« Les Jésuites offrent au monde en général un système théologique selon lequel n’importe quelle loi, Divine ou humaine, peut être enfreinte en toute impunité, et les Bulles papales ignorées. C’est une effroyable religion ; une religion que les honnêtes gens doivent abhorrer. » (M.F. Cusack, religieuse. "Le Pape Noir", 1896)
« Les Jésuites se rient de nous ; et profitant de cette hilarité, le serpent à sonnette s’enroule à nos pieds, et vient nous frapper en plein cœur. » (Edwin Sherman, franc-maçon américain, "La Troupe des Machinistes de l’Enfer", 1883)
Eric Phelps : "Vatican Assassins: "Wounded in the House of My Friends" - The Diabolical History of the Society of Jesus", 2004.
Eric Phelps est l’auteur d’un ouvrage au vitriol intitulé "Vatican Assassins", ouvrage historique extrêmement bien documenté qui montre au lecteur, avec une pluie de détails, où se situent le VRAI pouvoir diabolique et le contrôle de cette planète (ou en tout cas la partie qui se trouve dans cette dimension physique).
Ce qu’écrit Eric est d’un tel intérêt, que nous avons décidé de reprendre un certain nombre de points précis en lui demandant de répondre à nos questions. En effet, les travaux et les déductions d’Eric sont d’un niveau nettement plus élevé que ce que nous avons l’habitude d’entendre dans la sphère du conspirationnisme. Qui plus est, nous avons remarqué non sans quelque surprise, pendant l’année écoulée, à quel point ses travaux ont été l’objet d’attaques hystériques et sans fondements, mais jamais frontales. Bien que notre intention ait été d’axer principalement la conversation sur la situation actuelle, certains points particuliers du passé demandaient clarification.
MARTIN : j’aimerais axer cette conversation principalement sur la situation actuelle. Mais avant d’en arriver là, je souhaiterais clarifier une fois pour toutes un point susceptible d’entraîner la confusion dans l’esprit de nos lecteurs, celui concernant les "Protocoles des Anciens Erudits de Sion".
Il y a eu maintes sources et citations se réclamant des Protocoles. Il s’agissait de faux. Ce n’était en réalité qu’une contrefaçon, ce qui signifie qu’elle se basait sur un document antérieur. Tout le monde pense que ce sont les Juifs, ou les Khazars, qui sont les auteurs des Protocoles, mais vos recherches infirment cette thèse.
Qui, à votre avis, sont les auteurs des "Protocoles des Anciens Erudits de Sion" ?
Mais je ne pense pas que des Juifs aient rédigé les Protocoles. Je ne pense pas qu’on ait raconté toute l’histoire à Alberto Rivera, pour la bonne raison qu’il n’avait pas de « droit de savoir ». La rétention d’information a toujours été une procédure de routine pour les jésuites.
Je pense que des éléments fidèles au Pape ont effectivement écrit les Protocoles, mais que ces derniers étaient des jésuites, pour citer Leo Lehmann (l’ex-prêtre catholique irlandais qui se convertit à l’évangélisme et fonda une mission adventiste à New York). Il déclara que les jésuites étaient les auteurs des Protocoles, et que ce n’était pas une nouvelle supercherie, sur la foi du document qu’ils écrivirent au sujet de leur attaque contre les jansénistes, intitulé Les Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine.
Ainsi, les jésuites ont écrit les Protocoles de la même manière qu’ils ont écrit les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", et le langage des Protocoles est identique à celui de la réunion Secrète de Chieri (1825).
J’ai par ailleurs une citation d’un chrétien évangéliste brillant, le prêtre catholique irlandais auquel je me référais précédemment. Il a écrit un ouvrage intitulé "Derrière les Dictateurs", d’abord sorti en 1942 avant qu’il n’y ait deux autres éditions. J’ai celle de 1945, dans laquelle le Dr. Leo Lehmann déclare que les jésuites sont les auteurs des Protocoles. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je voudrais juste vous dire qui était le Dr. L. H. Lehmann.
Né à Dublin en Irlande, il fut d’abord éduqué chez les nonnes et les frères chrétiens. Il entama ses études de prêtrise au Mungret College à Limerick, puis au Hallows College à Dublin. En 1918, il partit terminer ses études de théologie à l’Université de Propaganda Fide à Rome, où il fut ordonné prêtre en 1921. Il s’agit donc d’un évangéliste, ancien prêtre irlandais, qui a eu maille à partir avec les jésuites, et qui savait EXACTEMENT qui ils étaient en réalité. Lorsque vous avez été impliqué dans des procédures en justice au Vatican, vous connaissez la loi. Et vous connaissez l’histoire de vos adversaires.
Voici ce qu’il a dit sur l’origine des Protocoles, et qu’on peut lire en page 15 de son livre, "Derrière les Dictateurs" :
« Bien qu’ayant été publiés pour la première fois en Russie en 1903, les Protocoles [des Anciens Erudits] de Sion sont originaires de France et remontent à l’affaire Dreyfus, dont les jésuites étaient les premiers instigateurs. Il était prévu que les Protocoles prennent effet en France, à l’occasion du renversement du gouvernement « judéo-maçonnique » de la République Française. Mais la découverte de la gigantesque escroquerie de Leo Taxil, qui avait été ouvertement soutenu par les jésuites, et la conclusion de l’alliance franco-russe, sans oublier les relations épineuses de l’époque entre le Vatican et le gouvernement français, rendirent plus opportun leur lancement en Russie. »
Ces Protocoles de prétendus dirigeants Juifs ne sont pas les premiers documents de la sorte fabriqués par les jésuites. Pendant plus d’un siècle avant l’apparition de ces Protocoles, les jésuites avaient déjà eu recours à une falsification du même style, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", contre le jansénisme (un mouvement catholique français hostile aux jésuites répandu dans le clergé séculaire).
J’ajouterais même que les jansénistes étaient en fait des calvinistes catholiques. Ils croyaient en la souveraineté de Dieu. Ils croyaient en la justification par la foi. Ils croyaient en maintes doctrines bibliques, et c’est pour cette raison que les jésuites les haïssaient et obtinrent même ultérieurement l’édition d’une Bulle papale à leur encontre. Les jésuites haïssaient les jansénistes, qui comptaient Blaise Pascal parmi leurs membres, à un point tel, qu’ils concoctèrent ce document, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", dans le dessein de leur nuire.
MARTIN : en quelle année était-ce ?
ERIC : C’était au XVIIe siècle, et cela se passait en France. C’était probablement vers la fin du siècle, puisque c’est à cette époque que Blaise Pascal écrivit ses "Lettres Provinciales".
[Note : Eric se réfère à un personnage intéressant, un peu du même acabit que le grand Nikola Tesla. Blaise Pascal (1623-1662) était un éminent mathématicien, physicien, théologien et homme de lettres, né à Clermont-Ferrand. En 1647 il inventa la machine à calculer, puis, plus tard, le baromètre, la presse hydraulique et la seringue. Jusqu’en 1654 il passa le plus clair de son temps entre les mathématiques (vous rappelez-vous du triangle de Pascal ainsi que d’autres curieuses découvertes mathématiques et géométriques ?) et les soirées mondaines du tout Paris ; puis cette année-là, une expérience mystique le poussa à rejoindre sa sœur, membre du couvent janséniste de Port-Royal, où il défendit la cause du jansénisme contre les jésuites dans les Lettres Provinciales, qui dénoncent la perversité des jésuites (1656-7).]
MARTIN : J’en reviens maintenant à ma lecture : « L’analogie entre les deux falsifications est parfaite ; le rassemblement secret dans la forêt de Bourg-Fontaine, le plan des ‘conspirateurs’ visant à éliminer la papauté et à instaurer la tolérance religieuse parmi toutes les nations ; le prétendu complot contre le Trône et l’Autel, et l’établissement d’un gouvernement mondial en opposition à l’Eglise Catholique. On retrouve la même dramatisation du pôle négatif de l’évolution historique du monde, devant mettre en lumière, par contraste, le pôle positif chrétien (catholique), autour duquel doivent se rassembler toutes les forces conservatrices, la monarchie, l’aristocratie, l’armée et le clergé, afin de sauver le monde de l’assaut de Satan. »
ERIC : N’est-ce point identique aux Protocoles ? A part que dans les Protocoles, c’est le Communisme qui est visé. Les deux documents prônent un gouvernement mondial, sous une autorité autre que celle du Pape. C’est ce qui, dans les Protocoles, trahit la main des jésuites, dans la continuité des "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine" ; qui plus est, après ce document, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", suivit un autre document important, que nous possédons, à savoir "La Conspiration Jésuite", de Leone ("Le Plan Secret de l’Ordre"), publié en 1848.
