mercredi 25 juin 2025

Que se passe-t-il quand on meurt ?


Selon le Sud-Coréen YoungHoon Kim, ayant le QI le plus élevé au monde, "la mort n'est pas la fin".



Qui est Younghoon Kim ?

Le Dr Younghoon Kim est né le 25 mai 1989 en Corée du Sud et est largement reconnu comme l'un des esprits les plus brillants au monde. Son QI de 276 est officiellement reconnu par plusieurs organisations prestigieuses, dont le World Mind Sports Council et les World Memory Championships. En 2024, il a été officiellement intronisé au Temple de la renommée pour avoir détenu le titre de « Personne ayant le QI le plus élevé au monde actuellement ». Ce record a consolidé sa place parmi les personnes les plus intelligentes jamais enregistrées.

Au-delà de son intelligence exceptionnelle, le Dr Kim est reconnu pour son expertise diversifiée, couvrant des domaines tels que les sciences cognitives, la psychologie, les neurosciences, la linguistique, la philosophie et même la théologie. Son approche multidisciplinaire lui a valu des postes importants dans les cercles intellectuels et lui a valu des postes au sein d'organisations comme l'United Sigma Intelligence Association (USIA), qui regroupe certains des esprits les plus brillants au monde.

La contribution de Younghoon Kim aux sciences cognitives

Le QI du Dr Younghoon Kim n'est pas seulement un accomplissement personnel, il a également permis d'avoir un impact plus large sur la société. Sa profonde compréhension du cerveau et de l'intelligence l'a conduit à mener des projets innovants appliquant ses recherches et ses découvertes à des contextes concrets. Par ses travaux, il cherche à approfondir notre compréhension de l'esprit humain et à promouvoir le développement cognitif au sein de populations diverses.

Il est professeur honoraire Tony Buzan en pensée créative à l'Académie et Université Tony Buzan, contribuant ainsi à la formation de la prochaine génération de penseurs. Son influence s'étend à l'échelle mondiale, ses travaux étant présentés dans des médias de premier plan tels que Reader's Digest, The Economist, CNN et CNBC.

NeuroStory de Younghoon Kim : révolutionner la santé cérébrale
L'une des initiatives les plus innovantes du Dr Kim est la création de NeuroStory, une entreprise de santé cérébrale numérique. Reconnue par le ministère sud-coréen des PME et des startups, NeuroStory est une entreprise unique qui se concentre sur l'amélioration de la santé cérébrale grâce à des technologies de pointe comme l'intelligence artificielle (IA), l'apprentissage automatique, le big data et la neurotechnologie.

La mission de NeuroStory est de combler les lacunes en matière de santé cérébrale en fournissant des solutions numériques accessibles, notamment aux populations dont l'accès aux soins médicaux est limité en raison de facteurs socio-économiques. La vision du Dr Kim est de réduire les déséquilibres mondiaux en matière de santé cérébrale en sensibilisant et en proposant des programmes gratuits favorisant l'entraînement cérébral et la santé cognitive globale, notamment auprès des communautés défavorisées.

La personne la plus intelligente : qu'est-ce qui distingue Younghoon Kim ? Ce qui distingue Younghoon Kim des autres intellectuels, c'est sa capacité à synthétiser les connaissances issues de diverses disciplines et à les appliquer à des solutions innovantes bénéfiques pour la société. Son QI, souvent considéré comme le plus élevé jamais enregistré, témoigne d'un esprit doté d'une capacité de raisonnement et de résolution de problèmes extraordinaire.

Cependant, le véritable génie du Dr Kim ne réside pas seulement dans son intelligence, mais dans sa façon de la canaliser pour avoir un impact tangible. Son engagement en faveur de l'amélioration de la santé cérébrale mondiale, grâce à son projet NeuroStory, n'est qu'un exemple de son engagement en faveur de la responsabilité sociale. En se concentrant sur les solutions numériques pour la santé cérébrale, le Dr Kim vise à créer un monde plus équitable où le bien-être cognitif est accessible à tous, quelle que soit leur situation financière.








mardi 24 juin 2025

TRUMP ŒUVRE-T-IL POUR UN NWO MULTIPOLAIRE ?




D'un NWO à un autre NWO


par Laure Gonlézamarres


Après le fameux "The limits to Growth" collapsologue de 1972, le Club de Rome publie en 1975 son second rapport : "Manking at the Turning Point".

Dans ce papier, ils préconisent la création d'un Nouvel Ordre Mondial multipolaire, dominé par un gouvernement mondial.

Ce NWO consiste en un découpage du monde en 10 régions ou royaumes :

1. USA Canada Groenland

2. Europe sans les pays de l'est

3. Japon

4. Australie Afrique du Sud

5. Ex-URSS

6. Amérique Centrale + du Sud

7. Grand Israël Afrique du Nord

8. Afrique noire

9. Inde Indonésie

10. Chine

Avec ces récentes déclarations depuis qu'il est à la maison blanche, l'une pour annexer le Canada, l'autre pour annexer le Groenland, la dernière pour virer tous les Gazaouis et laisser Israël s'étendre, IL PARAIT EVIDENT QUE TRUMP ŒUVRE POUR CE NWO MULTIPOLAIRE

Et ne venez pas dire que c'est une coïncidence... on retrouve cette carte des 10 royaumes sur une pièce en argent de 2009, où le Royaume n°1 est Israël, que Trump suce particulièrement fort depuis qu'il est élu.





Je vous le dis depuis le début : "D'un NWO à un autre NWO. De la peste, au choléra".

*******

BONUS

Donald Trump




par Hervé Ryssen


Après le bombardement de trois sites en Iran par l'aviation US, on peut maintenant dire que Trump est une belle salope. Tout comme Roosevelt en 1940, il a été élu en bonne partie grâce à ses convictions pacifistes, à son refus de faire entrer son pays dans une guerre. Et lui aussi aura trahi ses électeurs, la base MAGA, Make America Great Again. ...

Il est évident qu'une fois encore, c'est le lobby judéo-sioniste qui est à la manœuvre, l'AIPAC et les milliardaires juifs comme Adelson, Perlmutter et bien d'autres. Bien sûr qu'il n'y a pas que des juifs parmi ceux qui poussent les USA dans la guerre, mais il faut le dire et le répéter : il y a les wagons, et il y a la locomotive. ...

Il y a aussi une certitude : le trumpisme vient de mourir, précisément à cause de ce lobby ultra-puissant qui fait la pluie et le beau temps à New York, Washington et Hollywood. Ceux qui connaissent l'histoire savent qu'en 1914, c'était déjà le cas, mais passons... ...

Naturellement, nous allons bientôt entendre quelques personnes venir nous dire que c'était évident, que Trump était un "sioniste", un pourri, qu'il ne fallait pas le soutenir, qu'il est mouillé dans le réseau Epstein, qu'on vous avait prévenus, que vous êtes naïfs, etc.

Il y a des gens en effet qui n'ont jamais tort, qui ne font jamais d'erreurs, qui voient tout avant tout le monde grâce à leur esprit extra-lucide. Et vous savez à quoi on les reconnait ? : ils ne soutiennent jamais personne, comme ça ils ne prennent aucun risque. C'est évidemment plus simple comme cela. Ils partent du principe où ce sont tous des pourris et se contentent de rester dans leur coin, isolés du reste du monde. Vous serez daccord avec moi pour dire que ce nest pas cela, faire de la politique. ...

Reste à savoir ce qu'il va se passer maintenant. Trump avait dit hier qu'il se laissait 15 jours de réflexion avant une entrée en guerre. Et il envoyait ses bombardiers quelques heures plus tard.

