1991. En toute logique , la disparition du pacte de Varsovie aurait dû conduire à la dissolution de l’OTAN, créée pour faire face à la "menace soviétique" (La France était d’accord). Mais les États-Unis ont poussé alors à l’élargissement vers l’Est des structures de l’OTAN héritées de la guerre froide afin de consolider leur domination en Europe.

⁃ En 99, l’OTAN (toujours sous le commandement des Etats-Unis) effectue son premier élargissement en intégrant la Pologne, la Hongrie et la Tchécoslovaquie et annonce la poursuite du processus jusqu’aux frontières russes. Dans le même temps, l’OTAN intervient militairement sans l’accord du Conseil de sécurité de l’ONU en Yougoslavie, ce qui transforme l’OTAN (organisation jusque là défensive) en une alliance offensive, le tout en violation du droit international.

⁃ En 2003 , l’invasion de l’Irak par les troupes américaines (sur un mensonge - tout le monde se souvient de Colin Powell, secrétaire d’État du président Georges Bush, brandissant une fausse fiole d’anthrax, devant l’ONU), constitue une nouvelle violation du droit international, dénoncée de concert par Paris, Berlin et Moscou.

⁃ Dans les années qui suivent, les États-Unis annoncent leur intention d’installer des éléments de leur bouclier antimissile en Europe de l’Est, ce qui contrevient à l’acte fondateur Russie-OTAN (signé en 1997) garantissant à Moscou que les Occidentaux n’installeraient pas de nouvelles infrastructures militaires permanentes. ( commentaire : je ne pense pas que les américains soient prêts à accepter une base militaire russe proche de leurs frontières, au Mexique par exemple...).

⁃ En avril 2008, les États-Unis exercent une forte pression sur ses alliés européens afin d’entériner la vocation de la Géorgie et de l’Ukraine à intégrer l’OTAN, alors même que la grande majorité des Ukrainiens est alors opposée à une telle adhésion.

⁃ Dans le même temps, les États-Unis poussent à la reconnaissance de l’indépendance du Kosovo (une province serbe de l’ex-Yougoslavie dépecée par l’intervention militaire de l’OTAN sans l’accord du Conseil de sécurité de l’ONU), ce qui constitue une nouvelle violation du droit international puisqu’il s’agit alors juridiquement d’une province serbe. (commentaire : faut-il rappeler que la création de cet État artificiel qu’est le Kosovo, non reconnu par une grande partie de la communauté internationale, a permis aux États-Unis d’y installer une des plus grande base militaire d’Europe, proche de la Russie).

On connaît la suite, les Occidentaux ayant ouvert la boîte de Pandore de l’interventionnisme et de la remise en cause de l’intangibilité des frontières sur le continent européen, la Russie se sentant encerclée, répond en intervenant en Géorgie en 2008, puis en reconnaissant l’indépendance de l’Ossétie du Sud et de l’Abkhazie, etc.

Le temps est venu de comprendre ce que disent les belligérants de cette guerre, tous les belligérants, pour qu’elle s’arrête et ne se répète pas.

Lire ici la suite dans l’article du Monde diplomatique, signé par David Teurtrie, chercheur associé à l’Institut national des langues et civilisations orientales (Inalco), auteur de "Russie. Le retour de la puissance" - éditeur Armand Colin, 2021.



Patrick Champagnac, journaliste à la retraite.


Six ans que je suis à la retraite. Avec le recul de mes 42 ans d’activités, je peux, avec légitimité, vous dire ce que j’ai détesté dans ma vie et ce qui me révolte plus que tout aujourd’hui encore :

D’abord, l’entre-soi qui rend con, aveugle et lâche. En particulier l’entre-soi politico-médiatique qui permet la cooptation et de se réfugier dans le déni et dans l’auto refoulement des vérités dérangeantes plutôt que d’essayer d’identifier ses propres habitus et biais cognitifs pour tenter d’analyser le monde.

Révolté de constater que 90 % des médias français nationaux, dont les plus influents, (télévision, radio, presse écrite) sont détenus par 8 milliardaires qui nomment des personnes de confiance aux fonctions de direction et de rédaction en chef ayant logiquement les mêmes orientations idéologiques qu’eux, sans même s’apercevoir que leurs médias sont en train de connaître le même sort que la Pravda sous le règne de l’URSS.

- L’obséquiosité de certains journalistes face aux puissants.

⁃ La servilité à l’égard des puissants.

⁃ Le mépris des puissants à l’égard des faibles.

⁃ L’usage du chantage à l’antisémitisme utilisé pour disqualifier celles et ceux qui osent dénoncer les massacres de civils à Gaza et l’occupation israélienne des territoires palestiniens. Je suis pour le respect du droit international et des résolutions de l’ONU et donc pour l’existence de deux États, israélien et palestinien.

Révolté, plus que révolté, contre l’antisémitisme et l’islamophobie, révolté contre le racisme en général. Le monde n’est plus un monde de blancs et ne le sera plus ( James Baldwin) il sera pluriel, universel !

⁃ Révolté moi le chrétien anticlérical contre tous les intégrismes religieux, contre tous les fous de Dieu, ânes mitrés du Vatican et faux barbus des synagogues et des mosquées. Et c’est le croyant que je suis qui vous le dit ! La religion doit être de l’ordre de l’intime. Je n’aime pas qu’elle se transforme en dogme, qu’elle devienne totalitaire et violente. "La religion est pour moi un transport collectif que je ne prends pas. J’aime aller vers ce Dieu, à pied si il le faut, mais pas en voyage organisé" (Kamel Daoud, écrivain et journaliste algérien).

Et puis enfin ! Il n’est pas nécessaire d’avoir une religion pour avoir une morale et distinguer le bien du mal... Nous avons connu la guerre de cent ans, cent ans d’inquisition, marque déposée en 1233, sommet de la dégénérescence de l’Esprit. Cela ne nous a pas suffit ! Il y a encore des guerres de religions ...

Révolté contre la chasse à courre et les corridas. Ne pas interdire ces pratiques barbares qui consistent à jouir de la souffrance de l’animal doit nous interdire à nous prétendre civilisé.

Révolté contre le capitalisme financier, la forme la plus sauvage, la plus barbare du capitalisme, responsable de tant d’inégalités et de souffrance notamment chez les jeunes, frustrés par ce capitalisme mondialisé qui ne tient pas ses promesses ... C’est une guerre économique qui ne dit pas son nom, dont le théâtre des opérations est l’intérieur des entreprises et des services publics. Et où s’accumulent les "dommages collatéraux". Avec d’innombrables victimes chez les jeunes comme chez les plus âgés.

⁃ Révolté quand un jeune garçon ou une jeune fille dit que la vie est un cauchemar dont il a du mal à s’éveiller et que les raisons de mourir sont plus fortes que les raisons de vivre ... souvent par refus de "collaborer" à la banalisation du mal. Ce que Durkheim appelait les suicides anomiques dans des sociétés de chaos qui ne produisent plus ni de solidarité ni d’éthique.

