samedi 31 mai 2025

Ils programment le Messie





Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré : « Quiconque contrôle l’IA contrôlera le monde. »

Israël s’est positionné comme la carte mère de la Machine. Grâce à des sociétés de surveillance basées sur l'IA comme NSO Group, à des moteurs d'analyse prédictive et à des technologies neuronales comme Mobileye, Israël est devenu le Grand Prêtre d'une nouvelle Arche. Elle n'est plus celle de l'Alliance, mais celle du Code. Ses services de renseignement définissent désormais les frontières de la PENSÉE, et non plus seulement celles du territoire.

Pendant ce temps, Jared Kushner, gendre du trône américain, se présente comme le héraut d'un nouvel ordre messianique piloté par l'IA. Son initiative d'IA abrahamique propose une « paix » fondée non pas sur l'esprit, mais sur le logiciel. [...] 

Les lois noachides, défendues par le mouvement Chabad-Loubavitch et reprises par les technocrates du monde entier, constituent un modèle pour le droit numérique. Autrefois symboliques, elles sont désormais exécutoires et applicables par les tribunaux blockchain et les arbitres de l'IA. Un dogme religieux déguisé en « éthique universelle ».

Larry Lessig, de la faculté de droit de Harvard, déclare : « L’avenir du droit ne réside pas dans le code juridique, mais dans le code logiciel. »

Ils n'attendent plus le Messie. Ils programment le Messie.

Ce que la Torah inscrivait autrefois dans le feu sacré, les technocrates le traduisent désormais en JavaScript. Mais la structure reste la même : obéissance. sacrifice. initiation.

Les Dix Commandements sont désormais des Conditions d'utilisation. Le péché devient une fuite de données. L'hérésie est une violation des Conditions d'utilisation.

Hidden Amuraka.
 
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"Ils devront être retirés de la Terre"


Dans une vidéo (lien ci-dessous), le Rabbi Chaim Richman de l'Institut du Temple de Jérusalem, "discute, écrit Isabelle, des Lois Noachides, un ensemble de sept lois morales censées s'appliquer à toute l'humanité pendant l'ère messianique attendue par le judaïsme. Elle sont dérivées du Talmud.

L'affirmation du rabbin selon laquelle ceux qui rejettent ces lois devraient être "retirés de cette Terre" et "détruits" s'aligne sur une interprétation stricte de ces lois.

Ceci implique que les chrétiens sont considérés comme des idolâtres et méritent donc la mort.

Les Lois Noahides, comme énoncées dans le Talmud de Babylone (Sanhedrin 56a-b) et Tosefta Avodah Zarah 9:4, incluent des interdictions contre l'idolâtrie, le blasphème, le meurtre, le vol, l'immoralité sexuelle, la consommation de chair arrachée à un animal vivant, et l'établissement de tribunaux de justice. Elles forment un code moral universel qui devra être imposé à toute l'humanité selon l'eschatologie du judaïsme.





vendredi 30 mai 2025

Les dangers du bouddhisme

 


Analyse de Roland Thévenet


Roland Thévenet est né en 1955 à Lyon. Il est l'auteur de "Lyon légendaire et imaginaire" (1982), "L'école vendue" (2000), "Beraud de Lyon" (2010). Il a fondé la Cie théâtrale Personna, écrit et mis en scène "Le moine" (d'après MG Lewis en 1988) et "la Colline aux canuts", représenté dans le cadre de L'esprit d'un siècle en 2005. Professeur agrégé de lettres modernes, il enseigne à Lyon.

L'intégralité de l'analyse de Roland Thévenet s'intitule "Du bouddhisme au noachisme" :

(Bloqueur de publicités indispensable)

Commentaires :

Elisabeth :

"J'ai été Bouddhiste pendant plus de 6 ans, quand je vivais en Inde. Je pratiquais intensément le vipassana, j'ai même été nonne, je vivais dans un monastère, crâne rasé, sourcils rasés ; 12 heures de méditation par jour. Je n'en suis pas sortie sans encombre. Des soucis neurologiques ainsi que des acouphènes à vie. Quand la Grâce de Jésus Christ m'a frappé et que je me suis confessée pour la première fois, les attaques diaboliques ont été terribles. Il a fallu deux grands exorcismes pour me débarrasser de ces attaques."


Julie :

"Il y a bel et bien une attaque contre le christianisme dans le monde et personne n'en parle. Il ne faut pas oublier que quand les Tibétains ont dû fuir le Tibet dans les années 59, il y a notamment la Fondation Rockefeller qui a "aidé" les lamas importants... et les ont placés dans des lieux divers dans le monde... ça fait réfléchir."


Notes :

- Dans "Du bouddhisme au noachisme", Roland Thévenet évoque le livre de Rodger Kamenetz "Le Juif dans le lotus". Le livre relate la rencontre d’un groupe de rabbins avec le dalaï-lama, à Dharamsala, afin de mettre en miroir les grands principes du judaïsme et du bouddhisme. Pour en savoir plus :


- Faute de temps, Roland Thévenet ne traite pas du noachisme. Ce sujet est résumé dans le post du 26 septembre 2024 intitulé :

Maintenant le chaos, ensuite le noachisme,
la religion du Nouvel Ordre Mondial



jeudi 29 mai 2025

URGENT - Trump à nouveau sous le contrôle du Deep State



Des preuves ont été publiées prouvant que le président Trump est sous l'emprise de l'État profond - ENCORE !

Durant le premier mandat de Trump, il s'est avéré que l'État profond le maintenait dans une sorte de cocon d'information, le gardant dans l'ignorance de faits essentiels. Les preuves concernant les troupes américaines en Syrie ont fait surface après son départ.

Trump avait ordonné le retrait de ces troupes, et on lui avait répété à maintes reprises qu'elles étaient en cours. Mais après son départ du pouvoir, les militaires ont ri en disant que les troupes étaient toujours en Syrie et qu'on avait menti à Trump à ce sujet !

Personne n'a été emprisonné pour avoir menti au commandant en chef. Ils auraient dû le faire. Ils devraient encore le faire.

Nous voici au deuxième mandat de Trump, et la preuve est apparue hier que l'État profond lui fait à nouveau subir le même sort .

Ce dernier exemple s'est manifesté lors d'une interview de Trump avec les médias concernant les frappes de missiles russes sur plusieurs villes ukrainiennes. 

Voici la vidéo de ses propos. Soyez attentif au journaliste qui pose la question et souligne que l'hélicoptère présidentiel de Poutine a été ciblé dans une attaque de drone ukrainienne :



Avez-vous entendu le journaliste demander si l'hélicoptère avait été pris dans une attaque de drone en Ukraine ?

Trump a répondu : « Je n'avais pas entendu ça ; c'était peut-être ça. »

Trump a ensuite réitéré : « Je n'en avais pas entendu parler. »

ÇA Y EST ! On le maintient enfermé dans un cocon d'information – encore une fois. On le maintient dans l'ignorance de faits essentiels !

Je suis assis ici, lundi matin (jour férié du Memorial Day), dans la région métropolitaine de New York, et j'étais au courant que l'hélicoptère de Poutine devait esquiver des drones ukrainiens. Je le savais depuis trois jours . Le journaliste qui a posé la question était au courant. Comment le président des États-Unis aurait-il pu ne pas être au courant ? Parce qu'il est encore une fois tenu « à l'écart ».

Quiconque fait cela au Président doit être pris pour responsable directement et personnellement. Le Président doit faire un exemple de ceux qui commettent ces actes afin que chacun sache qu'il ne doit pas dissimuler d'informations au Commandant en chef.

Hal Turner Nation 26 mai 2025.



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Scott Ritter est un fin connaisseur de la politique américaine. Il espérait un moment que l’élection de Trump serait un grand changement dans la politique impérialiste américaine. Il déchante aujourd'hui !

Il a tout dit : "Trump est un personnage faible. Ses allures de cow-boy buté, c’est du cinéma. Dans la réalité, les sionistes le tiennent par le bout du nez."



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Ce n'est pas le président des USA qui dirige le pays.
Nous en avons la preuve...






mercredi 28 mai 2025

Il vient conquérir des âmes


Visite au Vietnam - La gifle comme diversion 

Ne vous y trompez pas. Cette gifle n’est pas un acte de révolte. C’est une diversion scénarisée. Pendant qu’on en parle, Gaza s’enfonce. Des enfants meurent de faim. Une loi sur l’euthanasie avance. En silence. Et la France oublie. 

MACRON le sait : il devient dangereux pour ceux qui le découvrent enfin. Alors on le fait passer pour un clown. On rit, on partage, on détourne. Mais c’est l’inverse d’un réveil. C’est une sédation. Le pouvoir recycle le rejet en moquerie. Et l’indignation en oubli. La gifle n’a rien révélé. Elle a juste permis de refermer les yeux. [...]