Musk avait claqué la porte quelques jours auparavant, comme si il avait pressenti un traquenard. Vance, Gabbard et Tucker Carlson ont exprimé leur désaccord. Ça commence à faire beaucoup. ...

Personnellement, j'espère que la Russie et la Chine vont faire comprendre à "Isral" que ça ne va pas s'arrêter là.

Il est clair que si les Américains sont allés aussi vite, c'est qu'"Isral" était dans une sale posture face aux salves de missiles iraniens. Seul, sans l'aide occidentale, "Isral" est vulnérable. C'est la leçon du jour.


Rubrique : Messiah es-tu là ?

lundi 23 juin 2025

Donald Trump annonce l'intervention militaire des États-Unis en Iran

 

Dimanche 22 juin, avant l’aube, la Maison Blanche a envoyé six bombardiers B-2 américains pour larguer les bombes GBU-57, seules bombes capables de pilonner en profondeur les trois principaux sites nucléaires iraniens. Donald Trump a ensuite pris la parole à Washington dans une allocution pour annoncer l'intervention militaire des États-Unis en Iran.



"En annonçant les attaques américaines sur les sites nucléaires iraniens, Trump vient de se suicider politiquement (America First aura duré 5 mois). Sa base électorale ne lui pardonnera pas d'être la prostituée soumise de l'entité terroriste Israël." Marc Gabriel Draghi.

*******


François Asselineau :

"Medvedev, Vice-pdt Conseil de sécurité de la fédération de Russie, est coutumier des déclarations cinglantes qui ne reçoivent quasiment jamais de démenti. Il sert ainsi à dire tout haut ce que Poutine pense tout bas. 
Son analyse des frappes est donc celle du Kremlin." 

L'ANALYSE DE MEDVEDEV

« Qu'ont accompli les Américains avec leur frappe nocturne sur trois points en Iran ?

1. Les infrastructures critiques du cycle nucléaire semblent avoir subi peu ou pas de dommages.

2. L’enrichissement des matières nucléaires, et nous pouvons désormais le dire directement, ainsi que la production future d’armes nucléaires, vont se poursuivre.

3. Un certain nombre de pays sont prêts à fournir directement à l’Iran leurs armes nucléaires.

4. Israël est attaqué, les explosions grondent, les gens sont en panique.

5. Les États-Unis sont entraînés dans un nouveau conflit avec la perspective d’une opération terrestre.

6. Le régime politique iranien a été préservé et il est fort probable qu’il soit devenu plus fort.

7. Le peuple se rassemble autour du leadership spirituel, même ceux qui ne sympathisaient pas avec lui.

8. Trump, arrivé en tant que président pacificateur, a déclenché une nouvelle guerre pour les États-Unis.

9. La majorité absolue des pays du monde sont contre les actions d’Israël et des États-Unis.

10. Avec un tel succès, Trump ne recevra jamais le prix Nobel de la paix, malgré toute la vénalité de cette nomination. Un bon début, félicitations, Monsieur le Président ! »

Rapporté par Camille Moscow.



Rubrique : Messiah es-tu là ?

dimanche 22 juin 2025

Défense franchouillarde

 

"Après les frappes américaines ordonnées par Donald Trump, Emmanuel Macron a tenu ce dimanche soir un 3e Conseil de Défense en 10 jours. Un nouveau rendez-vous est prévu ce mardi pour faire le point sur la sécurité des Français et les efforts diplomatiques en cour." RMC


Défense française et Sécurité nationale. Elles sont là !



Rubrique : Décadence de l'Occident

TRUMP ENTRE EN GUERRE CONTRE L'IRAN



François Asselineau :

"Les USA ont frappé les sites de Fordo, Natanz et Ispahan. 
Pour Trump :
- Cette attaque est «très réussie» ;
- «L’Iran doit accepter de mettre fin à cette guerre.»

La 3e Guerre mondiale ne vient-elle pas au contraire de débuter ?"

*******

"Pourquoi Donald Trump est-il entré en guerre contre l'Iran après avoir promis aux Américains qu'il ne sera pas l'homme qui en déclenchera de nouvelles ? Je crois avoir un début de réponse...

Trump et l'agent du Mossad Epstein 

Le "faiseur de paix" est un menteur compulsif. Il avait dit qu'il se donnait deux semaines de réflexion. [...]

En recourant à des méthodes sournoises (je fais semblant d'hésiter, de privilégier la négociation pour mieux surprendre l'ennemi) Donald Trump vient de se tirer une balle dans le pied. Il vient de montrer au monde entier qu'il n'a aucune parole. Reçu 5/5 par Vladimir Poutine (vidéo ci-dessous)."

L'Informatrice sur X

*******

Dans un message publié sur son réseau social, Donal Trump a annoncé que l'armée américaine s'était jointe à Israël pour lancer des frappes militaires contre l'Iran.

"Nous avons mené à bien notre attaque contre les trois sites nucléaires iraniens, à savoir Fordow, Natanz et Ispahan.

Tous les avions sont maintenant en dehors de l'espace aérien iranien. Une charge complète de bombes a été larguée sur le site principal, Fordow. Tous les avions sont rentrés chez eux en toute sécurité. Félicitations à nos grands guerriers américains. Aucune autre armée au monde n'aurait pu faire cela. L'HEURE DE LA PAIX A SONNÉ ! Je vous remercie de l'attention que vous porterez à cette question."

Quelques remarques / questions :

- Qu'en est-il des émissions radioactives ?

- L'Iran va t-il fermer le détroit d'Hormuz et provoquer une potentielle crise économique mondiale.

- L'Iran a toujours affirmé que si les Américains s'impliquaient directement, les bases américaines à proximité seraient ciblées. Il y a 40 000 militaires américains sur les différentes bases.

- L'Iran va t-il s'attaquer à la centrale nucléaire israélienne de Dimona ?

- Quelles vont être les réactions des pays arabes de la région s'il y a escalade ?

Trump aurait attaqué sans l'autorisation du Congrès, ce qui semble poser un problème constitutionnel selon les premières réactions.

Charlie Ingalls

*******

"Israël n'est pas un pays, c'est une base militaire américaine déguisée en État"




Rubrique : Messiah es-tu là ?

'Bottom of darkness': Children raped in ritual ceremonies expose the horrors





Une véritable bombe a été publiée dans le journal israélien "Israel Hayom".

De nombreuses femmes, qui ont également été entendues à la Knesset (le parlement israélien) ont dévoilé les années de supplices et d'abus dont elles furent victimes dans le cadre de rituels occultes, avec parfois la complicité de leurs propres familles.

"Emunah décrit les abus dont elle aurait été victime durant son enfance. Des abus sexuels répétés ayant lieu durant des "cérémonies" dont la signification serait religieuse."

"Ces actes sont restés secrets durant des années, peut-être à cause de leur folie. C'était toujours très très étrange. Comme s'il y avait une logique interne mais c'était tellement fou." [...] Des reproductions du "sacrifice d'Isaac" sont mentionnées dans plusieurs témoignages.

"Victime. Sacrifice. Punition. Correction. Transcendance. Rédemption. La souffrance extrême, l'humiliation et la torture. La destruction de la personnalité et de l'âme. Tels sont les termes récurrents dans tous ces témoignages. "

"La plupart des femmes interrogées dans le cadre de cette enquête. Viennent de communautés religieuses sionistes ou ultra-orthodoxes, même si certaines viennent des milieux laïcs. [...] les noms de plusieurs rabbins apparaissent dans de nombreux témoignages."

