Vivre Sainement sur Odysee.
Ils gagnent de l'argent en nous gardant malades
Les hôpitaux gagnent de l'argent en nous gardant malades.
Les compagnies pharmaceutiques gagnent de l'argent en nous gardant malades.
Chaque niveau du système est incité financièrement.
Peu importe quelle est votre intention. Si vous êtes médecin, évidemment que vous ne voulez pas de patients malades mais il y a des pressions énormes de chaque recoin du système pour nous garder tous malades. Et nous sommes, aujourd'hui, la nation la plus malade du monde."
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« Et bien, il se passe quelque chose d'important à la maison blanche en ce moment. La purge est en cours. Saviez-vous que Bill Gates avait des personnes ou des agents secrets cachés au sein du gouvernement pour promouvoir son programme des injections contre pratiquement tous les types de maladies, comme les moustiques, la manipulation des moustiques, l'élimination de la viande pour que vous mangiez sa fausse viande, ou encore les programmes de vaccination de masse des enfants ? Et bien, ça semble toucher à sa fin, au moins ça touche peut-être à sa fin. Une purge politique spectaculaire a provoqué une onde de choc à Washington ce matin. R.F. Kennedy junior a licencié des dizaines d'agents liés à Bill Gates au sein d'agences de santé clés, notamment les CDC, Le HHS et le NIH. Et selon plusieurs rapports, il s'agit ni plus ni moins d'une politique de la terre brûlée de la part des membres du HHS, essentiellement pour démanteler ce que R.J. Kennedy considère comme un régime biomédical corrompu qui opère sans contrôle depuis des années au sein du gouvernement fédéral. Tout cela sous l'influence du milliardaire et ami d'Epstein, Bill Gates.
Parmi les premières victimes figure Susan Monarez, directrice des CDC, qui aurait été licenciée après avoir été identifiée comme collaboratrice de ce que beaucoup considèrent comme une longue escroquerie vaccinale au sein du gouvernement ; au total, cinq hauts responsables des CDC sont désormais limogés et la purge devrait se poursuivre ».
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"Il y a eu plus d'effets indésirables signalés avec l'injection contre le c19 que pour toutes les autres injections réunies au cours des 36 dernières années. Je dirai que les pays les moins injectés au monde ont tendance à avoir des taux de mortalité les plus faibles. Je vais vous donner un exemple. Et encore une fois, on ne sait pas tout à cause du chaos informationnel et des différents systèmes de collecte et de données selon le pays.
Mais en Haïti, le taux de mortalité dû au c19 était d'environ 14 personnes pour 1 million d'habitants et Haïti avait un taux d'injectés d'environ 1,3%. Très peu de personnes ont été injectés. Pourtant il ne semble pas y avoir eu de pandémie du c19 en Haïti. Le Nigéria avait un taux de mortalité dû au covid de 14 par million d'habitants. Dans notre pays (les USA), le taux de mortalité dépassait 3000 personnes par million d'habitants. Notre taux de mortalité est donc « 200 fois supérieur » à celui des pays qui n'étaient pas injectés. Les USA représentent 4,2% de la population mondiale et nous avons donc fait pire que n'importe quel autre pays au monde. Nous sommes responsables d'environ 16% des décès dus au c19, un enregistrement de 1,1 million de décès dus au c19. Le Brésil était presque pire.
Nous parlons de 12% des décès dûs au c19 dans le monde …
En France 0,8% de la population mondiale et 2,4% de tous les décès.
Au HHS, nous avons une division appelée l'Autorité de Recherche et de Développement Biomédical Avancé ou BARDA. Barda pilote certaines de nos recherches scientifiques les plus avancées. Elle finance le développement des injections, médicaments, diagnostics et autres outils pour lutter contre les maladies émergentes et les menaces sanitaires actuelles. Au cours des dernières semaines BARDA a examiné 22 investissements dans le développement des injections et a commencé à les annuler. Laissez-moi vous expliquer pourquoi. La plupart de ces injections sont contre la grippe ou le c19 mais comme la pandémie nous l'a montré, les injections à ARNmessager ne sont pas très efficaces contre les virus qui infectent les voies respiratoires supérieures.