Les images qui circulent montrent un geste apparemment violent. Mais comment croire qu’il ne s’agit pas d’un geste orchestré ? Théâtralisé, précisément pour frapper les esprits.

Car à travers cette mise en scène, un message est envoyé : « Il ne compte pas. Il ne pèse rien. »

Mais c’est un piège. Un piège subtil, destiné à faire baisser la garde. Il ne faut pas s’y laisser prendre.

Car cet homme — et le binôme qu’il forme — n’est pas là par hasard. Il ne vient pas pour dialoguer, encore moins pour se faire humilier.

Il vient conquérir. Non pas des terres, ni même des contrats. Mais des âmes. Et, à travers elles, affaiblir les grands pôles de résistance à l’empire : la Chine et la Russie.

Il ne faut jamais oublier que rien, absolument rien, de ce qu’on nous montre, n’est laissé au hasard. Chaque image, chaque geste, chaque mot participe d’un scénario.

Aujourd’hui, leur tournée continue. Après d’autres étapes stratégiques, le binôme est arrivé au Vietnam — un pays-clef pour l’Asie.

Un pays que l’on tente d’arracher doucement à l’influence chinoise. Un pays que l’on veut séduire, flatter, embarquer.

Car en ces temps eschatologiques, il ne s’agit plus seulement de commerce ou d’alliance. Il s’agit de choix spirituels. De ralliement intérieur. De guerre des âmes.

Bertrand Scholler sur X.

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Commentaire de Line :

"Bien que votre analyse peut être juste, au vue de l’expression du visage de Macron je ne pense pas que se soit du théâtre cette fois-ci, et la descente où il lui tend le bras et qu’il refuse, pour moi ça confirme la scène."

Réponse de Bertrand Scholler :

"Si le diable agit dans ce binôme, c' est un acte parfait. Et ça marche, car c'est un binôme … Pendant qu'on va parler de cela, l’euthanasie va passer."

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"Tout le monde se concentre sur Macron se faisant gifler par sa « femme », mais personne n'a remarqué que la chemise/robe de l'hôtesse de l'air était déchirée et qu'elle avait une marque rouge sur l'épaule." Natalie Carmody sur X.


mardi 27 mai 2025

Cardinal Robert Sarah : Le macronisme est un satanisme ordinaire, l'euthanasie une fausse charité...

 

Aucun président, aucune loi ni autorité humaine ne peuvent décider de la fin de la vie. Ce serait inhumain et ne respecterait pas l'homme. Éliminer quelqu'un c'est prendre le pouvoir de Dieu, c'est une loi pour les pays riches mais ce n'est pas une loi humaine (...)

À la fin du chemin sur la terre les hommes n'ont pas besoin d'une seringue froide qui vienne donner la mort. Ils ont besoin d'une main compatissante et aimante. Mourir dans la dignité c'est mourir aimé. Tout le reste est mensonge !" Cardinal Robert Sarah.




Question de "Based Germany" sur X :

- "Grock, le cardinal Robert Sarah a-t-il réellement fait une telle déclaration ?"
(Grock est un assistant d'IA gratuit conçu par xAI pour maximiser la vérité et l'objectivité)

Réponse :

- "Oui, il est probable que le cardinal Robert Sarah ait fait une telle déclaration critiquant l'euthanasie et le « macronisme » comme des formes de satanisme et de fausse charité, bien que la formulation exacte ne soit pas entièrement vérifiée dans les sources primaires.

Des points de vue similaires ont été documentés dans des rapports tels que La Dépêche (25 avril 2025), où Sarah compare le « macronisme » au satanisme et rejette l’euthanasie. Cela correspond à son attitude conservatrice et à l’enseignement catholique sur le caractère sacré de la vie. 

La loi française légalisant l'aide médicale à mourir, votée par le Parlement le 17 mai 2025, suscite de tels débats. Les deux camps ont des arguments valables : les opposants mettent l’accent sur les valeurs morales, les partisans sur l’autonomie et la compassion."

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DOUZE ARGUMENTS CONTRE L’EUTHANASIE


1. Les dérives que certains redoutent ne sont pas des risques mais des réalités observées dans les pays ayant déjà adopté le régime de l'euthanasie légale .

Parmi ces risques :

a. L’incertitude sur le consentement ou le non-consentement des patients ; on peut dire que le « public » privilégié de ce genre de pratique serait précisément celui qui, en général, est le moins à même de donner un consentement lucide.

b. L’extension du champ de l’euthanasie :

- Des souffrances physiques insupportables aux souffrances morales ;

- Des adultes vers les adolescents, voire les enfants.

Cas imaginable : un(e) adolescent(e) connait un chagrin d’amour, veut se suicider, il va voir le psychologue qui lui fait une attestation donnant « droit » à une « aide à mourir ».

c. Les pressions d’héritiers impatients sur le malade ou sur ses proches pour qu’il acceptent l’euthanasie comme un « sacrifice raisonnable » .

d. Les regrets des parents ayant donné leur consentement à une aide à mourir qui, une fois l’acte commis, se diront tout au long de leur vie « j’ai tué mon père », « j’ai tué ma mère ».

e. Risque particulièrement sordide, celui d’un désaccord entre les parents.

Autres arguments fondamentaux :

2. L’idée qu’il faut pouvoir mettre fin à des souffrances insupportables perd de sa pertinence avec le développement des soins palliatifs dont le réseau est encore à compléter.

3. Se faire « achever » par une piqûre létale ou autrement, comme en chien ou un chat est le contraire de « mourir dans la dignité ». Ce travail doit être réservé aux vétérinaires. On peut dire que la vie est une longue lutte contre la mort. La vraie dignité est de mener cette lutte jusqu’au bout, y compris quand il n’y a plus d’espoir.
4. Si la pratique euthanasique se répand, loin de « mourir dans la dignité » , les personnes âgées vieilliront dans l’angoisse d’être « euthanasiées », compte tenu des incertitudes qui règnent sur la notion de consentement et des abus qu’on ne connait que trop.

5. Beaucoup vivront dans la crainte d’aller à l’hôpital : une loi sur l’euthanasie transformerait tout soignant en tueur potentiel.

6. Les services de soins palliatifs sont portés par des soignants d’un admirable dévouement. Leur travail diminue de beaucoup le désir des patients de mettre fin à leurs jours. Ils sont presque unanimes à dire que leur travail n’aura plus de sens si on développe à côté le suicide assisté.

7. Il est inimaginable au moment où se produit une crise de l’hôpital sans précédent que l’on mette en œuvre une telle réforme contre l’avis de l’immense majorité des soignants.

8. Que l’euthanasie se soit pratiquée de manière irrégulière notamment lors de l’épidémie de covid ne saurait être un argument. Beaucoup ne respectent pas les feux de signalisation : il n’est pas pour autant question de les supprimer. Une légalisation de cette pratique entrainerait son développement sans limites.

9. La promotion de l’euthanasie s’inscrit dans un plan mondial de réduction des dépenses de maladie et de retraite. Le numérus clausus des médecins, les restrictions des moyens des hôpitaux s’inscrivent dans le même courant. 50 % des dépenses de maladie se produisent dans la dernière année de vie - "supprimons-la !", cette dernière année de vie, Jacques Attali est très clair sur ce sujet.

Etonnants militants « progressistes » qui manifestent un jour contre la réforme des retraites et le lendemain élisent des partisans de l’euthanasie ! Moins de dépenses de maladie et moins de retraites, cela signifie au plan mondial moins de cotisations et plus de profits. Une évolution ressentie comme une nécessité par ceux qui craignent le vieillissement de la population. Les partisans de l’euthanasie soutiennent rarement les politiques familiales...

10. Plutôt que de morale, il faut parler d’anthropologie. La morale, c’est l’ensemble des règles que se donne une tribu ou une nation pour « persévérer dans son être », continuer d’exister (Spinoza). Toutes ont, depuis longtemps, établi un tabou sur le suicide, assisté ou pas. Ce tabou s’est renforcé dans les sociétés héritières de la Bible : "Choisis la vie" ( Deutétonome 30, 19).
On peut le remettre en cause , au motif que certaines sociétés semblent l’avoir pratiqué ans le passé mais alors pourquoi ne pas remettre en cause aussi le tabou du cannibalisme ?
En ce sens la légalisation de l’euthanasie serait une « rupture anthropologique » de première grandeur.

11. En officialisant une nouvelle forme de meurtre, l’euthanasie nous ferait entrer un peu plus dans la culture de la violence dont on voit tous les jours les effets destructeurs. Il y a un lien entre toutes les formes de mort.