"Les dieux que je me souviens avoir entendu être invoqués sont Baal Peor et Astoreth. Je me souviens avoir entendu dire "Notre Seigneur Baal et Notre-Dame Astoreth" [...] Le plus troublant est qu'il s'agit de juifs pratiquants qui prétendent suivre les commandements et obéir à la Torah."

"Selon le Dr Gur, il est important de comprendre que ce qui est décrit ici représente un des crimes les plus graves au sein du judaïsme. D'un point de vue religieux, il s'agit du blasphème du nom de Dieu. Beaucoup de victimes sont livrées par des membres de leurs familles qui commettent ainsi le péché de l'inceste. Si les accusés agissent avec des motifs religieux, ils se rendent coupables d’idolâtrie."

Stanislas Berton.


samedi 21 juin 2025

La course vers l’Armageddon





par Phil Broq



L’heure est grave. Le monde entier retient son souffle et observe, aussi incrédule qu’impuissant, la spirale de violence qui s’accélère au Proche-Orient, où l’État illégal d’Israël, conduit par Benjamin Netanyahou, engage des frappes d’une intensité inédite contre l’Iran et ses alliés. Sous couvert de mensonges éhontés comme la «libération» et la «sécurité», c’est surtout une guerre d’anéantissement que Tel-Aviv orchestre, au mépris des lois internationales, du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, et surtout de la stabilité mondiale. Et tout cela sous prétexte d’attendre un Messie, comme si un fanatisme religieux pouvait justifier l’injustifiable.

Ce qui se joue aujourd’hui entre Israël et l’Iran dépasse de loin une simple rivalité régionale. C’est la logique mortifère d’un État qui se croit intouchable, porté par un pseudo-messianisme géopolitique dangereux, prêt à mettre le monde à feu et à sang sous prétexte de sécurité. Depuis des mois, Benjamin Netanyahou orchestre une campagne de provocations, d’assassinats ciblés, de bombardements de sites civils et militaires en territoire iranien, tout en dégainant la rhétorique du bourreau «libérateur». «Nous détruisons vos villes pour vous libérer», ose-t-il affirmer aux Iraniens qu’il massacre, dans un renversement orwellien à faire frémir, comme dans le livre 1984, où l’on déclarait perpétuellement : «La guerre, c’est la paix». Nous connaissons bien ce refrain où les agresseurs se font passer pour des victimes. Ici, c’est l’Armageddon qui est vendu comme remède.

Ce que Tel-Aviv prépare, ce n’est surement pas la paix. Ce n’est pas non plus la protection de son peuple. C’est une fuite en avant guerrière menée par des illuminés où la seule issue possible semble être l’escalade nucléaire maquillée en «défense préventive». Les cibles iraniennes sont profondément enfouies et seule une frappe nucléaire ou une opération américaine d’envergure pourrait éventuellement les atteindre. Et cela, les généraux israéliens le savent parfaitement. Alors pourquoi s’y engagent-ils ? Parce que la survie politique de Netanyahou se nourrit du chaos. Parce qu’ils cherchent à embraser le monde pour assouvir des prophéties débiles. Parce que l’appât du gain est plus fort que celui du bien. Parce que les États-Unis, empêtrés dans leur propre déclin stratégique, continuent de jouer les parrains d’un État qu’ils ne contrôlent plus vraiment pour pouvoir vendre des armes et contrôler les flux pétroliers. Mais surtout, parce que le monde occidental, devenu totalitaire, a abdiqué toute morale au nom d’une alliance tactique de plus en plus dangereuse.

L’Histoire retiendra ce mois de Juin 2025 comme le Pearl Harbor de l’Iran. Même le Général Douglas MacGregor n’a pas mâché ses mots en déclarant que : «L’attaque contre l’Iran n’est pas une frappe isolée, c’est un acte de guerre prémédité, froidement calculé, et destiné à déclencher un embrasement régional incontrôlable». À l’époque déjà, – et comme l’ont fait la clique de Netanyahou le 7 octobre 2023 en laissant entrer le Hamas et en tirant sur son propre peuple depuis les hélicoptères pour augmenter le nombre de victimes juives – en 1941, les États-Unis avaient laissé l’attaque japonaise frapper Pearl Harbor pour justifier leur entrée dans la Seconde Guerre Mondiale. Et l’utilisation de la bombe nucléaire en suivant ! Aujourd’hui, le même stratagème cynique est reproduit avec des «négociations» brandies comme appât, pendant que les drones frappent, que les têtes tombent, et que Washington joue à la surprise.

Les pourparlers n’étaient qu’une farce diplomatique destinée à endormir l’Iran avant la frappe. Derrière la mise en scène, des hommes comme Witkoff, agents à peine déguisés d’Israël, s’activaient dans l’ombre pour coordonner l’attaque. Les aveux postérieurs de Trump ne sont pas des maladresses, mais des preuves de complicité. Pire, ce sont les prémices d’une guerre mondiale dans laquelle les États-Unis vont être aspirés, avec la Russie, la Chine, l’ensemble du monde musulman, et une opinion publique occidentale qui n’a toujours rien compris. D’ailleurs, les attaques de drones israéliens en Iran rappellent étrangement les frappes ukrainiennes en Russie la semaine passée. Les techniques, les tactiques, le timing, tout est coordonné dans un seul et même dessein d’entretenir un état de guerre permanent pour alimenter l’économie de mort.

Quand Netanyahou prétend bombarder des centres vitaux iraniens au nom de la liberté, il ne fait que ressusciter une vieille rhétorique coloniale, recouverte du vernis de la technologie militaire occidentale. Israël, petit État mais grande puissance d’influence, rêve encore d’imposer sa vision du monde par les missiles. Comme si des GBU-57 fabriqués aux États-Unis pouvaient «libérer» un peuple dont la fierté, l’histoire et la culture ont survécu aux invasions grecques, arabes, mongoles, ottomanes et britanniques.

C’est une hécatombe stratégique que l’Iran vient de subir. Une décapitation méthodique, chirurgicale, probablement orchestrée avec la complicité d’infiltrés au plus haut niveau de l’appareil militaire. L’État-major des Gardiens de la Révolution et des forces armées iraniennes a été pulvérisé, non par la puissance brute d’Israël, mais par sa guerre d’ombres, implacable et sournoise. Ce n’est pas un revers, c’est une humiliation programmée. Mais attention, car ce que les dirigeants iraniens savent, c’est aussi que l’Histoire n’a jamais été clémente avec ceux qui, frappés, restent à genoux. L’Iran n’a plus le luxe du temps ni celui de l’hésitation. Chaque seconde de silence est une invitation au chaos. S’il ne riposte pas avec la force d’un séisme, il subira le sort du Hezbollah qui fut piégé, asphyxié et fragmenté.

La guerre totale ou la soumission absolue sont les seules options, car à ce stade, il n’y a plus d’entre-deux. Car l’entre-deux, dans ce contexte, c’est la mort lente, la vassalisation programmée, la reddition sans drapeau. Voici la liste glaçante des hauts responsables militaires iraniens déjà éliminés dans cette offensive israélienne de grande envergure :

- Le chef d’état-major de l’armée iranienne.
- Le commandant de l’armée de l’air.
- Le commandant des Gardiens de la Révolution.
- Le commandant du commandement d’urgence.
- Le commandant de l’armée de terre.
- Le commandant de la marine des Gardiens de la Révolution.
- Le commandant de la Force Qods – successeur de Qassem Soleimani.
- Le commandant des forces Basij.
- Le commandant de la marine iranienne (armée régulière).
- Le commandant des forces terrestres de l’armée.
- Le commandant des forces aériennes de l’armée.

