samedi 21 juin 2025

'Bottom of darkness': Children raped in ritual ceremonies expose the horrors





Une véritable bombe a été publiée dans le journal israélien "Israel Hayom".

De nombreuses femmes, qui ont également été entendues à la Knesset (le parlement israélien) ont dévoilé les années de supplices et d'abus dont elles furent victimes dans le cadre de rituels occultes, avec parfois la complicité de leurs propres familles.

"Emunah décrit les abus dont elle aurait été victime durant son enfance. Des abus sexuels répétés ayant lieu durant des "cérémonies" dont la signification serait religieuse."

"Ces actes sont restés secrets durant des années, peut-être à cause de leur folie. C'était toujours très très étrange. Comme s'il y avait une logique interne mais c'était tellement fou." [...] Des reproductions du "sacrifice d'Isaac" sont mentionnées dans plusieurs témoignages.

"Victime. Sacrifice. Punition. Correction. Transcendance. Rédemption. La souffrance extrême, l'humiliation et la torture. La destruction de la personnalité et de l'âme. Tels sont les termes récurrents dans tous ces témoignages. "

"La plupart des femmes interrogées dans le cadre de cette enquête. Viennent de communautés religieuses sionistes ou ultra-orthodoxes, même si certaines viennent des milieux laïcs. [...] les noms de plusieurs rabbins apparaissent dans de nombreux témoignages."

"Les dieux que je me souviens avoir entendu être invoqués sont Baal Peor et Astoreth. Je me souviens avoir entendu dire "Notre Seigneur Baal et Notre-Dame Astoreth" [...] Le plus troublant est qu'il s'agit de juifs pratiquants qui prétendent suivre les commandements et obéir à la Torah."

"Selon le Dr Gur, il est important de comprendre que ce qui est décrit ici représente un des crimes les plus graves au sein du judaïsme. D'un point de vue religieux, il s'agit du blasphème du nom de Dieu. Beaucoup de victimes sont livrées par des membres de leurs familles qui commettent ainsi le péché de l'inceste. Si les accusés agissent avec des motifs religieux, ils se rendent coupables d’idolâtrie."

Stanislas Berton.