Voici le problème :
L'ARNm ne code que pour une petite partie des protéines virales, généralement un seul antigène. Une seule mutation et le vaccin devient inefficace ! Cette dynamique provoque un phénomène appelé « dérive antigénique », ce qui signifie que le vaccin, paradoxalement, encourage de nouvelles mutations et peut en réalité prolonger les pandémies car le virus mute constamment pour échapper aux effets protecteurs de l'injection.
Des millions de personnes, peut-être même vous ou quelqu'un que vous connaissez, ont contracté le « variant omicron » malgré le fait d'être injecté. C'est parce que une seule mutation peut rendre les injections à ARNm inefficaces. Le même risque s'applique à la grippe. Après avoir examiné la science et consulté les meilleurs experts du NIH et de la FDA, le HHS a déterminé que la technologie ARNm présente plus de risques que d'avantages pour ces virus respiratoires. C'est pourquoi, après un examen approfondi, la BARDA a commencé le processus de résiliation de ces 22 contrats totalisant un peu moins de 500 millions de dollars. Pour remplacer les programmes ARNm problématiques, nous privilégions le développement de stratégies injectables plus sûres et plus larges comme les injections à virus entier et les nouvelles plateformes qui ne s'effondrent pas lorsque les virus mutent.
Les médecins devraient-ils prendre leurs décisions en fonction de ce qui est le mieux pour leurs patients ou de ce qui leur rapporte le plus d'argent ? Ce n'est pas une question difficile. Mais nous avons hérité d'un système de santé qui pousse constamment les médecins vers cette dernière option. Il récompense certains traitements non pas parce qu'ils sont meilleurs pour le patient, mais parce que quelqu'un en profite. Prenons l'exemple du c19. Les hôpitaux étaient payés pour communiquer le taux d'injection de leur personnel. Ces chiffres ont été transmis au réseau national de sécurité des soins de santé, puis publiés sur le site Web des CDC pour faire honte à tout hôpital refusant de se conformer aux obligations fédérales en matière d'injection.
Aujourd'hui je suis fier d'annoncer que nous avons mis fin à cette politique en abrogeant une disposition dangereuse de l'ère Biden dans la règle de paiement des patients hospitalisés du CMS. Et ce n'est pas tout. Nous scrutons chaque recoin du système de santé à la recherche d'incitations cachées qui corrompent le jugement médical.
« Ce que nous constatons est alarment.
Les médecins sont payés pour vacciner, pas pour évaluer.
Ils subissent des pressions pour suivre l'argent et non la science ».
Nous avons récemment découvert que plus de 36000 médecins ont vu leurs remboursements Medicaid modifiés en fonction des taux de vaccination infantile.
Mais en Haïti, le taux de mortalité dû au c19 était d'environ 14 personnes pour 1 million d'habitants et Haïti avait un taux d'injectés d'environ 1,3%. Très peu de personnes ont été injectés. Pourtant il ne semble pas y avoir eu de pandémie du c19 en Haïti. Le Nigéria avait un taux de mortalité dû au covid de 14 par million d'habitants. Dans notre pays (les USA), le taux de mortalité dépassait 3000 personnes par million d'habitants. Notre taux de mortalité est donc « 200 fois supérieur » à celui des pays qui n'étaient pas injectés. Les USA représentent 4,2% de la population mondiale et nous avons donc fait pire que n'importe quel autre pays au monde. Nous sommes responsables d'environ 16% des décès dus au c19, un enregistrement de 1,1 million de décès dus au c19. Le Brésil était presque pire.