Onze piliers militaires majeurs ont été décimés. C’est à la fois une structure qui a été décapitée, mais surtout une nation provoquée. Israël ne fait pas simplement la guerre, il agresse avec arrogance pour tenter d’envoyer un message clair : «Vous n’avez plus de têtes, vous n’aurez plus de colonne vertébrale». C’est évidemment une tentative de neutralisation complète de la doctrine militaire iranienne. Mais elle est ratée et la seule réponse possible à cette audace, c’est l’abattement total et définitif de l’arrogance israélienne. Tout autre scénario est une abdication. Et dans cette partie-là, l’Histoire ne pardonnera ni la faiblesse, ni la lenteur.

À ce stade, ce n’est pas seulement l’Iran qui est visé, mais c’est la paix mondiale qui est piégée. Les frappes israéliennes visent des sites profondément enfouis que seule une arme nucléaire tactique pourrait atteindre avec certitude. Faut-il rappeler que Gérard Chevrier ou encore d’anciens hauts responsables militaires américains évoquent désormais ouvertement la possibilité d’un recours à l’arme atomique ? La diplomatie est désormais un théâtre d’ombres où les négociations ne sont que des leurres, des pièges cyniques tendus avant la prochaine explosion.

Les BRICS représentent désormais une force géopolitique incontournable. La Russie, en particulier, détient des technologies militaires d’une puissance inouïe et encore largement inconnue du grand public. Ce que nous voyons aujourd’hui n’est que l’avant-goût de ce qui pourrait s’abattre sur les économies occidentales, particulièrement celles des États-Unis et de l’Europe, si la guerre éclate. Le désastre économique qui se profile risque d’être d’une ampleur historique.

Quant à l’Iran, il vient d’adresser un ultimatum officiel aux grandes puissances, tout comme la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis ont été avertis que des frappes de grande envergure seraient lancées contre Israël. Tout pays qui participera activement à repousser les attaques iraniennes se verra directement visé par la riposte des forces iraniennes. Cela inclut toutes les bases militaires régionales des gouvernements complices, ainsi que les navires et autres installations militaires présentes dans le golfe Persique et la mer Rouge.

Face à cette agression continue, l’Iran, héritier d’une des plus anciennes civilisations de l’humanité, n’avait plus d’autre choix que de riposter. Et le début des représailles iraniennes n’ont d’ailleurs pas tardé. Déjà, ses missiles ont frappé Nevatim, les centres de guerre électronique, les hubs de ravitaillement aérien… Et le Général Ahmad Wahidi a dévoilé les frappes contre les positions sionistes jusqu’à ce jour :

- Base aérienne stratégique de Nevatim : point névralgique des opérations aériennes israéliennes.

- Flotte d’avions de combat : destruction ciblée des F-35, F-16 et F-15, symboles de la supériorité aérienne israélienne.

- Avions-citernes lourds : neutralisation des capacités logistiques aériennes, essentielles au ravitaillement des forces ennemies.

- Centres de commandement et de contrôle : frappe décisive visant à couper l’ennemi de ses lignes de communication et de décision.

- Centres de guerre électronique : destruction des infrastructures de perturbation et de surveillance électroniques israéliennes.

- Ministère de la Défense : ciblage direct de l’organe central de la stratégie militaire israélienne, cœur du dispositif de guerre de Tel-Aviv.

De plus, l’Iran avertit aussi que tout type de soutien occidental à Israël fera des alliés de Tel-Aviv des cibles légitimes. Les États-Unis sont avertis. La France, l’Angleterre aussi. Et que se passera-t-il si l’Iran ferme le détroit d’Ormuz, où transite plus de 20% du pétrole mondial ? La guerre deviendra obligatoirement globale. Économique d’abord, nucléaire peut-être mais totale, inévitablement.

Car il ne faut jamais sous-estimer la puissance historique de l’Iran. Ce n’est pas un petit pays isolé, ni une bande de «bédouins» sans défense. La Perse a survécu et triomphé de nombreuses grandes puissances à travers les âges, de l’Empire romain aux invasions britanniques, des États-Unis aux forces allemandes, en passant par les Ottomans. Cette civilisation millénaire, riche de son histoire et de sa culture, ne se laisse pas intimider. L’Iran n’est pas un acteur secondaire, c’est une puissance qui a su résister à tous ceux qui ont tenté de la dominer. Son héritage est celui d’un peuple qui a défié les empires et a toujours su renaître de ses cendres.

L’Occident, qui se veut parangon des Droits de l’Homme, reste muet face aux assassinats ciblés, aux frappes illégales, aux projets expansionnistes israéliens, parce qu’il a renoncé à ses principes. Ce moralisateur à géométrie variable, affichant son soutien inconditionnel à Israël tout en jouant aux pompiers pyromanes, a perdu tout crédit. Sa complicité dans les sabotages, sa duplicité dans les négociations trahissent une époque où la morale ne vaut plus qu’à sens unique. Ce monde-là, dominé par une minorité qui se croit investie d’une mission divine, est en train de scier la branche sur laquelle il est assis. Parce qu’il est plus préoccupé par son hégémonie perdue que par la paix des peuples. Et parce qu’il refuse d’admettre que sa domination de cinq siècles touche à sa fin.

Les États-Unis doivent désormais s’attendre à des attaques sur leur propre sol. Le général MacGregor n’exagère pas lorsqu’il déclare que les centrales nucléaires, infrastructures critiques, installations militaires ou hubs économiques sont autant de cibles symboliques et vulnérables dans une guerre asymétrique mondiale. Le monstre qu’ils ont nourri va se retourner contre eux. Car ce que sème le duo infernal américano-israélien depuis des décennies avec ces coups d’État, blocus, assassinats et humiliations collectives, ce n’est pas la paix, mais un vent de haine. Et ce vent devient aujourd’hui tempête que plus personne ne pourra contenir. Ce n’est plus un scénario de crise, c’est un engrenage. Et il est trop tard pour parler de désescalade. Le «sauve-qui-peut» ne sera pas une option, et il n’y aura pas d’abris pour ceux qui ont déclenché l’incendie.

Le peuple Israélien commence à ouvrir les yeux et à comprendre qu’il a été manipulé par le sionisme. De plus en plus nombreux sont ceux qui souhaitent quitter Israël, mais Netanyahou a besoin de «boucliers humains» pour maintenir son discours victimiste et continuer à pleurer sur ses malheurs. Cette politique d’agression n’est pas nouvelle. Israël a tué, torturé, violé, déporté et massacré des populations entières. Il a lancé des attaques contre ses voisins dans le but de créer ce soi-disant «Grand Israël». Et tout cela, pendant qu’ils continuent à attendre leur Messie au XXIe siècle, comme si ce fanatisme religieux pouvait excuser l’innommable.

Je ne me réjouirai jamais de voir des civils souffrir, quelles que soient leurs origines. Personne ne devrait avoir à payer pour les crimes commis par des dirigeants psychopathes. Cependant, lorsque plus de 80% de la population israélienne soutient activement l’éradication des Gazaouis et des Palestiniens, il devient impossible de ne pas voir cette complicité implicite. Il est donc légitime de se demander si, dans ce contexte, il n’est pas nécessaire que les civils, en tant que complices de ce régime, portent une part de la responsabilité des crimes perpétrés sous leur silence ou soutien tacite.

