Face
occulte des années 2020-2024
Des psychopathes au
pouvoir
Par Dharma
1 – Les corruptions
institutionnelles au sein des différents pouvoirs dominants,
qu'elles soient visibles ou camouflées, caractérisent le prédateur,
en particulier le pervers narcissique capable du pire. Prenons le cas
original de ce fou prédateur qui jouit en réitérant son slogan du
« en-même-temps ». Ces individus sadiques, vampiriques,
avides psychopathes réunis en un club du siècle maléfique,
porteurs d'obscurité et non pas de lumière, voilà de grands
promoteurs des fanatismes. Experts manipulateurs, prestidigitateurs
illusionnistes, ils usent constamment de l'inversion accusatoire, de
la sidération par la peur qu'ils injectent et entretiennent au
goutte à goutte, pour maltraiter, culpabiliser, infantiliser,
hypnotiser, rendre débiles, anesthésier les masses asservies si
crédules et irrationnelles. Leurs agendas planifiés sont habilement
déployés au mot à mot par leurs chiens de garde médiatiques très
bien payés pour violer consciemment les corps et les cœurs.
Quand le désir arrive à
un point extrême, le dominant peut aller jusqu'à la dictature,
dictature des guerriers, des politiques, des religieux, des
scientifiques ! Et toujours, guerres, massacres, tortures,
meurtres. Le désir sensuel lui aussi peut ne pas connaître de
limites : drogues, horreurs, viols, etc. Ne peuvent sortir de ce
bourbier que ceux qui ont le courage de réfléchir. Un mouton finit
toujours à l'abattoir de sa destinée.
2 – La notion
métaphysique de « Témoin » s'intègre à cet
humain dont la force de vigilance lui permet de séparer le
spectateur du spectacle. Dès lors, il ne sera plus possible de lui
raconter quelque sornette car depuis qu'il observe les phénomènes
par son regard sceptique et méthodique, qu'il les analyse
patiemment, qu'il en fait sa propre synthèse, il en vient
normalement à comprendre qui l'humain qui se dévoile à ses yeux
dessillés n'est pas du tout ce qu'il croyait ou qu'on voulait lui
faire croire. Les propagandes ne l'impactant plus, il ne plus être
hypnotisé.
3 – Les années
2020-2024 furent infernales et sordides. Des hypnotisés des
troupeaux y participèrent cependant, plus ou moins consciemment,
voire « à l'insu de leur plein grés ! ». Prédateurs et Prédatés
jouèrent leurs partitions et ils la jouent encore pour leur malheur
certain. Quand la musique sonne faux, c'est que le «LA» ne
fonctionne pas.
4 – L'Intuition
métaphysique, la Connaissance métaphysique, transcendante, est
au-delà de l'intellect, n'en déplaise aux intellectuels infantiles
soumis aux pouvoirs stupides.
5 – Les fantasmes de
suprémacistes dominants par l'arc en ciel de leurs instincts
primaires allaient bon train. Leurs espoirs intellectuels les
conduisaient directement et sûrement vers le ravin de leur échec du
sein de l'infinité des possibles, mais ils ne le savaient pas. Leurs
perspectives illusoires s'amusaient entre elles comme des enfants
dans leurs parcs à jouets. Leur analyse des choses dans les choses
demeurait tronquée, incohérente, confuse, et révélait leur
incapacité de synthèse. Leur insuffisance bredouillait
lamentablement.
6 – L'homme a cette
manie addictive de mentir, de se laisser corrompre, de corrompre, de
nuire, de vampiriser, de tuer, de torturer, de se vautrer dans le
masochisme ou le sadisme, de se montrer un prédateur expert, et ceci
depuis la nuit des temps. Le pathos le caractérise.
7 – Souffrant de
plusieurs handicaps mentaux, la plupart des pouvoirs dominants
gouvernent leur asile de fous nommé institutions et leurs dominés
esclaves assez souvent aussi fous. Un chercheur français,
journaliste d'investigation, se rendit en octobre 2024 à Kazan en
Russie. Il y trouva et considéra avec vigilance quelques infos
révélatrices. A son retour en France, il lamina en partie le puzzle
mensonger du « jeu de l'ego » insalubre d'un Occident en
putréfaction.
8 – Le mot sanskrit
Smrti, signifie «Vigilance maintenue, mémoire constante, rappel de
soi, présence attentive et nécessaire à une démarche de
compréhension pour le sans-attachement ». Smrti conduit ainsi ce «
Témoin Vigilant » à y voir clair pour solder l'équation du
temporel insatisfaisant.
