samedi 13 septembre 2025

Lucidité


 HUMAIN « AU-DELA » DU MONSTRE HUMAIN
 UNE FABLE

par Patrick

Humain "au-delà" du monstre humain

Il n’y a jamais eu de pandémie en 2020 mais une épidémie comme tous les ans à la même époque ; celle-ci fut fabriquée et particulière par ses effets … tous les chiffres donnés aux publics restent faux et ses conséquences demeurent encore cachées. Mis sous hypnose, les peuple apeurés, trompés, furent leurrés par tout un processus de communication manipulatrice, jusqu’à ce jour. Il n’y eut qu’une « plan-démie », savamment organisée, programmée, planifiée depuis des décennies par une haute finance idéologique et politique, ce qui est tout autre chose. Nous ne reviendrons pas sur les psychoses de masse par hypnose collective ni donc sur l’ingénierie sociale qui est un minimum à connaître et à comprendre.

Ne pas oublier que le mensonge est toujours la marque d’infamie du politique et du religieux dominants, le religieux étant souvent pire que le politique. 

Ceux qui connaissent et comprennent les points-clés rétroactifs de la physiologie humaine, surtout « endocrinienne-cérébrale-neuronale-synaptique », devraient pouvoir constater que le néocortex fonctionne de façon chaotique par l’impact en interdépendance sur le « cœur psychologique », anahâta en Yoga, (pas la pompe cardiaque !) des cerveaux reptilien, mammifère, limbique et néocortex, qui déterminent la quasi-totalité des comportements humains. Il y a comme « deux boites noires rétroactives dans l’avion humain : la tête qui peut devenir folle et agitée et le cœur obnubilé. Cela s’appelle la destinée qui fabrique le karma.

Rares sont les instruits des cinq corps et des huit membres psychologiques traditionnels du Yoga de l’Inde antique, en connaissance appliquée à une éthique fonctionnelle, en connaissance ascétique de techniques appliquées à la concentration, en connaissances psychologiques éclairées et guidées par une Connaissance métaphysique libératrice. Depuis des millénaires, ces Connaissances transcendent, dépassent l’irrationnel et le rationnel, et maintenant cet homme « neuronal » actuel et artificiel, qui au final serait bien voué à préparer son auto–destruction. 

La notion de liberté telle qu’elle est injectée depuis l’enfance aux masses ignorantes pour les tenir en laisse est illusoire et ce qui est nommé « libre-arbitre » est une fantaisie intellectuelle et philosophique occidentale par ignorance du réel. L’humain est avant tout un animal et souvent, d’ailleurs, ne le dépasse pas. En effet, par la peur pour sa survie, dans ses conduites de fuite et d’attaque, il peut être capable de tuer père et mère ! Le rôle de l’intelligence du cœur éclairé est normalement de contrôler ce genre de comportements pulsionnels. La démarche scientifique authentique se doit de faire toujours abstraction des opinions, des croyances, des préjugés, des superstitions, de l’irrationnel, du rationalisme, et bien entendu des fanatismes toujours entropiques, destructeurs, comme l’histoire le montre encore ce jour.

La plupart des scientifiques dont certains peuvent devenir « des tueurs en série » (voir les expériences médicales durant la seconde guerre mondiale et dans la troisième actuelle pour ceux qui ne le savent pas), sont sous influence de leur courant subconscient et de leur conscient aveuglé, influence qui sert par ailleurs leurs intérêts privés et conditionnés par leurs soifs avides. Ceux qui sont capables de le comprendre s’orientent et s’appliquent vers le détachement de toute recherche d’affirmation de soi. C’est la Sagesse instruite, universelle et atemporelle. Seule la claire compréhension libératrice des pulsions les guide au-delà de toute recherche inutile et de tout profit mondain quel qu’il soit. Le partage rare de la Connaissance, « quand il est possible », leur suffit. Certains d’entre eux sont des Bodhisattvas dans le Dharma du Bouddha qui était d’abord un Bodhisattva, ou certains Yogis comme le Christ, car en Inde des Sages Pandits considèrent le Christ comme un grand Yogi ! Il faut bien comprendre que les concepts « Buddha » et « Christ » se rapportent uniquement à « l’impersonnel », jamais au personnel ! La Connaissance métaphysique n’a rien à voir avec les connaissances mondaines car elle n'appartient pas au « moi ». Si elle appartenait au « moi » elle serait mensongère. Nous sommes donc très loin des monothéismes égarés dans la dualité, de leurs églises et de leurs croyances enfantines. Les véritables chercheurs et/ou scientifiques se détachent du matériel dérisoire. Comme le dit Maître Eckhart, « il n’est pas d’humilité sans détachement, mais deux vertus valent mieux qu’une ».