Il est grand temps de stopper ces individus malades, gavés de récits infantiles et formatés, qui ne rêvent que de soumettre les peuples à leur volonté ! Le véritable drame réside dans l’ignorance crasse de la majorité, une masse qui refuse de s’instruire, de s’informer, et qui, par conséquent, demeure complètement étrangère à l’histoire réelle de cette secte. Une secte qui, sous couvert d’exil, s’est infiltrée et a activement œuvré à la chute des «nations», ces pays qui ne se soumettent pas à cette colonie illégale qu’est cet Israël juif sioniste et talmudiste. Nous devons attendre que cette secte soit renversée, et plus tôt ce sera, mieux ce sera.

Alors Non, ce conflit ne se résume pas à une lutte contre le «Mal» talmudo-sioniste et les colons illégaux de la Palestine. Il s’agit d’un engrenage complexe, entretenu par des intérêts cyniques, des ambitions religieuses, des lobbies militaro-industriels et des États en perte de légitimité ne justifiant leur existence que par les guerres qu’ils engendrent pour leur profit en semant la désolation et les malheurs du monde. Il est temps de sortir de cette vision binaire du bien et du mal qui infantilise les peuples et justifie l’injustifiable. Il est temps de sonner le réveil d’une civilisation contre l’arrogance impériale d’un groupe d’illuminés avides de pouvoir et de privilèges.

Quant à Netanyahou, il semble avoir pris la décision de sacrifier son propre peuple. D’abord, par sa politique de vaccination forcée, ensuite par ses provocations incessantes. En parallèle, il a sacrifié le peuple de Gaza, à son diable. Mais il ne tardera pas à rejoindre celui qu’il idolâtre. L’Histoire, dans toute son horreur, retiendra des dizaines de milliers de victimes innocentes, des vies englouties dans ce tourbillon de violence. Satan doit se délecter de ce spectacle. Et je suis, moi aussi, consumé par une colère que je sens sans fin, face au génocide perpétré à Gaza. Mais les démons se nourrissent justement de la rage, de la vengeance et des souffrances humaines. Netanyahou et son maître démoniaque, eux, semblent tirer profit de ce chaos à tous les niveaux.

Alors critiquer l’État illégitime d’Israël n’est pas nier le droit du peuple juif à vivre en sécurité. C’est refuser qu’un gouvernement, au nom d’un récit historique fantasmé, se transforme en machine de guerre incontrôlée, susceptible d’embraser toute la planète. Ce n’est pas la guerre d’un peuple contre un autre, c’est la guerre d’une vision messianique, manipulée par des élites obnubilées par leur hégémonie. Et c’est cette folie, entretenue par l’arrogance, qui pourrait bien réduire la planète en cendres. La vraie solidarité ne consiste pas à couvrir les crimes, mais à prévenir les catastrophes.

Le monde n’a plus le temps de rester spectateur. Le réveil doit être brutal, ou le dernier souffle de paix, comme de l’humanité tout entière, sera emporté par les vents de la destruction initiée par ces colons hallucinés, fous de sang et de mort…

source : Blog de l’éveillé

vendredi 20 juin 2025

Sur le pouvoir occulte juif et les Loubavitch






Nous savons que certains de nos lecteurs se demandent ce qu’est le « pouvoir occulte ». René Guénon avait écrit un article là-dessus. En plus de citer l’article, nous en profiterons pour aborder le sujet des Loubavitch, qui est étroitement lié à cette question du pouvoir occulte. Le problème avec ces thèmes est que les gens qui les traitent ont des lacunes en matière d’ésotérisme ; c’est pour cela, d’ailleurs, que leurs exposés (dont nous ne nions pas la valeur) se résument souvent en un « historique », plutôt que d’exposer les raisons profondes des choses. On ne peut aborder ces thèmes (comme celui des Loubavitch) sans admettre, au préalable, qu’il existe un ou, plutôt, des pouvoirs occultes.

"Tout d’abord, il est nécessaire de dire qu’il existe des « pouvoirs occultes » de différents ordres, exerçant leur action dans des domaines bien distincts, par des moyens appropriés à leurs buts respectifs, et dont chacun peut avoir ses Supérieurs Inconnus."

Par « supérieurs inconnus », il entend les personnes (détenteurs du pouvoir occulte) qui organisent et contrôlent certaines organisations (à caractère financier, politique ou autres), sans pour autant que ces personnes n’apparaissent à la lumière du jour. La famille Rothschild et George Soros sont des exemples dans le domaine financier. (Si la possession de grandes quantités d’argent confère au détenteur(s) un pouvoir occulte [d’ordre financier, ici], c’est parce que l’argent est fondamentalement une chose, disons, « spirituelle » – le fruit d’une activité ou d’un ministère qui, en tant normale, est un « ministère du Saint Esprit ».)

"Ainsi, un « pouvoir occulte » d’ordre politique ou financier ne saurait être confondu avec un « pouvoir occulte » d’ordre purement initiatique, et il est facile de comprendre que les chefs de ce dernier ne s’intéresseront point aux questions politiques et sociales en tant que telles ; ils pourront même n’avoir qu’une fort médiocre considération pour ceux qui se consacrent à ce genre de travaux."

Ce qu’il dit ici, lorsqu’il dit que « il est facile de comprendre que les chefs de ce dernier [le pouvoir initiatique] ne s’intéresseront point aux questions politiques et sociales en tant que telles », n’empêche pas une certaine interpénétration des différents types de pouvoirs occultes, comme on le voit nettement avec les Rothschild. Il est évident qu’il existe, chez ces derniers, un « pont » entre le monde orthodoxe juif (c’est-à-dire le pouvoir occulte des rabbins) et le monde politico-financier, ne serait-ce que dans le maintient de leur fortune et les possibles influences spirituelles qui le permettent – nous pensons, plus particulièrement, à tout ce qui concerne la tzedakah ou « charité » (v. Rabbi Daniel Lipin, Thou Shall Prosper). Ce pont, entre le domaine financier et religieux, est moins évident chez Soros, qui semble s’être spécialisé dans les deux domaines que sont la finance et de la politique.

Maintenant lisez bien ce qui va suivre, car Guénon donne certaines « clés » permettant de comprendre la situation actuelle.

"[Pour ce qui est de la] ...distinction entre différents ordres de « pouvoirs occultes », nous devons ajouter qu’elle ne supprime pas la possibilité d’une certaine interpénétration de ces différents ordres, car il ne faut jamais établir de catégories trop absolues ; nous disons interpénétration, parce que ce terme nous semble plus précis que celui d’enchevêtrement, et qu’il laisse mieux entrevoir la hiérarchisation nécessaire des organismes multiples. Pour savoir jusqu’où s’étend cette hiérarchisation, il faut se demander s’il existe encore, dans l’Occident contemporain, une puissance vraiment initiatique qui ait laissé autre chose que des vestiges à peu près incompris ; et, sans rien vouloir exagérer, on est bien obligé de convenir qu’il n’y a guère, apparemment, que le Kabbalisme qui puisse compter dans ce domaine, et aussi que les Juifs le réservent jalousement pour eux seuls, car le « néo-kabbalisme » occultisant n’est qu’une fantaisie sans grande importance. Tous les autres courants, car il y en a, semblent s’être perdus vers la fin du moyen âge, si l’on excepte quelques cas isolés ; par suite, si leur influence a pu, jusqu’à un certain point, se transmettre en-deçà de cette époque, ce n’est que d’une façon indirecte et qui, dans une large mesure, échappe forcément à notre investigation. D’autre part, si on envisage les tentatives qui ont été faites récemment dans le sens d’une « contre-kabbale » (et qui se basaient principalement sur le Druidisme), on ne peut pas dire qu’elles aient abouti à une réalisation quelconque, et leur échec est encore une preuve de la force incontestable que possède l’élément judaïque au sein du « pouvoir occulte » occidental."

