Les Jésuites, surnommés « Robes Noires », incarnent une puissance occulte d’envergure mondiale. Depuis leur fondation par Ignace de Loyola, leur influence s’étend bien au-delà du domaine religieux, infiltrant les sphères géopolitiques et financières. Leur mission, marquée par des pratiques spirituelles controversées, comme les Exercices Spirituels, agit comme un puissant outil de manipulation mentale, façonnant des individus prêts à servir un programme global.
L’histoire troublante d’Ignace de Loyola, empreinte de mysticisme et de possession spirituelle, a marqué l’ADN de la Compagnie de Jésus. À travers les siècles, les Jésuites ont perfectionné leurs méthodes d’influence, s’alliant avec des entités comme les Illuminatis pour établir un Nouvel Ordre Mondial. Cette ambition vise à uniformiser les systèmes politiques et économiques, éradiquer les structures religieuses traditionnelles, et centraliser le contrôle mondial sous une seule autorité.
Leur réseau global, souvent masqué sous des apparences de charité et d’éducation, joue un rôle clé dans les bouleversements historiques. Guerres, révolutions et crises ne sont pour eux que des moyens stratégiques pour remodeler le monde selon leurs objectifs. Le Soleil radieux, symbole des Jésuites, reflète une lumière universelle, mais dissimule une ambition implacable : instaurer un système où aucune dissidence n’a sa place.
Qui sont réellement les Jésuites et quelles sont leurs véritables intentions ? La vérité dépasse la fiction et soulève des questions inquiétantes sur l’avenir de l’humanité.
Marie-Pascale Rémy et Lara Stam développent ce sujet passionnant en direct sur Géopolitique Profonde.
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BONUS
Jésuitisme et lamaïsme
Joël Labruyère : Si on parle de similitude de moyens et d'objectifs entre les lamas et les Jésuites, c'est parce qu'ils utilisent les mêmes techniques de visualisation. Cette méthode de projection mentale serait-elle à la base du système de conquête télépathique des occultistes orientaux ?
M. Bhodyoul : C'est exact. Les exercices d'Ignace de Loyola sont calqués sur les techniques du yoga tantrique indien qui fut adapté par les lamas. De plus, le processus d'éveil qu'on prête à Loyola lors de son « illumination » s'est appuyé sur la technique tantrique de sublimation de l'énergie sexuelle., Cela nous indique qu'Ignace de Loyola, le saint vénéré par l'Eglise catholique, est en réalité un initié venu d'Orient pour accomplir une mission à l'intérieur du catholicisme. Après avoir fondé son ordre à Rome au 16e siècle, Loyola envoya immédiatement des missionnaires en Inde, au Japon, en Chine et au Tibet pour boucler le circuit. Cela explique pourquoi les Jésuites ont trouvé bon accueil dans les lamaseries, dès le début du 17e siècle. Ils retrouvaient leurs racines en quelque sorte. Il faudrait rechercher si Tsongkahapa, le fondateur des Gelugpas dont le Dalaï Lama est le chef, ne s'est pas incarné dans la personne d'Ignace de Loyola lui-même après avoir solidement établi son système de lamaïsme, réformé sur le modèle de la hiérarchie catholique.
Loyola est né en Espagne vers 1490, soit 70 ans après la mort de Tsongkhapa (1419), ce qui est un délai acceptable pour la réincarnation d'un tulkou-fantôme. Ajoutons que l'Espagne est la porte d'entrée pour des esprits venus d'autres civilisations lorsqu'ils s'incarnent pour la première fois en Europe. Il est troublant de constater combien la réforme de Tsongkhapa, fondateur du lamaïsme moderne ressemble à l'ordre ultra-centralisé d'Ignace de Loyola. L'un se réclame de Bouddha et l'autre de Jésus avec un dogmatisme et un désir de domination assez semblables, alors que leurs pratiques respectives ne sont ni bouddhistes ni chrétiennes, mais s'enracinent dans le yoga et le développement des pouvoirs psychiques.
La diaspora tibétaine
J.L. : D'où vient l'argent ? Car il en faut énormément pour entretenir ces milliers de moines non productifs et verser la pension des éminences du lamaïsme qui ont le rang d'évêque, tout en entretenant un gigantesque parc immobilier de monastères et de centres culturels ? Ils ont bénéficié de passe-droits, comme si une organisation fantôme écartait tout obstacle devant eux et signait les chèques en blanc. Aucune religion minoritaire n'est autant privilégiée car, généralement, les communautés sont dénigrées.
Les sectes tibétaines ne sont pas inquiétées par les chasseurs de sectes qui préfèrent s'en prendre à des minorités chrétiennes dont les règles sont plus souples. C'est comme si des paysans de Bourgogne, de Dordogne ou de Bretagne se réveillaient un beau matin avec un monastère tibétain au bout de leur champ, et qu'ils se disent à l'heure de l'apéritif: « pour notre salut, voilà encore de saints lamas descendus de !'Himalaya qui nous apportent le précieux joyau dans le Lotus ». Même chose en Ecosse, en Russie ou à la Martinique. Partout !
Il y a là quelque chose de bizarre mais tout le monde trouve cela normal, sauf quelques esprits qui s'interrogent sur la place éminente accordée à ce bouddhisme des neiges dans la fabrication d'une nouvelle religion mondiale. Si on en croit les livres tibétains exposés dans les librairies spiritualistes, on veut nous convertir de force. Même des sympathisants du bouddhisme en éprouvent un malaise comme devant une exhibition impudique.
Qui est derrière cette réclame grossière si peu en harmonie avec les principes bouddhiques ?
M. Bhodyoul : Cherchez le financeur. Nous savons que les Américains versent une rente au Dalaï Lama et que les sponsors jésuites aident beaucoup. Cela permet de s'interroger sur la fortune des Jésuites. Ils auraient des banques fondées sur le pillage de l'or des indiens d'Amérique centrale et de leurs pirateries en Asie.
Ils se sont également enrichis dans le trafic d'esclaves puisqu'ils étaient dans l'ombre des conquérants, leurs hommes de main servant aux basses œuvres. Mais cela nous éloigne du véritable problème. Quel est le but politique de la hiérarchie tibétaine ? Voilà ce que nous devons comprendre.
J.L. : Vous avez parlé d'une panoplie « d'illusions mentales » qui auraient façonné la culture mondiale actuelle sous ses aspects politiques, culturels, scientifiques et religieux. Cette analyse peut sembler incroyable à beaucoup mais, après coup, on se dit qu'il n'y a peut-être pas d'autre explication à la tournure que prend la civilisation planétaire avec ses valeurs factices et faussement généreuses qui nous sont imposées par la contrainte de la propagande. Comment les grands magiciens du Tibet - peu importe qui ils sont - ont-ils pu nous imposer des comportements et un mode de vie que nous croyons issu de la modernité ?