9 – Les
conditionnements psychologiques liés en partie au déterminisme
biologique sont tels que la souffrance psychologique qui en résulte,
affirme ainsi l'ego dont le mécanisme de défense consiste en son
déni des causes profondes de cette même souffrance. L'intellect
demeure impuissant à découvrir la vue profonde des faits tels
qu'ils sont. L'absence de souffrance n'est vraiment reconnue et
soldée qu'au moment du coup de sifflet final qui annonce la fin de
la partie du jeu enfantin des propagandistes aveuglés et
contaminés, sans vues justes, qui aveuglent autrui. Suivent, à la
sortie du tunnel, les applaudissements silencieux des Sages qui
rendent hommage à la Connaissance métaphysique éveillante. Cet
éveil dont il est ici question est à fois progressif et abrupt.
Prenons une image de cet éveil. Progressif, car les barreaux de la
prison sont en cours d'être sciés. Abrupt et vertical, car lorsque
tous les barreaux sont sciés, ils tombent d'un seul brusquement,
condition de cette ouverture vers la sortie de l'errance. Ce qui est
dénommé « moi » est alors libéré de l'ego intoxiqué
! L'arbitre éveillé qui œuvre sur le terrain de ce jeu existentiel
est l'Intuition métaphysique, la Connaissance transcendante,
Pra-jñâ. Toute accumulation des choses (liens) terrestres ligote
aux purulences des opinions (!) et autres liens quels qu'ils soient.
Cette accumulation encombrante construit le karma défavorable,
inéluctable, qui mène à la ruine individuelle et des empires.
L'entropie est toujours supérieure à la néguentropie des mondes
des phénomènes. En physiologie, l'entropie-néguentropie est le
catabolisme-anabolisme qui correspondent à la mythologie hindou de
Shiva-Vishnu, « destruction-construction », le boulot de
Brâhma, dit le principe conciliateur, étant d'orienter et de
maintenir autant que possible l'équilibre instable, avant la
possible sortie de la prison ! La sortie de cette prison est la
voie sans issue qui s'opère par la catharsis, la purification de
l'affectivité, clé de voute de la maïeutique, accouchement du cœur
obnubilé pour la connaissance de soi vers Rien du tout, fin de
l'errance, nirvâna. Y = 0.
10 – Selon la
métaphysique orientale méconnue en Occident, voire quasi inconnue,
« Rien n'est égal à la Compréhension par la Connaissance
métaphysique » que tous les phénomènes, même les plus
subtils, (grec. Phainomenon ; latin. Phaenomenon =
« apparences ») sont vides mais tels qu'ils sont.
L'attachement aux phénomènes est la plus grande erreur
épistémologique qui soit, et la souffrance psychologique en est la
rétribution. Le détachement n'est pas à craindre car il est sans
peur.
11 – Le bonheur mondain
est fugace, impermanent. Il ne repose que sur les phénomènes. Le
Bonheur supra-mondain qui culmine en Béatitude sereine, résultat de
l'intuition métaphysique développée, impersonnelle, ne repose sur
rien ni personne. « Le Sage qui n'a pas d'humour est un
scélérat », dira un Moine Hindou Bodhisattva éveillé qui
vécut en France entre 1937 et 1957 !
… « Ne cherchez
pas à obtenir la libération puisque vous l'avez déjà, mais vous
ne le savez pas », ajoutera-t-il !
12
– Selon Jean Paul Sartre, « l'enfer c'est les
autres ». Ne savait-il donc pas que : « l'enfer c'est
surtout le moi qui fait les autres ?! » Cependant, parmi les
« autres infernaux », on retrouve toujours ces mêmes
fomenteurs faux prophètes charlatans et leur « Ordo Ab Chao »,
gouverner par le chaos, imposteurs sans aucun honneur, en collusion
avec Lucifer, conseiller privé nommé « Mac-qui-sait »,
au service de monarques déglingués et de leurs porteurs de
portefeuilles.
13 – Se servir des mots
sans être pris au piège des mots.
14 – Le fameux adage
des Romains : « Donnez-leur du pain et des jeux »
fait que cette humanité reste nourrie de ce « pain »
(tout comme julien…) qu'accompagnent les « distractions »
habilement épandues à grand renfort publicitaires et de propagandes
dans les cerveaux piratés par les fous enragés.
15 – « Réfléchir »
est ce jour un délit : 1984 = 2024… Jusqu'à quand ?
16 – Les jeux du
cirque repassés et caressés dans le sens des poils, promus par les
journaux du 20h00, tournent en boucle. Ils font la belle affaire des
«-ismes » crapuleux qui préparent ainsi leurs cercueils en or
massif mais persistent curieusement à vampiriser les peuples, juste
avant de les «liquider», les rendre liquides, les liquéfier, comme
le font les maffieux. Les histoires d'amour finissent mal, en
général…
17 – Tandis que la
folie du samedi soir préparait ses prochaines vacances au terrain de
camping de Trifouilly–les–oies, la compétition si attendue dans
les arènes entre gladiateurs était précédée d'une surexcitation
qui montait d'un cran par sa puissance aliénée.
18 – Les foules
amassées au sein de ces arènes, comparables à des barbares non
civilisés, hurlaient à l'unisson leurs hystériques glapissements,
lorsqu'elles ne se battaient pas entre elles, avant, pendant ou
après, dans et hors les tribunes, foules parfois déguisées en
démons allumés et affamés avant halloween et thanksgiving, fêtes
imposées et aussi programmées par Dr Big Brother.