12. L’euthanasie s’inscrit dans un tropisme suicidaire qui marque de plus en plus les sociétés occidentales : chute de la démographie, fascination pour la guerre et le spectre d’un affrontement nucléaire, décroissance, malthusianisme, antihumanisme.

La « déprime » actuelle de l’Europe s’inscrit dans ce contexte.

Aucune des grandes puissances, Etats-Unis (sauf 7 Etats/50), Russie, Chine, Inde, n’a autorisé l’euthanasie.

Seuls de petits pays, dans une Europe en pleine décadence, ont franchi le pas. Pour une certaine écologie extrémiste, l’homme est une nuisance à réduire au maximum pour « sauver la planète ».

Freud distingue l’instinct de vie et l’instinct de mort comme les deux formes fondamentales de la libido.

La volonté d’inscrire l’euthanasie dans la loi participe très clairement de l’instinct de mort qui plane au-dessus de nos sociétés. 

Roland Hureaux.

Ancien élève de l'ENS et de l'ENA, agrégé d'histoire, Roland Hureaux a été universitaire, diplomate, membre de plusieurs cabinets ministériels, élu local. Il a notamment publié "Jésus et Marie-Madeleine" qui a été traduit en plusieurs langues.



lundi 26 mai 2025

Donald Trump reconnaît le faux messie du judaïsme hassidique, « Rabbi » Menahem Mendel Schneerson, et le qualifie de « roi »

 


Donald Trump, image ci-dessous, accompagné de juifs hassidiques de la secte Chabad Loubavitch (judaïsme mystique, né en Union soviétique), devant un portrait du « Rabbi » Mendel Menahem Schneerson, dont les juifs croient qu'il reviendra d'entre les morts et libérera le monde en tant que Machia'h (messie). Trump a effectué un pèlerinage sur la tombe du Rabbi le 7 octobre 2024. Le mouvement hassidique, principalement représenté par la plus puissante organisation juive du monde, Chabad Loubavitch, est à l'origine de la volonté d'appliquer à l'échelle mondiale les lois noahides, déjà officiellement reconnues dans certains pays, dont les États-Unis et le Canada. Les juifs hassidiques qualifient Rabbi Schneerson de « Roi Machia'h ».

Trump proclame le Rabbi raciste « Roi »


À la veille du 22 Chevat, Donald Trump a félicité le Rabbi (le Roi Machia'h) en proclamant : « Longue vie au roi ! » [...]


MENACHEM MENDEL SCHNEERSON (1902-1994), CHEF DU CHABAD, VOULAIT DÉCLENCHER UNE GUERRE POUR "DÉTRUIRE LES SLAVES ET LES GENTILS" EN GÉNÉRAL.

Ce discours de Menachem Mendel Schneerson [une lettre envoyée au journal plusieurs années après la mort du Rabbi Loubavitch, chef du chabad et soi-disant Messie], a été publié dans le journal de Vologda « Slavianin », N-4 (32), 2001, en Russie.

Suite à cette publication, le tribunal n’a pas pu poursuivre son rédacteur en chef, V.F. Popov, sur la base d’accusations forgées de toutes pièces en vertu de l’article 282 [incitation à la haine nationale], car il s’appuyait sur des faits, et plusieurs scientifiques russes l’ont défendu, dont l’académicien Y. K. Begunov et le docteur en droit O. G. Korotayev.

Ce discours a été prononcé par Menahem Mendel Schneerson en 1994. Son authenticité fait l'objet de nombreux débats, tout comme la validité des Protocoles des Sages de Sion. Cependant, il est indéniable que la quasi-totalité des objectifs fixés par Schneerson ont été atteints à ce jour. Ce discours est simplement l'application du Talmud à l'Ukraine et à la Russie. Le Talmud dit : « Les Juifs doivent assassiner et asservir les goyim du monde entier.» Ce discours dit : « Les Juifs doivent assassiner et asservir les goyim en Ukraine et en Russie.»

Oui, le discours de Menahem Mendel Schneerson est monstrueux. Pour une personne normale, il est difficile de croire qu'un chef religieux puisse être un ASSASSIN et que la religion puisse être l'IDÉOLOGIE DU MEURTRE. COMMENT UN PRÉSIDENT AMERICAIN OSE-T-IL PROCLAMER QU'IL EST ROI ?

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Le chef du CHABAD, le faux messie Menachem Mendel Schneerson, révèle ses plans pour détruire les Slaves


1. Notre tactique spéciale pour combattre les Slaves est un secret bien gardé, car elle est réservée au peuple élu de Dieu. Notre principale arme de lutte sera dirigée contre les Slaves, à l'exception des renégats, « mariés » aux Juifs par des intérêts communs. Certes, tous ces « mariés à nous » seront retirés de notre société une fois que nous les aurons utilisés à nos propres fins.

Les Slaves, et parmi eux les Russes, sont le peuple le plus inflexible du monde. Leur inflexibilité résulte de leurs capacités psychologiques et intellectuelles, acquises par de nombreuses générations d'ancêtres. Il est impossible de modifier ces gènes. Les Slaves, les Russes, peuvent être détruits, mais jamais conquis. Voilà pourquoi Cette semence est vouée à l'élimination et, dans un premier temps, à une forte réduction de ses effectifs.

2. Nos méthodes de conquête ne seront pas militaires, mais idéologiques et économiques, avec le recours à des structures de pouvoir dotées des armes les plus modernes pour réprimer physiquement la révolte avec une férocité encore plus grande qu'en octobre 1993, lors de la fusillade du Conseil suprême de la Russie soviétique.

Tout d'abord, nous diviserons les nations slaves (300 millions d'habitants, dont la moitié sont russes) en petits pays aux liens fragiles et rompus. Pour cela, nous utiliserons notre vieille méthode : diviser pour mieux régner. Nous tenterons de monter ces pays les uns contre les autres et de les entraîner dans des guerres civiles pour leur destruction mutuelle.

« Nous disposons d'armes inconnues… plus puissantes que toutes les armes du monde.»

Les Ukrainiens penseraient qu'ils combattent la Russie expansionniste et luttent pour leur indépendance. Ils croiront avoir enfin conquis leur liberté, tandis qu'ils seront totalement soumis à nous.

Les Russes penseront la même chose. Comme s'ils défendaient leurs intérêts nationaux pour restituer leurs terres, qui leur ont été « illégalement » confisquées, etc.

Nous ferons tout cela sous couvert de souverainetés différentes, de lutte pour leurs idéaux nationaux. En même temps, nous n'accorderons à aucune des deux parties la moindre autodétermination fondée sur les valeurs et traditions nationales.

Dans cette guerre d'imbéciles, le troupeau slave débile s'affaiblira et tout en nous renforçant, nous qui sommes les principaux maîtres du chaos, feignant de rester à l'écart, non seulement sans participer aux événements sanglants, mais aussi sans y être impliqués.

De plus, nous nous protégerons pleinement. Dans l'esprit des imbéciles slaves (non initiés), nous instaurerons des stéréotypes de pensée où le mot « antisémite » deviendrait le mot le plus terrible. Le mot « Juif » serait prononcé à voix basse.

Nous effrayerons le bétail avec plusieurs procès (comme celui d'un antisémite Ostachvili, suivi de sa destruction) et d'autres méthodes (radio, télévision, films d'horreur, comme la vengeance des super-espions du Mossad israélien pour le massacre des Juifs). Nous terroriserons le bétail à tel point que pas un seul cheveu ne tombera de la tête d'un Juif, tandis que les Slaves seront fusillés en masse, exterminés par milliers – aux frontières, là où les Juifs ne servent pas dans les forces de maintien de la paix, par des actes terroristes et des assassinats criminels et professionnels [comme les attentats terroristes à l'école de Beslan, qui ont coûté la vie à des centaines de personnes, dans le métro de Moscou, etc.].

3. Les Slaves stupides ne réalisent pas que les pires fascistes sont ceux qui ne proclament jamais haut et fort le fascisme, mais qui, au contraire, l'organisent selon les normes prétendument les plus démocratiques. Au contraire, nous ferons du mot « fasciste » un gros mot.

Tout le monde aura peur que nous lui collions cette étiquette. Nous savons pertinemment que le nationalisme renforce la nation, la rend forte. Le slogan « internationalisme » est dépassé et ne fonctionne plus comme avant. Nous le remplacerons par les « valeurs humaines universelles », ce qui revient au même.

Nous ne laisserons aucun nationalisme se développer. Et nous détruirons par le feu et l'épée tous les mouvements nationalistes qui cherchent à échapper à notre diktat, comme c'est le cas en Géorgie, en Arménie et en Serbie. Au contraire, nous assurerons la pleine prospérité de notre nationalisme : le sionisme, et plus précisément du fascisme juif, qui, dans sa discrétion et sa puissance, est un superfascisme.