Révolté devant la folie, une maladie que notre société ne soigne plus faute de moyens. Révolté parce que tous les fous, tous les maudits, tous les criminels, ont été des enfants, ont joué comme moi, comme toi, ont cru que quelque chose de beau les attendait ... Ce que dit Pavese dans "Le Métier de vivre".




mardi 9 décembre 2025

This is the reality in Gaza today



Due to the complete destruction that the genocidal Israeli attack caused to the infrastructure of the Gaza Strip, as well as to its sewage and drainage systems, the recent November rainfall flooded the displacement camps: approximately 13,000 tents were destroyed, and more than 740,000 people were affected by the storm damage. Rainwater mixed with raw sewage, creating fertile ground for infection and disease, and leaving hundreds of thousands without basic shelter. Children were documented in summer clothing and barefoot in the cold due to the lack of warm clothes.




Even with the 'ceasefire' in place, Israel has continued to restrict aid, rejecting over 107 entry requests since it was announced. Consequently, more than 6,500 trucks carrying winter emergency supplies are reportedly still stalled outside the Strip. The international community continues to neglect its responsibilities and abandon Gaza’s residents while Israel blocks the entry of essential winter equipment, including tents, tarpaulins, blankets, warm clothing, and sanitary supplies.

This is the reality in Gaza today: a winter without shelter, profound hunger, and living conditions that continue to deteriorate. This is a direct result of Israeli policy and international silence.


B'Tselem. The Israeli Information Center for Human Rights in the Occupied Territories (מרכז המידע הישראלי לזכויות האדם בשטחים)

mail@btselem.org

Un seul syndicat du crime contrôle le monde entier




Au-delà du pillage des ressources, c’est une guerre spirituelle : ils veulent nous couper de nous-mêmes, des autres et de toute transcendance pour faire de nous du bétail docile. Se libérer exigera non seulement de renverser Glafia, mais de redécouvrir notre véritable nature humaine.


 Un seul syndicat du crime contrôle le monde entier


par Sanne Burger et Karel Beckman


Le chercheur Mees Baaijen propose une relecture radicale de l’histoire.

Dans son livre "Les Prédateurs contre le Peuple", le chercheur indépendant Meeuwis T. (Mees) Baaijen, 72 ans, affirme que depuis au moins cinq siècles, le monde est dirigé par un gouvernement mondial invisible qu’il appelle Glafia (la Mafia mondiale). « Toutes les révolutions, guerres et grands bouleversements politiques ont été orchestrés par Glafia », explique-t-il dans un entretien accordé à De Andere Krant.

« Les nations, les démocraties, les gouvernements et même les religions n’ont plus de réel pouvoir depuis des siècles. Ce ne sont que des façades, des instruments au service des véritables maîtres qui maintiennent les populations dans l’asservissement. »

Les historiens expliquent traditionnellement le cours de l’histoire par des facteurs économiques, technologiques, sociologiques, politiques ou idéologiques. Pourtant, un facteur reste presque systématiquement tabou : l’hypothèse que les événements majeurs puissent résulter de complots délibérés et coordonnés. Les manuels scolaires passent sous silence le Forum économique mondial, le groupe Bilderberg, le Council on Foreign Relations, la franc-maçonnerie, Skull & Bones ou l’influence historique des Rothschild. Quiconque ose évoquer le rôle de ces réseaux est immédiatement taxé de « complotiste » et discrédité – alors même que l’existence de nombreux complots est historiquement avérée.

Mees Baaijen, vétérinaire retraité et grand voyageur installé au Costa Rica, refuse de se plier à ce tabou. Dans "Les Prédateurs contre le Peuple" (paru en juin 2024, déjà traduit en sept langues), il va très loin : tous les grands événements des cinq derniers siècles – de la « supercherie Covid » au 11-Septembre, de la politique climatique aux deux guerres mondiales, en passant par le nazisme, le communisme, le colonialisme, la Révolution française, la révolution industrielle ou la Réforme – seraient l’œuvre d’un seul et même cartel criminel international secret : un réseau de banquiers et de magnats de la finance, sans attache religieuse, nationale ou ethnique particulière.

Sur son Substack, il a récemment résumé sa thèse ainsi :

« Il y a environ 500 ans, quelques familles immensément riches de la Méditerranée ont lancé un projet inédit : dominer le monde entier. Contrairement aux conquérants du passé, elles n’ont pas eu recours à la force brute, mais à deux armes maîtresses : la circulation occulte des capitaux et la tromperie organisée à grande échelle.

Pour contrôler le monde à distance, ces dynasties bancaires ont habilement corrompu et inféodé les élites des futurs États-nations « souverains » d’Europe. En fusionnant leur capital mobile avec l’appareil d’État, elles ont transformé ces nations en vassaux. Leur première mission : explorer et coloniser les continents américain, africain et asiatique.

Glafia a successivement fait de l’Espagne (XVe-XVIe siècles), des Pays-Bas (XVIIe), de la Grande-Bretagne (XVIIIe-XIXe) puis des États-Unis (à partir des années 1830, financés notamment par les Rothschild britanniques) ses hégémons temporaires. Après 1945, les anciennes colonies européennes « indépendantes » ont été intégrées à l’empire américain de Glafia (ce qui explique l’explosion de la CIA et de l’appareil militaire américain).

La phase terminale de l’empire américain a commencé en 1971 avec la fin de la convertibilité du dollar en or et la transformation de l’économie des États-Unis en casino financier. Parallèlement, les capitaux et technologies américains ont été massivement transférés vers la Chine communiste pour en faire la future superpuissance.

Aujourd’hui, Glafia contrôle tous les pays – y compris la Russie et la Chine. »


Nous avons soumis Mees Baaijen à quelques questions cruciales.


Qui sont concrètement les membres de cette Glafia ? Pourquoi agissent-ils ainsi ?

« Dans mon livre, j’explique comment les familles les plus riches de Gênes et Venise ont fusionné leurs capitaux avec ceux de Juifs fortunés expulsés d’Espagne à la fin du XVe siècle, avant d’investir massivement en Hollande puis en Angleterre. Certaines de ces lignées (Warburg, Astor/Astorga, grandes familles italiennes noires, etc.) figurent encore parmi les plus riches du monde.

Les Rothschild, puis les Rockefeller qu’ils ont propulsés, ont ensuite pris le leadership visible. Leur motivation est simple : le contrôle total. Elles veulent posséder toutes les richesses – y compris l’humanité elle-même – et éliminer tout risque de soulèvement populaire. »

Comment un si petit groupe peut-il exercer un pouvoir aussi colossal ?

« C’est précisément ce que je démontre, cas par cas, dans le livre. Un exemple parmi des centaines : les deux guerres mondiales et Hitler ont été manipulés par les services de renseignement britanniques et américains, eux-mêmes dirigés par des politiciens corrompus au service de grandes banques – dont certaines banques juives. Il en va de même pour le communisme, la Guerre froide, etc. »

Comment expliquer alors les progrès réels de l’humanité (niveau de vie, espérance de vie, émancipation) ?