Faute de pouvoir s'y
rendre, certains restaient chez eux face à leur poste de TV.
D'autres rejoignaient celui en grand écran du terrain de camping de
Trifouilly. Tous observaient tendus, anxieux, le spectacle d'un
massacre en direct, le portable à la main, tout en buvant du
coculala abondamment distribué tout en mangeant des cacahuètes
tombées d'un arbre à arachides du zoo ladatie de Trifouilly et ses
singeries. Des drapeaux nationaux rivaux flottaient à l'entrée des
lieux. Le peuple entier tout excité attendait le dénouement de
l'événement. Des cris de joie puériles se faisaient enfin entendre
pendant que des pleurs retentissaient des déceptions vécues ; d'un
côté des cœurs rassasiés pour un temps éphémère, de l'autre
des affamés insatiables autant débiles que les premiers mais
frustrés, à présent.
19 – Le lendemain, dès
le réveil, au son du clairon, la musique changea de ton. Des
réquisitionnés reçurent l'ordre de se présenter devant la mairie
du village pour être embarqués dans des camions militaires afin
d'être conduits à la guerre, à l'est ou au sud, pour remplacer
ceux qui étaient déjà tous morts ; les autres, non
réquisitionnés, durent retourner au boulot pour rembourser la
fausse dette de la frauduleuse planche à billets, en prenant, en
rang par deux, le bras droit levé, le périphérique à 50 km/heure
tout en écoutant cette chanson à la date périmée : « Douce
France, cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance … ».
20 – Au même moment,
au Moyen-Orient, des snipers, tireurs isolés, préparaient leurs
sélections pour les futurs jeux 2028, en s'entrainant au ball-trap
sur des civils qui fuyaient les bombes en courant sur des champs de
ruines. Sous la chape de plomb nationale de la lâcheté
internationale régnait partout un silence complice.
21 – Pendant que des
politiques dévoyés et des religieux hypocrites œuvraient de leurs
paluches souillées, les masses hypnotisées devenaient psychotiques.
Les dominants se cachant des regards du « vulgum pecus »,
ne savaient pas que la mort est très partageuse et qu'elle les
attendait aussi avec beaucoup d'amour bienveillant, bien sûr, à
l'entrée de la voie mystérieuse sans issue.
22 – Depuis 4000 ans de
mythologies douteuses, souvent farfelues, et d'écritures falsifiées,
des barbouzes en rouflaquettes, portant chapeau, dansent en
tournicotant, leur intelligence coincée et tourmentée sous les
ornières de leur manteau noir.
23 – Le spectacle qui
se déroule devant les yeux écarquillés de certains spectateurs
lucides leur offre l'économie d'un mauvais film payant et pas net du
tout, pendant que ceux qui ont reçu la sauce mayonnaise sous-cutanée
à 3 reprises et qui sont encore en vie « n'y voient que du
feu ».
24 – Des fanatiques
politiques, religieux, scientifiques-technocratiques et autres
tiques, réunis en colloque, ne savaient plus où se cacher et
cachaient leurs tunes engrangées qui débordaient ou s'écoulaient
de leurs poches et de leurs valises diplomatiques. Pour en posséder
encore plus, ils avaient décidé de s'allier à l'autre folie des
cultes religieux du rationalisme et du scientisme, pour développer,
mais aussi pour d'autres desseins, un homme neuronal augmenté,
artificiel, utopique, vain, n'ayant toujours pas intégré qu'ils ne
pourraient échapper à la loi de l'impermanence, ne sachant toujours
pas, comme disait le Sage Montaigne, que « vivre c'est
apprendre à mourir ».
25 – Notre journaliste
chercheur d'absolu, autrement plus instruit et éduqué que ces
asticots susnommés, tira sa révérence à « l'enfer c'est les
autres » de Jean Paul Sartre. Il rendit alors visite à son
guide Eveillé pour recevoir ses dernières recommandations, le sens
du sacré n'étant pas le sens du secret.
26 – Ainsi, après
avoir juré mais « pas trop tard » qu'on ne l'y prendrait
plus, il disparut.
27 – Ne pas fréquenter
les fous mais fréquenter les Sages, voilà l'excellent comportement
bénéfique.
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Lecture possible :
« Le CLAN DES
SEIGNEURS, immersion dans la caste d'état », livre de
Paul-Antoine Martin, aux éditions Max Milo. 2002.
Film possible :
KNOCK ou le triomphe de
la médecine, un film réalisé par Guy Lefranc en 1951 avec comme
principal acteur Louis Jouvet. Ce film est tiré du roman KNOCK de
Jules Romain (1885-1972), écrivain, poète, philosophe, dramaturge,
journaliste romancier, académicien en 1946. Son vrai nom était
Louis Henri Jean Farigoule.