Nous parlons de 12% des décès dûs au c19 dans le monde …
En France 0,8% de la population mondiale et 2,4% de tous les décès.
Au HHS, nous avons une division appelée l'Autorité de Recherche et de Développement Biomédical Avancé ou BARDA. Barda pilote certaines de nos recherches scientifiques les plus avancées. Elle finance le développement des injections, médicaments, diagnostics et autres outils pour lutter contre les maladies émergentes et les menaces sanitaires actuelles. Au cours des dernières semaines BARDA a examiné 22 investissements dans le développement des injections et a commencé à les annuler. Laissez-moi vous expliquer pourquoi. La plupart de ces injections sont contre la grippe ou le c19 mais comme la pandémie nous l'a montré, les injections à ARNmessager ne sont pas très efficaces contre les virus qui infectent les voies respiratoires supérieures.
Voici le problème :
L'ARNm ne code que pour une petite partie des protéines virales, généralement un seul antigène. Une seule mutation et le vaccin devient inefficace ! Cette dynamique provoque un phénomène appelé « dérive antigénique », ce qui signifie que le vaccin, paradoxalement, encourage de nouvelles mutations et peut en réalité prolonger les pandémies car le virus mute constamment pour échapper aux effets protecteurs de l'injection.
Des millions de personnes, peut-être même vous ou quelqu'un que vous connaissez, ont contracté le « variant omicron » malgré le fait d'être injecté. C'est parce que une seule mutation peut rendre les injections à ARNm inefficaces. Le même risque s'applique à la grippe. Après avoir examiné la science et consulté les meilleurs experts du NIH et de la FDA, le HHS a déterminé que la technologie ARNm présente plus de risques que d'avantages pour ces virus respiratoires. C'est pourquoi, après un examen approfondi, la BARDA a commencé le processus de résiliation de ces 22 contrats totalisant un peu moins de 500 millions de dollars. Pour remplacer les programmes ARNm problématiques, nous privilégions le développement de stratégies injectables plus sûres et plus larges comme les injections à virus entier et les nouvelles plateformes qui ne s'effondrent pas lorsque les virus mutent.
Les médecins devraient-ils prendre leurs décisions en fonction de ce qui est le mieux pour leurs patients ou de ce qui leur rapporte le plus d'argent ? Ce n'est pas une question difficile. Mais nous avons hérité d'un système de santé qui pousse constamment les médecins vers cette dernière option. Il récompense certains traitements non pas parce qu'ils sont meilleurs pour le patient, mais parce que quelqu'un en profite. Prenons l'exemple du c19. Les hôpitaux étaient payés pour communiquer le taux d'injection de leur personnel. Ces chiffres ont été transmis au réseau national de sécurité des soins de santé, puis publiés sur le site Web des CDC pour faire honte à tout hôpital refusant de se conformer aux obligations fédérales en matière d'injection.
Aujourd'hui je suis fier d'annoncer que nous avons mis fin à cette politique en abrogeant une disposition dangereuse de l'ère Biden dans la règle de paiement des patients hospitalisés du CMS. Et ce n'est pas tout. Nous scrutons chaque recoin du système de santé à la recherche d'incitations cachées qui corrompent le jugement médical.
« Ce que nous constatons est alarment.
Les médecins sont payés pour vacciner, pas pour évaluer.
Ils subissent des pressions pour suivre l'argent et non la science ».
Nous avons récemment découvert que plus de 36000 médecins ont vu leurs remboursements Medicaid modifiés en fonction des taux de vaccination infantile.
Ce n'est pas de la médecine.
C'est de la « coercition ».
C'est immoral.
Cela n'a pas sa place dans une démocratie constitutionnelle ni dans un système qui prétend protéger les enfants.
Les décisions médicales doivent être prises sur la base d'une seule et unique chose : le bien-être du patient, et non d'une prime financière ou d'une décision gouvernementale. Les patients méritent des conseils honnêtes et intègres de la part de leurs médecins. Les médecins méritent la liberté d'utiliser leur formation, de suivre la science (la véritable) et de dire la vérité sans crainte de sanction.