« Ces progrès étaient nécessaires pour créer une classe moyenne stable capable de soutenir l’effort industriel et colonial. C’était du pain et des jeux modernes, une illusion temporaire de liberté dans la caverne de Platon. Aujourd’hui que l’Occident a rempli son rôle historique, il est démantelé sans ménagement – surtout sa classe moyenne – et nous retournons vers un néo-féodalisme où une poignée possède tout et les autres rien.

Le suffrage universel ? 

Une victoire à la Pyrrhus si les décisions vitales (comme déclencher des guerres faisant 200 millions de morts) sont prises en coulisses.

L’éducation ? 

Un lavage de cerveau systématique. La croissance démographique ? Elle a servi les intérêts industriels, mais Glafia promeut depuis cinquante ans (Malthus, Ehrlich, Club de Rome, vaccins ARNm…) des politiques de dépopulation discrètes ou brutales. »

Pourquoi leur a-t-il fallu cinq siècles ?

« Parce que, comme le disait Machiavel, il ne faut jamais prendre par la force ce qu’on peut obtenir par la ruse. Aller trop vite exposerait le projet. Glafia n’est pas toute-puissante : quelques centaines de familles, 6 000 exécutants clés tout au plus. Si la vérité éclatait massivement demain dans tous les médias, ce serait fini en quelques semaines. » 

Votre thèse n’est-elle pas non-falsifiable ? Tout semble s’y intégrer a posteriori…

« Non, car elle repose sur des flux de capitaux historiquement traçables d’un cycle hégémonique à l’autre (Espagne → Provinces-Unies → Royaume-Uni → États-Unis → Chine). Giovanni Arrighi (Le Long XXe siècle) et Fernand Braudel ont décrit ces cycles sans oser en tirer la conclusion politique : le capitalisme n’est pas un marché, c’est une anti-marché, une jungle prédatrice. »

Si Glafia disparaissait demain, tous nos problèmes seraient-ils réglés ?

« Non. Nous avons deux ennemis : EUX et NOUS. La corruption est si profondément ancrée dans notre inconscient collectif que beaucoup refusent encore de la voir. Comme l’écrit Charles Eisenstein : la plupart d’entre nous avons été à la fois bourreaux et victimes. »

Votre vision est très sombre…

« Elle est réaliste. Au-delà du pillage des ressources, c’est une guerre spirituelle : ils veulent nous couper de nous-mêmes, des autres et de toute transcendance pour faire de nous du bétail docile. Se libérer exigera non seulement de renverser Glafia, mais de redécouvrir notre véritable nature humaine.

Le point faible de Glafia, c’est son arrogance. Leur système repose sur du bluff. Des fissures majeures apparaissent aujourd’hui. Je n’ose pas prédire l’issue, mais je constate que la conscience collective s’éveille par vagues de plus en plus puissantes. »

https://thepredatorsversusthepeople.substack.com/p/one-crime-syndicate-controls-the




lundi 8 décembre 2025

Un logiciel malveillant infecte les téléphones portables du monde entier via des publicités en ligne




Un réseau de logiciels espions lié à Israël démasqué - Voilà ce que Netanyahu entend par « Si vous avez un téléphone, vous détenez un morceau d'Israël »

Une enquête conjointe menée par Haaretz, Inside Story et le WAV Research Collective, avec vérification technique par Amnesty International, a révélé les rouages ​​internes d'Intellexa, une société de logiciels espions mercenaires liée à Israël et fondée par l'ancien officier du renseignement israélien Tal Dilian, à l'origine du logiciel espion invasif Predator utilisé pour cibler des journalistes, des militants et des défenseurs des droits de l'homme dans de nombreux pays.

Des documents et des vidéos de formation divulgués montrent qu'Intellexa a développé des outils de piratage avancés capables d'infecter silencieusement des téléphones portables, même par le biais de publicités numériques malveillantes, donnant accès aux messages privés, aux appels, aux caméras, aux microphones et aux données de localisation.

Ces fuites révèlent en outre que le personnel d'Intellexa conservait un accès à distance aux systèmes de surveillance gouvernementaux en activité, ce qui permettait de visualiser les opérations d'espionnage en cours et les données des victimes.

Des preuves médico-légales établissent désormais un lien direct entre Predator et des abus de surveillance documentés en Grèce et en Égypte, et de nouvelles découvertes techniques confirment des déploiements actifs de logiciels espions au Pakistan en 2025, malgré les sanctions et la médiatisation internationale.

Bien qu'enregistrée légalement par le biais de sociétés écrans offshore, Intellexa reste ancrée dans l'industrie de surveillance du renseignement militaire israélien, illustrant comment les exportations de logiciels espions liés à Israël continuent de permettre la répression et les violations numériques contre la société civile dans le monde entier.

Quds News Network

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L’enquête sur les « Intellexa Leaks » dévoile de nouveaux éléments sur la menace que représente son logiciel espion pour les droits humains





Les « Intellexa Leaks », ou fuites de l’entreprise Intellexa, une nouvelle enquête menée conjointement par Inside Story, Haaretz et WAV Research Collective, et s’appuyant sur l’analyse technique apportée par Amnesty International, exposent le fonctionnement interne d’Intellexa, tristement célèbre pour la commercialisation du logiciel espion Predator, extrêmement intrusif et lié à des violations des droits humains dans plusieurs pays.

En réaction à cette enquête publiée le 4 décembre 2025, Jurre van Bergen, expert en technologies au sein du Security Lab d’Amnesty International, a déclaré :

"Cette enquête offre l’un des aperçus les plus clairs et les plus accablants à ce jour du fonctionnement interne et des technologies d’Intellexa."  Jurre van Bergen, expert en technologies au sein du Security Lab d’Amnesty International.

« Le fait qu’Intellexa semble avoir conservé, au moins dans certains cas, la capacité d’accéder à distance aux journaux d’activité de ses clients utilisant Predator – permettant ainsi à son personnel de consulter les informations liées aux opérations de surveillance et aux personnes ciblées – soulève des interrogations quant à ses processus de diligence requise en matière de droits humains. Si l’on découvre qu’une société de logiciels espions mercenaires est impliquée directement dans le fonctionnement de son produit, elle pourrait alors, au regard des normes relatives aux droits humains, être tenue responsable en cas d’utilisation abusive et en cas de violations des droits humains causées par l’utilisation de ce logiciel espion.

« En outre, le logiciel espion Predator a été impliqué dans des attaques de surveillance en 2021, notamment contre le journaliste grec Thanasis Koukakis, d’après les recherches en criminalistique numérique menées par Citizen Lab. Les informations contenues dans les fichiers divulgués viennent s’ajouter aux preuves reliant les produits d’Intellexa à des violations des droits humains, notamment les droits à la vie privée et à la liberté d’expression.

