mercredi 17 septembre 2025

L'Irlande, l'autre Palestine. L'histoire occultée du "judéo-anglicanisme" et du massacre des "Cananéens" irlandais


Pourquoi l’Irlande s’affirme comme le principal soutien à la Palestine en Europe (narration officielle) :

Reconnaissance de l’État palestinien, boycott de produits israéliens… L’ancienne colonie britannique se distingue depuis longtemps pour son soutien à la cause palestinienne.

Ils ont beau être éloignés de plusieurs milliers de kilomètres, pour les Irlandais, leur histoire résonne tout particulièrement avec celle des Palestiniens. Depuis plusieurs années – avec une intensification ces derniers mois –, cet État de 5,2 millions d'habitants s'est distingué par un soutien appuyé à la cause de la Palestine et, par corollaire, s'est montré très virulent face aux actions de l'État d'Israël. Les raisons sont assez facilement compréhensibles.

En effet, nombre d'Irlandais voient une filiation entre leur histoire et celle des Palestiniens. Citoyens d'un pays jeune (l'Irlande est indépendante depuis le début des années 1920), ils ont été colonisés durant des siècles par le voisin britannique, nourrissant pendant longtemps le désir ardent de l'autodétermination. Quelques semaines après le pogrom du 7 Octobre, l'Irlande, par la voix de son gouvernement, s'était déjà montrée particulièrement prudente quant aux actions d'Israël, condamnant le massacre commis par le Hamas mais déclarant que la réponse du pouvoir israélien à Gaza ressemblait à « quelque chose de plus proche de la vengeance ».

Lors d'une conférence internationale sur l'aide à Gaza, le chef du gouvernement de l'époque, Leo Varadkar, avait affirmé que le non-respect du droit humanitaire « ne peut pas être sans conséquence ». Le président irlandais, Michael D. Higgins, avait quant à lui accusé le gouvernement de Benyamin Netanyahou de saper les normes internationales en matière de droits de l'homme.

« Annoncer à l'avance que l'on va enfreindre le droit international et le faire sur une population innocente, c'est réduire à néant tout le code qui existait depuis la Seconde Guerre mondiale sur la protection des civils », avait-il expliqué. Une déclaration pour le moins audacieuse à l'époque et dénoncée par l'ambassadeur d'Israël à Dublin, Dana Erlich.

La fermeture de l'ambassade israélienne

L'Irlande a également été l'un des premiers pays en Europe à annoncer la reconnaissance de l'État palestinien, le 22 mai 2024, bien avant la France, dans une déclaration conjointe avec l'Espagne et la Norvège. Le Premier ministre d'alors, Simon Harris, avait estimé qu'il s'agissait de « maintenir l'espoir en vie », appelant son homologue israélien Benyamin Netanyahou à « écouter le monde et arrêter la catastrophe humanitaire » à Gaza. En décembre 2024, le pays s'était associé à la plainte déposée par l'Afrique du Sud auprès de la Cour internationale de justice (CIJ), qui accusait Israël de violer, lors de son offensive à Gaza, la convention de l'Organisation des Nations unies (ONU) pour la prévention et la répression des génocides.

Conséquence : Israël avait pris la décision de fermer son ambassade à Dublin, une décision qualifiée de « regrettable » par le Premier ministre, niant une politique anti-Israël et expliquant que sa position était de défendre « la paix, les droits humains et le respect du droit international ». Dans un geste pour le moins provocateur, l'entrepreneur et conservateur d'art palestino-américain Faisal Saleh avait alors proposé de faire de l'ambassade un musée sur l'histoire de la Palestine, « un geste symbolique très puissant où l'art palestinien remplacera la représentation de l'entité génocidaire en Irlande ».

En parallèle, depuis plusieurs mois, le Sinn Féin, principale force de gauche en Irlande, favorable à une réunification de l'île, réclamait l'expulsion de l'ambassadrice d'Israël en Irlande, Dana Erlich. L'État hébreu n'a pas manqué de qualifier le président irlandais d'antisémite. « Lorsque le gouvernement d'Israël recourt à une telle insulte, diffamatoire, il sape et dévalorise le sens même de l'antisémitisme », avait-il répondu. En mai dernier, le pouvoir irlandais a franchi un nouveau pas en annonçant remettre sur le tapis un projet de loi déjà proposé en 2018 : interdire l'importation de biens en provenance des colonies israéliennes en territoires palestiniens.