Les médecins devraient être guidés par leur jugement médical et leur « SERMENT D'HIPPOCRATE », et non par des incitations financières ou des mandats gouvernementaux. C'est l'objectif de ce changement de politique et ce n'est qu'un début.
Fin janvier 2025, les élites du monde des affaires se sont réunies à Davos, en Suisse, au Forum économique mondial (WEF) pour planifier l'avenir du reste de l'humanité.
« Leur plan, qu'ils appellent la Grande Réinitialisation, videra tout ce qui reste de votre compte en banque et dépouillera la classe moyenne en difficulté de ses derniers capitaux ».
Pendant le c19, le Forum économique mondial a imposé des confinements qui ont transféré 4000 milliards de dollars à cette nouvelle oligarchie de milliardaires. Des banquiers et des sociétés d'investissement ont raflé nos maisons, promettant de ne rien posséder et d'être heureux !
Ils ont un plan, mais mon plan est de les arrêter.
J'ai passé ma carrière d'avocat à combattre ces barons voleurs devant les tribunaux.
Je sais comment ils fonctionnent.
Je connais leur tendance à marchandiser nos terres, nos eaux, nos maisons et même nos enfants, nos travailleurs et notre santé publique. J'ai prouvé que je pouvais les battre encore et encore et faire dérailler leur plan.
Ils ont dépensé des milliards en publicité et en propagande pour nous faire sentir impuissants, mais ils ont sous-estimé le pouvoir du peuple.
Nous dépensons 405 millions de dollars par jour en « bons alimentaires ». C'est ce que dépensent les contribuables. 10% sont consacrés aux boissons sucrées. 8% supplémentaires sont consacrés aux bonbons. Nous empoisonnons donc 60% de nos enfants qui bénéficient de bons alimentaires !, les enfants les plus pauvres, ceux qui peuvent le moins se permettre de tomber malades. Et nous les empoisonnons. Nous leur donnons le diabète. Et ensuite, nous payons pour cela en avance avec des bons alimentaires. Nous payons à nouveau avec Medicaid pour le reste de leur vie … !
Nous avons plus de maladies chroniques que n'importe quel autre pays au monde. Et nous savons ce que c'est. Et nous savons que c'est la nourriture que nous mangeons. Ce sont des causes environnementales. Les gênes ne provoquent pas d'épidémies. Ils peuvent constituer une vulnérabilité, mais il faut une toxine environnementale. Et nous savons que c'est principalement la nourriture que nous mangeons.
Aujourd'hui, l'administration US exige une forme ambitieuse de notre système d'éducation médicale. Je dirige une équipe au HHS avec le soutien du secrétaire MacMahon du ministère de l'Education qui s'attaque à une situation que tout le monde reconnaît depuis longtemps comme mauvaise, mais que personne n'a encore eu le courage de corriger. C'est le manque criant d'éducation nutritionnelle en médecine. Une mauvaise alimentation est à l'origine de la crise des maladies chroniques aux USA, alimentant 7 de nos 10 maladies les plus mortelles.
Chaque année, on estime qu'un million d'américains meurent de maladies liées à l'alimentation. Pendant ce temps, nous investissons plus de 4000 milliards de dollars par an pour le traitement de ces maladies évitables, et nous continuons de former des médecins qui ne sont pas préparer à s'attaquer à leurs causes profondes.
La bonne nouvelle, c'est que l'alimentation non seulement provoque des maladies, mais peut aussi les prévenir et les inverser. Mais pendant trop longtemps, nous avons analysé la crise des maladies chroniques, commandé des études et pontifié sur l'importance de la nutrition sans prendre aucune mesure significative. Des données récentes révèlent un décalage critique.