« Ces révélations surviennent alors que de nouveaux cas d’utilisation malveillante de Predator sont dévoilés, démontrant que le produit d’Intellexa continue d’être utilisé pour surveiller illégalement des militant·e·s, des journalistes et des défenseur·e·s des droits humains à travers le monde. Le Security Lab d’Amnesty International a découvert une attaque contre un avocat spécialiste des droits humains de la province pakistanaise du Baloutchistan via WhatsApp durant l’été 2025, prouvant ainsi que le logiciel espion Predator est activement utilisé au Pakistan, en violation flagrante du droit à la vie privée et de la liberté d’expression.

« Plus inquiétant encore, la société a récemment développé un nouveau logiciel espion baptisé Aladdin, capable d’infecter les téléphones portables via des publicités en ligne. »
Complément d’information

Les « Intellexa Leaks » sont le fruit d’une enquête de plusieurs mois s’appuyant sur un ensemble de documents et de supports hautement sensibles ayant fuité de l’entreprise, notamment des documents internes, des supports marketing et commerciaux, ainsi que des vidéos de formation. Une analyse approfondie de ces éléments, ainsi que les détails de la réponse reçue par Haaretz de la part du fondateur d’Intellexa en réponse à une demande de commentaires de l’entreprise, sont disponibles dans la synthèse technique du Security Lab d’Amnesty International, intitulée To Catch a Predator: Leak exposes the internal operations of Intellexa’s spyware.

Amnesty International a déjà documenté les capacités techniques d’Intellexa et de nombreux cas d’atteintes aux droits humains en lien avec ses logiciels espions dans le cadre du rapport sur les « Predator Files » publié en 2023. Elle publiera prochainement dans une série de rapports les enquêtes en cours sur la campagne d’attaques au Pakistan et d’autres cas de violations.




Coincés dans le système




On en est là. Pris au piège comme des rats dans un labyrinthe trop bien foutu, savamment huilé pour qu’on s’y perde sans jamais trouver d’issue. Des couloirs qui se referment, des portes entrouvertes qui ne débouchent que sur d’autres impasses. On comprend le manège, on voit bien que rien ne tourne rond, que ce cirque tient sur des ficelles usées, tendues par une poignée d’ordures planquées dans leurs tours d’ivoire. On sait. Mais on ne peut rien. On gueule, on s’indigne, et nos cris s’engouffrent dans le grand broyeur de la machine, digérés et recrachés en échos déformés, vidés de tout impact.

Pendant ce temps, le monde continue sa pantomime grotesque. Un théâtre d’ombres où chaque rôle est réparti d’avance, où chacun danse sans comprendre la musique, obéissant à un métronome invisible. Une farce bien rodée, rythmée par les alertes de leurs écrans, leurs gestes automatiques, leurs phrases creuses qu’ils ressassent comme des mantras. Tout est normal, tout est sous contrôle. Rien à voir, circulez.

Alors quoi ? On fait semblant ? On baisse la tête et on joue le jeu, sagement, bien dociles, bien alignés ? On apprend à aimer la cage, à remercier le gardien de nous laisser une gamelle pleine ? On s’extasie devant les nouvelles règles, les nouveaux formulaires, les nouveaux badges d’identification qui nous rappellent qu’on existe, qu’on est de bons petits rouages dans l’engrenage. Ah, la sécurité ! Ah, le progrès ! Ces merveilleuses prisons dorées qu’on nous vend comme des paradis.

Mais on voudrait dire non. On voudrait renverser la table, fracasser la mécanique, envoyer valser ces pantins et leurs ficelles moisies. Sauf qu’il y a ce mur. Ce mur invisible, mais infranchissable, bâti en indifférence et en peur, dressé par des générations entières de résignation. On nous a tellement bien appris à ne plus le voir qu’on finit par le frôler chaque jour sans jamais le remettre en question. Alors, on continue à marcher, tête baissée, en se persuadant que c’est la seule voie possible.

Et les autres ? Ceux qui rient encore devant leurs écrans, qui gobent tout sans sourciller, qui ne veulent rien voir ? On les méprise ? On les secoue ? On les insulte ? Ou bien, on les plaint, ces somnambules trop occupés à se bâtir un cocon de confort dans un monde qui s’effondre sous leurs pieds ? Parce que c’est ça, le pire. Voir la catastrophe arriver et constater que personne ne s’en soucie. Tout brûle, mais on continue à danser. L’orchestre joue encore, et tant que la musique ne s’arrête pas, tout va bien, non ?

Le Kali Yuga, la grande décadence. Un monde où tout se vend, tout se corrompt, tout s’oublie. Les vieilles vérités passées au broyeur du « progrès », la pensée remplacée par des slogans, les âmes bradées contre du plastique et des pixels. Mais chut ! Faut pas dire que tout s’effondre. Faut applaudir, acclamer, se convaincre que c’est une évolution, que c’est ça, l’avenir. Un horizon de désolation, un désert de béton où l’humain devient une donnée de plus dans une base de contrôle, un pion interchangeable dans une partie truquée.

Mais ils paieront. Ils devront payer. Ces marionnettistes, ces parasites qui nous surveillent, nous déshumanisent, nous lessivent le cerveau tout en engrangeant leur or sale. Ils s’imaginent intouchables, intangibles, au-dessus du troupeau. Mais à force de tendre la corde, elle finit toujours par casser. Et ce jour-là, ils entendront enfin nos voix. Ce jour-là, ce ne sera plus eux qui dicteront les règles, mais bien nous. Parce que la patience a une limite. Et que l’heure des comptes approche.

Amal Djebbar




dimanche 7 décembre 2025

La Fédération Internationale de Football Association (FIFA)


Coupe du monde de football 2026
La FIFA offre son premier "Prix de la paix" à Donald Trump. 




Après avoir raté le Nobel, la FIFA s’est inventé un « prix de la paix » et l’a aussitôt remis à Trump, comme par hasard, en plein tirage au sort de la Coupe du monde 2026, organisée en partie chez lui. Un vrai numéro de cirque.

Regardez-moi ce spectacle. Pathétique au point d’en avoir honte pour eux. Et ils osent prétendre le faire « au nom des milliards de fans de foot ». Certainement pas en mon nom.

La même FIFA qui se dit « apolitique » quand il s’agit de bannir Israël malgré un génocide, mais qui a expulsé la Russie en quarante-huit heures, sans hésitation. La même FIFA qui « n’est pas politique », sauf quand il faut décerner des trophées taillés sur mesure pour servir ses petits arrangements.

Une mascarade flagrante, et ils pensent encore que personne ne voit rien.
[...]

Vous la voyez, l’alliance indéfectible entre Trump et son fidèle complice de la FIFA, occupés à bricoler un « FIFA Peace Prize » spécialement taillé sur mesure pour cacher un échec au Nobel ?

Vous la voyez, cette FIFA qui s’accroche à Israël malgré un génocide en direct à Gaza, tout en osant répéter que « le foot, c’est pas politique » ?

