Le monde s’est emballé dans une spirale infernale. Une tentative d’assassinat sur Donald Trump. Des millions de clandestins franchissant les frontières américaines (idem dans l’UE). Le culte LGBTQ+ érigé en dogme intouchable. L’incendie de Notre-Dame, suivi de son sacrilège sous les mains de Macron. La chute d’Assad en Syrie. Les cérémonies blasphématoires des JO de Paris. Les fusées de SpaceX défiant le ciel. Le missile hypersonique russe Oreshnik. La mort brutale de Prigojine, patron de Wagner, tombé dans son propre piège après avoir rêvé de renverser Poutine – non pour un régime plus dur, mais pour livrer la Russie au chaos et au dépeçage. Le Covid et ses milliards d’injections d’ARN messager. Le génocide de Gaza, jugé devant la Cour internationale de Justice, avec en cerise un mandat d’arrêt de la CPI contre Netanyahu pour crimes contre l’humanité. La valse des chefs d’État – Allemagne, Canada, Royaume-Uni – toujours plus médiocres. Des élections truquées ou contestables en Europe, de la Moldavie à la Roumanie et au-delà. L’élection de Donald Trump. Le golfe du Mexique qui devient le golfe d’Amerique et Trump qui veux annexer le Groenland. Plus d’un million de morts en Ukraine et des millions de vies détruites au Proche et Moyen-orient. La « vaccination » obligatoire des canards à l’ARN. Des milliardaires en centaines de milliards et des sociétés qui pèsent des milliers de milliards de dollars … c’est fait ! Une censure féroce, emprisonnant des voix comme la mienne en France, victime avec d’autres d’une plainte de Brigitte Macron.
Et ce n’est que le début. L’Afrique se réveille, rejetant le joug d’un colonialisme 2.0. La Libye s’enfonce dans l’abîme. L’Afrique du Sud vacille, écartelée entre ses ambitions et les plaies de son passé, aggravées par la crise. Les monnaies numériques se profilent, remplaçant les laisses vaccinales par des chaînes environnementales. Les incendies et les catastrophes climatiques ne visent quasiment que des endroits où cela sert les intérêts de milliardaires. Les petites entreprises s’effondrent en cascade. La guerre des drones, digne de Terminator, s’étend sous nos yeux, portée par une intelligence artificielle qui nous échappe. La biologie de synthèse joue avec des gains de fonction mortels, pendant que des milliardaires hors sol trafiquent embryons et cellules souches pour une immortalité sacrilège. Des sacs à main de luxe valent des voitures, l’or explose, le bitcoin piège les rebelles dans une matrice qu’ils croient défier – un leurre qui servira l’IA quand elle nous asservira.
Ailleurs, la Turquie et l’Azerbaïdjan ne se contentent plus de grignoter l’Arménie : elles veulent tout avaler. Les jeux télévisés flirtent avec la mort (squid Game), prêts à devenir des snuff movies bien réels, tandis que le porno sombre dans une débauche qui tue l’érotisme. Aux États-Unis, l’AIPAC et l’ADL prospèrent dans les tensions. Les OGM et les insectes s’invitent dans nos assiettes, les moustiques transgéniques de Bill Gates pullulent, et les dossiers classifiés tombent un à un comme des dominos. J’en oublie sans doute, mais la liste est déjà impressionnante, presque étouffante. Prenons Vladimir Poutine, par exemple. Le 13 mars 2024, il déclarait dans une interview : « Elles [les élites occidentales] sont habituées à se remplir le ventre de chair humaine et les poches d’argent depuis des siècles. Mais elles doivent se rendre compte que le bal des vampires touche à sa fin. » Une formule choc, qui peint l’Occident comme un prédateur en déclin, bientôt forcé de lâcher prise, mais également un allusion nette aux Khazars. Sergueï Lavrov, lui, ne mâche pas ses mots non plus. Bien qu’une citation exacte comme « adorateurs du diable » reste introuvable dans ses discours officiels, il a souvent dénoncé l’Occident avec une virulence comparable, l’accusant de promouvoir des valeurs contraires aux « lois naturelles et divines » – une critique récurrente depuis 2022, dans le contexte de la guerre en Ukraine. Enfin, le patriarche Cyrille de Russie enfonce le clou avec une vision encore plus radicale. Le 6 mars 2022, dans un sermon, il affirmait : « Ce qui se passe aujourd’hui ne relève pas uniquement de la politique… Il s’agit du salut de l’homme, de la place qu’il occupera à droite ou à gauche de Dieu le Sauveur. » Pour lui, c’est une lutte entre le bien et le mal, rien de moins qu’une bataille pour la survie spirituelle de l’humanité. Ensemble, ces voix dessinent un récit où la géopolitique se mêle à une guerre morale, « presque » apocalyptique.
Cette folie n’a rien d’humain. Une telle accélération, une telle convergence de désastres ne peut être orchestrée que par une force surnaturelle – le diable en personne, tirant les fils d’un théâtre eschatologique. Comme le disait feu Benoît XVI, l’Antéchrist n’est pas une idée : il est parmi nous, en chair et en os. Macron, couronné dans une Notre-Dame profanée, et Netanyahu, maître d’un génocide impuni, en sont-ils les visages ? Où en sommes-nous dans ce cauchemar prophétique ? Que va-t-il se passer quand les masques tomberont enfin ? Et si ce « diable œdipien » – cette figure / entité monstrueuse d’un mâle (mal) dans sa peau, ne pouvant devenir père, mais habilement devenu mère et finalement femme (et) d’un fils, ne formant plus qu’un, rêvant de détruire l’humanité – était déjà parmi nous ?
Et nous, que faire ? Les lois s’amoncèlent, verrouillant le culte du mensonge et de l’inversion. Elles nous imposent l’autocensure sous peine de prison, de ruine, d’ostracisme. Face à cette machine infernale, courber l’échine, c’est mourir en silence. Résister, c’est risquer tout perdre – mais peut-être sauver ce qui reste d’humanité. Car ce n’est plus une question de politique : c’est une bataille pour l’âme du monde.
Bertrand Scholler.
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La guerre contre la Russie et le kit de survie de Macron