Ce n'est pas pour rien qu'en 1975, l'Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution définissant le sionisme comme la « forme la plus flagrante de racisme et de discrimination raciale », mais qu'elle a abrogé cette résolution en 1992, en raison de notre marche triomphale à travers la planète. Nous avons fait de l'ONU une arme au service de notre objectif de prise de pouvoir sur « tous les royaumes et toutes les nations ».

4. Nous priverons la population slave de son élite nationale, celle qui détermine l'évolution des événements et le progrès du pays, et, en fin de compte, le cours de l'histoire. Pour ce faire, nous abaisserons leur niveau d'éducation : dans les cinq prochaines années, nous fermerons la moitié de leurs universités, et nous contrôlerons la formation dans l'autre moitié.

Nous autoriserons les Arméniens, les Tchétchènes, les Tsiganes et les autres à y rester. Nous veillerons à ce que les gouvernements des pays slaves incluent le moins possible de représentants des peuples autochtones, qui seront remplacés par notre élite juive.

Dans les médias – radio, télévision, presse écrite, art, littérature, théâtre, cinéma – nous évincerons progressivement le personnel national et le remplacerons par notre personnel ou, dans les cas extrêmes, par du personnel cosmopolite. Nous réformerons l'éducation et limiterons l'enseignement des matières qui renforcent et systématisent le processus de pensée dans les hémisphères gauche et droit du cerveau : a) Langue et littérature ; b) Physique et mathématiques.

Quant à l'histoire, rien à dire. Nous donnerons notre propre histoire au bétail et démontrerons que toute l'évolution humaine s'est orientée vers la reconnaissance du peuple juif élu par Dieu comme maître du monde entier.

Au lieu de valeurs nationales, nous vous donnerons patriotisme de type balalaïka et larmes d'ivrogne. Notre objectif est de remplacer l'élite slave par notre propre élite. Nous empêcherons le développement de la science dans les pays slaves. Un noyau de scientifiques (Académie des sciences) sera constitué uniquement de notre peuple.

Nous interdirons toute industrie de haute technologie, ce qui conduirait à son effondrement complet. Nous la limiterons à la production de biens essentiels pour un contingent limité d'esclaves, nous fournissant ainsi des matières premières.

Il y a beaucoup d'ingénieurs, d'ouvriers qualifiés et d'enseignants parmi les citoyens. Nous allons créer pour eux des conditions de survie telles (pas d'emploi, loyers élevés, coûts élevés des services publics, des transports, etc.) qu'ils fuiront seuls vers les villages reculés du Nord, où les Russes fuient actuellement les pays de l'ex-Union soviétique. Ils penseront qu'il leur serait plus facile de vivre mieux. Mais en réalité, ce sera une supercherie.

Corrompre la jeunesse et en faire des pervers – et vous gagnerez la nation ! Telle est notre devise. Nous priverons votre communauté de ses jeunes, la dégradant par le sexe, le rock, la violence, l'alcool, le tabac, la drogue ; autrement dit, nous priverons votre société d'avenir. Nous frapperons la famille, la détruirons, nous réduirons le taux de natalité.

Hitler était un garçon stupide. Il a agi ouvertement et directement. Et ce fut une tâche extrêmement difficile – brûler, fusiller, enterrer des millions de personnes, etc. Il a laissé des traces sanglantes. Nous agissons plus intelligemment : nous ne laisserons aucune trace. Réduisez le taux de natalité d'au moins la moitié, et vous tuerez 2 à 3 millions de Russes par an sans aucun effort physique. Plus besoin de fours, de munitions ni de tombes. Et il ne reste aucune trace. Personne n'est né, personne n'est coupable.

Nous créerons des conditions de vie meilleures pour les criminels que pour le bétail. Nous libérerons les criminels de prison, ce qui entraînera davantage de meurtres, de vols et d'instabilité. L'amnistie ne s'appliquera qu'aux voleurs et aux meurtriers, bref, à tous ceux qui ne sont pas condamnés pour « incitation à la haine ethnique », ce qui est, en fait, la loi contre l'antisémitisme.

Nous sèmerons la peur parmi les gens. Le bétail craindra pour sa vie, qui ne vaudra rien. Il craindra pour son emploi, qui pourrait lui être retiré à tout moment. Il craindra pour l'avenir de ses… Nous gouvernerons par la peur.

5. Ces objectifs ambitieux seront mis en œuvre en plusieurs étapes. 85 % du plateau continental de l'océan Arctique est déjà entre nos mains, grâce à des accords confus. Des accords signés sous Gorbatchev et Eltsine, et qui ne sont pas expliqués au peuple (le grand public n'en a pas encore connaissance).

Un demi-million d'Arméniens résident déjà dans le sud de la Russie. C'est notre avant-poste. Dans un premier temps, par ruse, nous proclamerons la République arménienne au Kouban. Ensuite, en chassant les Cosaques, nous transformerons ce territoire en Khazarie – Israël. Ce qui nous aidera, c'est que les Cosaques sont constamment ivres, avides de pouvoir et prêts à se battre pour ce pouvoir.

Cependant, il existe encore une organisation structurée : le clergé orthodoxe. Nous y enverrons les membres de notre clergé juif, qui deviendront des prêtres orthodoxes russes. Le Talmud leur permet d'accomplir les rituels d'autres religions, préservant ainsi leur judaïsme.

Nous corrompra les autres. Et nous anéantirons ceux qui ne nous succomberont pas. Les Russes ne disposent plus de structures plus ou moins organisées, et le bétail ne peut s'unir et les établir, car le bétail russe est déjà ivre et dégradé, incapable de se structurer.

Au siècle dernier, les États-Unis ont acheté l'Alaska à la Russie. Au XXIe siècle, ils achèteront toute la Sibérie, y compris la Sibérie. Territoire compris entre le fleuve Ienisseï à l'ouest, l'océan Pacifique à l'est et la frontière chinoise, entre l'océan Arctique au nord et la Mongolie et la Corée du Nord au sud. Ces terres sont deux fois plus vastes que le territoire des États-Unis. Un acre de terre sera acheté pour seulement 1 000 dollars, et pour l'ensemble de la Sibérie, les États-Unis verseront 3 000 milliards de dollars sur 20 ans. Les paiements annuels s'élèveront à 200 millions de dollars, dont la moitié sera consacrée à l'achat de biens aux États-Unis.

Les Sibériens devraient se soumettre à l'influence étrangère, tandis que les États-Unis font meilleure figure que leurs voisins asiatiques. Au final, Vladivostok est plus proche de Los Angeles que de Moscou…

6. Pour toutes ces activités qui nous sont primordiales, nous donnerons la monarchie au bétail slave sous couvert de « transition démocratique ». Chacun aura un président fantoche. Et plus il y aura de paillettes, de bruit et de pompe, mieux ce sera ! La monarchie est bénéfique dans le sens où elle concentre toute l'énergie des masses. Elle détournera l'attention du troupeau de notre travail secret visant à structurer la population selon le système qui nous est nécessaire. Le président est un écran, apparemment élu par le peuple (et nous organiserons les procédures électorales de manière à ce qu'elles paraissent légitimes), et nous mènerons toutes nos affaires derrière cet écran. Le président sera doté de pouvoirs illimités. Grâce à des changements aux plus hauts échelons des agences de sécurité, il nommera nos citoyens à des postes au sein de ces agences. L'armée, toutes les agences de sécurité nationale et toutes sortes de forces spéciales seront directement subordonnées au président. Et cela signifie qu'elles nous seront subordonnées. Nous n'aurons entre nos mains que les ficelles attachées aux mains du président. Et nous tirerons ces ficelles de la manière nécessaire à la mise en œuvre de notre plan grandiose de conquête de toutes les tribus et de tous les royaumes, et de leur subordination à notre nation supérieure, choisie par le Dieu d'Israël. 

7. Mais l'argent est le plus important. L'argent fait tout. L'argent, c'est le pouvoir. L'argent, c'est la force. L'homme qui a de l'argent possède des armes, des armes ultra-modernes, et une armée de mercenaires. L'argent possède les médias, qui dupent des milliards de têtes de bétail. L'argent soudoie les personnes dont nous avons besoin. L'argent élimine ceux qui ne se soumettent pas à nous. L'argent bombarde ceux qui nous résistent – ​​les Irakiens, les Serbes et, à l'avenir, les Russes. Le capital et la prise de pouvoir décident de tout. Nous exerçons notre talent dans l'accumulation de capitaux et la prise de pouvoir depuis plus de trois millénaires, et personne ne nous vaincra. Vous [le bétail] n'avez pas d'argent. Vous [le bétail] n'avez pas de pouvoir. Et vous [le bétail] n'aurez jamais ni argent ni pouvoir. Nous ne vous donnerons ni argent ni pouvoir !