Quoique le pouvoir occulte des rabbins (ou de la Kabbale) nous a toujours été évident, malheureusement, ce pouvoir n’a jamais été décrit avec la précision requise. Sinon comment expliquer la légèreté avec laquelle on parle du Talmud ou de la religion juive ici-même sur E&R ou dans la « dissidence » de manière générale ? Et comment expliquer ce « gnosticisme » si peu gnostique qui semble n’être qu’un déguisement à une attitude anti-hébraïque ?

(Pour ceux qui souhaiteraient un « aperçu » de ce à quoi peut ressembler un article véritablement gnostique, qu’ils lisent notre article « Qu’est-ce qu’un ange ? », ici-même sur E&R.) Que la rédaction nous excuse si notre attitude semble quelque peu antagoniste, mais nous sommes forcé de prendre position, car sans saisir l’essence-même du rabbinisme on ne pourra jamais comprendre ce qu’est véritablement un « Loubavitch », c’est-à-dire un homme dont le pouvoir occulte lui permet d’agir sur le « cours des choses », sans pour autant que ses actes n’apparaissent clairement aux aveugles qui n’en comprennent pas les principes. Quoique Pierre Hillard ait parlé (avec raison) de « L’empire Lobavitch », a-t-il réellement saisi la nature de leur empire ?

Ceci étant dit, continuons avec Guénon, qui donne encore des informations importantes que certains de nos lecteurs ignorent surement, comme ce qu’il dit sur les origines du socialisme :

Ceci posé, il est bien certain que le Kabbalisme, comme tout ce qui est d’ordre proprement initiatique et doctrinal, est, en lui-même, parfaitement indifférent à toute action politique ; sur le terrain social, ses principes ne peuvent exercer qu’une influence purement réflexe. Le socialisme, qui, certes, n’a rien d’initiatique, ne peut procéder que d’un « pouvoir occulte » simplement politique, ou politico-financier ; il est vraisemblable que ce pouvoir est juif, au moins partiellement, mais il serait abusif de le qualifier de « kabbaliste ». Il en est qui ne savent pas suffisamment se garder de toute exagération à cet égard, et c’est pourquoi nous avons cru bon de préciser dans quelles conditions il est possible de considérer Jaurès, par exemple, comme « le serviteur des Supérieurs Inconnus », ou plutôt de certains Supérieurs Inconnus.

Le cas de Jaurès est particulièrement intéressant. À son propos, Guénon nous dit :

"Nous ignorons même, nous devons l’avouer, si Jaurès a jamais reçu l’initiation maçonnique ; en tout cas, il n’est certainement pas un Maçon actif, mais cela ne fait rien à la chose, et il peut même fort bien ne faire partie d’aucune « société secrète » au sens propre du mot ; il n’en est qu’un meilleur agent pour les Supérieurs Inconnus qui se servent de lui, parce que cette circonstance contribue à écarter les soupçons. Ce que nous disons de Jaurès, parce que notre confrère l’a pris pour exemple, nous pourrions tout aussi bien le dire d’autres hommes politiques, qui sont à peu près dans le même cas ; mais l’exemple est assez typique pour que nous nous en contentions."

La cas de Jaurès illustre une vérité évidente, qui concerne le mode opératoire de ceux qui dirigent le monde moderne (les supérieurs inconnus) : ce mode opératoire consiste à agir sur la mentalité des peuples, ou à créer des « états d’esprits ». Comme le dit Guénon, « au fond, l’éducation elle-même n’est guère autre chose que cela » :

"Un autre point qui est à retenir, c’est que les Supérieurs Inconnus, de quelque ordre qu’il soient, et quel que soit le domaine dans lequel ils veulent agir, ne cherchent jamais à créer des « mouvements », suivant une expression qui est fort à la mode aujourd’hui ; ils créent seulement des « états d’esprit », ce qui est beaucoup plus efficace, mais peut-être un peu moins à la portée de tout le monde. Il est incontestable, encore que certains se déclarent incapables de le comprendre, que la mentalité des individus et des collectivités peut être modifiée par un ensemble systématisé de suggestions appropriées ; au fond, l’éducation elle-même n’est guère autre chose que cela, et il n’y a là-dedans aucun « occultisme ». (René Guénon ["Sphinx"], Réflexions à propos du « pouvoir occulte »)"

Quoique Pierre Hillard ait abordé la question centrale des Loubavitch, comment s’explique-t-il que le rebbe de Loubavtich ait pu prédire – avec justesse – l’élection de Benjamin Netanyahu ? Et comment s’explique-t-il que ce même Netanyahu ait pu aller chercher une bénédiction chez ce rabbin (ou même chez d’autres, comme le rabbin Ovadia) ? Hillard ne devait-il pas déduire que ce rabbin était détenteur d’un puissance occulte d’ordre spirituel (ou, si on veut, « kabbalistique ») qui lui permettait une action redoutablement efficace, d’autant plus que son mode opératoire échapperait forcément à ceux qui n’en connaissent pas les principes... ?

Les nationalistes ont fait beaucoup de bruit lorsqu’un certain rabbin a parlé des « trois petits coques » pour raconter comment, à la fin des temps, Israël triompherait sur le monde malgré sa petite taille. Or la question qu’ils auraient du se poser est la suivante : pourquoi retrouve-t-on, partout en Occident, des personnes qui n’ont parfois rien de religieux mais qui, néanmoins, opèrent selon un plan eschatologique qui, étrangement, est similaire à ce qu’on retrouve chez les rabbins ?

Ce qui explique ceci, c’est l’interpénétration des divers types de pouvoirs occultes. Même si un individu qui travaille, admettons, au Pentagone n’est pas forcément religieux, il pourra néanmoins comprendre l’intérêt qu’il y a pour lui de soutenir un certain ordre – biblique – dans le déroulé des événements, car en agissant selon cet ordre (qui est celui qu’on retrouve dans la Genèse 15:18), il pourra s’attirer l’influence spirituelle des rabbins ; et alors, en conjuguant ses objectifs à ceux des rabbins, ou en donnant l’impression qu’il y aurait quelque chose de biblique dans le déroulé des événements, il pourra solliciter une aide spirituelle – sans laquelle rien ne serait possible en réalité.

Mais il convient de ne rien simplifier, car si le rebbe de Loubavitch a pu prédire l’élection de Netanyahu, c’est qu’il y a nécessairement des portions de l’eschatologie juive qui ne sont pas inexactes. L’erreur de beaucoup de personnes qui parlent des juifs est d’avoir un avis toujours trop exclusif : ils pensent que les juifs disent vrai ou faux et s’envisagent pas qu’il puisse exister un mélange de vrai et de faux. Si on comprend que le messie des juifs ne peut être qu’un Faux-messie (car ils en attendent un qui n’est pas le vrai, qu’ils ont refusé), alors la prédiction du rebbe de Loubavitch (selon laquelle Netanyahu accueillerait le "messie") se trouve exacte, car, d’un point-de-vue géopolitique, Israël – avec Netanyahu à sa tête – est bel et bien le réceptacle (ou la demeure) d’un certain type de messie, de ce même messie que la tradition chrétienne appelle l’Antéchrist et que les musulmans appellent le Dajjal.