Ce document raconte comment le jésuite Leone, alors novice âgé de 19 ans résidant à Chieri, en Italie, alors qu’il furetait dans une arrière-salle, surprit une conversation dans une autre pièce entre le Général Jésuite Roothaan et ses provinciaux (vers le milieu des années 1830, vers 1834), et prit des notes depuis sa cachette.
Celles-ci révèlent que le Général Jésuite préparait l’avènement d’un gouvernement mondial contrôlant la hiérarchie Catholique Romaine, le Pape, et les différentes monarchies, c’est-à-dire tous les gouvernements du monde. Tout cela est raconté dans l’ouvrage de Leone, "La Conspiration Jésuite", édité en 1848.
L’ouvrage est sorti en plusieurs langues. Il a fait le tour de l’Europe, ce qui contribua au soulèvement populaire de 1848 contre les jésuites, lors de la Seconde Révolution Française. Mais cette révolution resta sous contrôle, ses leaders furent récupérés, et l’épisode se termina par un renforcement du pouvoir des jésuites en Europe.
MARTIN : Vous dites que les Protocoles sont une émanation de l’Affaire Dreyfus (années 1890). Mais bien avant cela ont eu lieu les 25 sessions du concile de Trente (1545-1563). Pouvons-nous faire le lien qui s’impose ?
ERIC : Oui. A la fin du XIXe siècle, les jésuites étaient occupés à attiser la haine contre les juifs en Allemagne et en France. Un homme auquel il est fait référence dans l’"Histoire Universelle du Monde" de Ridpath (c’est le seul endroit où j’en ai trouvé la trace) intitula ses travaux "La solution à la question juive". Hitler, plus tard, allait y revenir, avec sa solution FINALE à la question juive. Donc, ils développaient l’antisémitisme, à la fois en Allemagne et en France.
MARTIN : Qui sont-ils donc ?
ERIC : Les jésuites. Les jésuites attisaient la haine dans ces deux pays, car ils avaient été expulsés d’Allemagne en 1872 et de France en 1880. C’est pourquoi, à travers leurs agents dans ces deux pays, ils s’en prenaient aux juifs. En France, ils déclenchèrent l’Affaire Dreyfus, dans les années 1890. Cette affaire avait plusieurs finalités. Dont celle de créer l’antisémitisme et de développer la haine des juifs en France. Je répugne à utiliser le mot antisémitisme, car les sémites ne se limitent pas aux juifs. Tout a été calculé pour déclencher la guerre avec l’Allemagne, car le capitaine Dreyfus a été accusé de trahison par voie d’espionnage pour le compte du gouvernement allemand. Tout cela était un montage.
Il fut piégé, et on l’envoya pour 10 ans à l’île du Diable, où il a souffert d’horribles tortures. Plus tard, lorsqu’il fut rapatrié, il réussit à prouver son innocence, et les jésuites furent montrés du doigt comme les artisans du complot. Après que toute la France ait été mise au courant, en 1901, les jésuites en furent de nouveau expulsés.
L’Affaire Dreyfus est l’un des cas de conspiration jésuite contre les Juifs les plus importants à l’échelle européenne, visant à déclencher une guerre entre la France et l’Allemagne. Car, en effet, il faut se souvenir que les Français détestaient les Allemands depuis la débâcle que ces derniers leur avaient infligé durant la guerre franco-prussienne de 1870. Et ils avaient soif de vengeance.
C’est pourquoi les jésuites ont attisé ce désir de vengeance du peuple et créé un différend franco-allemand, en utilisant les juifs pour faire monter à leur encontre une haine raciale, qui se manifesta en France en 1942 sous le gouvernement de Vichy, lorsque des collaborateurs aidèrent les nazis à rassembler des convois de juifs à destination d’Auschwitz. Et c’est à cette époque, en 1942 sous Pétain, que les juifs furent officiellement réadmis en France. C’est le sens de l’affaire Dreyfus.
MARTIN : Qui fut à l’origine du Concile de Trente, du Plan Secret, etc… ? Qui y avait-il, historiquement, derrière tout ça ?
ERIC : Eh bien, Diego Lainez succéda à Loyola en tant que Général Jésuite. Lainez était le Général en Second. Ce fut lui la TETE PENSANTE du Concile de Trente. Lainez, jésuite par conviction, était de race juive. Ce point est très important. Car c’est après que ce fait soit connu, en 1593, que l’Ordre décida statutairement qu’AUCUN JUIF NE POURRAIT DESORMAIS FAIRE PARTIE DE L’ORDRE. Ceci est d’une importance capitale. C’est la raison pour laquelle Weishaupt n’était pas juif. C’était contraire aux statuts de l’Ordre qu’un juif puisse en être membre.
MARTIN : Que vient faire Weishaupt dans tout cela ?
ERIC : Weishaupt était l’instigateur des Illuminati, en collaboration avec la Maison Rothschild ; il s’agissait de punir les monarques catholiques d’Europe et le Pape, pour la suppression de la Compagnie de Jésus.
Weishaupt n’a donc pas agi seul. Au mois au début, il était sous le contrôle du Général jésuite Ricci, qui décéda en 1775 en Italie. Weishaupt leur obéissait.
MARTIN : Qui était le Général jésuite Roothaan ?
ERIC : le Général jésuite Roothaan fut le Général de la Société des années 1830 au milieu des années 1850. Ce fut lui qui supervisa le Plan Secret de Chieri, que Leone surprit et au sujet duquel il écrivit.
MARTIN : C’est donc la clé de notre conversation. Et qui était Peter Beckx ?
ERIC : Peter Beckx était le Général jésuite de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ce fut lui qui donna l’ordre de couler le Titanic.
MARTIN : Parlons de cela maintenant. Comment êtes-vous arrivé à la conclusion historique que ce sont les jésuites qui ont coulé le Titanic ?
ERIC : Parce qu’ils en ont tiré avantage. Ils étaient présents, sur place, sur le navire, avant qu’il ne coule. Une organisation aussi puissante que la Compagnie de Jésus, qui jouissait d’un pouvoir colossal avant sa suppression, n’a jamais changé de cap, et a toujours visé l’établissement d’un Ordre Mondial sous l’autorité du Pape. Il est intéressant d’étudier l’histoire de l’Ordre par rapport aux crises nationales en germe – et ici, par rapport au Titanic. Posons-nous la question suivante : quand bien même on ne sait pas où ils étaient sur le moment, est-ce que la Compagnie de Jésus a tiré parti de cette histoire ? Et la réponse est oui.
Oui, parce que cet épisode a permis la fondation de la Federal Reserve Bank, qu’ils possèdent et qu’ils contrôlent, par l’intermédiaire des Chevaliers de Malte et de leurs avoirs. Ils ne possèdent jamais rien directement ; ils exercent toujours leur contrôle par le truchement d’une tierce partie digne de confiance.
Comment savons-nous que les jésuites contrôlent la Federal Reserve Bank ? Parce que la Federal Reserve Bank a servi à financer la deuxième « guerre de 30 ans » (de 1914 à 1945), au cours de laquelle tout ce qui s’est produit, absolument tout, est allé dans le sens des intérêts du Vatican.
On découvre que l’homme le plus puissant d’Irlande, le jésuite Francis Browne, était sur le Titanic où il prenait des photos de ceux qui allaient couler. Juste avant le départ de Queenstown, en Irlande, à destination de la Mer du Nord, « le prêtre chanceux quitta le navire », selon les mots de Martin Sheen, narrateur des Secrets du Titanic. Bien entendu, c’était tout sauf de la chance ; tout était planifié. Martin Sheen, qui fut Novice jésuite de St Jacques à Warnersville, en Pennsylvanie, était un proche des jésuites.
