vendredi 9 mai 2025

Le pape Léon 14, vicaire de l'Éon numérique ?

 

Éon :
En géologie, plus grande unité de période de temps de l’échelle géologique. Ce mot désigne aussi, en philosophie, une entité éternelle, puissance spirituelle abstraite émanant d’un principe suprême et imaginée par les néoplatoniciens et gnostiques.

Quelques jours après l'annonce de la parution d'un livre obscur (Technocratic Sorcery), qui fait allusion à l'Éon numérique situé au sommet de la "hiérarchie d'archétypes post-humains" du "panthéon technocratique", l'Américain Robert Francis Prevost est élu pape et prend le nom de Léon XIV.



Nous sommes en mai 2025, écrit Bertrand Scholler, et l’élection de Robert Francis Prevost, cardinal américain et augustin, sous le nom de Léon XIV, n’est pas un simple changement de pontife : c’est un signe eschatologique, un pas vers l’abîme final.

Le nouveau pape, désormais Léon XIV, est considéré comme un proche allié du pape François. C’est ce dernier qui l’avait nommé cardinal, lui confiant une mission clé dans l’Église universelle : la sélection et la gestion des évêques dans le monde entier. En 2023, François l’avait désigné à deux fonctions majeures : préfet du Dicastère pour les évêques et président de la Commission pontificale pour l’Amérique latine.

Ces rôles stratégiques faisaient de lui l’un des hommes les plus influents du Vatican. Le préfet du Dicastère pour les évêques est chargé de recommander au pape les candidats aux fonctions épiscopales, autrement dit les futurs évêques de l’Église catholique dans le monde. Quant à la Commission pontificale pour l’Amérique latine, elle supervise et étudie les dynamiques ecclésiales, sociales et pastorales dans cette région particulièrement vivante et stratégique pour l’Église.

Ce pape, que certains imaginent naïvement comme un allié de Donald Trump, n’est qu’un pion aux mains de François (RIP) et d’Emmanuel Macron, que je vois comme l’Antéchrist, secondé par son lieutenant, Benjamin Netanyahu, le saigneur de la guerre, un homme qui n’a rien d’un seigneur. Leur alliance, tissée dans l’ombre par des lignées comme les Rothschild – peut-être héritiers des Khazars et des « Rotes Schields » – précipite l’humanité vers sa dissolution. Mais bien avant eux, d’autres familles ont bâti les fondations de cet édifice toxique. Les Rockefeller, les Warburg, les Carnegie et autres grands prêtres du capitalisme financier ont, dès le XIXe siècle, promu une vision du monde où l’homme n’est plus une créature divine, mais une variable économique, un sujet à contrôler, vacciner, surveiller, endetter.

Le culte de l’argent, érigé en religion d’État, a remplacé la foi, et la science détournée de sa vocation noble est devenue instrument de domination. Ce sont eux, déjà, qui ont financé l’essor des grandes fondations pharmaceutiques, des politiques eugénistes, et plus tard des programmes de manipulation mentale. Ils ont fait du progrès un veau d’or et de la vaccination un sacrement moderne. Ils ont lentement tissé la toile d’un monde où la liberté de parole ne survit que dans les interstices d’un système médiatique verrouillé, corrompu, et entièrement voué à un narratif de marchands du Temple.

Cette emprise n’a fait que s’aggraver au XXIe siècle, incarnée par des figures comme Bill Gates ou Anthony Fauci, héritiers zélés de cette oligarchie hygiéniste et financière. Sous couvert de philanthropie, ils poursuivent le projet de contrôle global : santé, alimentation, reproduction, pensée, tout devient matière à régulation et à profit. Et l’on ose encore parler de démocratie.

Mais ce qui me glace le plus, c’est de constater que cette logique s’est infiltrée jusque dans les marges. Les médias « alternatifs » eux-mêmes, souvent financés en coulisses ou pervertis par l’obsession du buzz et du branding, participent à cette grande illusion. Ils jouent aux rebelles mais reprennent les grilles mentales des dominants : individualisme, relativisme, fascination technologique et surtout, refus de nommer le mal.

Alors que les conflits s’embrasent, de l’Inde et du Pakistan à Gaza, où Tel-Aviv massacre l’âme du monde, je ne peux oublier les 27 millions de vies sacrifiées par l’Union soviétique pour libérer l’humanité du nazisme, célébrées chaque 9 mai à Moscou. Ces héros, et non les fausses élites d’aujourd’hui, sont le véritable rempart de l’humanité.

Ce passage introductif effleure ma vision, partagée avec vous, dans une formulation simple, qui permet même sans connaissances approfondies, de saisir pourquoi je suis si inquiet mais également optimiste, car j’ai la foi en Dieu.

Léon XIV, Bruxelles, Macron, Netanyahu – tout est lié dans un drame qui, je le crois, nous rapproche de la fin prophétisée par saint Jean. Mais il y a de l’espoir : en cherchant la vérité, en honorant les héros du passé, comme ceux du 9 mai à Moscou, nous pouvons résister. Restez curieux, et ne laissez pas la censure vous voler votre droit de comprendre.


Extrait de la lettre de Bertrand Scholler :
https://bertrand55.substack.com/p/nouveau-pape-leon-xiv-nous-vivons

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BONUS



"Robert Prevost, d'origine américaine, a accédé au trône pontifical sous le nom de Léon XIV. Pour les non-initiés, cela peut sembler un nouveau chapitre de la continuité catholique. Mais pour les initiés, c'est le couronnement du dernier pape, le Pontifex Algorithmicus. [...]

Le Trône du Soleil Noir : Léon XIV et le Rite Final de Rome.
Apocalypse 13:16 déclare : « Et il fait que tous… reçoivent une marque. »
Quelque chose de profond s’est produit, non seulement à Rome, mais dans la structure même de la prophétie. [...]

C'est l'accomplissement d'une prophétie jésuite, longtemps répandue, qui fusionne l'Église, l'État et la Machine en une seule technocratie théocratique. Derrière les rituels publics et le Conclave, un courant occulte murmure depuis longtemps une convergence papale finale."

 Hidden Amuraka.