Quant aux fondamentaux du Dharma du Bouddha, leur compréhension résulte d’une transmission authentique en une vue profonde et synoptique de « l’impermanence, de l’insatisfaisant, de l’insubstantiel », les trois caractéristiques de tous les phénomènes quels qu’ils soient. Ces fondamentaux du Dharma sont rarement enseignés correctement et les Quatre Nobles Vérités ne sont plus justement ni précisément transmises. Les instructeurs compétents deviennent rares mais les moniteurs sans permis de conduire, d’instruire, prolifèrent de plus en plus, souvent experts de la carte visa premier ou gold. 

Les fondamentaux d’une voie de libération conduisent à un mode de vie non profane, s’adressent à celui qui considère avec vigilance « l’éthique fonctionnelle, la concentrationcomposition-synthèse, la Connaissance métaphysique », en résumé le « Noble Sentier Octuple ».

Ce « Sentier » est le traitement à la souffrance, à l’insatisfaction, à l’errance, samsâra. Il concerne toutes les écoles bouddhiques depuis les origines jusqu’à ce jour y compris le Zen et le Ch’an chinois tardifs depuis Bodhidharma arrivé en Chine au cinquième siècle, et les écoles tibétaines encore plus tardives, à partir du huitième siècle. Les dalaï-lamas datent du seizième siècle, soit 2000 ans après la mort du Bouddha ! 

On ne parle pas de Zazen à un profane, c’est tordu ! Le Verset 6 du chapitre 7 de St Matthieu est valable, fiable ! Le lecteur fera ses propres recherches. Donner de la Connaissance métaphysique à quelqu’un d’intelligent mais sans qualités éthiques est dangereux et peut le rendre monstrueux ; les exemples ne manquent pas. 

De 2020 à 2025 nous avons vu certains curieux exemplaires au pouvoir et ce n’est pas fini. Retenons que l’on ne peut pas servir deux maîtres : Mammon ou le veau d’or, et Dieu. Mais Attention au fanatisme même sans Mammon, un autre piège encore plus tordu ! L’irrationnel a de multiples facettes démoniaques.

2020-2025 reste une démonstration parfaite de l’avidité accompagnée de haine et de violence pour satisfaire la convoitise d’intéressés dominants face aux désintéressés minoritaires. La corruption concerne potentiellement chaque humain. 

Curieusement, très peu de « psy », de médecins, de neurologues, connaissent et considèrent l’impact du cerveau limbique et des cerveaux archaïques sur les comportements humains. S’ils en tirent et partagent parfois des enseignements utiles et bénéfiques, ils sont  immédiatement attaqués. Nous l’avons vu récemment. Mais il y a pire. Parmi les scientifiques certains connaissent cet impact sur l’humain mais « comme ils ont vendu leur âme au diable » ils deviennent usurpateurs en détournant leurs savoirs pour servir les pouvoirs et asservir les masses, afin d’assouvir leur portefeuille et leurs idéologies sataniques.

C’est exactement ce que les années 2020-2025 ont révélé. Rien n’est égal à la compréhension à condition que cette compréhension soit libérée du Diable, de Satan, de Lucifer, ces trois comparses qui font un manipulateur. 

L’origine de la souffrance résulte de l’avidité des six sens pour les objets des sens (en Orient le mental étant un sens) par ignorance de la fonction tripartite de l’homme. Quelle-est cette fonction tripartite de l’humain ? 

Dans trois Traditions antiques nous trouvons : 

- Tradition latine : Corpus anima/animus Spiritus 
- Tradition grecque : Soma psycké Noûs 
- Tradition hindou : Rûpa nâma Prajñâ

En Occident, « Spiritus et Noûs » ont quasi disparu et ne sont plus que des mots vidés de leur pouvoir opératoire salutaire sur le psychosomatique ou psychophysiologique. Ne dit-on pas d’un clown qu’il a de l’esprit ? Ne dit-on pas « avoir vendu son âme au diable ? ». Le sens du mot âme se rapporte au corps d’énergie, le prâna, « pra-ana » et se rapproche du mot sanskrit « citta » qui ne signifie pas « pensée » mais « Cœur » psychologique quand il est éclairé par la métaphysique. Hélas, même dans « certains bouddhismes amuïs » la confusion règne et le Dharma a disparu. 