Ceux qui coulèrent étaient des juifs opulents qui s’opposaient à la création d’une banque centralisée en Amérique, en particulier John Jacob Astor, qui était un ami personnel de Louis Brandeis, de la Cour Suprême de Justice. Brandeis s’opposait lui aussi avec vigueur à la fondation d’une banque centrale.
MARTIN : Astor, Guggenheim et Straus, trois juifs qui périrent dans le naufrage du Titanic. Pourquoi accorder une importance particulière au cas d’Astor ?
ERIC : Astor était le juif le plus riche, certains prétendent même qu’il était l’homme le plus riche du monde. Il était en tout cas et sans aucun doute le juif le plus riche. Il n’avait pas davantage d’argent que le Pape, mais il était l’homme le plus riche au monde et il n’utilisait pas sa puissance dans le même sens que la Compagnie de Jésus. Plus tard, son fils, John Jacob Astor IV, s’associa au trust bancaire, ce qu’on peut vérifier sur internet ; c’est ainsi que les jésuites eurent accès à la fortune des Astor et, depuis, en ont le contrôle. A l’époque, ils se débarrassèrent d’Astor parce qu’ils convoitaient sa fortune, et parce qu’ils voulaient mettre un terme à son opposition au projet de création d’une banque centrale. En cela, ils obéissent aux Instructions Secrètes, qui prévoient qu’ils s’emparent des possessions des veuves et de ceux qui leur résistent.
C’est d’ailleurs précisément ce qu’ils firent dans "Le Juif Errant" d’Eugène Sue. Cette histoire met en scène une famille protestante française, les Rennepont, et décrit l’élimination méthodique de ses divers membres par les jésuites, visant à ce que ces derniers puissent faire main basse sur leur fortune après l’extinction de la lignée, à Paris, à un moment bien précis. Et c’était justement un juif qui gérait leur fortune. C’est pour une raison analogue qu’ils se sont débarrassé d’Astor.
MARTIN : Quelle était donc cette citation tirée du film JFK sur le Titanic ?
ERIC : Je pense qu’Oliver Stone était manipulé par les jésuites, qui contrôlent Hollywood. C’est la raison pour laquelle ils ont marqué de nombreuses parties du texte de leur empreinte.
L’une des phrases où celle-ci se manifeste est celle prononcée par Garrison lorsqu’il est assis à la table et déclare : « Messieurs, nous devons commencer à penser différemment. Nous devons penser comme la CIA. Blanc, c’est noir, et noir, c’est blanc. » Ces termes sont DIRECTEMENT issus des "Exercices Spirituels" d’Ignace de Loyola [Ignace de Loyola fut le fondateur de l’Ordre Jésuite en 1540.], lorsqu’il dit à ses adeptes qu’ils doivent suivre l’Eglise Catholique hiérarchique et croire que blanc, c’est noir, et noir, c’est blanc, si c’est ce que dit la hiérarchie. Cela provient en droite ligne des "Exercices Spirituels".
Donc, lorsque Bill, l’un des membres de l’équipe de Garrison, est approché par un agent de la CIA, et que ce dernier tente de le convaincre pour le gagner à sa cause, l’agent déclare : « Des milliers de gens vont mourir. Vous feriez mieux de vous éloigner de Garrison. Il va couler avec le Titanic. »
A cet endroit là, c’est de toute évidence un indice qui montre que ceux qui étaient derrière l’assassinat de Kennedy, et qui essayaient de brouiller les pistes de l’enquête de Garrison, étaient les mêmes que ceux qui envoyèrent le Titanic par le fond.
MARTIN : Je suis en train de lire la une d’une feuille de chou, et le titre dit : « Les sionistes khazariens sont les antéchrists. » Pourriez-vous expliquer ce qui se cache derrière un tel titre, et quel plan il annonce ?
ERIC : Nous savons que les jésuites, dans tous leurs plans, honnissent les juifs. Et là, vous dites : « Mais Eric, vous avez pourtant dit que les Jésuites avaient permis la fondation d’Israël. »
Les jésuites contrôlent les Maçons Sionistes Juifs qui contrôlent l’Israël Sioniste. Ils détestent la race juive. Et quand je parle des juifs, je ne parle pas du Judaïsme. Je ne parle pas de cette religion maléfique, qui rejette ouvertement et publiquement Jésus en sa qualité de Messie ; même Joseph a reconnu en Jésus le Messie.
ERIC : les groupuscules et milices d’extrême-droite ont tous un point commun ; ils détestent les juifs. C’est un sacré indicateur à mon sens. S’ils détestent les juifs, cela veut dire qu’on leur a inculqué la haine envers les juifs, qu’ils sont endoctrinés. Ils détestent tous les juifs ; et il en va de même pour les Black Moslems (noirs musulmans). Leur leader Louis Farrakhan brandit ouvertement les "Protocoles des Sages de Sion" et rend les juifs responsables de tous nos problèmes, et de tous les maux dont souffrent les noirs.
Les groupes d’extrême-droite sont tous contrôlés par les jésuites parce qu’ils sont tous anti-juifs, et qu’ils n’ont RIEN A DIRE AU SUJET DE L’ORDRE DES JESUITES. RIEN DU TOUT !
MARTIN : Diriez-vous que la plupart de ces mouvements d’extrême-droite ne savent rien de l’Ordre des Jésuites ?
ERIC : Pas leurs leaders en tout cas. Beaucoup de ces groupes comptent des catholiques parmi leurs membres. Aucun catholique n’ignore le pouvoir de la Compagnie de Jésus, de leur système éducatif, ni leur pouvoir de gouverner.
Nous avons Drinin au Congrès ; nous avons Mc Laughlin qui écrivait des discours pour le compte de Nixon pour 35 000 dollars par an. Nous avons des jésuites partout dans le gouvernement. Aucun Catholique Romain digne de ce nom, membre de ces mouvements d’extrême-droite, ne peut ignorer le pouvoir des Jésuites.
ILS NE VEULENT PAS EN PARLER. TOUT COMME LA PRESSE NE VEUT PAS EN PARLER.
Cette affaire Timothy Mc Veigh ? Encore un autre catholique romain irlandais sacrifié, tout comme Kennedy, tout ça pour créer un mouvement populaire contre les groupes d’extrême-droite, parce qu’un bon nombre d’entre eux sont de vrais patriotes qui aspirent à la liberté ; ils veulent conserver leurs armes ; ils veulent être libres d’éduquer leurs enfants comme bon leur semble ; ce sont des gens honnêtes, mais ils ne savent pas que leurs dirigeants sont des pantins à la botte du Vatican.
Par exemple, les Jésuites qui contrôlent Clinton, ont fomenté l’attentat à la bombe d’Oklahoma City pour justifier la croisade contre les membres de ces mouvements d’extrême-droite, conservateurs, évangélistes pour la plupart, afin de les circonscrire et les exterminer. Mais ça n’a pas marché comme prévu. Alors ils ont fait imploser le bâtiment. Ils se sont débarrassé de Timothy Mc Veigh. Tout ce massacre aurait pu être évité par un simple coup de fil de l’Archevêque de New York à l’évêque d’Oklahoma, qui aurait fait stopper tout cela.
L’objectif de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City était de faire naître un sentiment hostile à l’extrême-droite. Et leurs dirigeants, ceux qui contrôlent les organisations d’extrême-droite, trahiraient la base, tout comme les russes de l’Armée Blanche furent trahis pendant la Révolution Communiste de 1917-1922.
Leurs propres leaders les trahiraient, comme Hitler a trahi ses armées de l’Est, leur a coupé les approvisionnements, les a empêchées de prendre Moscou, et les a laissé crever de froid dans la neige russe ; tout comme Napoléon a trahi ses armées à l’Est, abandonnant 250 000 hommes ; c’est le sort qui attend nos patriotes qui sont aujourd’hui le dernier rempart contre la tyrannie dans ce pays.
MARTIN : Nous sommes presque arrivés au jour d’aujourd’hui. Mais auparavant, arrêtons-nous une minute, pour reparler de l’assassinat de JFK. Je vais citer quelques noms, ensuite nous parlerons du rôle des jésuites dans cet assassinat et du pourquoi de l’affaire.