« Ils font ça presque tous les matins »

Cette proposition, hautement symbolique puisqu'elle ne concernerait que quelques produits (fruits, légumes, bois…), serait cependant une première en Europe. « Le gouvernement estime qu'il s'agit d'une obligation au regard du droit international », avait déclaré à l'AFP un porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

Entre 2020 et 2024, les volumes d'échanges de l'Irlande avec les territoires occupés par Israël ont représenté moins d'un million d'euros. « J'espère que lorsque ce petit pays d'Europe prendra cette décision et deviendra […] sûrement la première nation occidentale à légiférer ainsi, cela inspirera d'autres pays européens à nous rejoindre », avait déclaré le ministre des Affaires étrangères Simon Harris.

Enfin, ce soutien à la cause palestinienne s'est également étendu dans les rues irlandaises. De nombreuses manifestations ont eu lieu ces derniers mois. Le média propalestinien, basé aux États-Unis, Electronic Intifada s'était ému d'une scène à Dublin : « Vendredi matin [23 mai], je roulais sur l'autoroute en direction de l'aéroport. Sur un pont, une demi-douzaine de personnes agitaient de grands drapeaux palestiniens et des banderoles, raconte-t-il. J'ai alors envoyé un message à un ami irlandais pour lui raconter ce que j'avais vu, il m'a répondu : “Ils font ça presque tous les matins pour commencer la journée en pensant à la Palestine. Beaucoup klaxonnent pour exprimer leur soutien.” » Beaucoup d'entre eux réclament une position européenne plus forte à l'encontre d'Israël. Ce petit pays sera-t-il écouté ?



Pourquoi l’Irlande s’affirme comme le principal soutien à la Palestine en Europe (histoire occultée) :


Le "judéo-anglicanisme" et le massacre des "Cananéens" irlandais 

John Dee effectuant une opération magique devant la reine Elisabeth.


Selon Patrick O'Carroll, la Réforme protestante en Irlande (1558-1656) n’était pas chrétienne mais judaïque. Son bilan de 1,2 million de morts a été dissimulé.

"En 1830, écrit 
Patrick O'Carroll, l'Irlande était un désert misérable d'une pauvreté abjecte résultant de la mission "sainte" judéo-anglicane visant à châtier les "sous-hommes idolâtres", les "Cananéens" d'Irlande, conformément au Deutéronome.

Bien que le continent ait déjà connu la politique de la terre brûlée, elle n'avait été utilisée que pour priver une armée adverse de nourriture, mais jamais pour attaquer une population civile chrétienne. C'est en réalité l'anglicanisme qui a fourni la justification "théologique" du passage au fil de l'épée de tous les "sous-hommes" irlandais "cananéens", sur ordre d'Élisabeth 1è
re, de Cromwell le puritain, et des judéo-francs-maçons Jacques VI et Jacques 1er :

Élisabeth 1ère possédait la première cour ouvertement rosicrucienne, composée de nombreux kabbalistes judaïques. Les catholiques ne présentaient pas Élisabeth Ire sous un jour favorable, mais les anglicans la voyaient comme "la Déborah anglaise", la "nouvelle Esther", la "nouvelle Judith", etc. Durant son règne, Élisabeth 1ère fut comparée à Déborah, qui mena les Israélites à la victoire sur les Cananéens. L'analogie la plus évidente étant qu'Élisabeth Ire était "la Déborah anglaise" génocidant les "Cananéens" irlandais. Cette analogie servit à légitimer son règne de tyran anglican et sa mission "sainte" de génocider des catholiques irlandais. Dans le Livre des Juges, Déborah, aidée de Barak, mène les Israélites à la victoire sur les Cananéens sous Sisera. [...]

Dans ses lettres et ses discours, Cromwell le puritain se surnommait lui-même "le Josué anglais" et "le Gédéon anglais". Il affirmait que sa mission personnelle était de "purifier Israël". Il était très fortement influencé par le "saint" rabbin Maïmonide. [...]

L'anglicanisme fut officiellement fondé en 1534, lorsqu'Henri VIII se proclama chef de l'Église catholique d'Angleterre, usurpant simplement l'autorité du pape. Ce titre suggère qu'Henri VIII ne se considérait pas réellement comme protestant, mais plutôt comme "catholique en Angleterre". Ses Six Articles, votés en 1539, suggèrent qu'il souhaitait le maintien du culte catholique en Angleterre. 