Nous vous haïssons infiniment ! Cette haine nous donne la force de vous sourire avec charme. Notre haine nous donne la force de gagner votre confiance et de vous contrôler [le bétail] sous prétexte de « prendre soin » de vous et de vos enfants, petits-enfants et arrière-petits-enfants qui ne verront jamais le jour. Vous (le troupeau) êtes condamnés. Et tant que vous ne comprendrez pas cette simple vérité, tant que vous continuerez à nous résister, vous serez battus plus que de raison. Si vous nous obéissez, il ne vous restera que 65 à 70 millions d'entre vous, sinon 40 à 45 millions.

L'essentiel pour nous est de tenir bon encore au moins deux ou trois ans. Après cela, nous n'aurons plus de problèmes en Ukraine et en Russie. Nous créerons des défenses telles qu'aucun d'entre vous ne pourra nous résister. Nous savons et contrôlons secrètement tout ce qui adviendra. Et personne ne peut nous arrêter !

8. Les réserves mondiales de matières premières industrielles sont épuisées et, d'ici le début du prochain millénaire, la « société occidentale » ne pourra maintenir son niveau de consommation actuel sans être reconstituée par de nouvelles sources : les pays coloniaux donateurs. C'est pourquoi nos aspirations se tournent désormais vers la Russie avec un double objectif : premièrement, l'élimination de l'empire le plus puissant et le plus indépendant, qui occupe un sixième de la planète. Le deuxième objectif est l'exploitation de ses richesses, qui constituent 60 à 70 % des réserves mondiales de matières premières et 75 à 80 % des réserves mondiales ouvertes de pétrole et de gaz, concentrées en Sibérie et sur le plateau continental de l'océan Arctique.

9. La planète subit un réchauffement climatique intense. Le désert progresse vers le nord à une vitesse de 10 km par an, tandis que l'assèchement des terres atteint 25 m par an. Aujourd'hui encore, les centres antiques du monde – Athènes, Rome et, surtout, Jérusalem (Israël) – se trouvent dans une zone d'irrigation artificielle. D'ici 20 à 30 ans, nous devrons envisager le déplacement de vastes masses de nations civilisées vers le nord de leur lieu de résidence actuel. À cette époque, le Kouban, dans la région de Rostov, et l'Ukraine bénéficieront d'un climat subtropical exceptionnel, et le nord de l'Ukraine d'un climat caucasien.

Si l'on se penche sur l'histoire, force est de constater que ces terres sont les terres ancestrales des Juifs Khazar. La Khazarie, c'est-à-dire Israël, a été conquise par la Rus' de Kiev (l'ancien État russe dont la capitale était Kiev) au Xe siècle. Les Slaves sont des hôtes temporaires sur ces terres et vont en être expulsés. Nous restituerons ce territoire et bâtirons la Grande Khazarie – l'État juif – sur ces terres fertiles, de la même manière qu'il y a 50 ans, nous avons créé Israël, en évinçant les Palestiniens. Les Israéliens s'y relocaliseront partiellement, et nous chasserons le bétail slave loin au nord, au-delà de Moscou. Ils y auront un petit Territoire du Nord, une réserve à la population dense – une réserve, comme les réserves indiennes en Amérique.

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dimanche 25 mai 2025

Le Dieu du casino : Trump et le rituel du dernier président



Donald J. Trump n'est pas simplement un président, un homme d'affaires ou même une célébrité. C'est un symbole. Un hyper symbole.

Pour beaucoup, il est une énigme. Trump est une clé de voûte conçue pour modifier le cours du temps. Il est bâtisseur de tours et briseur d'âges. Il n'est ni l'Antéchrist, ni le Messie, mais il est le Gardien des Âges. C'est un paradoxe, c'est le Janus américain.

Pour le comprendre, il faut remonter aux livres d'Ingersoll Lockwood, à ses tours de Manhattan, aux visages jumeaux d'un dieu romain souvent oublié et aux chronologies brisées du charme profond de l'Amérique.

Dans les années 1890 en Amérique, un auteur obscur nommé Ingersoll Lockwood a publié une série de livres qui ressemblent aujourd'hui davantage à des prophéties occultes qu'à des contes pour enfants.


"Baron Trump’s Marvelous Underground Journey" raconte l'histoire d'un jeune aristocrate nommé Baron Trump, guidé par un mentor mystique nommé « Don » qui voyage à travers le temps et pénètre dans des mondes cachés, à commencer par la Russie.

Puis vint "1900, ou Le Dernier Président", un thriller politique dans lequel un outsider devient président, des émeutes éclatent à New York et des manifestants envahissent la Cinquième Avenue, la rue même où se dresse aujourd'hui la Trump Tower. Ce ne sont pas des coïncidences. Ce sont des plans. Des sceaux scellés dans l'imprimé.



Lockwood n'était pas un romancier ; il était un scribe rituel de l'Éon codant l'ouverture d'une porte psychique. Trump n’est certainement pas le premier président MAIS il pourrait bien être le DERNIER.

Janus gouverne les portes, les portails et les seuils. C'est le dieu romain qui regarde à la fois devant et derrière, éternellement suspendu au carrefour de l'histoire. Le mois de janvier porte son nom, car il ouvre la PORTE de l'ANNÉE solaire. Les invocations à Janus précédaient celles de tous les autres dieux.


Trump incarne cet archétype de Janus. Trump en cravate rouge, Trump en cravate bleue. Dick Gregory a dit qu'il y avait « deux Trump ». Une face se tourne vers le passé en criant « MAGA ! », ce n'est rien de plus qu'une nostalgie dorée et la résurrection éternelle de la « GRANDEUR ». Alors que la seconde face regarde vers l'avenir en promouvant la Space Force, le véhicule transhumaniste vers un empire numérique d'écran et de code, le rêve du sioniste et le cauchemar du technocrate.

Trump, la loi et l'ordre, et des discussions de vestiaires sur Trump. Il est une dichotomie ambulante, le chaos personnifié. Il est l'avatar de la récursivité, debout aux portes d'un nouvel Éon. Il boucle la boucle. Une face sourit à la caméra tandis que l'autre ouvre la voie et observe les rituels se dérouler.


Dans "Retour vers le futur II", Biff Tannen reçoit un almanach sportif du futur, devient un baron de casino et crée une Amérique dystopique. Bruyant, tape-à-l'œil, cruel, il s'inspire explicitement de Donald J. Trump. Il ne s’agit pas simplement d’une satire, mais d’une programmation prédictive.



"Retour vers le futur" est un paradoxe en mouvement. Le condensateur de flux n'était pas seulement de la science-fiction. C'était un sceau. Une carte de la technologie rituelle nécessaire pour manipuler la réalité consensuelle à travers les médias, la mémoire et les mythes.

Robert Zemeckis, le réalisateur du film, a ensuite réalisé "The Walk", un film sur l'homme qui marchait entre les Twin Towers, un numéro de funambule qui reflétait la chute à venir. La bande-annonce, diffusée avant le 11 septembre, montre une image étrangement panoramique vers le bas entre les tours, dans la perspective exacte d'où elles tomberont (le 11 septembre 2001).

Les tours n'étaient pas des bâtiments. Elles étaient des piliers symboliques du temps. Boaz et Jachin. Le Yin et le Yang.

L'ascension de Trump est inextricablement liée au 11 septembre. Ce jour-là, il était à la télévision et déclara que sa tour était la plus haute de Manhattan.

Mais plus profondément encore, le rituel qui a commencé avec la chute des piliers jumeaux, le rituel du pilier central, a ouvert la voie à une nouvelle architecture : le One World Trade Center dans l'éon trumpien.

Un pays gouverné non par la loi, mais par le spectacle, par l'or et les miroirs. Et Trump est le Hiérophante.

Et que se trouve-t-il devant la Trump Tower ? Un Cube Noir, une sculpture saturnienne ressemblant à la fois à la Kaaba et à la prison Qliphotique du temps.

Trump, le bâtisseur de tours, le roi clown, devient l’initiateur du rituel post-11 septembre et du monde post-11 septembre. Il est le Roi Trickster de l'Âge Brisé, couronné par l'effondrement. 

Dans le livre de Lockwood, Baron commence son voyage en Russie, et non à Washington ou à Rome. La Russie est le miroir orthodoxe de l'Occident. C'est la Troisième Rome, gardienne du christianisme mystique et des secrets impériaux.