Vous la voyez, la même instance qui a éjecté la Russie en 48 heures pour cent fois moins, sans hésitation, sans débat ? Et toujours « apolitique », bien sûr.

Vous la voyez, cette connivence d’apparatchiks, ce vernis de vertu bricolé pour s’offrir mutuellement des récompenses entre gens du même clan ?

Vous la voyez, cette hypocrisie massive, presque provocante, qui ne cherche même plus à se cacher ?

Vous la voyez, la naïveté (ou la complicité) de ceux qui applaudissent encore cette mise en scène ?

Tomy le Magnifique.

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Des athlètes palestiniens portent plainte contre la FIFA et l'UEFA devant la Cour pénale internationale

Une nouvelle plainte est déposée devant la Cour pénale internationale (CPI), accusant le président de la FIFA, Gianni Infantino, et le président de l'UEFA, Aleksander Čeferin de complicité de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité en Palestine.

La plainte allègue que la FIFA et l'UEFA ont autorisé des clubs israéliens basés dans des colonies illégales à participer à des compétitions, à jouer sur des terres volées et à recevoir un soutien financier. Les Palestiniens n'ont pas accès à ces stades, ne peuvent ni intégrer ces équipes ni les gérer.

Les avocats affirment que cela contribue au transfert de populations civiles vers le territoire occupé et renforce un système d'apartheid, deux violations du Statut de Rome.

La plainte indique que la FIFA et l'UEFA ont ignoré les avertissements répétés d'experts de l'ONU, d'Amnesty International, de Human Rights Watch et de leurs partenaires européens, tout en collaborant avec des responsables israéliens et américains pour soustraire les clubs des colonies à toute responsabilité.

Le dépôt est prévu pour le 23 décembre.

Les joueurs, clubs, propriétaires fonciers palestiniens et groupes de défense des droits internationaux (Irish Sport for Palestine, Scottish Sport for Palestine et Just Peace Advocates) sont les parties soumettrices.



L’algorithme, l’atout sioniste de la manipulation des consciences



Notre plus grande crainte se réalise sous nos yeux : le génocide palestinien est relégué à des gros titres sporadiques alors qu’un peuple entier est confronté à une extermination systématique en temps réel. Pourtant, alors que cette barbarie devient la norme, la véritable nature de la plus sophistiquée des opérations de propagande de l’histoire de l’humanité éclate au grand jour. Dans un moment stupéfiant de clarté, quelqu’un d’inattendu a révélé la vérité sur l’architecture psychologique de l’empire américain au “Moyen-Orient”. Marjorie Taylor Greene, qui n’est certainement pas un modèle de pensée progressiste, a accidentellement révélé ce que des décennies d’analyse académique n’avaient pas réussi à percer : la stratégie d’Israël pour conserver le soutien américain se moque de vous faire aimer Israël — du moins si vous n’êtes pas évangélique — et est exclusivement axée sur la haine des Arabes.

C’est la confession la plus accablante de notre époque, faite non pas par un lanceur d’alerte ou un journaliste d’investigation, mais par une députée républicaine qui décrit la manipulation à l’échelle industrielle de la conscience américaine. La révélation de Greene selon laquelle Brad Parscale, ancien directeur de campagne de Trump et agent étranger enregistré pour Israël, gère des milliers de comptes de propagande sur les réseaux sociaux pour répandre la haine anti-arabe, n’est pas seulement le dernier scandale politique en date. C’est la révélation d’un état d’esprit génocidaire qui contamine le discours américain (et mondial) depuis plus d’un demi-siècle.

L’art de la haine organisée

Ce que Greene a découvert est le joyau de la guerre psychologique israélienne : une étude de 150 millions de dollars commandée par le ministère israélien des Affaires étrangères qui révèle une réalité effrayante de la psychologie humaine. L’étude a révélé qu’il est beaucoup plus simple de susciter la haine envers les Arabes que l’amour pour Israël. Il ne s’agissait pas d’un simple exercice académique, mais d’un plan de manipulation de masse qui a influencé toutes les interventions militaires américaines en Asie occidentale depuis 1967.

Cette haine fabriquée n’est pas une simple spéculation, c’est un fait académique documenté. Le professeur David Miller, de l’université de Bristol, a passé des années à documenter méticuleusement la manière dont Israël fabrique systématiquement l’islamophobie dans les sociétés occidentales. Quand Miller a révélé cette opération de propagande à grande échelle, les organisations sionistes ont orchestré une campagne de diffamation pour détruire sa carrière, qualifiant à tort ses travaux universitaires d’antisémites. Mais Miller s’est défendu et a remporté une victoire juridique historique : le tribunal a en effet statué qu’antisionisme ne signifie pas antisémitisme.

Les recherches de Miller révèlent le déploiement cynique d’individus comme Tommy Robinson, qui redirigent la colère légitime de la classe ouvrière face à l’exploitation économique en une haine islamophobe virulente, tout en servant docilement les intérêts israéliens. L’implication d’Israël est si flagrante qu’il a récemment invité Robinson, de son vrai nom Stephen Yaxley-Lennon, à se rendre dans le pays pour une tournée de propagande, tous frais payés. Les responsables israéliens ont explicitement déclaré l’accueillir parce qu’il “combat l’islamisme”.


Lors de ses meetings, Tommy Robinson combine la haine islamophobe à sa propagande en faveur d’Israël, utilisant la colère fabriquée à l’étranger pour créer un faux “nationalisme britannique”.


En lançant une recherche “Tommy Robinson Israël” dans Google, presque tous les résultats de la première page proviennent de publications juives (The Jewish Independent, la couverture des affaires juives par The Guardian, The Times of Israel, The Jewish Chronicle), qui soutiennent tous cette relation ou expriment une préoccupation symbolique quant à l’image véhiculée. Il ne s’agit pas d’une concordance éditoriale, mais d’une manipulation algorithmique. L’algorithme de recherche de Google a été programmé pour privilégier les voix juives, même lorsqu’elles évoquent leurs propres opérations de propagande, assurant ainsi que le récit reste sous contrôle sioniste, même lorsque l’histoire semble “controversée”.

L’algorithme ne se contente pas de manipuler votre opinion sur Robinson, il contrôle également qui peut s’exprimer à son sujet, de sorte que même les critiques proviennent de sources approuvées. Telle est la véritable monstruosité de la propagande à l’ère numérique : l’algorithme lui-même est devenu un atout sioniste, façonnant de manière invisible non seulement l’information, mais aussi la structure même du discours — et, plus important encore, votre cerveau.

Choc des civilisations

Les implications sont sidérantes. Chaque stéréotype anti-arabe, chaque récit du “choc des civilisations”, chaque campagne alarmiste sur “l’islam radical” ne sont pas le résultat de différences culturelles ou de tensions géopolitiques. C’est la conséquence d’une opération délibérée de guerre psychologique destinée à transformer les Américains en acteurs volontaires de la destruction des Arabes. Israël n’a pas cherché à vous faire comprendre le sionisme, apprécier la culture juive ou même à vous montrer où se trouve Israël sur une carte. Il lui suffit que vous craigniez et méprisiez ceux dont il viole, torture et déporte les enfants depuis près d’un siècle.