John Mc Cone, directeur de la CIA ; le Cardinal Spellman, Archevêque de New York ; Henry Luce ; Carthe DeLouche ; et E. Howard Hunt. Pourquoi ces noms sont-ils si importants ? Quels sont leurs rapports ? Et POURQUOI montrer du doigt quelqu’un comme l’archevêque de New York, le Cardinal Sepllman, parmi tous ces gens, et faire endosser la responsabilité de l’assassinat directement au Vatican ? Comment justifier cela ?
ERIC : Nous savons que nous cherchons la trace d’une conspiration, alors nous reposons la question : à qui profite le crime ? Qui avait intérêt à la mort de JFK ? Eh bien, nous savons, de par les travaux du grand Fletcher Prouty, que JFK avait prévu de mettre un terme à la guerre du Vietnam en 1965. Nous savons également que JFK avait l’intention de mettre fin au règne de la CIA, en faisant transférer toutes leurs opérations militaires secrètes aux Chefs d’Etat-Major de l’Armée. Donc, la CIA et ceux qui voulaient poursuivre la guerre du Vietnam avaient intérêt à la disparition de JFK.
Posons maintenant la question suivante ; qui voulait la guerre du Vietnam ? Nous savons que plusieurs factions étaient pour, mais il était de notoriété que le Cardinal Spellman était lui aussi en faveur de la guerre. L’homme du Cardinal au Vietnam n’était autre que Diem. Diem était un catholique romain fasciste, qui persécutait les bouddhistes. Son frère dirigeait la Police Secrète. Diem était donc l’homme du Cardinal au Vietnam. Diem fut assassiné parce que Kennedy avait rappelé de Saïgon le représentant de la CIA.
En outre, pendant la guerre du Vietnam, le Cardinal Spellman se plaisait à visiter les différents fronts et à appeler les soldats les « soldats du Christ », selon l’expression d’Avro Manhattan, dans son œuvre « Vietnam : pourquoi y sommes-nous allés ? ». Le Cardinal Spellman voulait donc la guerre du Vietnam, et si le Cardinal la voulait, c’est que le Pape la voulait, et si le Pape la voulait, c’est que le Pape Noir, le Général Jésuite, la voulait.
MARTIN : Qui était-ce ?
ERIC : Jean-Baptiste Janssens. Il décéda en 1964. De 1964 aux environs de 1983 lui succéda Pedro Arrupe.
MARTIN : Janssens avait un plan ?
ERIC : Jean-Baptiste Janssens avait un plan, qui consistait à éliminer le plus grand nombre possible de bouddhistes, car ces derniers étaient depuis toujours les ennemis des jésuites. Quand les Jésuites investirent le Japon en 1873, que firent-ils ? Ils déclarèrent hors-la-loi la religion bouddhiste et firent en sorte que le gouvernement du Japon ne la tolère plus. Le Bouddhisme cessa d’être la religion d’état. Ils sont depuis toujours les ennemis des bouddhistes.
Par ailleurs, la guerre du Vietnam généra une dette de 220 millions de dollars, contractée au nom du peuple américain par le Congrès, qui emprunta cet argent à la Federal Reserve Bank des jésuites.
Ainsi, les jésuites s’en mirent plein les poches. Ils tuèrent nombre d’hérétiques et préservèrent la CIA. Souvenez vous, en effet : à l’origine, la CIA fut fondée par Reinhard Gehlen, un ancien général nazi, le plus sinistre de tous les généraux d’Hitler. Ce fut l’occasion d’introduire à l’Ouest tout l’appareil de renseignement nazi. De même, il fut introduit à l’Est via le KGB. On les appelait « les combattants de la liberté » ; en vérité, ces SS et ces nazis travaillaient pour le KGB. Il suffisait au Général Jésuite de contrôler le KGB pour contrôler la CIA.
Kennedy avait découvert le pot aux roses. De plus, il réprouvait le système des coupons de l’école publique, système dont George Bush est un ardent défenseur. Le Vatican veut que les contribuables américains financent les écoles catholiques, car voyez-vous, le Catholicisme Romain, s’il est laissé à lui-même, sans assistance gouvernementale, s’écroule. Il n’a rien à offrir. Pas de liberté d’expression, pas de liberté de presse.
LES CATHOLIQUES NE POSSEDENT PAS UN METRE CARRE DES BIENS FONCIERS DE L’EGLISE. ILS NE POSSEDENT PAS LA MOINDRE BRIQUE DE LEUR EGLISE. TOUT EST AUX MAINS DE LA HIERARCHIE.
Ils doivent se contenter d’obéir à leur hiérarchie, et en Amérique ce point laisse encore à désirer.
Les Catholiques ne veulent pas de ça en Amérique. La plupart d’entre eux jouissent de la liberté de presse et d’expression, et sont libres de faire des bénéfices ; tout ce dont le Vatican ne veut pas. L’Amérique du Sud et l’Amérique Centrale en sont l’exemple vivant.
MARTIN : Alors, comment expliquez-vous que la lumière sur l’affaire Kennedy n’ait jamais été faite, autrement que par le fait qu’on ait fait taire 100 à 200 personnes qui savaient quelque chose affaire ?
ERIC : A cause de l’antenne américaine des Chevaliers de Malte, qui comptait parmi ses membres des agents du FBI… Ils contrôlent la presse ! Et à l’époque, ils contrôlaient CBS par l’intermédiaire d’un nommé Frank Shakespeare, qui était Chevalier de Malte. Les Chevaliers contrôlent ABC, CBS, NBC et Time/Life.
J’ajouterais également, suite à la publication de l’interview du « Pape Noir » que nous avons fait en Mai 2000, et aux deux manuscrits que j’ai écrits depuis lors, que je n’ai reçu aucun e-mail ni n’ai été contacté de quelque façon que ce soit par un Catholique Romain, indigné que je puisse prétendre que le Cardinal Spellman ait pu agir de la sorte. Par contre, les jésuites clandestins que nous connaissons sont entièrement d’accord et confirment que c’est comme cela que ça s’est passé.
MARTIN : Parlons de l’Opus Dei si vous le voulez bien. Nous avons été accusés de laisser l’Opus Dei tirer les ficelles à l’arrière-plan, derrière le Vatican qui ne serait qu’une simple vitrine du pouvoir, et donc derrière les Jésuites. Avons-nous donc comploté pour éviter toute référence à l’Opus Dei dans nos discussions ?
ERIC : Non. L’Opus Dei est une organisation subordonnée au Pape, qui contrôle les Chevaliers de Malte, et c’est pourquoi on trouve des Chevaliers de Malte au sein de l’Opus Dei.
Les Jésuites contrôlent l’Opus Dei à travers la hiérarchie papale et au travers des Chevaliers de Malte. L’Opus Dei compte parmi ses membres des hommes d’affaire et des politiciens Catholiques Romains de premier ordre, qui se consacrent à l’ « œuvre de Dieu » (c’est la signification d’ « Opus Dei ») afin de faire du Pape le Monarque Universel du monde, gouvernant l’humanité depuis le Temple de Salomon, reconstruit à Jérusalem.
A titre d’exemple, l’ancien dirigeant du FBI, Louis Freeh, était membre de l’Opus Dei.
On comprend mieux l’incident de Waco, où furent exterminés tous ces Protestants blancs; c’était l’œuvre d’Opus Dei. D’ailleurs, un des membres de l’équipe d’intervention, le tireur d’élite Lon Horiuchi, était un Catholique Romain japonais.
L’Opus Dei est résolu à mettre sur pied un Gouvernement Mondial sous l’égide du Pape. L’Opus Dei fut fondé au XX° siècle, alors que l’Ordre des Chevaliers de Malte fut fondé au XI° siècle, et les Jésuites au XVI° siècle, par Ignace de Loyola en 1540. Aussi, la société ultra-secrète des Jésuites, qui contrôle les Chevaliers de Malte, existait environ 500 ans avant l’Opus Dei. L’Opus Dei, de même que les Chevaliers de Columbus, est une organisation subalterne de la Compagnie de Jésus.
MARTIN : De qui est composé le Collège de Cardinaux qui élit le Pape ?
ERIC : Le Collège des Cardinaux est VRAIMENT comme le Sénat Romain. Le Pape n’est autre que le César. Et ce César militaire est élu par les Sénateurs Romains, qui choisissent leur leader pour ce qui sera le Gouvernement Mondial du 7e César Romain, dont l’avènement est à venir. Et donc, ceux chargés de l’élection sont les Cardinaux.