En Orient, « Prajñâ », la Connaissance transcendante ou Intuition métaphysique est encore connue par quelques éveillés sur leur voie de libération. La notion de liberté est donc une notion si vague qu’elle est, par dégénérescence, devenue synonyme d’asservissement, d’abrutissement des masses dominées et égarées par des dominants eux aussi abrutis qui font aimer aux peuples leur servitude, comme dans la fable le loup et le chien.

Les mots esprit et âme sont devenus vidés de leur sens du fait de la disparition de la fonction métaphysique, la métaphysique occidentale n’étant pas la métaphysique orientale. De même, la psychologie occidentale limitée n’est pas la psychologie profonde de l’Inde antique, l’Abhidharma. 

Les conséquences de cette perte, de cette chute abyssale est visible à ceux qui ont des yeux pour voir davantage les désastres depuis début 2020. La chute risque de se continuer jusqu’à la fin d’un possible processus d’auto destruction tant la fureur humaine est à son comble.

Le dominant au pouvoir, ignorant, est sans aucun pouvoir sur sa médiocratie. Accroché aux fausses branches de sa destinée funeste, il ne veut rien lâcher car, encore une fois, il reste déterminé, conditionné par l’avidité, la haine, la stupidité, ces trois invariants nommés en sanskrit les « trimûla », les trois racines-poisons. Il ne sait pas qu’il est empoisonné et qu’il est empoisonneur. La géopolitique donne ses exemples actuels. 

Nous ne pouvons que suggérer en cette fin de texte le « sans-duel », Advaïta, et le « sansmoi », Anâtman, réservés à ceux qui, après éveil de l’Intuition Métaphysique, la Connaissance Transcendante, peuvent opérer une investigation soutenue au cours d’une ascèse (s’exercer) réfléchie, au-delà de l’intellect limité. Quand le spectateur s’éveille au spectacle tel qu’il est, alors, absorbé par le RIEN il disparaît de la scène de théâtre sur l’écran blanc. Les plaisanteries mondaines et profanes dans ces jeux du cirque humain de l’existence cessent enfin et c’est la béatitude du rien.

Un très bel ouvrage de collection et assez rare par son contenu existe : « Le Chemin de l’EVEIL » par Catherine Despeux aux éditions L’Asiathèque. 

Ce livre parle du Dressage du buffle dans le Bouddhisme Ch’an - Dressage du cheval dans le Taoïsme - Dressage de l’éléphant dans le Bouddhisme Tibétain. 

Catherine Despeux est maître de recherche sur le Bouddhisme Chinois dont le Ch’an et le Taoïsme. Elle enseigna à l’INALCO.


Une fable 

Cette fable n’amusera pas grand monde (?!) ou fera rire jaune certains. 

Une catastrophe programmée depuis des décennies, d’une forte intensité sur l’échelle de riches terres en tremblements « anti-sanitaires », arriva brusquement début 2020. 

Satan, empereur des menteurs, s’était déguisé à Paris en une démone sinistre, une curieuse buse zinzin de la maladie, bru d’une fiel Simone, pour annoncer un fallacieux nonévénement qui « cachait » aux gens son but final maintenant dévoilé, celui d’une dépopulation terrestre au moyen d’une arme injectable doublement physique et psychologique. 

Les humains terrorisés se ruaient sur leurs TV et leurs radios qui, matin et soir, soir et matin, diffusaient en boucle leurs propagandes éhontées par des serpillères souillées, achetées, fort bien payées par leur « pacs » avec leur commanditaire, le diable. 

Des toubibs-tirelires d’avidité jouissaient. Sans aucun état d’âme, ils offraient aux masses apeurées, du bout de fléchettes affûtées, un nouveau poison non-certifié, vers les pompes funèbres agréées. Des apothicaires poudrés par la blanche, pas colombe, fournissaient leurs camelotes emmaillotées, mystérieusement encapsulées, vaticanisées et bénies par une camorra mondialisée et leur allié Romain nommé « El Papé ». 

La fléchette dégoupillée, fourguée d’un drone canonisé et genré foutaise-en-ski, faisait la joie du patient qui se mettait à chanter : 

« Merci Necron, merci Necron, nous sommes heureux de travailler pour vous, on est heureux comme des fous, ce que vous faites ici-bas, un jour, Dieu vous le rendra … » … 

… puis à clamer :

« On ira tous au paradis, c’est promis, nous faire p(n)iquer et rep(n)iquer, toute la famille au grand complet, cousins, cousines, neveux et nièces, Papy, Mamie, Papa, Maman, petitsenfants, la Bonne et moi, Tonton, Tatie, aussi le chien, aussi le chat … » … « Puis, on ira au cinéma et au restaurant de Gégé pour son cassoulet renommé ». « On rentrera par le cimetière voir s’il reste de la lumière ». 

