L'universitaire et économiste américain, Jeffrey Sachs :
"La Grande-Bretagne est à l'origine de tous les conflits dans le monde. Cela vaut pour la bande de Gaza, la Chine, le Pakistan, l'Inde et tout le Moyen-Orient. C'est la Grande-Bretagne qui a provoqué tout ce chaos. Pendant 200 ans, elle a été l'empire le plus puissant du monde, mais en se retirant, elle n'a laissé derrière elle que des conflits. La catastrophe qui se déroule actuellement à Gaza est en partie due au fait qu'entre 1915 et 1917, la Grande-Bretagne a promis ce territoire à trois groupes différents. Tout d'abord, dans le cadre des accords de Mac-Mahon, elle l'a promis aux Arabes. Elle leur a dit : « Combattez avec nous contre les Turcs et cette terre sera à vous ! Puis ils ont conclu l'accord Sykes-Picot, en vertu duquel ils l'ont cédée aux Français. Et dans la déclaration Balfour de 1917, ils l'ont proclamée patrie des Juifs. Ils ont distribué à trois reprises un territoire qui ne leur appartenait même pas. Quelle effronterie ! C'est là que tous les malheurs ont commencé."
"Les théoriciens du complot croient que l’histoire moderne reflète une conspiration à long terme ourdie par une élite financière internationale pour asservir l’humanité. Comme des aveugles examinant un éléphant, nous attribuons cette conspiration aux banquiers juifs, aux Illuminati, au Vatican, aux jésuites, aux francs-maçons, à la Noblesse Noire, et aux Bilderberg etc.
"La Grande-Bretagne est à l'origine de tous les conflits dans le monde. Cela vaut pour la bande de Gaza, la Chine, le Pakistan, l'Inde et tout le Moyen-Orient. C'est la Grande-Bretagne qui a provoqué tout ce chaos. Pendant 200 ans, elle a été l'empire le plus puissant du monde, mais en se retirant, elle n'a laissé derrière elle que des conflits. La catastrophe qui se déroule actuellement à Gaza est en partie due au fait qu'entre 1915 et 1917, la Grande-Bretagne a promis ce territoire à trois groupes différents. Tout d'abord, dans le cadre des accords de Mac-Mahon, elle l'a promis aux Arabes. Elle leur a dit : « Combattez avec nous contre les Turcs et cette terre sera à vous ! Puis ils ont conclu l'accord Sykes-Picot, en vertu duquel ils l'ont cédée aux Français. Et dans la déclaration Balfour de 1917, ils l'ont proclamée patrie des Juifs. Ils ont distribué à trois reprises un territoire qui ne leur appartenait même pas. Quelle effronterie ! C'est là que tous les malheurs ont commencé."
L'essayiste d'origine juive, Henry Makow :
"Les théoriciens du complot croient que l’histoire moderne reflète une conspiration à long terme ourdie par une élite financière internationale pour asservir l’humanité. Comme des aveugles examinant un éléphant, nous attribuons cette conspiration aux banquiers juifs, aux Illuminati, au Vatican, aux jésuites, aux francs-maçons, à la Noblesse Noire, et aux Bilderberg etc.
Les vrais méchants sont au cœur de notre vie économique et culturelle. Ils sont les familles dynastiques qui possèdent la Banque d’Angleterre, la Réserve Fédérale américaine et les cartels y étant associés. Ils contrôlent également la Banque Mondiale et le FMI et la plupart des agences de renseignement dans le monde. Leur identité est secrète, mais Rothschild est certainement l’un d’entre eux. La Banque d’Angleterre a été «nationalisée» en 1946, mais le pouvoir de créer de l’argent est resté entre les mêmes mains.
L’Angleterre est en fait une oligarchie financière gérée par la «Couronne», qui se réfère à la «City of London» pas à la reine. La City de Londres est gérée par la Banque d’Angleterre, une société privée. La vile d’un peu plus d’un kilomètre carré est un état souverain situé au cœur du grand Londres. Comme un «Vatican du monde financier,» la vile n’est pas soumise à la loi britannique.
