mardi 17 juin 2025

Le Dalaï-lama et la Kabbale

 


Roland Thévenet, le livre de Kamenetz.


"Le Juif dans le lotus", de Rodger Kamenetz. Le livre relate la rencontre d’un groupe de rabbins avec le dalaï-lama, à Dharamsala, afin de mettre en miroir les grands principes du judaïsme et du bouddhisme.

« JewBu », terme né aux États-Unis, désigne le courant d’adhésion au Bouddhisme, apparu dès les années 1960 dans les milieux Juifs Américains : le musicien Philip Glass, cofondateur de Tibet House à New York, le Dr Kabat Zinn, expert de mindfulness, ou le poète Allen Ginsberg, icône de la Beat Generation, figurent, entre autres, parmi le grand nombre de personnalités du monde de l’art et de la science qui ont incarné leur engagement dans la voie du Bouddhisme.

Le documentaire "Jews and Buddhism", des réalisateurs américains Bill Chayes et Isaac Solotaroff, montre l’intérêt, déjà, pour le bouddhisme du Premier ministre David Ben Gourion.


Jusqu’à 30 % de juifs participent à des groupes bouddhistes


Le bouddhisme a attiré un grand nombre de juifs : Leonard Cohen, le docteur Kabat-Zinn, le compositeur Philip Glass, le poète Allen Ginsberg… Autant d’adeptes du bouddhisme aux États-Unis, membres, selon les termes du lama tibétain Chögyam Trungpa, de "l’école Oi Vo Voï" (expression hébraïque qui signifie approximativement "Malheur ! Hélas !").

D'après un article de L'arche.

Chögyam Trungpa a initié ses adeptes à la "folle sagesse", une pratique qui consiste à utiliser des méthodes bizarres et parfois perverses prétextant l'éveil spirituel.

Dans une série de sermons de 1983, il a comparé l’obtention de la sagesse spirituelle à l’acte de viol. Son majordome a raconté, dans ses mémoires, comment Trungpa avait torturé un chien pour illustrer la façon dont les non-éclairés devraient apprendre les vérités intransigeantes du bouddhisme.

Trungpa a également enseigné une technique appelée "transmutation", par laquelle une personne éveillée transforme les aspects ordinaires ou même honteux de sa vie en sublime, se purifiant ainsi.

Les textes tantriques, la logique et le rituel par lesquels se produit la transmutation sont tous censés être gardés secrets, ce qui a joué en faveur de Trungpa. Son véritable ministère, s’il avait été connu ouvertement, ne l’aurait guère attiré dans les bonnes grâces des Occidentaux.

Leslie Hays était l’une des sept épouses tantriques (esclaves sexuelles) de Trungpa. Après avoir été appelée au chevet de Trungpa, "Leslie Hays est sortie dans la soirée, secrètement soulagée que Trungpa soit en train de mourir. Elle n’aurait plus à satisfaire ses exigences sexuelles, à supporter ses pincements, ses coups de poing et ses coups de pied, ni à l’écouter raconter, ivre, des conversations hallucinées avec des lamas du Tibet médiéval morts depuis longtemps." (Source : Enquête sur des décennies de mauvais traitements à Shambhala International, fondé par Chögyam Trungpa.)


Le Kalachakra Tantra (rituel du bouddhisme tibétain) 
et le Talmud (texte juif)

Lors des étapes supérieures et secrètes de l’initiation au tantra du Kalachakra, des rites sexuels magiques ont lieu dont le but est de transformer la “sexualité” en puissance temporelle et spirituelle. Le rite commence avec des fillettes âgées de dix ans.

Source :
https://bouddhanar-1.blogspot.com/2024/09/kalachakra-au-dela-de-la-conscience-du.html


Selon le TALMUD, l'un des textes fondamentaux du judaïsme rabbinique, il est dit que pour ne pas risquer de châtiment divin, le sodomite doit s'en prendre aux fillettes de moins de 3 ans.

Source :

https://bouddhanar-12.blogspot.com/2020/12/un-rabbin-les-preceptes-talmudiques-sur.html


Pour en savoir plus sur le bouddhisme tibétain :

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Roland Thévenet, ancien adepte des spiritualités orientales revenu au catholicisme, démonte pièce par pièce les fondements philosophiques, historiques et politiques de cette fausse sagesse orientale. Il montre comment le bouddhisme, loin d’être un simple enseignement moral, est une religion gnostique et profondément antichrétienne, fondée sur l’erreur métaphysique, l’anéantissement de la personne humaine, et une infiltration programmée dans la culture occidentale. [...]

Le succès du bouddhisme en Occident n’est pas le fruit du hasard. Dès le XIXe siècle, des cercles universitaires, maçonniques et théosophiques l’ont promu comme alternative au catholicisme. Le Collège de France, soutenu par des loges, a attribué des chaires à des orientalistes comme Burnouf ou Renan, qui ont présenté le bouddhisme comme la vraie religion de l’avenir.

Le but n’était pas de comprendre l’Orient, mais de substituer au Christ une fausse spiritualité, dépouillée de dogme, de sacrements, et surtout de l’idée de salut éternel. Cette offensive était clairement dirigée contre le magistère de l’Église, perçu comme obstacle à l’émancipation de l’homme moderne.