Des sceptiques qui doutaient, pauvres imprudents qu’ils étaient, osaient poser des questions. Alors, la censure « Yawohl herr major » surgissait au pas de l’oie leur casser quelques dents ou leur crever un œil restant. 

Deux moribonds post-injectés se disputaient un cercueil d’un bois rare, très cher aussi. L’un d’entre eux voulait qu’on y place ses dernières économies à dépenser au paradis pour une divine comédie, une ultime surprise partie avec St Truc ou St Machin, St Boutentrain. Les funérailles s’accumulaient. Les pompes funèbres au son d’un gong très excité, en un seul orchestre, trompétaient, puis orgasmaient à l’unisson de tout ce pognon qui pleuvait. 

Les familles n’oubliaient jamais de se rendre chez le banquier, vérifier si rien n’y manquait. Puis venait l’instant du notaire, parfois joyeux, parfois amère. 

Curieusement, telles des mouches assommées, tombées sur le carreau, de vie à trépas elles passaient après les pics-pics des margoulins qui veulent à autrui tant de bien. 

« Enterrements et oraisons » était la nouvelle chanson en vogue dans les institutions qui riaient avec Satan, aux pas cadencés et rythmés, d’un geste singulier, le bras droit tendu relevé. 

Salauski, Necronus, leurs Maquerelles, s’égosillaient au rythme de l’hymne des fous. 

Les arnaques financées par les maffieux du clan Satan au sein des églises infiltrées, se succédaient allègrement : pics-pics, supercherie climatique, épandages connus dans le ciel d’aérosols de métaux lourds, perturbateurs endocriniens dans les environnements, empoisonnements de sols fertiles, escroquerie du CO2 si nécessaire aux végétaux, adultes infantiles désaxés, genrés manipulés, « attentats à la vie » sur enfants maltraités et bloqués dans leur puberté, extorsions des consentements, dérèglements des ciboulots surtout de nos gigolos, démentiels-timbrés pas rigolos, sectaires formatés, monstres cinglés par magie noire et crétineries digitales, propagandistes dégénérés dont la mort est déjà programmée ! 

Tandis que le tartuffe inverti, psychotique pervers narcissique, très kriffé à la meute maffia, triste sire d’une enfance perturbée, « l’bobo de Paris », nouveau Barabbas maudit, lui, dansait la Salsa du Démon avec sa sorcière Draculée, sinistrée de la cage aux folles, rides cachées, toute grimée « genre ch’tit-j.mi flétri ». 

Certains attendaient la sortie du film primé au festival des « cannes » et des « canards » sans têtes, décérébrés : « Six pieds sous terre au cimetière ». 

Pendant ce temps, Dieu jouait pile et Satan, face, préparait la seconde partie de cette monstrueuse tragédie d’une série qui faisait « FURHER » auprès des téléspectateurs. 

Au camp de vacances « les barbelés joyeux » d’un bord de mer très convoité pour son gaz et pour son pétrole, résidaient des survivants dont des enfants sans leurs parents, pendant que des phoques otaniesques et des otaries ahuries ratissaient large dans les crémeries du reste des chancelleries. 

Déterminé à inclure ses coups bas aux joujoux de Paris 24 pour les infantiles ahuris, du sein des probabilités Satan s’apprêtait à créer de nouveaux mythes alambiqués, pour occuper l’humanité, les anciens étant périmés. 

D’autres poisons bien emballés, par millions de doses réservées à des cheptels hypnotisés, arrivaient à peine à Roissy que déjà le champagne à flot coulait à la place Beauvau où Satan de son dard malin avait infiltré ses monstres vendus à des sinistres reconnus.

Question : Que faire ? 

Réponse : RIEN. 

WU WEI en Chinois signifie : « Rien faire ». « Faire rien » est une erreur. RIEN FAIRE est serein. Les destins suivent leur chemin : Fata viam inveniunt. 

Question : Mais si tout le monde fait comme vous, le monde va s’arrêter ? 

Réponse : En ce qui me concerne, je n’y vois aucun inconvénient. Rassurez-vous, ce n’est pas la veille ! Autre chose : savez-vous que le mot « folie » signifie « enfler, être enflé » et que le mot « fou » du latin « follis » signifie « sac rempli d’air » ? Comme dit le langage populaire : « Quelles bandes d’enflures ! », drôlement « gonflés » ces types-là !