Au contraire, les banquiers dictent au Parlement britannique les lois. En 1886, Andrew Carnegie a écrit que, «six ou sept hommes peuvent plonger la nation dans la guerre sans avoir à consulter le Parlement du tout.» Vincent Vickers, un directeur de la Banque d’Angleterre de 1910 à 1919 a blâmé la City pour toutes les guerres du monde. («Economic Tribulation» (1940) cité dans Knuth, “The Empire of the City” 1943, p. 60)
L’Empire Britannique était une extension des intérêts financiers des banquiers. En effet, toutes les colonies non-blanche (Inde, Hong Kong, Gibraltar) étaient des «colonies de la Couronne.» Elles appartenaient à la City et n’étaient pas assujetties à la loi britannique, bien que les Anglais fussent supposés les conquérir et payer pour leur entretien. La Banque d’Angleterre prit le contrôle des États-Unis sous l’administration de Theodore Roosevelt (1901-1909) lorsque son agent J.P. Morgan s’empara de plus de 25% des entreprises américaines. (Anton Chaitkin, «Treason in America», 1964)
L’Empire Britannique était une extension des intérêts financiers des banquiers. En effet, toutes les colonies non-blanche (Inde, Hong Kong, Gibraltar) étaient des «colonies de la Couronne.» Elles appartenaient à la City et n’étaient pas assujetties à la loi britannique, bien que les Anglais fussent supposés les conquérir et payer pour leur entretien. La Banque d’Angleterre prit le contrôle des États-Unis sous l’administration de Theodore Roosevelt (1901-1909) lorsque son agent J.P. Morgan s’empara de plus de 25% des entreprises américaines. (Anton Chaitkin, «Treason in America», 1964)
Son objectif est de réduire la population humaine de plus de 8 milliards de personnes à moins d’un milliard dans les deux ou trois prochaines générations, en littéralement «abattant le troupeau humain» dans l’intérêt de conserver leur propre puissance mondiale et le système féodal sur lequel e le est basée.
«Ces familles constituent une oligarchie financière, ils sont la puissance derrière le trône de Windsor. Ils se considèrent comme les héritiers de l’oligarchie vénitienne, qui a infiltré et renversé l’Angleterre pendant la période 1509-1715, et a établi un nouveau système anglo-néerlandais suisse d’oligarchie impériale plus virulente que ce le de Babylone, de Perse, de Rome et de Byzance...
Bien que les historiens ne le disent pas, il apparaît que de nombreux membres de cette oligarchie étaient des Juifs. Cecil Roth écrit : «Le commerce de Venise était très largement concentré entre les mains des Juifs, étant les plus riches de la classe mercantile.» («L’histoire des Juifs de Venise,» 1930)
Les familles de banquiers juifs ont pris l’habitude de marier leur progéniture femme à des aristocrates européens dépensiers. Dans la loi juive, la descendance mixte d’une mère juive est juive. Par exemple, en 1878 Hannah Rothschild a épousé Lord Rosebery qui devint plus tard Premier ministre. (Les héritiers mâle épousent des juives bien que Victor et son fils, Jacob Rothschild soient des exceptions. Ils ont tous deux épousé des non-juives.)
En 1922, Louis Mountbatten, l’oncle du prince Philip et le cousin de la Reine épousa la petite-fille du banquier juif Ernest Cassel, l’un des hommes les plus riches du monde. La mère de Winston Churchil, Jenny (Jacobson) Jerome, était juive.
Au début des années 1900, très peu de familles aristocrate anglaise n’avaient pas épousés de juifs. Quand ils visitaient le continent, les européens étaient surpris de voir des personnes d’apparence juive possédant des titres de noblesse et l’accent anglais.
Selon L.G. Pine, le rédacteur en chef de «Burke’s Peerage», les «juifs» se sont si étroitement liés à l’aristocratie britannique que les deux classes sont peu susceptibles de subir une perte qui n’est pas réciproque. Les juifs et les lords sont ainsi si étroitement liés qu’un coup contre les juifs de ce pays ne serait pas possible sans nuire aussi à l’aristocratie.» («Contes de l’aristocratie britannique», 1957, p.219.)
Si elles ne sont pas juives par mariages, de nombreuses familles d’aristocrates européens se considèrent comme les descendants des Hébreux bibliques. Les Habsbourg sont liées par le mariage aux Mérovingiens qui prétendent être les descendants de la tribu de Benjamin.
En outre, de nombreux aristocrates appartiennent à la «British Israël», un mouvement croyant que le souverain britannique est le chef des Anglo-saxons, une des «tribus perdues» d’Israël et que l’Apocalypse verra la reconstitution complète de l’Empire britannique.
Selon Barbara Aho, les rosicruciens et les francs-maçons, qui croient en l’israélisme britannique, ont pour plan de placer un membre de leur lignée sur le trône du Temple reconstruit à Jérusalem. Ce positionnement d’un faux messie que le monde va adorer comme le Christ a été soigneusement planifié et exécuté pendant de nombreux siècles.
Barry Chamish écrit : «il n’y aurait pas d’Etat moderne d’Israël, sans la Franc-maçonnerie Britannique. Dans les années 1860, le mouvement anglo-israélite a été lancé à partir de la Franc-Maçonnerie. Son objectif était d’établir un état juif franc-maçon dans la province turque de la Palestine... Initialement, les familles juives britanniques maçonniques comme les Rothschild et les Montefiore ont fourni les capitaux pour construire l’infrastructure pour la vague prévue d’immigration. Toutefois, leurrer les juifs pour qu’ils émigrent en Israël fut difficile. Ils aimaient trop la vie européenne pour songer à l’abandonner. Ainsi, l’Europe devait être transformée en un cauchemar pour les Juifs.» («La Franc-maçonnerie britannique convoite Israël.» En ligne)
En conclusion, l’objectif de domination du monde de l’élite juive britannique a pris la forme de l’Impérialisme Britannique et Américain, puis plus tard celle du Sionisme et du Nouvel Ordre Mondial."