Tout s’explique : pourquoi les médias américains qualifient chaque mouvement de résistance arabe de “terrorisme”, alors que la violence d’État israélienne est toujours présentée comme de la “légitime défense”, pourquoi Hollywood (sioniste) a passé des décennies à produire des films déshumanisant les Arabes tout en glorifiant les agents des services secrets israéliens, pourquoi les politiciens américains rivalisent d’ingéniosité pour démontrer leur haine des dirigeants arabes tout en se prosternant devant les responsables israéliens. La haine n’est pas annexe à la politique, elle EST la politique.

Tout le monde a sûrement vu ce classique incontournable au moins une fois.


Les musulmans les plus occidentalisés au monde

Les racines historiques de cette opération remontent à l’assassinat politique le plus marquant de l’histoire américaine. Grâce à leur connaissance approfondie du pouvoir, les Palestiniens ont immédiatement identifié les responsables de l’assassinat de John F. Kennedy. Ils ont compris ce que les libéraux américains refusent de reconnaître : Kennedy représentait une menace existentielle pour le projet sioniste, non pas en raison de sa politique concernant Israël, mais en raison de sa vision des relations arabo-américaines. Il était en effet en passe de rétablir le dialogue avec Gamal Abdel Nasser, le dirigeant panarabiste égyptien qui rêvait d’unité arabe et d’indépendance vis-à-vis de la domination occidentale. La rencontre entre Kennedy et Nasser, prévue mais jamais réalisée après l’assassinat, aurait fondamentalement modifié la donne en Asie occidentale.

“Les extrémistes ‘islamistes’ sont les musulmans les plus occidentalisés au monde : racistes, impérialistes, sectaires, colonialistes et violents. Ils sont le fruit des stéréotypes hollywoodiens”.

Avant 1963, les États-Unis entretenaient de bonnes relations avec le monde arabe. Les présidents, de Truman à Eisenhower, savaient qu’il était stratégiquement insensé de s’aliéner 300 millions d’Arabes pour servir les intérêts d’une colonie de peuplement. Les Arabes étaient des alliés naturels contre l’expansion soviétique, détenteurs des plus grandes réserves de pétrole au monde et héritiers de l’une des plus grandes civilisations de l’humanité. Il n’y avait aucune cause organique à l’hostilité entre Américains et Arabes.

Mais la mort de Kennedy a marqué le début d’une nouvelle ère : la diabolisation systématique des peuples arabes, afin d’ouvrir la voie à l’expansion israélienne. Les organisations terroristes qui sévissent aujourd’hui en Asie occidentale, comme Daech ou Al-Qaïda, n’existaient pas avant 1967. Elles sont directement issues des campagnes de déstabilisation menées par les États-Unis et Israël pour faire passer les sociétés arabes pour intrinsèquement violentes et ingouvernables.

Comme l’a observé avec une lucidité implacable le journaliste Laith Marouf, ces extrémistes “islamistes” sont les musulmans les plus occidentalisés au monde : racistes, impérialistes, sectaires, colonialistes et violents. Des stéréotypes hollywoodiens à l’état pur permettant à l’Occident de faire d’une pierre deux coups : déstabiliser l’Asie occidentale pour que l’État d’Israël et les États-Unis puissent piller ses ressources, tout en servant d’idiots utiles incarnant tous les fantasmes orientalistes sur la “barbarie” arabe, justifiant ainsi une intervention occidentale sans fin.

Ces groupes ne sont pas intrinsèquement liés à la théologie islamique ou à la culture arabe. Ils ont été créés comme armes de propagande idéales, des caricatures vivantes qui font passer le nettoyage ethnique israélien pour civilisé, en comparaison. Ces extrémistes servent à la fois de prétexte à la violence impériale et de preuve de sa nécessité. Leur sauvagerie, soigneusement mise en scène, sert de couverture psychologique aux atrocités bien plus graves commises par leurs parrains.

La machine de la déshumanisation

La révélation des activités de Parscale met en lumière l’ampleur industrielle de cette guerre psychologique. Via son entreprise, qui opère au titre d’un contrat de 6 millions de dollars avec Clock Tower Group, Israël déploie des milliers de comptes sur les réseaux sociaux afin d’inonder le discours américain de propagande anti-arabe. Mais ce n’est que la partie émergée d’un gigantesque iceberg de manipulation qui comprend :Des algorithmes IA de jeu pour que des plateformes comme ChatGPT refusent de reconnaître l’apartheid israélien, tout en débattant librement de l’apartheid sud-africain.
La programmation de chatbots pour détourner les critiques sur les crimes de guerre israéliens et amplifier chaque transgression arabe, réelle ou imaginaire.

La coordination de campagnes d’influenceurs présentant la résistance palestinienne comme du terrorisme, tandis que le nettoyage ethnique israélien est qualifié de “légitime défense”.
La manipulation des algorithmes des moteurs de recherche pour enterrer les preuves des atrocités israéliennes et amplifier les contenus anti-arabes.

Netanyahu lui-même qualifie les réseaux sociaux de la “plus efficace des armes à disposition d’Israël”, plus efficace que les avions de chasse F-35, les sous-marins nucléaires ou le Dôme de fer. L’arme ultime d’Israël n’est en effet pas militaire, mais psychologique : sa capacité à manipuler les esprits américains pour en faire des complices volontaires du génocide.

Le degré de manipulation est ahurissant. Israël n’a pas besoin d’une propagande grossière vantant l’idéologie sioniste, car la plupart des Américains seraient incapables de la cerner, même si leur vie en dépendait. Il instille plutôt une haine viscérale des Arabes qui opère en deçà du niveau de la pensée consciente. Les Américains qui se considèrent comme antiracistes défendront instinctivement des politiques qui leur feraient horreur si elles ciblaient tout autre groupe ethnique. Ceux qui s’opposent à l’apartheid en Afrique du Sud, par exemple, se feront les défenseurs de pratiques analogues en Palestine. Ceux qui condamnent le génocide tenteront de rationaliser l’élimination systématique de la société palestinienne.

La pathologie du consentement fabriqué

C’est ainsi que l’empire fabrique le consentement à l’ère des réseaux sociaux : plutôt que d’utiliser des arguments logiques, il mise sur la manipulation émotionnelle. Plutôt que d’encourager le dialogue honnête, il mise sur le conditionnement algorithmique. Plutôt que de favoriser le débat démocratique, il mise sur la guerre psychologique. Parscale a recours aux mêmes techniques que Cambridge Analytica pour manipuler les élections américaines et influencer la conscience américaine au profit d’un gouvernement étranger.

