Dr Sucharit Bhakdi :
"Maintenant, je vais être très honnête avec vous. Je ne suis plus optimiste et la raison en est très simple.La raison est que j'ai peur que ces vaccins à ARN modifié, quel que ce soit le nom qu'on leur donne, ont déjà fait leur travail et ce qu'a été leur travail.
Et ça c'est incroyable.
Ce qui n'est même pas connu des planificateurs parce qu'ils ne se rendaient pas compte de ce qu'ils faisaient.
Mais c'est ce que j'ai dit, il y a des années, que les vaisseaux de tout le corps vont être attaqués de la tête aux pieds. C'est quelque chose qui n'arrive jamais dans aucune maladie.
Au sens systémique, le cerveau, le cœur, le foie, tous les vaisseaux peuvent être attaqués.
Et le problème c'est que cela s'est confirmé.
Donc, cette vascularite (inflammation des vaisseaux) systémique conduit à la destruction des cellules cérébrales, évidemment. Et c'est ce que nous vivons actuellement.
Nous avons vu et j'ai bien peur d'affirmer que des milliards de personnes ont un cerveau qui ne fonctionne plus, pas comme il devrait.
Elles (ces personnes) sont altérées.
Elles n'ont plus la volonté.
Elles n'ont plus l'intelligence nécessaire pour faire bouger les choses.
Et donc, notre seule chose est d'arrêter ce crime causé par l'ARN modifié.
Parce que ce crime va nous détruire.
Le problème, c'est qu'ils déploient ces vaccins à ARN partout et les gens ne se rendent pas compte de ce qui se passe."
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Le Dr. Sucharit Bhakdi, médecin spécialiste en infectiologie et microbiologiste, a acquis une expérience significative en tant qu'enseignant-chercheur, notamment au prestigieux Max Planck Institute, avant de prendre sa retraite.
Sa carrière a été marquée par un engagement constant pour l'éthique médicale, et il s'est fait connaître pour ses positions critiques sur la gestion de la crise sanitaire liée au Covid-19. Lors d'un discours au Parlement allemand le 12 novembre, le Dr. Bhakdi a remis en question le principe d’approbation des vaccins, soulignant que l'utilisation de chromosomes bactériens dans les injections n'a jamais été testée.
Selon lui, les autorités réglementaires telles que l'Agence européenne des médicaments et la FDA américaine ont approuvé ces vaccins sans avoir réalisé les tests adéquats. Il a évoqué le risque potentiel de "crime médical gigantesque" lié à la vaccination de masse.
Le microbiologiste explique que l'administration de vaccins à ARNm utilisant des chromosomes bactériens déclenche d'innombrables attaques immunitaires qui persistent jusqu'à la fin de la production de la protéine étrangère. Il a souligné une "découverte alarmante" montrant la présence persistante de protéines Spike dans les fluides biologiques six mois après la vaccination.
Dans le processus de fabrication des vaccins à partir de bactéries, il est impératif de retirer les chromosomes bactériens miniatures afin de prévenir toute contamination de l'ADN bactérien. En l'absence de cette mesure, il existe un risque que l'ADN étranger se retrouve à proximité des chromosomes humains, déclenchant ainsi une production ininterrompue de protéines étrangères susceptible de causer des infections prolongées et des dommages aux organes.
Le Dr Bhakdi a souligné les dommages potentiels aux organes, notamment le cœur, incapable de remplacer les cellules mortes, et le cerveau, exposé à divers troubles neurologiques. Des études ont signalé des complications neurologiques chez près d'un tiers des personnes vaccinées.
Il a mis en garde contre les risques sur l'ADN reproductif, soulignant que les séquences d'ADN fragmentées peuvent être incorporées dans l'ADN chromosomique, ce qui peut entraîner des cancers, des troubles du développement et des mutations héréditaires.
Selon lui, les autorités réglementaires telles que l'Agence européenne des médicaments et la FDA américaine ont approuvé ces vaccins sans avoir réalisé les tests adéquats. Il a évoqué le risque potentiel de "crime médical gigantesque" lié à la vaccination de masse.
Le microbiologiste explique que l'administration de vaccins à ARNm utilisant des chromosomes bactériens déclenche d'innombrables attaques immunitaires qui persistent jusqu'à la fin de la production de la protéine étrangère. Il a souligné une "découverte alarmante" montrant la présence persistante de protéines Spike dans les fluides biologiques six mois après la vaccination.
Dans le processus de fabrication des vaccins à partir de bactéries, il est impératif de retirer les chromosomes bactériens miniatures afin de prévenir toute contamination de l'ADN bactérien. En l'absence de cette mesure, il existe un risque que l'ADN étranger se retrouve à proximité des chromosomes humains, déclenchant ainsi une production ininterrompue de protéines étrangères susceptible de causer des infections prolongées et des dommages aux organes.
Le Dr Bhakdi a souligné les dommages potentiels aux organes, notamment le cœur, incapable de remplacer les cellules mortes, et le cerveau, exposé à divers troubles neurologiques. Des études ont signalé des complications neurologiques chez près d'un tiers des personnes vaccinées.
Il a mis en garde contre les risques sur l'ADN reproductif, soulignant que les séquences d'ADN fragmentées peuvent être incorporées dans l'ADN chromosomique, ce qui peut entraîner des cancers, des troubles du développement et des mutations héréditaires.