MARTIN : Le Pape actuel, en tout cas, est plutôt considéré comme un homme fragile. A t-il bien servi leur cause ? Est-ce pour cette raison qu’il a été autorisé à rester aussi longtemps en place ? ERIC : Il a été très bien. Il a parfaitement servi la cause jésuite. Le prétendu schisme entre Arrupe et lui, la suppression de la Théologie de la Libération des jésuites en Amérique Centrale, tout cela n’est que mise en scène pour le grand public. Ce Pape est totalement inféodé au pouvoir de la Compagnie de Jésus.
La Compagnie de Jésus à démontré son pouvoir lors de Guerres Napoléoniennes, l’assassinat du Pape Pie VI, l’emprisonnement puis le rétablissement de Pie VII.
LA COMPAGNIE DE JESUS EST OMNIPOTENTE LORSQU’IL S’AGIT DE LA PAPAUTE, ET C’EST ELLE QUI DETIENT LE POUVOIR.
De même qu’Hitler avait conçu son Troisième Reich autour de la Papauté, la Police Secrète et les SS étaient modelés selon les jésuites, eux-mêmes étant la Police Secrète de l’Empire du Vatican. Ils sont les garants de l’ordre. Sans la Compagnie de Jésus, ce seraient le Vatican, la Papauté et toute la hiérarchie qui partiraient en lambeaux.
MARTIN : Qui a délivré la Bulle Papale qui supprimait la Compagnie de Jésus ?
ERIC : Le Pape Clément XIV. MARTIN : Parlons-en.
ERIC : Le Pape Clément XIV était un Franciscain. Il s’appelait Ganganelli. Il fut élu Pape grâce à l’influence des monarques Bourbons – le Roi Bourbon d’Espagne, le Roi Bourbon de France, et les Braganzas du Portugal. Ceux-ci affirmaient que viendrait un Pape qui supprimerait la Compagnie de Jésus, car les Jésuites amassaient des fortunes en Amérique du Sud, sans jamais reverser le moindre denier aux rois d’Espagne et du Portugal.
MARTIN : Comment faisaient-ils pour amasser tout cet or en Amérique du Sud ?
ERIC : Ils se servaient de leurs Réductions.
MARTIN : Qu’est -ce donc que cela ?
ERIC : Les Réductions sont des villages coopératifs ; comme les Kibboutz en Israël ou les Sovkhozes en Russie.
MARTIN : A quelle époque cela se passait-il ?
ERIC : C’était dans les années 1600-1750, pendant environ 150 ans de ‘Réductions’, que des Indiens Guarani vêtus de pagnes, fournissaient la main d’œuvre pour l’exportation de toutes les denrées du Paraguay, que les Jésuites expédiaient dans le monde entier dans leurs « navires noirs », ce qui générait des profits colossaux qui leur permirent d’établir des banques en Europe et de financer des guerres. L’un des projets qu’ils financèrent fut celui des guerres napoléoniennes.
MARTIN : Ce Pape, Ganganelli, supprima la Compagnie de Jésus par une Bulle ?
ERIC : Tout à fait. "Dominus Ac Redemptor". C’était le nom formel de la Bulle.
MARTIN : Qu’est-ce qu’une Bulle ?
ERIC : Une Bulle est un document légal par lequel le Pape s’exprime de la manière la plus forte qu’il puisse le faire. Elle est scellée avec le « sceau du pêcheur ». Un simple ‘décret’ ne comporte pas de sceau. Un décret est une pièce de moindre importance, qui peut être annulé par une Bulle.
MARTIN : Alors, ce Pape, en 1773, émit la Bulle qui devait éliminer à tout jamais la Compagnie de Jésus ?
ERIC : A tout jamais ! Après 4 ans d’enquête sur toutes leurs intrigues, leur pouvoir, leurs richesses, leurs biens fonciers, après 4 ans d’enquête, l’Ordre fut aboli par Clément XIV. Et rappelez-vous, Clément XIII était sur le point de faire la même chose, quand il fut empoisonné la nuit précédant la parution. C’est alors que Clément XIV arrive au pouvoir et qu’après 4 années d’investigation, il les supprime. Et ce faisant, il déclara : « Cette suppression signera mon arrêt de mort. »
MARTIN : Et ce fut le cas.
ERIC : En effet. 4 mois plus tard, il mourut. Il fut empoisonné par les jésuites avec un poison nommé Aquetta. C’est un poison lent qui lui causa de terribles, d’atroces douleurs intestinales. Lorsqu’il fut embaumé, ses intestins explosèrent, de sorte qu’on ne put pas voir ce Pape dans son cercueil ouvert. La chair se détachait de ses doigts ; ses ongles noircissaient ; puis sa peau noircit également, et ses cheveux tombèrent ; c’est pourquoi ils décidèrent de ne pas laisser le Pape à la vue de tous dans son linceul. Aussi fermèrent-ils le cercueil.
MARTIN : Alors cette Bulle Papale, qui condamnait la Compagnie de Jésus à un démantèlement permanent, fut par la suite cassée ?
ERIC : Effectivement.
MARTIN : Comment une interdiction permanente de l’Ordre a-t-elle pu devenir caduque ?
ERIC : Les jésuites ont opposé l’argument selon lequel il ne s’agissait pas d’une Bulle. Et ce, malgré les déclarations de Thompson dans ses Empreintes des Jésuites et celles de Cusack dans le Pape Noir, qui confirment qu’il s’agissait bien d’une Bulle, Thompson expliquant qu’elle se trouvait dans la Librairie des Bulles à Rome. Bien que ce soit une Bulle, les jésuites prétendirent que c’était un décret. Aussi le Pape Pie VII les réhabilita-t-il par le biais d’une Bulle qui « annulait le décret ». Voilà leur version.
MAIS LE FAIT EST QUE LEUR DEMANTELEMENT PROCEDAIT BIEN D’UNE BULLE, ET QUE LEUR REHABILITATION (arrangée) S’EST EGALEMENT OPEREE PAR UNE BULLE.
MARTIN : Oui. Nous nous indignons à corps et à cris, mais nous n’y pouvons plus grand chose. Comment les jésuites, en Angleterre, transmettent-ils leurs instructions à la Reine ? Quel est le siège de leur pouvoir en Angleterre ?
ERIC : Je crois que le siège de leur pouvoir en Angleterre est l’Université de Stonyhurst. Un Lord anglais, Sir Thomas Well, a fait don de Stonyhurst aux jésuites en 1795, je crois bien (à peu près à l’époque de la Révolution Française et juste avant les Guerres Napoléoniennes).
Stonyhurst devint leur fief, la forteresse depuis laquelle ils pourraient contrôler toute l’Angleterre. Ils s’introduisirent en Angleterre, et furent aidés en cela par le roi George III. Le Roi George était proche des jésuites. Depuis cette époque, tous les monarques anglais le sont devenus. Le Roi George régna pendant un bon moment ; environ une quarantaine d’années, je pense. Et la Reine Victoria fit de même ; elle gouverna de 1837 à 1901.
Ainsi, sous les règnes de George et de Victoria, ils prirent le contrôle total de l’Angleterre à travers Stonyhurst. Aujourd’hui ils contrôlent l’Angleterre depuis l’Institut Royal des Affaires Internationales. Et le Cardinal, par l’intermédiaire duquel ils gouvernent, est l’Archevêque de Westminster.
Ils ont donc l’Archevêque de Westminster en Angleterre, et l’Archevêque de New York aux Etats-Unis. Ils contrôlent l’Angleterre depuis Stonyhurst. Ils contrôlent les Etats-Unis depuis Georgetown et Fordham. Ils contrôlent l’Angleterre depuis l’Institut Royal des Affaires Internationales. Ils contrôlent les Etats-Unis depuis le Conseil des Relations Etrangères.
Le système est identique dans les deux pays car il s’agit d’un Empire, celui du Vatican. C’est de cette façon qu’ils gouvernent.