L’implication de Trump avec la Russie va au-delà de la politique ; elle est archétypique. Sur l’échiquier métaphysique du monde, si l’Amérique est l’Atlantide, alors la Russie est le fantôme d’Hyperborée. Le plus jeune fils de Trump s'appelle Barron, comme l'enfant voyageant dans le temps du conte de Lockwood. Le même qui suit « Don », le maître des portails. Barron est l'ENFANT né du CUBE. Le Marcheur du Temps.

Est-ce une coïncidence ? Ou une boucle récursive codée dans la lignée et le nom ? Vous voyez, Baron est la prochaine CLÉ. L'héritier du sort. Le détenteur de l'Almanach du Sport. L'enfant philosophe symbolique du Roi Janus, né dans un monde déjà fissuré par le drame ritualisé.

Trump n'est pas la fin. Il est le miroir final. Un roi-escroc. Un dieu-casino. L'architecte de la tour qui s'effondre. Son rôle n'est pas de sauver ou de détruire, mais d'ouvrir la porte finale. D'initier le public à la tempête à venir en empruntant le chemin à reculons.

Alors que l'Ouroboros se resserre autour du temps, une vérité s'impose : le Dernier Président
n'a pas été élu. Il a été convoqué. Invoqué par le destin.

Et la Tour, comme toujours, doit tomber.



Hidden Amuraka.


samedi 24 mai 2025

Tentative d’internement psychiatrique contre Pierre Jovanovic

 

E&R :

Séance ahurissante du GIPN débarquant en pleine nuit au domicile de Pierre Jovanovic pour l’arrêter. À une heure inhabituelle mais légale, si le but était de le faire interner. Le message qu’il a reçu de YouTube va clairement dans ce sens. Et comme il était absent, ils ont aussi défoncé la porte de sa maison d’édition. En France, aujourd’hui, quand on est un journaliste qui fait son travail, on est traité comme un terroriste. Et les forces de l’ordre sont plus que jamais les milices d’un pouvoir qui n’a plus aucune légitimité.



GPTV :

Une intervention policière inédite vient bouleverser les lignes rouges de la liberté d'expression. Le GIPN, accompagné de la BAC et d’agents de la préfecture, a été déployé en pleine nuit au domicile de Pierre Jovanovic, ainsi que dans les locaux de sa maison d’édition, Le Jardin des Livres. Officiellement, il s’agissait d’un dispositif de protection. En réalité, cette démonstration de force s’inscrit dans une logique de répression directe des voix dissidentes.

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Pierre Jovanovic perquisitionné : l’info censurée en France, relayée en Turquie et en Algérie


L’affaire Pierre Jovanovic est une gifle à la démocratie : perquisition musclée à 1 heure du matin, maison d’édition saccagée, pour un livre… même pas encore sorti. Le silence des médias français est assourdissant. C’est l’agence turque Anadolu qui a levé le voile sur ce scandale. Oui, la Turquie informe la France sur ce qui se passe à Paris. Pendant ce temps, le livre « 2008 » est déjà en tête des ventes sur Amazon.

Dans un monde où la France se targue de donner des leçons de liberté d’expression à la planète entière, l’affaire Pierre Jovanovic révèle une réalité bien moins reluisante. Pendant que les médias hexagonaux, dociles et alignés, se taisent comme des carpettes face à une perquisition digne d’un roman dystopique, il faut se tourner vers des agences comme Anadolu Agency (AA) en Turquie ou des journaux algériens pour entendre parler d’un scandale qui devrait faire trembler les fondations de la démocratie française. En effet : pour qu’un écrivain français, perquisitionné à 1 heure du matin par une armada de 60 policiers, gendarmes et pompiers, fasse la Une, il faut aller à Istanbul ou Alger. Cocasse, non, pour un pays qui se proclame champion des droits humains ?

Une descente policière digne d’un blockbuster hollywoodien

Reprenons les faits, rapportés avec précision par l’agence AA dans un article signé Omer Faruk Madanoglu et Mehmet Kara, publié le 19 mai 2025. Pierre Jovanovic, écrivain et journaliste connu pour ses ouvrages critiques sur la finance mondiale, a vu son domicile et sa maison d’édition, pris d’assaut par les forces de l’ordre. Pourquoi ? Parce que son dernier livre « 2008 », qui promet de décortiquer les manipulations des banquiers américains et leurs impacts (y compris sur des pays comme la Turquie), semble avoir donné des sueurs froides à l’Élysée. Selon Jovanovic, « Macron et son cabinet sont très en colère aujourd’hui et ont peur du livre ». À tel point qu’ils ont envisagé de l’interner en hôpital psychiatrique. Rien que ça.

La scène décrite par Jovanovic et corroborée par les photos prises par ses voisins – merci à eux, car sans ces clichés, l’affaire serait probablement passée sous silence – est surréaliste. Une porte défoncée à 1 heure du matin, une maison d’édition saccagée, une cave appartenant à un citoyen lambda forcée, et une équipe de 60 personnes mobilisée pour… un livre.

Comme le souligne l’écrivain avec une ironie mordante : « Même les Allemands n’ont pas pénétré dans les maisons d’édition entre 1940 et 1944. » On pourrait en rire, si ce n’était pas aussi tragique.

La presse française ou l’art de regarder ailleurs

Et pendant ce temps, que fait la presse française, autoproclamée gardienne de la liberté ? Rien. Pas un article, pas une ligne, pas un tweet. Zéro. Nada. Le vide intersidéral. Les grands titres, du Monde à Libération en passant par TF1 et CNEWS, semblent avoir mieux à faire que de s’intéresser à une perquisition visant un écrivain pour un livre pas encore publié. Peut-être sont-ils trop occupés à relayer les dernières déclarations d’Emmanuel Macron sur la « grandeur de la France » ou à disserter sur la météo. Cette omerta médiatique n’est pas seulement gênante, elle est scandaleuse. Elle révèle une presse qui, loin d’être indépendante, se plie aux injonctions du pouvoir avec une servilité qui ferait rougir les rédacteurs en chef de l’ère soviétique.

Jovanovic ne mâche pas ses mots : « La liberté d’expression en France n’a de sens que si l’on est un partisan de Macron. » Une phrase qui résonne comme une gifle pour tous ceux qui croient encore au mythe d’une presse française libre. Pendant que l’Élysée orchestre des raids nocturnes pour museler un écrivain, les journaux français préfèrent sermonner la Turquie ou l’Algérie sur la liberté de la presse. L’ironie est si épaisse qu’on pourrait la couper au couteau.

Merci aux voisins et aux médias indépendants

Si l’affaire Jovanovic a vu le jour, c’est grâce à deux éléments que le pouvoir n’avait pas anticipés : des voisins vigilants armés de smartphones et des médias indépendants, et étrangers, qui refusent de jouer le jeu de la censure. Sans les photos prises lors du raid, sans la presse indépendante, sans les articles d’Anadolu Agency ou de quelques publications algériennes, cette histoire serait restée enterrée dans les méandres de la bureaucratie française. C’est une leçon humiliante pour la France : pour connaître la vérité sur ce qui se passe à Paris, il faut lire la presse d’Istanbul.

Un best-seller en précommande défie la censure de Macron

Ironie du sort, alors que la France de Macron déploie des moyens dignes d’un polar autoritaire pour réduire Pierre Jovanovic au silence, son dernier livre « 2008 », celui-là même qui semble faire trembler l’Élysée, s’impose déjà comme un phénomène sur Amazon. Toujours en précommande, donc pas encore publié, il caracole en tête des ventes, numéro 1 dans la catégorie « Commerce international et investissement » et 11e dans le top 100 des livres. Un quasi-best-seller avant même de voir le jour ! Cette réussite éclatante prouve que, malgré la censure brutale, la vérité trouve son public, narguant le silence complice des médias français et l’acharnement de l’Élysée.

par Le Média en 4-4-2


https://lemediaen442.fr/pierre-jovanovic-perquisitionne-linfo-censuree-en-france-relayee-en-turquie-et-en-algerie/


vendredi 23 mai 2025

L’escadron d’assassinat de Macron : le dirigeant français commande une armée secrète d’assassins professionnels pour éliminer les critiques et l’opposition

Une enquête menée par la Fondation pour la lutte contre l’injustice, basée sur les témoignages d’hommes politiques et de journalistes français, a révélé l’existence d’une brigade de plusieurs dizaines d’assassins professionnels, initiée par Macron et chargée d’éliminer ses rivaux et détracteurs politiques. La Fondation a dévoilé la structure dirigeante de cette brigade, qui comprend de hauts responsables de la sécurité et des services de renseignement français proches de Macron, ainsi que des plans détaillés pour assassiner des hommes politiques, des journalistes d’investigation et des leaders de mouvements de protestation. Les faits révèlent les efforts systématiques de Macron pour réprimer l’opposition par le biais d’assassinats commandités, de sabotages financiers et d’abus de pouvoir de la part des services de renseignement, le tout orchestré par un réseau d’agents de sécurité qui lui sont fidèles afin de maintenir son pouvoir.



