Visite au Vietnam - La gifle comme diversion
Ne vous y trompez pas. Cette gifle n’est pas un acte de révolte. C’est une diversion scénarisée. Pendant qu’on en parle, Gaza s’enfonce. Des enfants meurent de faim. Une loi sur l’euthanasie avance. En silence. Et la France oublie.
MACRON le sait : il devient dangereux pour ceux qui le découvrent enfin. Alors on le fait passer pour un clown. On rit, on partage, on détourne. Mais c’est l’inverse d’un réveil. C’est une sédation. Le pouvoir recycle le rejet en moquerie. Et l’indignation en oubli. La gifle n’a rien révélé. Elle a juste permis de refermer les yeux. [...]
Car à travers cette mise en scène, un message est envoyé : « Il ne compte pas. Il ne pèse rien. »
Mais c’est un piège. Un piège subtil, destiné à faire baisser la garde. Il ne faut pas s’y laisser prendre.
Car cet homme — et le binôme qu’il forme — n’est pas là par hasard. Il ne vient pas pour dialoguer, encore moins pour se faire humilier.
Il vient conquérir. Non pas des terres, ni même des contrats. Mais des âmes. Et, à travers elles, affaiblir les grands pôles de résistance à l’empire : la Chine et la Russie.
Il ne faut jamais oublier que rien, absolument rien, de ce qu’on nous montre, n’est laissé au hasard. Chaque image, chaque geste, chaque mot participe d’un scénario.
Aujourd’hui, leur tournée continue. Après d’autres étapes stratégiques, le binôme est arrivé au Vietnam — un pays-clef pour l’Asie.
Un pays que l’on tente d’arracher doucement à l’influence chinoise. Un pays que l’on veut séduire, flatter, embarquer.
Car en ces temps eschatologiques, il ne s’agit plus seulement de commerce ou d’alliance. Il s’agit de choix spirituels. De ralliement intérieur. De guerre des âmes.
Bertrand Scholler sur X.
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Commentaire de Line :
Réponse de Bertrand Scholler :
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