La toxicité judaïque de l'anglicanisme ne se manifesta réellement qu'avec Élisabeth 1ère en 1558. Ses 39 Articles (de foi) de l'anglicanisme furent finalisés 13 ans plus tard, en 1571. Bien que ces 39 Articles fussent ouvertement chrétiens avec une tendance catholique, l'anglicanisme était secrètement judéo-diabolique pour les raisons suivantes :

1. Élisabeth 1ère et sa suite ont épousé la mythologie de l'"Israël britannique", qui s'est rapidement transformée en psychopathie. 

Le "judéo-anglicanisme" a inventé deux fausses identités, selon lesquelles les "Israélites" britanniques vertueux avaient la sainte mission deutéronomique de génocider tous les "Cananéens irlandais sous-hommes et idolâtres". Son propre site web héberge toujours l'article mensonger dans lequel la psychopathie de l'"Israël britannique" résume sa logique de science bidon pour qualifier à tort les Irlandais celto-germaniques de "Cananéens du Moyen-Orient" : https://british-israel.us/188.html

2. L'anglicanisme a embrassé le judaïsme.

Henri VIII a sollicité l'aide de rabbins pour justifier en vain son divorce sur la base du Lévitique. Pire encore, les rabbins ont exercé une influence démesurée sur son laquais Thomas Cranmer pour le forcer à abolir la présence réelle du Christ dans l'Eucharistie, à supprimer la grâce divine en détruisant ou en atténuant la formulation de tous les sacrements (et pas seulement de l'Eucharistie), et à abolir de nombreuses réalités surnaturelles du catholicisme.

3. La "sainte" Réforme fut fortement influencée par le judaïsme et le "saint" rabbin Maïmonide. 

Le juriste judéo-anglican John Selden écrivit abondamment sur les lois noachides inventées par Maïmonide, qui étaient absolument impératives pour tous les réformateurs. Les intérêts politiques et religieux de Cromwell s'épanouirent et il intégra progressivement les concepts judaïques à sa psyché. Cromwell n'appliqua pas les lois noachides, mais il dénigra le catholicisme en utilisant exactement le même langage que les rabbins utilisent encore aujourd'hui ("pure idolâtrie", "blasphématoire", etc.).

4. Élisabeth 1ère conserva une cour ouvertement rosicrucienne, avec des kabbalistes judaïques et des magiciens noirs comme John Dee.

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Le catholicisme avait décrété à juste titre que la plupart des livres de l'Ancien Testament ne s'appliquaient qu'aux Juifs et à l'Antiquité. Ainsi, l'interdiction du porc par Deutéronome 14:8 ne s'appliquait qu'aux Juifs. Mais l'anglicanisme a démontré son judaïsme dissimulé en appliquant le Deutéronome aux catholiques irlandais et en adoptant la psychopathie de l'"Israël britannique". L'impression générale est que l'anglicanisme n'a jamais été véritablement chrétien, mais une toxine mortelle qu'il est préférable de qualifier de "judéo-anglicanisme".

Techniquement aussi, la "Sainte" Réforme en Irlande ne peut PAS être qualifiée d'"Inquisition anglaise", car Canterbury et Londres ont décrété : "Ne posez aucune question, tuez tous les Irlandais". En Irlande, la "Sainte" Réforme était également à l'opposé de l'Europe continentale où, par exemple, pendant la guerre de Trente Ans, la ville d'Oppenheim, dans le district de Mayence-Bingen, changea de mains à tant de reprises entre les forces catholiques des Habsbourg d'Espagne et les forces de l'Union protestante allemande soutenues par la Suède que les historiens calculèrent que les (chanceux) citoyens d'Oppenheim furent autorisés à changer de religion pas moins de 27 fois, finissant par devenir catholiques. À l'opposé, Canterbury décréta que les "Cananéens" irlandais n'avaient pas le droit de se convertir à l'anglicanisme ou au puritanisme. Il s'agissait en réalité du massacre généralisé, immédiat et incontesté de tous les Irlandais, sans aucune possibilité de choix.

Lors des quatre Holocaustes irlandais de 1558 à 1656, des sources irréprochables montrent que la Réforme a génocidé 1,2 million de catholiques irlandais. Cependant, le talent des Britanniques pour le meurtre et la dissimulation fait qu'Internet n'en parle toujours pas. Il faut garder à l'esprit que l'Irlande était une nation très peuplée à l'époque, et que le bilan de 1,2 million de morts pendant la "Sainte" Réforme représentait environ 12 % du total des victimes de la guerre de Trente Ans.