Aaron



jeudi 19 juin 2025

La planète entière est prise en otage par un culte de la mort


par Pepe Escobar

 
Nul doute que Washington soit impliqué à fond. C’est désormais la Guerre du Maître de Cirque.

Allons droit au but. L’attaque dévastatrice contre l’Iran par le groupe psychopathologique génocidaire et ethno-supremaciste «élu» installé à Tel Aviv – une déclaration de guerre de facto – a été coordonnée dans les moindres détails avec le président des États-Unis, le maître de cirque Donald Trump.

Ce narcissique infantile, noyé dans le miroir de son image, a lui-même vendu la mèche dans un message décousu. Voici quelques extraits :

«J’ai donné à l’Iran toutes les chances de conclure un accord». Il n’y a pas eu d’«accord» ; il s’agissait en réalité de ses exigences unilatérales. Après tout, il a torpillé l’accord initial, le JCPOA, parce que ce n’était pas son «accord».

«Je leur ai dit que ce serait bien pire que tout ce qu’ils connaissent, ont anticipé ou ont entendu dire». La décision de frapper avait déjà été prise.

«Certains extrémistes iraniens ont parlé avec courage, mais (…) ils sont tous MORTS maintenant, et cela ne fera qu’empirer !» La jubilation va de pair avec le territoire.

«Les prochaines attaques déjà prévues seront encore plus brutales». Alignement total sur la stratégie israélienne caractéristique de «décapitation».

«L’Iran doit conclure un accord avant qu’il ne reste plus rien et sauver ce qui était autrefois connu sous le nom d’Empire iranien». Il s’agissait de l’Empire persan (mes italiques), mais après tout, cet homme ne lit pas et n’étudie pas. Remarquez l’art de la diplomatie : acceptez mon accord ou mourez.

Cette décennie incandescente a été lancée par l’assassinat du général Soleimani à Bagdad, comme je l’ai souligné dans mon livre «Raging Twenties» publié en 2021. Il était en mission diplomatique. Le feu vert a été donné personnellement par le président américain de l’époque, Donald Trump.

Le milieu des années 2020 est désormais précipité au bord d’une guerre dévastatrice au Moyen-Orient, avec des répercussions mondiales, par l’assassinat en série des dirigeants du CGRI à Téhéran par l’entité sioniste psychopathe et génocidaire. Après une mise en scène élaborée de tromperie, le feu vert à Tel-Aviv – allez-y, faites-le – est également venu du président des États-Unis, Trump 2.0 (qui a prétendu être «au courant» des attaques).

Une guerre préventive contre les BRICS


Le plan génocidaire psychopathologique consiste à forcer Téhéran à capituler sans même livrer bataille. Le kabuki préliminaire a été magistralement exécuté. Les négociations nucléaires indirectes à Oman ont été prises au sérieux à Téhéran, endormant les dirigeants iraniens, civils et militaires. Ils sont tombés dans le piège et ont été pris, littéralement, dans leur sommeil.

L’ayatollah Khamenei – qui est lui-même en danger physique, Israël appliquant le même modèle de décapitation qu’il a utilisé contre le Hezbollah – a une décision très difficile à prendre : capitulation ou guerre totale. Ce sera la guerre totale – avec les États-Unis comme participant direct.

Les dirigeants iraniens – en réalité plutôt la présidence Pezeshkian, truffée de partisans d’un «accommodement» avec l’Occident – ont été induits en erreur par un faux sentiment de sécurité, oubliant que les tueurs en série ne font pas de diplomatie.

Le prix à payer aujourd’hui pour l’Iran sera donc encore plus insupportable. Téhéran ripostera, à condition que ses capacités soient toujours intactes. Dans ce cas, son industrie pétrolière risque d’être détruite. La question reste ouverte de savoir si les deux autres membres importants des BRICS aux côtés de l’Iran, la Russie et la Chine, permettront que cela se produise, pour des raisons différentes.

Et si nous étions sur le point d’entrer dans cette zone particulièrement dangereuse, l’Iran pourrait jouer sa carte ultime : fermer le détroit d’Ormuz et faire s’effondrer l’économie mondiale.

L’attaque contre l’Iran, pleinement soutenue par l’Empire du Chaos, est avant tout une attaque préventive contre le cœur énergétique des BRICS. Elle fait partie intégrante de la guerre impériale contre les BRICS, en particulier contre la Russie et la Chine. Moscou et Pékin doivent tirer les conclusions qui s’imposent en temps réel.

L’Iran, la Chine et la Russie sont liés par des partenariats stratégiques étroitement imbriqués. Le mois dernier, je me trouvais en Iran pour suivre l’avancement du Corridor international de transport Nord-Sud (INSTC), qui relie la Russie, l’Iran et l’Inde. Ce n’est qu’un exemple parmi toute une série de projets d’infrastructure stratégiques clés qui renforceront encore davantage la connectivité économique eurasiatique. Une guerre dévastatrice au Moyen-Orient et l’effondrement de l’Iran porteraient un coup fatal à l’intégration eurasiatique.

C’est exactement ce qui convient aux plans de l’Empire.

Nul doute que Washington soit impliqué à fond. C’est désormais la Guerre du Maître de Cirque.

Une réponse dévastatrice, une arme nucléaire ou la capitulation

Le message de Téhéran est le suivant : «Nous n’avons pas commencé la guerre, mais l’Iran déterminera comment elle se terminera».

La question brûlante est de savoir s’ils disposent encore d’une capacité de dissuasion – et d’attaque – significative.

Les génocidaires frappent à volonté les systèmes de stockage de missiles balistiques dans le nord-ouest de l’Iran et même l’aéroport civil de Mehrabad à Téhéran. Les défenses aériennes sont introuvables. C’est extrêmement douloureux à voir.

Les forces de défense israéliennes affirment, sans aucune preuve à ce jour, que certains silos de missiles et complexes mobiles ont été détruits avant même d’avoir été mis en état d’alerte. Or, le fait est que la grande majorité du vaste arsenal de missiles balistiques de l’Iran est stockée dans des silos et des tunnels souterrains très profonds, capables de résister à des frappes aériennes massives et à des défenses aériennes surchargées.

Pour l’instant, Téhéran reste étrangement silencieux. C’est logique, car il lui faut, en un temps record, rétablir une chaîne de commandement unifiée qui a été brisée par les attaques ; s’assurer que les lanceurs de missiles peuvent être déployés et ne pas être neutralisés par la suprématie aérienne israélienne ; réorganiser l’opération Vraie Promesse 3, qui était prête à être lancée, comme certains d’entre nous l’ont appris à Téhéran le mois dernier, mais qui doit maintenant être adaptée à la nouvelle situation (pertes notamment) ; et planifier comment porter des coups douloureux à l’infrastructure économique d’Israël.

Rien ne prouve que les attaques aient détruit les infrastructures nucléaires iraniennes, qui sont enfouies profondément sous terre. À l’heure actuelle, les dirigeants de Téhéran apprennent à leurs dépens que la diplomatie – comités, lettres à l’ONU, déclarations à l’AIEA, réunions ministérielles – n’a aucune valeur face à la loi de la jungle.

Les Iraniens ont été assez naïfs pour laisser l’AIEA visiter leurs sites stratégiques, alors que des espions proverbiaux recueillaient toutes les informations dont ils avaient besoin pour faciliter les frappes israéliennes. La RPDC ne serait jamais tombée dans un tel piège.