Le génie de l’opération réside dans son invisibilité. Les Américains croient que leur haine des Arabes découle d’une évaluation rationnelle de la politique moyen-orientale, alors qu’elle n’est en réalité que le produit de décennies de conditionnement psychologique. Ils croient porter des jugements indépendants, alors qu’ils ne font que relayer des réponses programmées. Ils s’imaginent défendre les valeurs occidentales, alors qu’ils contribuent à éradiquer des cultures ancestrales.

Les Américains éprouvent une méfiance instinctive envers les Arabes, ceux qui ne voient qu’un stéréotype à l’évocation du mot “arabe”, les libéraux nuançant leur opposition aux crimes de guerre israéliens par la dénonciation du “terrorisme” ou du “7 octobre”, les progressistes justifiant “l’intervention militaire” au nom de l’humanitaire : tous sont victimes de cette guerre psychologique. La haine semble naturelle parce qu’elle a été conçue pour sembler l’être. Les stéréotypes semblent naturellement ancrés parce qu’ils ont été inoculés par la machine de propagande la plus aboutie de l’histoire de l’humanité.

L’épreuve ultime

Le génocide à Gaza est l’ultime épreuve du conditionnement psychologique israélien. La machine de propagande israélienne peut-elle convaincre le monde de soutenir l’extermination en temps réel de tout un peuple ? Peut-elle faire croire que des enfants affamés représentent une menace, et que les camps de réfugiés sont des cibles militaires ? Peut-elle faire croire que les hôpitaux sont des quartiers généraux du Hamas et que les écoles sont des camps d’entraînement terroristes dans l’imaginaire américain ?

Les premiers constats sont terrifiants. Malgré les preuves quotidiennes d’un nettoyage ethnique systématique, malgré les appels publics des responsables israéliens au viol et à la torture des Palestiniens, malgré les bombes américaines qui rasent des villes entières, une grande part de l’opinion publique mondiale ferme les yeux sur les crimes d’Israël. Non seulement la stratégie de propagande a survécu aux révélations, mais elle en a même tiré profit.

Telle est l’horreur incommensurable de l’atteinte à nos consciences. Israël a non seulement manipulé l’opinion publique, mais il a aussi fondamentalement modifié la perception morale du monde. Il a fait du monde le complice de crimes qu’il n’aurait jamais toléré s’ils avaient été commis ou subis par qui que ce soit d’autre. Il a transformé les gouvernants du monde en sympathisants du génocide colonial.

Quel sera notre choix ?

Avec les révélations récentes sur la campagne de haine anti-arabe orchestrée par Israël, le monde se trouve face à un terrible dilemme. Soit nous continuons à prétendre que notre hostilité envers les peuples arabes s’explique par des motifs géopolitiques rationnels, soit nous admettons que nous avons été victimes et complices de la plus grande opération de guerre psychologique de l’histoire moderne.

Nous pouvons continuer à laisser les propagandistes étrangers programmer nos émotions et manipuler notre politique, ou choisir de recouvrer notre capacité de jugement éthique indépendant.

Il ne s’agit pas de choisir entre le soutien à Israël ou au terrorisme — cette fausse dichotomie n’est elle-même qu’un produit du conditionnement psychologique israélien. Il va falloir choisir entre participer inconsciemment au génocide, ou résister, en toute conscience, à une propagande qui a fait du monde occidental une arme de destruction massive contre les Arabes.

Les Palestiniens avaient raison en 1963 lorsqu’ils ont averti qu’assassiner la vérité mènerait à exterminer des peuples. Ils savaient déjà qu’une fois les Américains programmés pour haïr les Arabes, les atrocités commises en leur nom ne connaîtraient plus de limites. Ils ont supplié les Américains d’“être prudents” car ils savaient ce qui allait se produire : des décennies de haine orchestrée faisant du monde entier le complice de leur anéantissement.

Mais leur avertissement est resté lettre morte. Leur espoir a été trahi. Leur peuple est en train de mourir. Mais leur analyse était juste : ceux-là mêmes qui ont fait assassiner Kennedy pour bloquer la réconciliation arabo-américaine tuent aujourd’hui les Palestiniens qui pourraient ramener les Américains à la raison.

Briser les chaînes qui entravent les consciences

Notre défi historique majeur est de savoir si nous avons le cran nécessaire pour nous libérer du carcan psychologique qui bride notre conscience. Serons-nous capables de surmonter cinq décennies de conditionnement pour percevoir les Arabes comme des êtres humains ? Serons-nous capables d’admettre que la haine des Arabes sert les ambitions israéliennes ? Serons-nous assez courageux pour reconnaître que nous sommes devenus les outils inconscients d’un projet génocidaire perpétré par une puissance étrangère ?

Israël n’a pas besoin de votre amour. Il n’en a jamais eu besoin. Il avait juste besoin de votre haine, une haine si viscérale que vous soutiendriez n’importe quel crime commis en son nom. La vraie question est de savoir s’il vous reste assez d’humanité pour refuser de lui donner ce qu’il exige.

Source : BettBeat’s Newsletter   via

Traduit par Spirit of Free Speech


samedi 6 décembre 2025

Un prodige de 17 ans révolutionne les prothèses avec un bras bionique contrôlé par la pensée



Dans un monde où les avancées technologiques semblent souvent réservées à des laboratoires bien financés, un lycéen de 17 ans, Benjamin Choi, a réalisé une prouesse remarquable. Il a conçu un bras bionique contrôlé par la pensée, utilisant l’intelligence artificielle pour un coût de production de seulement 300 dollars. Cette innovation, qui rivalise avec des prothèses invasives coûtant plus de 450 000 dollars, pourrait transformer la vie de millions d’amputés à travers le monde.



Une inspiration née d’un documentaire

Dès son plus jeune âge, Benjamin Choi s’est passionné pour la robotique et la programmation. À neuf ans, il découvre un documentaire de 60 Minutes présentant une patiente capable de contrôler un bras robotique par la pensée, grâce à des capteurs implantés dans son cerveau. Fasciné par cette technologie, il est néanmoins troublé par ses limites : un coût prohibitif et une chirurgie cérébrale risquée. Comme il l’explique dans une interview au Smithsonian Magazine, cette découverte a planté la graine d’une idée qui germera des années plus tard.

En 2020, la pandémie de COVID-19 bouleverse les plans de Choi, alors en 10e année. Privé de son stage de recherche sur les carburants à base d’aluminium, il décide de consacrer son temps libre à développer une prothèse abordable et non invasive. Utilisant l’imprimante 3D de sa sœur, il se lance dans la création d’un prototype qui changera la donne dans le domaine des neuroprothèses.

Une technologie révolutionnaire

Fonctionnement du bras bionique :

Le bras bionique de Choi repose sur une approche innovante. Des électrodes non invasives, placées sur le front, captent les signaux électriques résiduels émis par le cerveau, en particulier dans le lobe frontal. Ces signaux, souvent faibles et complexes, sont analysés par un algorithme d’IA développé par Choi. Cet algorithme, qui compte plus de 23 000 lignes de code et 900 pages de calculs mathématiques, a été entraîné à l’aide de milliers de points de données cérébrales collectés lors d’une étude approuvée par un comité d’éthique (IRB).