En Russie, ils contrôlent Moscou par l’entremise du Patriarche de l’Eglise Arménienne. Ce Patriarche est le pendant des Archevêques de Londres et de New York. Et à Moscou, c’est le Patriarche qui supervise le KGB et l’inquisition locale, c’est-à-dire le goulag. Le Patriarche Agagianian fut nommé Cardinal par le pape Pie XII la même année que Spellman fut fait Cardinal de l’Empire Américain.
MARTIN : Et la Mafia dans tout ça ?
ERIC : La Mafia est aux mains de Catholiques Romains Italiens, Siciliens à l’origine. Et la Mafia prend en charge toute la branche du crime organisé. Ils s’occupaient de la gnôle avant sa légalisation. Ils ont pris en charge la prostitution, le business de la drogue et la vente d’armes, et tout cela est organisé par le Vatican, à travers les dynasties de la Mafia (les cinq familles mafieuses de New York). C’est intéressant de noter que la Commission Mafieuse à New York est située non loin de l’Archevêché de New York. Ainsi, l’Archevêque est à proximité des caïds de la pègre.
Spellman a utilisé la pègre pour l’invasion de la Sicile, en se servant de Lucky Luciano ; c’était l’Opération Underworld. Spellman et Luciano travaillèrent ensemble à l’« invasion navale réussie » de la Sicile ; c’est la raison pour laquelle Spellman fit usage de son influence pour faire relâcher Luciano en 1946 et le laisser retourner en Italie. C’est ça, les rapports de Spellman avec la pègre. Et si le Cardinal Spellman jouissait d’un tel pouvoir, chaque Cardinal qui lui succéda hérita de ce même pouvoir. Il n’y a aucune déperdition.
Une belle démonstration des liens qu’entretenait l’Archevêque de New York avec la pègre est le cas de Frank Sinatra. Frank Sinatra était un proche de Gambino. Gambino fut assassiné lors d’une vaccination, par une injection de grippe. Ils voulaient s’en débarrasser, et ils le liquidèrentd’une injection de grippe. Frank Sinatra était lui aussi Chevalier de Malte, c’est-à-dire sujet de l’Archevêque de New York. C’est en effet l’Archevêque qui contrôle les Chevaliers de Malte. Frank Sinatra, l’un des leurs, est ami avec un ponte de la mafia.
MARTIN : Parlons de la princesse Diana. Pensez-vous que les jésuites aient quelque chose à voir avec sa disparition ?
ERIC : Assurément, car ce sont les jésuites qui contrôlent les Services Secrets Britanniques.
MARTIN : En quoi représentait-elle une menace pour les jésuites ?
ERIC : En ce sens que si elle avait épousé un musulman, Dodi Al-Fayed, cela aurait fait vaciller le trône d’Angleterre, car elle pouvait faire valoir ses droits à travers ses enfants. Parce que si ses fils avaient occupé un jour le trône britannique, et si elle avait été en vie et mariée à un prince musulman, cela aurait posé un réel problème en Angleterre. Car chacun sait que la Reine Mère exerce une influence non négligeable sur le Roi. Il y aurait eu par conséquent une influence islamique sur la Reine, qui à son tour l’aurait tranmise à son fils, l’actuel Prince, voué à devenir Roi.
MARTIN : Vous pensez donc que les instances de la Compagnie de Jésus savaient qu’elle attendait un enfant de Dodi ?
ERIC : Je pense, oui ; et c’est pour cela qu’ils l’ont éliminée. Ce faisant, ils ont envoyé un message fort au reste de la noblesse britannique, en substance « si vous faites de même, voici ce qui vous arrivera. » Plus tard, elle fut inhumée dans la propriété des Windsor, dans le cimetière où seuls les chiens sont enterrés. Elle a été enterrée avec des chiens.
MARTIN : Quel en est le symbolisme ?
ERIC : Elle n’était qu’une « chienne musulmane » à leurs yeux.
MARTIN : dans le numéro de juin 2001 de The SPECTRUM, nous avons publié un article de Sherman Skolnick dans lequel il ne mentionne pas seulement les jésuites, mais nous révèle l’incroyable puissance financière, le pouvoir et le contrôle exercé en Californie et ailleurs par la Mafia japonaise, les Yakuza. Y a-t-il un lien quelconque entre les Yakuza et les Jésuites ?
ERIC : Absolument. Les Jésuites contrôlent les Yakuza. Pour comprendre comment, il faut remonter à l’histoire du Japon. En 1619, le Japon expulsa magnifiquement et justement tous les jésuites de son Empire. Les jésuites se virent interdire à tout jamais l’entrée sur le territoire japonais ! Ensuite, les japonais renvoyèrent les portugais, puis les espagnols. Les seuls qui purent continuer à commercer avec le Japon furent les hollandais, les Protestants hollandais. Mais lorsque les jésuites commencèrent à prendre le contrôle de notre pays, ils prirent le contrôle de Polk. Et Polk fut celui qui envoya le Commodore Perry au Japon.
MARTIN : En quelle année ?
ERIC : 1853-1854. C’est à cette époque qu’il ouvrit le Japon au commerce international. Les « étrangers » purent de nouveau entrer au Japon. Ils entreprirent de déclencher une agitation populaire et une révolution. L’Empereur régnant du Japon, un jeune homme de 35 ans, voulut se débarrasser des jésuites, mais il fut assassiné.
Selon Ryu Ohta, mon ami japonais, on raconta aux japonais qu’il avait été assassiné par la Maison de Sassoon (les Juifs). Mais en réalité, l’Empereur fut assassiné par les jésuites, et son fils devait devenir l’Empereur du Japon de 1873 à 1912 et le grand-père du futur Hiro Hito.
Cet Empereur était un jeune garçon lorsqu’il accéda au pouvoir. Et il régna pendant toutes ces années. Les jésuites en profitèrent pour destituer le Bouddhisme de son statut de religion d’état et pour s’arroger progressivement tous les pouvoirs en exerçant leur contrôle sur la dynastie, puis utilisèrent le Japon pour déclencher une guerre avec les Etats-Unis dans le but d’éliminer le maximum de bouddhistes en Extrême-Orient et d’affaiblir les protestants américains. Ils réussirent par exemple à faire massacrer les missionnaires protestants d’Extrême-Orient, alors que de leur côté les missionnaires catholiques ne furent jamais inquiétés par l’Armée Japonaise. Ceci est d’ailleurs tiré du magazine jésuite America, écrit et publié en 1943 ou 1944. C’est comme ça que les jésuites assirent leur pouvoir sur l’Empereur, et partant, sur les Yakuza. Depuis, les jésuites détiennent le pouvoir et entendent le conserver. Ils se sont arrangés pour contrôler Hiro Hito, et aujourd’hui, ils supervisent les Yakuza, au Japon et en Californie. MARTIN : Il existe un livre appelé le Tai Pan, écrit il y a fort longtemps. Le Tai Pan, symboliquement, ne serait-il pas l’équivalent du Pape Noir ?
ERIC : En effet. C’est une Société Secrète. C’est une Société Secrète japonaise qui gouverne dans les faits.
MARTIN : Théoriquement ils gouvernent en toute indépendance.
ERIC : Ils gouvernent conjointement avec le Monarque.
MARTIN : Serait-ce lui le vrai Pape Noir ?
ERIC : Le Pape Noir. Souvenez-vous que le Pape Noir a la mainmise sur le Monarque du Japon.
MARTIN : Nous devons expliquer que la Compagnie de Jésus n’est PAS un ordre religieux, c’est un ORDRE MILITAIRE.
ERIC : C’est bien ça. Quand ils endossent la tenue de circonstance pour s’introduire dans un pays et y parler du Christ, de Dieu et de religion, ce qu’ils veulent en réalité, c’est s’approprier le pouvoir et les richesses, et soumettre chaque pays au pouvoir temporel, Terrestre et politique du Pape.
MARTIN : Je ne voudrais pas faire de hors-sujet, mais ne pourrait-on pas dire « Avec les Juifs comme avec les Yakuza. » ?
ERIC : Tout à fait. Avec les Maçons Juifs Sionistes comme avec les Maçons Yakuza. Ils sont tous Maçons. La Maçonnerie unifie les religions en une seule.
MARTIN : Les jésuites tirent les ficelles ?
ERIC : Ils tirent les ficelles car ce sont eux qui ont écrit les rites maçonniques.
MARTIN : Sur quoi vous appuyez-vous pour dire cela ?