Ce génocide industriel a été commis par Élisabeth 1ère et Cromwell. Mais, lorsqu'ils traitent de religion ou de la "Sainte" Réforme, les ouvrages d'histoire britanniques se concentrent exclusivement sur les méfaits de l'Inquisition espagnole ou sur les méfaits des diverses croisades papales. Naturellement, lorsqu'ils évoquent le Cromwell puritain, les ouvrages d'histoire britanniques se concentrent presque exclusivement sur le sujet "extrêmement vital" du régicide, tout en ignorant totalement le génocide de 1,2 million de "sous-hommes", les "Cananéens" d'Irlande par Cromwell, Élisabeth 1ère et Jacques VI et 1er. Car 1,2 million de "sous-hommes" irlandais ne comptent pas.

Les négriers anglicans ne percevaient pas la domination britannique comme une gouvernance, mais comme un châtiment infligé à des "
sous-hommes, les "Cananéens irlandais". De nombreux prédicateurs anglicans affirmaient que le but de la domination britannique était le châtiment détaillé dans Deutéronome 28:49-51 ; autrement dit, la mission "sainte" des négriers anglicans était de punir les Irlandais, que Canterbury qualifiait officiellement de "sous-hommes Cananéens maudits par Dieu ; et n'ayant nul besoin de conversion" :

"L'Éternel fera venir sur toi une nation lointaine et des extrémités de la terre, semblable à un aigle au vol rapide, et dont tu ne comprendras pas la langue. C'est une nation insolente, qui n'aura ni égard aux vieillards ni pitié des enfants. Elle dévorera le fruit de ton bétail et les fruits de ton sol, jusqu'à ce que tu sois détruit. Elle ne te laissera plus ni blé, ni vin, ni huile, ni troupeaux de bœufs ni troupeaux de brebis, jusqu'à ce que tu sois anéanti."

Quiconque analyse l'Irlande en 1830 découvrira un désert misérable d'une pauvreté abjecte résultant de la mission "sainte judéo-anglicane" de châtier tous les "Cananéens irlandais, sous-hommes idolâtres" en accomplissement du Deutéronome.

Le génocide en Irlande a toujours été le fait de la monarchie anglaise meurtrière, de l'armée britannique franc-maçonnique et du régime britannique malthusien. Mais le ciment mortel qui a scellé le tout était le "judéo-anglicanisme".

NOMBRE DE MORTS

L'aventurier et poète anglais Edmund Spenser a certifié que 450 000 Irlandais avaient été tués dans la plantation de Munster d'Élisabeth 1ère entre 1558 et 1594, ainsi que 25 000 Irlandais réduits en esclavage au Levant et aux Amériques.

130 000 catholiques irlandais sont morts sous Élisabeth 1ère lors de la guerre de Neuf Ans (1594-1603).

40 000 catholiques irlandais sont morts sous Jacques VI et Ier dans les plantations d'Ulster et de West Leinster (1606-1621).

Le "Down Survey" de William Petty certifie qu'entre 1641 et 1656, le "puritain" Cromwell a génocidé 618 000 catholiques irlandais et en a réduit 200 000 à l'esclavage dans les Caraïbes et les Amériques.

Tout cela, et bien plus encore, a constitué le modèle même qui, pendant plus de 500 ans, a bâti l'Empire britannique et son successeur direct, le « nouvel » ordre mondial talmudique. Les mêmes tactiques sont aujourd'hui déployées lors des holocaustes arabo-sémites et de Gaza."

D'après l'article :


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L'expertise du tableau John Dee effectuant une expérience devant Elisabeth 1ère, de Henry Gillard Glindoni, a montré que dans sa version originelle figuraient de nombreux croquis de têtes de mort. Une trouvaille surprenante.


Assis derrière Dee se trouve son médium Edward Kelley, qui porte un bonnet qui cache le fait que ses oreilles ont été coupées, probablement une punition pour un crime de jeunesse. (The Guardian)


L'analyse du tableau John Dee effectuant une expérience devant Elisabeth I, datant du XIXème siècle a révélé un macabre secret. À l'occasion d'une rétrospective au Royal College of Physicians de Londres, consacrée à John Dee (1527-1609) - considéré comme «le magicien de la Reine» - des scientifiques ont passé aux rayons X le tableau qui met en scène ce personnage sulfureux. Ils ont découvert que plusieurs crânes humains figuraient dans la première version de la peinture.