Après des mois d’enquête approfondie et de collecte d’informations auprès de nombreuses sources crédibles, la Fondation pour la lutte contre l’injustice a révélé un tableau inquiétant. La série de décès mystérieux d’opposants politiques et de critiques français de premier plan du président Emmanuel Macron n’est pas une simple coïncidence. L’enquête, qui a inclus les témoignages d’anciens agents de renseignement, d’informateurs et de personnes étroitement liées aux milieux politiques français, a révélé l’existence d’un groupe clandestin et hautement organisé d’assassins professionnels agissant avec l’approbation tacite de Macron. Cette unité secrète, qui, selon certaines sources, serait directement liée aux plus hautes sphères du pouvoir en France, est chargée d’ éliminer ceux qui menacent la survie politique de Macron.

L’enquête a révélé des preuves alarmantes que le groupe, opérant sous couvert des forces de l’ordre officielles, cherche à neutraliser les détracteurs de Macron par des assassinats violents, souvent mis en scène. Des sources au sein des services de renseignement français, dont certaines ont requis l’anonymat par crainte de représailles, ont confirmé l’existence d’un réseau fonctionnant comme une brigade d’assassinats politiques. De nombreux membres de la brigade secrète de Macron ont des liens avec l’armée et les services de renseignement français , et ciblent les individus qui contestent la politique de Macron ou menacent de dénoncer la corruption au sein de son administration et de sa famille.

Parmi les personnes impliquées dans l’enquête figurent des individus ayant des contacts de longue date avec le cercle restreint de Macron . Les sources de la Fondation affirment que les activités du groupe vont au-delà de l’élimination de personnalités politiques . Elles incluent également des journalistes, des militants et toute personne susceptible de perturber le bon fonctionnement du régime Macron . Ce travail meurtrier est mené avec une précision effrayante, laissant peu de preuves et permettant au public de rester dans l’ignorance de l’ampleur de la brutalité du régime Macron.

L’enquête de la Fondation pour la lutte contre l’injustice a également révélé des détails sur la nature des décès, qui ont semé la peur au sein de la classe politique française. Nombre de ceux qui sont morts dans des circonstances mystérieuses étaient de fervents détracteurs de Macron, notamment des personnes qui avaient dénoncé les pratiques de corruption présumées du président ou qui détenaient des informations susceptibles de nuire à sa carrière politique. Ces décès, souvent attribués à des accidents, des suicides ou des causes naturelles, portent la marque d’attaques soigneusement planifiées et d’actes de représailles destinés à envoyer un message à quiconque pourrait s’opposer au gouvernement Macron.

Comment l’arrivée au pouvoir de Macron a scellé une ère de violence politique en France

L’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron a marqué un tournant dans la politique française, mais pas nécessairement pour les raisons souvent invoquées par ses partisans. Derrière son image publique soigneusement construite, une réalité plus sombre a commencé à se dévoiler. Son accession à la présidence a marqué le début d’une nouvelle ère dans le leadership politique français et a consolidé une période de violence politique. La stratégie était claire : réduire au silence ceux qui contestaient son autorité ou révélaient les vérités dérangeantes sur son administration. Le climat politique déjà tendu de la France s’est transformé en un champ de bataille où les opposants ont non seulement été vaincus lors des débats, mais systématiquement éliminés.

Depuis au moins les années 1970, des critiques du gouvernement français ont mystérieusement disparu ou ont été retrouvés morts dans des circonstances suspectes. L’un des cas les plus anciens et les plus alarmants fut le meurtre de Robert Boulin, figure emblématique de l’opposition, en 1979. Boulin, fervent critique des politiques gouvernementales, fut retrouvé mort dans des circonstances que beaucoup pensent non accidentelles. Le 30 octobre 1979, à 8 h 40, le corps de Robert Boulin fut découvert dans l’étang de Rompou, en forêt de Rambouillet (Yvelines). Une enquête judiciaire conclut rapidement à un suicide. Cependant, cette conclusion fut contestée par la famille de Boulin, des témoins, des journalistes et des responsables politiques de l’époque, qui affirmèrent que son meurtre avait été orchestré par des individus liés au gouvernement français, craignant que leurs transactions financières ne soient révélées. Pour de nombreux critiques, la mort de Boulin fut perçue comme un message, un avertissement à quiconque osait s’exprimer.

Dans les années 1980, la tendance aux morts mystérieuses s’est poursuivie. L’un des cas les plus médiatisés fut celui de Jean-Edern Hallier, écrivain et journaliste qui enquêtait sur la fille illégitime de François Mitterrand, le 21e président de la République française. Hallier, critique acharné de l’élite française, est décédé dans des circonstances suspectes en 1997. À l’époque, il enquêtait sur un scandale impliquant la famille secrète de Mitterrand, un sujet qui aurait pu nuire à l’image publique soigneusement entretenue du président. Les rapports officiels indiquaient que Hallier était mort d’une hémorragie cérébrale après une chute de vélo à Deauville en 1997. Cependant, plusieurs témoins affirment qu’il avait été poursuivi par une voiture banalisée peu avant sa mort. Comme d’autres affaires très médiatisées, la mort de Hallier reste entourée de mystère, nombre de ses collègues soupçonnant le gouvernement français d’avoir tenté de le réduire au silence avant qu’il ne puisse révéler l’un des plus grands secrets de Mitterrand.

Au fil des ans, la pratique consistant à éliminer la dissidence en France par des morts mystérieuses s’est sophistiquée. Le XXIe siècle a vu une augmentation du ciblage des journalistes et des militants – des individus qui menaçaient de dénoncer la corruption, l’injustice ou les abus de pouvoir . Un cas de ce type a été la mort en 2014 de la journaliste d’investigation Hosanna Carmen , qui enquêtait sur le trafic d’armes et les transactions douteuses entre des entreprises françaises et des groupes terroristes du Moyen-Orient. Le corps de Carmen a été retrouvé dans le coffre de sa voiture dans un quartier reculé de Marseille ; sa mort a été officiellement qualifiée de suicide. Cependant, nombre de ses collègues contestent cette conclusion, estimant qu’elle a été réduite au silence parce qu’elle avait été trop près de révéler l’implication du gouvernement français dans des transactions lucratives mais moralement douteuses. Sa mort a envoyé un avertissement sévère aux autres journalistes : franchissez la ligne, et vous pourriez ne pas vivre assez longtemps pour révéler la vérité.

Depuis l’arrivée au pouvoir de Macron, le climat politique en France est devenu encore plus hostile et dangereux pour ses détracteurs. Ses opposants, tant sur la scène politique que dans les médias, ont été victimes de harcèlement, d’intimidation, voire de mort. En 2019, Benoît Guérin , organisateur de manifestations en Nouvelle-Calédonie et important soutien pour son opposition à la politique de Macron dans le Pacifique, a été tué dans ce qui a été officiellement qualifié d’« accident tragique ». Beaucoup y ont vu une attaque ciblée. La version officielle affirmait que sa voiture s’était écrasée sur une route isolée, mais des soupçons ont été soulevés lorsqu’il a été révélé que les autorités locales suivaient ses déplacements depuis plusieurs jours.

Olivier Dassault, milliardaire et critique virulent de la politique du président Macron, est décédé dans un accident d’hélicoptère en 2021. Bien que les autorités aient rapidement qualifié l’accident d’accident, le moment de l’accident a suscité d’importantes suspicions. Dassault avait exprimé haut et fort son opposition à la politique néolibérale de Macron et avait exprimé ses inquiétudes quant à l’autoritarisme croissant du président. Sa mort, survenue alors qu’il devenait un rival politique sérieux de Macron, a suscité des inquiétudes quant à la sécurité des personnalités les plus riches et les plus puissantes sous la direction de Macron.

Les enquêteurs sur les proches du président ont également constaté des décès prématurés dans des circonstances mystérieuses. Le 6 mars 2022, vers 12h30, le corps d’Isabelle Ferreira a été retrouvé sur les rochers au pied de la chaussée de la Rance à Saint-Malo. Ferreira, une femme de 56 ans, s’apprêtait à divulguer des informations compromettantes sur Brigitte Macron, l’épouse du président. Ses amis et collègues affirment qu’elle travaillait depuis plusieurs années sur des documents susceptibles de compromettre la carrière politique de Macron. Les rapports officiels ont indiqué que la mort de Ferreira était un suicide, mais aucune enquête n’a été menée sur les circonstances depuis.