ERIC : Nous savons que les Jésuites ont rédigé les 25 premiers degrés du Rite Ecossais de Franc-Maçonnerie, depuis le Collège de Clermont, qui devint le Collège Louis Le Grand, à Paris. Les Jésuites ont rédigé ces rites en 1754. Je crois que le Chevalier Ramsey en était, ainsi que le Chevalier de Bonneville. Vous rappelez-vous les automobiles Bonneville et Pontiac ? C’étaient des jésuites. Et nous avons ce cher Adam Weishaupt, qui était jésuite et maçon. Et il y avait aussi les Rothschild Lucifériens.
Nous savons que Pedro Arrupe était Maçon, lui qui était Général Jésuite. Pedro Arrupe était Maçon et membre du Parti Communiste Espagnol. Nous savons également que les jésuites étaient impliqués dans la rédaction des 8 derniers degrés du Rite Ecossais de la Franc-Maçonnerie.
MARTIN : Tenons-nous en aux Yakuza. Selon Skolnick, les Yakuza sont à la tête de très nombreuses affaires dans ce pays, et ils détiennent et contrôlent de très nombreuses banques en Californie et ailleurs. Mais êtes-vous en train de dire que ce n’est qu’une façade ?
ERIC : Ce n’est en effet qu’une façade, comme celle de n’importe quelle autre mafia, comme la mafia italienne, qui reste la toute première en termes de crime organisé.
MARTIN : Et dont J. Edgar Hoover, fondateur du FBI déclarait qu’elle n’avait « jamais existé. » !
ERIC : Exactement. Pure sottise. C’est juste une façade. Ils gèrent les biens fonciers et l’argent du Vatican.
MARTIN : Les Yakuza seraient donc la tierce partie de confiance dont nous parlions ?
ERIC : C’est tout à fait ça, ils sont la tierce partie de confiance. Et je serais également tenté de croire qu’il y a un rapport avec le meurtre de Bruce Lee. Bruce Lee ne cadrait pas avec l’Eglise Catholique.
MARTIN : Et il parlait trop.
ERIC : Il révélait certains secrets des arts martiaux, etc, et il ne s’entendait pas avec le Vatican. Rappelez-vous qu’il s’était querellé avec Hollywood, et que la plupart de ses films étaient réalisés à Hong Kong.
MARTIN : Et son fils avait trouvé la mort peu de temps auparavant.
ERIC : Son fils avait également été tué sur un plateau de tournage. Son fils savait quelque chose. Et bien évidemment, comme Jackie Kennedy, Linda Lee se réfugia dans le mutisme. Il y a là deux meurtres dans lesquels les Sociétés Secrètes sont impliquées.
MARTIN : Vous êtes peu loquace au sujet de Bobby Kennedy. Vos recherches ont-elles livré des noms de personnages impliqués dans l’assassinat de Bobby Kennedy ?
ERIC : Eh bien, nous savons que l’Officier Thane Eugene Cesar est celui qui a appuyé sur la gâchette et l’a atteint à l’arrière du crâne avec un vingt-deux. Et l’Officier Cesar était employé de la Lockheed Corporation. Ce sont les Jésuites qui, selon Avro Manhattan, contrôlent Lockheed.
Et, de la même façon que Lee Iacocca dépêche son Chef de la Sécurité pour convoyer la limousine criblée de balles de Kennedy de Washington à Cincinnati pour la faire réparer, je ne sais plus quel Chevalier de Malte responsable de la Lockheed Corporation mandate l’Officier Cesar pour assurer la sécurité de Robert F. Kennedy, lequel le tue par balle.
MARTIN : Que pouvez-vous nous dire à propos d’Earl Warren ?
ERIC : Earl Warren était manipulé par les jésuites lorsqu’il était gouverneur de la Californie. Earl Warren fut l’un des sinistres théoriciens de cet effroyable système japonais de camp de concentration. C’était sa création. Il a déclenché les mouvements anti-japonais pendant la IIe guerre mondiale. Les japonais sont dans l’ensemble des gens honnêtes, pacifiques et respectueux des lois. On leur a pris toutes leurs fermes. Le contrôle qu’ils exerçaient sur la production leur a été ôté par des corporations Catholiques Romaines, détenues par des Chevaliers de Malte, exactement comme c’était arrivé aux Indiens d’Amérique. Ils pénétrèrent jusque dans leurs cimetières pour voler tout leur or, avant de l’expédier à Rome sous couvert de leurs missions.
Donc, Earl Warren était mouillé dans tout ça. Comme c’était un sujet obéissant, ils le nommèrent à la Cour Suprême. Il était le Président du Tribunal. Il était Maçon du 33e degré, impliqué dans l’assassinat de Kennedy, et avec la décision de la Cour Suprême de 1966, il poussa à l’amalgame, à un mélange forcé des races, et à l’intégration avec l’affaire Brown contre le Ministère de l’Education en 1954.
MARTIN : Je vais vous poser maintenant une question très importante, que beaucoup de gens se posent : qu’est-ce qui pourrait empêcher nos lecteurs de se dire que vous êtes peut-être simplement en train de substituer le mot JUIF par le mot JESUITE pour ce qui est de provoquer la haine et l’animosité envers les jésuites ? Qu’est-ce qui nous prouve le contraire ?
ERIC : Eh bien, pour commencer, il y a une différence essentielle entre la Compagnie de Jésus et la race juive.
Nous ne savons pas exactement ce qu’est la race juive. Pour ma part, je ne le sais pas. Je pense simplement que Dieu, lui, sait. Mais il s’agit d’une civilisation très active dans le commerce et les affaires, et ils ont leur propre culture, leurs communautés.
Les jésuites, eux, sont une armée. Ce sont des soldats. Ils sont sous serment. Lorsque vous recevez l’enseignement du 4e degré, on vous donne les Instructions Secrètes.
Selon un autre gentleman, il existe un degré au-delà du quatrième, qui relève du luciféranisme absolu. C’est ce que disait Jim Arrabito, qui décéda mystérieusement dans un accident d’avion en Alaska le 2 septembre 1990. Jim Arrabito était un des leaders des Adventistes du Septième Jour, et il connaissait parfaitement l’histoire des jésuites. Quoi qu’il en soit, la différence entre les juifs et les jésuites tient essentiellement au fait que les premiers sont un peuple, et les seconds un Ordre fermement résolu à inféoder toutes les nations au pouvoir papal.
MARTIN : Alors qu’y a-t-il de si différent dans ce que vous dites ? Si ce n’est pas juste une théorie conspirationniste de plus, c’est donc que vous avez des éléments pour étayer vos propos et prouver que ce n’est pas simplement le fruit de votre imagination ?
ERIC : D’autres ont déjà prouvé les faits. Je ne fais que répéter ce qu’ils ont déjà dit. Si vous lisez le Pape Noir de Cusack, elle ne fait que dire la même chose. C’était une nonne, convertie à l’évangélisme en 1896.
MARTIN : Qu’est-ce qui lui confère autant d’importance ?
ERIC : Parce qu’en tant que nonne, elle était intimement liée aux prêtres, et plus particulièrement aux jésuites, avant de se convertir à l’évangélisme. Elle savait ; elle a vécu ça de l’intérieur.
MARTIN : Pourquoi ce livre est-il si important ?
ERIC : Parce qu’il a été retiré et subtilisé de toutes les bibliothèques du monde ! Il n’en reste à ma connaissance qu’un exemplaire qui soit à la portée du public, au British Museum.
MARTIN : en substance, vous dites que les idées force que vous défendez, et les conclusions que vous en tirez, sont étayées par les dires d’experts en histoire des deux siècles écoulés ? Ce n’est donc pas que votre avis ?
ERIC : Absolument. Je ne fais que m’appuyer sur des géants. Ce sont des personnages extrêmement brillants. Nicolini, un Catholique Romain, converti à l’évangélisme, impliqué dans la révolution italienne de 1848, il a dû s’enfuir et s’exiler en Angleterre, où il écrivit sa grande Histoire des Jésuites, prévenant l’Angleterre que si ces derniers cherchaient déjà à détruire le pays sous Elizabeth, ils continueraient sans aucun doute sous Victoria.