Bien que toutes les facultés de médecine affirment inclure la nutrition dans leurs programmes, la plupart des étudiants en médecine déclarent ne recevoir aucune formation formelle en nutrition tout au long de leur formation. Cela conduit à une réalité troublante. La plupart des étudiants en médecine reconnaissent la nécessité de la nutrition. Presque tous les internes en médecine sont sollicités pour conseiller leurs patients en matière de nutrition. Mais moins d'un quart de médecins en exercice se sentent suffisamment préparés pour prodiguer des conseils nutritionnels.
Nous pouvons inverser l'épidémie de maladies chroniques simplement en modifiant notre alimentation et notre mode de vie. Mais pour y parvenir, la nutrition doit être un élément fondamental de la formation de chaque médecin. Nous commencerons par intégrer la nutrition directement dans les programmes universitaires de pré-médecine et la tester au MCAT.
Tout futur médecin devrait maîtriser le langage de la prévention avant même de toucher un stéthoscope !
Nous allons transformer systématiquement l'enseignement de la nutrition dans toute la médecine américaine.
Pour plus de 200 facultés de médecine américaines, 13000 programmes de résidences et de bourses, et, au final, pour chacun des 1,1 million des médecins en exercice du pays.
A l'avenir, les médecins ne se contenteront pas de prescrire des médicaments. Ils pourront également prescrire des régimes en dépistant en toute confiance les maladies liées à l'alimentation et en collaborant avec des experts en nutrition pour recommander des solutions alimentaires. Nos réformes permettront à notre pays d'économiser des centaines de milliards de dollars et de prévenir des millions de maladies chroniques invalidantes.
C'est une approche à la fois radicale et pleine de bons sens. Nous allons reconnecter la médecine à ses racines.
HIPPOCRATE, le père de la médecine a dit « Que ta nourriture soit ton médicament et que ton médicament soit ta nourriture ».
Ce conseil reste valable aujourd'hui, et nous redonnons à l'alimentation sa juste place en médecine.
Le taux d'autisme dans ce pays en 1970 était inférieur à 1/10.000. La plus grande étude épidémiologique de l'histoire a été réalisée en 1970 et elle a validé et confirmé de nombreuses autres études similaires en même temps.
Nous en sommes donc arrivés au point où le CDC annonce qu'UN américain sur 31 est autiste. C'est probablement même pire que cela, car la Californie qui a le meilleur système de collecte de données, rapporte qu'UN enfant sur 19 a maintenant l'autisme et UN garçon sur 12,5. C'est une crise. Il n'y a pas une seule cause. Il y en a beaucoup, beaucoup, il s'agit d'une agrégation de causes, et nous sommes désormais en train de constituer des preuves suffisantes pour demander une action réglementaire sur certaines d'entre elles ou du moins des recommandations.
C'est ce qu'il fallait faire pour trouver la réponse : comparer les résultats d'un groupe entièrement injecté à ceux d'un groupe non injecté. Et les CDC ont mené cette étude en 1999. Ils ont fait appel à une équipe de scientifiques dirigés par un chercheur belge nommé Thomas Verstraeten, et ils ont examiné les données.
Ils ont étudié les enfants injectés contre l'hépatite dans les 30 premiers jours de leur vie et les ont comparés à ceux qui avaient été injectés plus tard, voire pas du tout. Ils ont constaté une augmentation de 1135% du risque d'autisme chez les enfants injecté.
Ce qui les a choqué.
Ils ont gardé l'étude secrète et l'ont manipulé à 5 reprises pour tenter d'occulter le lien.
Et vous savez, nous savons comment ils ont fait.
Ils ont essentiellement éliminé tous les enfants plus âgés et n'ont retenu que les plus jeunes, trop jeunes pour être diagnostiqués.
Ils ont stratifié les données et ont utilisé plein d'autres astuces.
Et toutes ces études ont fait l'objet de ce genre de supercherie …"
Transcription : Patrick.