L’élimination d’une personnalité de premier plan telle qu’Ali Shamkhani, conseiller clé de Khamenei, négociateur en chef de l’Iran sur le nucléaire, qui exerçait depuis des décennies une influence sur le CGRI et les services de renseignement, est un coup dur.

L’élimination systématique des dirigeants militaires et diplomatiques iraniens en quelques heures s’inscrit dans la logique de démantèlement du cercle restreint de Khamenei. Cela a commencé il y a longtemps avec l’assassinat de Soleimani ordonné par Trump et comprend certainement la mort mystérieuse de l’ancien président Raïssi et du ministre des Affaires étrangères Abdollahian dans cet «accident» d’hélicoptère douteux. Il s’agit de créer les conditions d’un changement de régime.

Sur une note rare et encourageante, le CGRI a fait savoir, avant les attaques, qu’il développait une technologie secrète pour intensifier l’impact de ses missiles sur Israël.

Nous sommes tous pris dans la tempête. Une fois de plus, il n’y a pas d’issue : soit un coup dévastateur porté aux psychopathes génocidaires, soit l’Iran assemble une arme nucléaire en un rien de temps. La troisième option est la capitulation, la castration et le changement de régime.

Pendant ce temps, la planète entière est otage d’une menace mortelle. Andrea Zhok est professeur de philosophie morale à l’université de Milan. Outre ses brillantes analyses, il a rédigé la préface de l’édition italienne de mon livre «Raging Twenties», publié l’année dernière.

Le professeur Zhok a succinctement souligné qu’aucune construction politique dans l’histoire moderne n’a jamais accumulé une combinaison aussi toxique de suprémacisme ethnique messianique, de mépris suprême pour la vie humaine (tous ceux qui ne sont pas «élus» sont de toute façon des «Amalek»), de mépris suprême pour le droit international et d’accès illimité à une puissance de feu meurtrière.

Que faire face à un culte de la mort aussi vorace et incontrôlable ?

Pepe Escobar

source : Strategic Culture Foundation


*******

BONUS 



Le journaliste américain, Tucker Carlson, soutien historique de Trump, dénonce la collaboration des USA avec Israël et traite Trump de « complice » de la récente attaque contre l’Iran. Il dit que la participation des USA dans des guerres étrangères est une trahison des millions d’électeurs qui ont voté pour une politique qui serve d’abord les intérêts des Américains. Il demande au gouvernement US de cesser toute aide militaire à Israël et dit ne pas vouloir de guerre contre l’Iran dont les conséquences seront un embrasement de la région, la mort de milliers d’Américains et la radicalisation de l’islam.



mercredi 18 juin 2025

"HollyWEIRD Wheel of the Year"




Maintenant que vous avez signé le « Serment du Silence », l'initiation commence.

Pour accéder à cette scène, il faut d'abord renoncer à son nom. L'entrée dans le véritable système exige une mort symbolique : la perte de sa véritable identité, de son éthique, de sa volonté. C'est la Première Mort.

Beaucoup subissent un endoctrinement basé sur des traumatismes : abus, humiliation, isolement — la rupture de l’ego.

Hollywood fonctionne sur l'inversion symbolique, un principe luciférien où le bien est le mal et le mal est glorifié. Films, clips musicaux et cérémonies de remise de prix sont des rituels visibles, souvent imprégnés d'images saturniennes, kabbalistiques et maçonniques (cubes noirs, sols en damier, yeux cachés).

La religion cachée d'Hollywood possède ses propres textes sacrés. Ce ne sont pas des livres, mais des scénarios, des contrats et des rituels.

Ces « écritures » enseignent et prêchent : la transgression plutôt que la transcendance, l’inversion comme libération et la gloire comme divinité. C’est celui qui contrôle l’écriture qui contrôle le sort.

Le tapis rouge symbolise le chemin de sang que la star (célébrité) doit emprunter pour atteindre le sommet de la pyramide. Les Oscars sont des idoles d'or. Les stars sont vénérées comme de faux dieux, faisant écho au veau d'or biblique. Le rituel est toujours présent dans l'art.

Comme toute religion, le culte hollywoodien a ses sacrements. Le tapis rouge est une procession sanglante. Les cérémonies de remise de prix sont des cérémonies d'adoration d'idoles. Les talk-shows sont des confessionnaux déguisés en plaisanteries. Les clips et les films ont servi de mythe initiatique et d'instruction codée.

Ces rituels servent à enchanter les masses, à lier les initiés et, bien sûr, à glorifier les dieux du système : Saturne, Vénus, Lucifer, Mammon, Moloch.

Saturne, dieu du temps, du contrôle et de la limitation, symbolisé par le Cube Noir, est le Dieu suprême. Lucifer, porteur de lumière et rebelle, est l'archétype de l'antihéros hollywoodien. Bien sûr, Mammon, dieu de la richesse et du matérialisme. Et surtout, Baal/Moloch, dieu des sacrifices d'enfants, la bête derrière la célébrité.

Ces forces sont des égrégores archétypaux : des entités psychiques renforcées par l’attention, le sacrifice et la répétition.

La religion cachée est transactionnelle. Le sacrifice est requis : non pas métaphorique, mais littéral, symbolique et spirituel.

Les célébrités sont des saints et des martyrs. Leurs dépressions, leurs overdoses ou leurs décès servent de sacrifices publics pour rappeler aux autres le prix de la trahison ou d'une ascension ratée. Les dépressions des célébrités sont souvent des morts rituelles : humiliation publique, rasage de la tête (reddition) ou overdoses « accidentelles ».

Les enfants stars sont préparés au sacrifice ou à la sexualisation. Tandis que les étoiles montantes arrivent souvent après la « chute » de leurs prédécesseurs.

Ces décès, effondrements ou scandales servent d’offrandes énergétiques à l’esprit de l’Industrie, d’avertissements aux autres Initiés ET de rituels de réinitialisation pour rafraîchir le courant du pouvoir.

La scène doit être baignée de sang avant de pouvoir accueillir un dieu.

Hollywood suit chaque année une progression rituelle spécifique qui définit les étapes de création, de contrôle et d'effondrement des célébrités :

• Initiation (janvier-mars) : endoctrinement, construction de masques, mort de l'ego

• Inversion (avr.–juin) : rites sanglants, inversion des genres, spectacle sacramentel

• Illumination (juillet-septembre) : sacrifice d'enfants, renaissance du phénix, lancement de personnages

• Incarcération (octobre-décembre) : ligature, rites funéraires, recouvrement de dettes, jugement saturnien

Voici le cycle rituel annuel. Tous les événements, initiations, ruptures et spectacles publics peuvent être analysés à l'aide de cette structure temporelle ésotérique. Le calendrier est le moteur rituel d'Hollywood.

"TOUT CE QUE VOUS AVEZ, C'EST DU TEMPS."

• Initiation (janv.-févr.)

• Purification par décomposition (mars)

• Rite du sang (avr.)

• Inversion et transmutation (mai-juin)

• Moisson de jeunesse (juillet)

• Mort et renaissance (août)

• Reprogrammation publique (septembre)

• Ouverture du voile (octobre)

• Comptabilité du sang (novembre)

• Glorification de la Bête (déc.)

« Le monde entier est une scène ET nous en sommes tous les acteurs. Enfin… ceux qui le choisissent. »

N'oubliez pas : glorifiez l'ÉTOILE NOIRE. 

Plus d'informations sur Patreon. Deuxième édition de « Esoteric Hollyweird : Magie du cinéma, contrôle mental et cinéma » à venir.

Hidden Hamuraka.