Nous avons aussi le Theodor Griesinger, l’allemand qui écrivit Les Jésuites comme une histoire racontée à son peuple (823 pages de documentation sur leurs faits et gestes dans tous les pays). Et j’ai appris plus tard que c’était lui qui avait dit que les jésuites pourraient bien planifier une autre Guerre de Trente Ans. C’est ce qu’il écrivit en 1873.
Donc, ces personnages ont clarifié et rendu évidents les buts et le pouvoir de la Compagnie de Jésus. Personne, au vingtième siècle, n’a écrit l’histoire intégrale de ce qu’ils ont accompli entre 1900 et 2000. Je souhaiterais vraiment que quelqu’un possédant ce savoir, connaissant la grammaire et l’orthographe, et étant capable de s’exprimer en une prose agréable, puisse ce faire et couche sur papier une histoire moderne de leurs agissements. Ridpath s’en approcha, mais il acheva son travail au milieu des années 1850, avec l’Histoire Universelle. Aucun historien digne de ce nom n’a réalisé ce travail pour nous depuis lors.
MARTIN : Comment cela se fait-il ?
ERIC : Parce que ces jésuites tiennent tous les collèges et universités sous leur coupe. Et ces universités se verront refuser leurs demandes de bourses s’ils commencent à révéler la Compagnie de Jésus sous son vrai jour.
Maintenant, avec toutes ces lois « bien pensantes », tout ce qui pourra être dit en toute honnêteté sur les jésuites sera récupéré en vue d’être transformé en un crime de pensée, et cela ne correspond pas à ce que nous faisons. Nous ne faisons que dire la vérité.
MARTIN : Quelle solution proposez-vous pour résoudre le problème jésuite aux Etats-Unis ? Que voudriez-vous voir se produire dans ce pays ?
ERIC : J’aimerais voir se produire la même chose qu’en Angleterre au 16e siècle, où plusieurs jésuites abandonnèrent l’Ordre. C’étaient des jésuites intelligents et puissants, impliqués dans la conspiration visant à renverser l’Angleterre.
Ils révélèrent au pouvoir en place ce qu’ils étaient censés accomplir, et en réaction, le gouvernement anglais expulsa les Jésuites de l’ensemble de ses territoires, parce qu’ils étaient considérés comme des traîtres et des conspirateurs dangereux pour le trône d’Angleterre et l’indépendance nationale ; un pays doit être dirigé par son propre peuple.
La solution consisterait à expulser les jésuites, à les déclarer hors-la-loi et à les bannir.
Un délai de grâce pourrait être aménagé, pendant lequel les jésuites repentants pourraient être pardonnés, à condition de raconter ce qu’ils savent. Mais pourquoi les jésuites se repentiraient-ils si ce gouvernement est contrôlé par le Conseil des Relations Extérieures, qui est lui-même sous contrôle jésuite ? Le gouvernement national – et le gouvernement mondial - est contrôlé par les jésuites à travers la pègre et la maçonnerie de haut rang.
Selon un autre gentleman, il existe un degré au-delà du quatrième, qui relève du luciféranisme absolu. C’est ce que disait Jim Arrabito, qui décéda mystérieusement dans un accident d’avion en Alaska le 2 septembre 1990. Jim Arrabito était un des leaders des Adventistes du Septième Jour, et il connaissait parfaitement l’histoire des jésuites. Quoi qu’il en soit, la différence entre les juifs et les jésuites tient essentiellement au fait que les premiers sont un peuple, et les seconds un Ordre fermement résolu à inféoder toutes les nations au pouvoir papal.
MARTIN : Alors qu’y a-t-il de si différent dans ce que vous dites ? Si ce n’est pas juste une théorie conspirationniste de plus, c’est donc que vous avez des éléments pour étayer vos propos et prouver que ce n’est pas simplement le fruit de votre imagination ?
ERIC : D’autres ont déjà prouvé les faits. Je ne fais que répéter ce qu’ils ont déjà dit. Si vous lisez le Pape Noir de Cusack, elle ne fait que dire la même chose. C’était une nonne, convertie à l’évangélisme en 1896.
MARTIN : Qu’est-ce qui lui confère autant d’importance ?
ERIC : Parce qu’en tant que nonne, elle était intimement liée aux prêtres, et plus particulièrement aux jésuites, avant de se convertir à l’évangélisme. Elle savait ; elle a vécu ça de l’intérieur.
MARTIN : Pourquoi ce livre est-il si important ?
ERIC : Parce qu’il a été retiré et subtilisé de toutes les bibliothèques du monde ! Il n’en reste à ma connaissance qu’un exemplaire qui soit à la portée du public, au British Museum.
MARTIN : en substance, vous dites que les idées force que vous défendez, et les conclusions que vous en tirez, sont étayées par les dires d’experts en histoire des deux siècles écoulés ? Ce n’est donc pas que votre avis ?
ERIC : Absolument. Je ne fais que m’appuyer sur des géants. Ce sont des personnages extrêmement brillants. Nicolini, un Catholique Romain, converti à l’évangélisme, impliqué dans la révolution italienne de 1848, il a dû s’enfuir et s’exiler en Angleterre, où il écrivit sa grande Histoire des Jésuites, prévenant l’Angleterre que si ces derniers cherchaient déjà à détruire le pays sous Elizabeth, ils continueraient sans aucun doute sous Victoria.
Nous avons aussi le Theodor Griesinger, l’allemand qui écrivit Les Jésuites comme une histoire racontée à son peuple (823 pages de documentation sur leurs faits et gestes dans tous les pays). Et j’ai appris plus tard que c’était lui qui avait dit que les jésuites pourraient bien planifier une autre Guerre de Trente Ans. C’est ce qu’il écrivit en 1873.
Donc, ces personnages ont clarifié et rendu évidents les buts et le pouvoir de la Compagnie de Jésus. Personne, au vingtième siècle, n’a écrit l’histoire intégrale de ce qu’ils ont accompli entre 1900 et 2000. Je souhaiterais vraiment que quelqu’un possédant ce savoir, connaissant la grammaire et l’orthographe, et étant capable de s’exprimer en une prose agréable, puisse ce faire et couche sur papier une histoire moderne de leurs agissements. Ridpath s’en approcha, mais il acheva son travail au milieu des années 1850, avec l’Histoire Universelle. Aucun historien digne de ce nom n’a réalisé ce travail pour nous depuis lors.
MARTIN : Comment cela se fait-il ?
ERIC : Parce que ces jésuites tiennent tous les collèges et universités sous leur coupe. Et ces universités se verront refuser leurs demandes de bourses s’ils commencent à révéler la Compagnie de Jésus sous son vrai jour.
Maintenant, avec toutes ces lois « bien pensantes », tout ce qui pourra être dit en toute honnêteté sur les jésuites sera récupéré en vue d’être transformé en un crime de pensée, et cela ne correspond pas à ce que nous faisons. Nous ne faisons que dire la vérité.
MARTIN : Quelle solution proposez-vous pour résoudre le problème jésuite aux Etats-Unis ? Que voudriez-vous voir se produire dans ce pays ?
ERIC : J’aimerais voir se produire la même chose qu’en Angleterre au 16e siècle, où plusieurs jésuites abandonnèrent l’Ordre. C’étaient des jésuites intelligents et puissants, impliqués dans la conspiration visant à renverser l’Angleterre.
Ils révélèrent au pouvoir en place ce qu’ils étaient censés accomplir, et en réaction, le gouvernement anglais expulsa les Jésuites de l’ensemble de ses territoires, parce qu’ils étaient considérés comme des traîtres et des conspirateurs dangereux pour le trône d’Angleterre et l’indépendance nationale ; un pays doit être dirigé par son propre peuple.
La solution consisterait à expulser les jésuites, à les déclarer hors-la-loi et à les bannir.
Un délai de grâce pourrait être aménagé, pendant lequel les jésuites repentants pourraient être pardonnés, à condition de raconter ce qu’ils savent. Mais pourquoi les jésuites se repentiraient-ils si ce gouvernement est contrôlé par le Conseil des Relations Extérieures, qui est lui-même sous contrôle jésuite ? Le gouvernement national – et le gouvernement mondial - est contrôlé par les jésuites à travers la pègre et la maçonnerie de haut rang.
Undercover, numéro 14. Année 2005.