L’algorithme traduit les pensées de l’utilisateur en commandes précises pour le bras prothétique, permettant des mouvements comme lever la main, saisir des objets ou même jouer au tennis de table. Contrairement aux prothèses traditionnelles, ce système ne nécessite aucune intervention chirurgicale, ce qui réduit les risques et les coûts. De plus, le bras, fabriqué à l’aide d’une imprimante 3D, est léger, durable et incroyablement économique, avec un coût de production inférieur à 300 dollars.

Comme le rapporte Scholastic Science World Magazine, l’algorithme de Choi atteint une précision de 95 % en moins d’une seconde, rivalisant avec les prothèses invasives. Cette performance, combinée à son coût abordable, fait de cette invention une alternative viable pour des millions de personnes.

Impact et portée mondiale

Avec plus de 30 millions d’amputés dans le monde, selon Scholastic Science World Magazine, l’accès à des prothèses avancées reste un défi majeur. Les solutions actuelles, bien que technologiquement impressionnantes, sont souvent inaccessibles en raison de leur prix et des risques médicaux associés. En éliminant ces obstacles, le bras bionique de Choi pourrait démocratiser l’accès à des prothèses de pointe, offrant une nouvelle indépendance à ceux qui en ont besoin.


Érotisme, espionnage, chantage et banque : l’axe Epstein/banque Rothschild/cyberarmement d’Israël



par Alfredo Jalife-Rahme


L’affaire Epstein n’est pas ce que l’on croit. Certes, on savait que l’homme d’affaire avait créé un réseau de prostitution pédophile et qu’il exerçait du chantage sur ses riches clients au profit de ses amis israéliens. Des documents, publiés par Drop Site News, attestent qu’il entretenait des relations politiques avec l’ancien Premier ministre israélien, le général Ehud Barack. Celui-ci maneouvrait le réseau Epstein pour vendre des cyber-armes israéliennes. Derrière l’affaire de moeurs, une affaire, politique cette fois, secoue de nombreux pays de la Mongolie à la Côte d’Ivoire, en passant par la Russie.


Jeffrey Epstein portant un tee-shirt des Forces de défense israéliennes (FDI).


La fétide "affaire Epstein" s’est avérée relever de l’irruption au plus haut niveau de la cyberstratégie.

Le cas du pédophile khazar Jeffrey Epstein représente le noyau opérationnel d’une véritable politique de la plus grande létalité, nouvelle incarnation de la triade éternelle du pouvoir intégral : sexe/argent/pouvoir.

Le site Dropsitenews.com — basé à Washington, fondé par d’anciens collaborateurs de l’Intercept qui expose les abus de pouvoir et la désinformation — suite à l’exhumation partielle de nouveaux documents du House Oversight Committee des États-Unis, relie des points qui semblaient incohérents et impensables de Jeffrey Epstein avec ses coreligionnaires banquiers Rothschild, les fréquentes et bien connues visites de l’ancien Premier ministre et ancien ministre de la défense israélien, le lituanien ashkenazi Ehud Barak (EB), et « l’industrie des cyber-armes israéliennes » — lire mon article : « Quiconque possède un téléphone portable, des médicaments et des aliments possède un « morceau d’Israël », dixit Netanyahu"  -.

J’ai laissé de côté la façon dont se sont connectés Jeffrey Epstein, le Khazar polonais Leon Black d’Apollo Global Management, la Salvadorienne-allemande Ariane de Rothschild (veuve du banquier Benjamin de Rothschild) et la Khazare Cynthia Fanny Renée Tobiano Rozenblum (vice-directrice du groupe Edmond de Rothschild), pour me concentrer sur les portes tournantes de l’axe érotisme/espionnage/chantage/banque mondialiste/cyberarmes.

Le « mouchard à but non lucratif » Distributed Denial of Secrets a dévoilé les négociations financières entre Epstein et Rothschild pour collecter des fonds pour le développement des cyberarmes israéliennes » par l’ex-ministre de la Défense israélienne Ehud Barak, et son élève Pavel Gurvich, « Diplômé de l’unité 81, unité technologique secrète de l’armée israélienne ». Je passe également sous silence les liens crapuleux d’Epstein avec la khazar Kathryn Ruemmler, conseillère juridique d’Obama, qui a été le pionnier des « cyberarmes », avec en particulier, le ver Stuxnet qui a saboté la centrale nucléaire de Natanz en Iran, dans le cadre du schéma « Jeux olympiques ».

Il n’était pas anormal que Kathryn Ruemmler soit ensuite passée au service de la banque d’origine israélienne Goldman Sachs. Il n’est pas gratuit non plus que les mégabanques mondialistes JP Morgan et Deutsche Bank aient été mises en évidence dans leurs liens méta-financiers avec Epstein. Les entreprises holistiques lucratives d’Epstein nécessitaient la gestion de grandes banques lubrifiantes comme JP Morgan/Goldman Sachs/Deutsche Bank/Rothschild…

Il existe une littérature accablante sur les liens du Mossad avec Epstein et sa concubine Ghislaine Maxwell (fille de Robert Maxwell, qui a mystérieusement disparu en haute mer ; voir, sur Robert Maxwell, le super espion d’Israël : La vie et l’assassinat d’un magnat des médias.

Le portail iranien PressTV titre que « Jeffrey Epstein a utilisé l’empire de la banque Rothschild pour financer l’industrie des cyber-armes d’Israël ».

Il s’ensuit que la partie pédophilie et trafic sexuel constituaient le leurre pour attirer la plus haute classe politique des États-Unis (l’ancien directeur de la CIA William Burns, le polémique homme d’affaires Bill Gates, des anciens présidents, etc.) et même la royauté de Grande-Bretagne (tel l’ancien prince Andrew), où les instruments cyberoffensifs « y compris le réseau de surveillance Tor, le logiciel de piratage informatique pour téléphones mobiles à la NSO-style et les technologies d’exploitation des routeurs ».

Le jumelage de la Southern Trust Company d’Epstein et du Reporty Homeland Security (maintenant Carbyne) d’Ehud Barak a bénéficié du soutien financier de la banque mondialiste, en particulier de la banque Rothschild.

L’engagement du pédophile Jeffrey Epstein avec le « Grand Israël » est allé jusqu’à opérer le premier sommet de cyberguerre d’Israël lors de la conférence Herzliya de 2014 ; parrainée par la Fondation (sic) Rothschild Caesarea et a pu compter avec la participation notable de l’ancien premier ministre khazar et ancien ministre général de la Défense Ehud Barak.

Le fond de l’affaire Epstein : la cybermilitarisation mondialiste de la pédophilie.

Alfredo Jalife-Rahme

Traduction
Maria Poumier


Source
La Jornada (Mexique) (Le plus important quotidien en langue espagnole au monde.)