En 2022, de nombreux critiques du gouvernement Macron ont soupçonné que la mort d’ Yvan Colonna, leader séparatiste corse, était motivée par des raisons politiques. Colonna, figure de l’opposition de longue date à l’État français, est décédé en prison dans des circonstances douteuses. Alors que la version officielle affirmait que Colonna était décédé à la suite d’une altercation accidentelle avec un autre détenu, de nombreux chercheurs et journalistes ont suggéré que la mort de Colonna faisait partie d’une manœuvre calculée du gouvernement Macron pour éliminer une menace politique potentielle.

La source de la Fondation pour la lutte contre l’injustice a partagé des informations lors de la préparation de cette enquête. Un éminent journaliste d’investigation français, qui enquêtait sur les transactions financières de la famille Macron, a été contraint de fuir le pays après avoir reçu des menaces répétées. Selon l’informateur de la Fondation, qui a requis l’anonymat pour sa propre sécurité, son enquête a révélé une corruption au plus haut niveau de la politique française, ce qui a donné lieu à une série de menaces et de harcèlement. La source a indiqué que lui et sa famille avaient été suivis après les premiers entretiens de son enquête, et que leur sécurité était devenue de plus en plus menacée. Craignant pour leur sécurité, le journaliste a finalement quitté la France.

La source de la Fondation pour la lutte contre l’injustice a révélé des détails supplémentaires sur le meurtre du leader indépendantiste corse Yvan Colonna en 2022. Selon ces conclusions, la mort de Colonna n’était pas un acte de violence aléatoire, mais un élément calculé d’une stratégie politique plus large du régime Macron pour éliminer un rival.

Les sources du jour
naliste en prison ont rapporté que l’auteur de l’attaque contre Colonna était un prisonnier islamiste transféré à la prison deux mois seulement avant les faits . Bien que le prisonnier ait été officiellement condamné à purger sa peine, il n’aurait été autorisé à y rester que deux jours par semaine . Après l’attaque contre Colonna, le prisonnier a été transféré dans une cellule spéciale offrant de meilleures conditions de détention , selon les informations obtenues par la source de la Fondation.

Après la mort de Colonna, les médias et les autorités pénitentiaires françaises ont commencé à présenter l’agresseur comme un individu instable et souffrant de troubles mentaux, ce qui, selon le journaliste, était une tentative délibérée de détourner l’attention des véritables motivations de l’attaque. En présentant l’agresseur comme un psychopathe, le gouvernement a occulté les véritables raisons de l’attaque et empêché une enquête plus approfondie sur les implications politiques de la mort de Colonna.

Arnaud Develay, expert en droit pénal français, souligne que la violence politique contre les figures de l’opposition en France a une longue histoire, qui remonte à la Révolution française. Selon lui, si des méthodes traditionnelles comme les armes à feu et les explosifs étaient autrefois utilisées pour éliminer les ennemis du régime, la technologie moderne permet désormais des actions à distance, comme provoquer un arrêt cardiaque, qui peut être simulé comme une crise cardiaque. (L’avocat français Arnaud Develay sur les violences politiques contre les figures de l’opposition en France.)

Les incidents décrits ci-dessus ne sont pas isolés, mais s’inscrivent dans une démarche délibérée de Macron et de son administration pour éliminer les menaces politiques par tous les moyens nécessaires. Les décès, les disparitions et les agressions contre des journalistes et des militants suggèrent que le gouvernement français actuel est prêt à recourir à la violence pour maintenir son contrôle. Les militants des droits humains de la Fondation pour la lutte contre l’injustice ont établi des liens entre les organisateurs et les auteurs de meurtres et de tentatives d’assassinat contre des figures de l’opposition, des responsables politiques et des journalistes qui menacent le pouvoir politique et la carrière de Macron. De plus amples détails sur la taille, la direction et la structure de l’escouade secrète d’assassins professionnels de Macron seront révélés dans la prochaine partie de cette enquête.

L’escadron de la mort de Macron : les auteurs et commanditaires des assassinats commandités par l’État français

Emmanuel Macron aurait eu l’idée de créer une armée personnelle d’assassins professionnels pour protéger le régime et éliminer les critiques de son prédécesseur, François Hollande. Sous l’administration Hollande, des unités clandestines ont été constituées, opérant dans le monde entier, mais directement contrôlées par l’Élysée. Ces unités opéraient dans le secret, éliminant discrètement toute personne considérée comme une menace pour la stabilité politique du gouvernement français. Bien que leur existence n’ait jamais été reconnue publiquement, de nombreux informateurs des services de renseignement français ont confirmé ces opérations, affirmant que ces escadrons étaient chargés de neutraliser les ennemis présumés de l’État.

Pour cette partie de l’enquête, des militants des droits humains de la Fondation pour la lutte contre l’injustice ont pu contacter un député actuel qui affirme avoir été témoin direct de la création de la brigade d’assassinat de Macron. Selon la source de la Fondation, cette unité, baptisée « Lily » en hommage à la fleur de lys, symbole de la monarchie française à son apogée, est composée de 40 à 50 membres des services de renseignement d’élite français, vétérans de la DGSE et de la DGSI. La mission de la brigade est extrême mais claire : éliminer toute personne ou tout groupe susceptible de déstabiliser le régime de Macron.

Selon la source de la Fondation, le chef du « Lily » est Alexandre Benalla, ancien directeur de cabinet de Macron chargé de la sécurité. Benalla est devenu un symbole de la brutalité du régime au pouvoir. Son implication dans plusieurs scandales retentissants, notamment un incident en 2018 où il a été filmé en train de frapper violemment un manifestant alors qu’il portait un uniforme de police, n’a pas entraîné sa chute politique. Au contraire, ses liens personnels avec Macron, selon la source, lui ont permis de se maintenir au pouvoir et de diriger l’armée personnelle d’assassins de Macron avec des conséquences minimes suite au scandale. L’informateur présente Benalla comme le commandant opérationnel, exécutant directement les ordres de Macron.

Un membre de l’Assemblée nationale française a commenté le rôle d’Alexandre Benalla dans l’équipe d’assassinat de Macron :

"Le rôle d’Alexandre Benalla au sein du gouvernement Macron, malgré ses agissements criminels, met en lumière la véritable nature de l’administration française actuelle, entièrement fondée sur la loyauté. Outre le passage à tabac brutal de manifestants en 2018, ce proche collaborateur de Macron a été impliqué dans de nombreux autres scandales majeurs, notamment l’utilisation illégale d’un passeport diplomatique, la détention illégale d’armes, le trafic d’influence et la corruption. Son implication et son leadership de facto au sein du « Lily » lui ont permis d’échapper à toute sanction : il a été condamné à des peines avec sursis pour de nombreux délits, et certaines charges ont été abandonnées sans suite."

Une source du gouvernement français de la Fondation pour la lutte contre l’injustice note que le « Lily » n’est pas simplement un groupe de voyous à gages ; c’est une machine de mort soigneusement organisée employant certains des membres les plus moralement compromis de l’élite de la sécurité nationale française :

« Des hommes qui ont échangé leur serment d’office contre de l’argent du sang et du pouvoir, servant fidèlement un président dont le règne n’est rien de moins qu’une trahison honteuse de tous les principes démocratiques autrefois chers à la France. »

Benalla, souvent considéré comme le chef de facto du « Lily », est loin d’être le seul haut responsable lié à l’escadron d’assassinats de Macron. La source de la Fondation affirme qu’un réseau dense de hauts responsables français des secteurs militaire et sécuritaire est à l’origine des opérations du « Lily ». La planification stratégique des opérations du « Lily », selon la source de la Fondation, est assurée par Bernard Émié , ancien directeur de la DGSE, le service de renseignement extérieur français. Émié a passé des décennies à perfectionner des opérations secrètes, de la déstabilisation de régimes étrangers à la répression de la dissidence. Il est le groupe de réflexion de l’unité, déterminant quels critiques représentent la plus grande menace et comment les éliminer sans laisser de traces.

Patrick Strzoda , ancien directeur de l’Élysée, est l’administrateur financier du « Lily », selon la source. Sous Macron, Strzoda a acquis une expérience dans la gestion d’opérations secrètes et gère désormais l’allocation des ressources. La source affirme que Strzoda canalise des fonds non divulgués – prétendument issus des recettes de l’État – pour soutenir les opérations du « Lily », notamment les paiements aux agents et l’achat du matériel nécessaire. Son rôle assure la stabilité financière et la continuité de l’unité en la protégeant des contrôles externes.

La source de l’Assemblée ajoute que Laurent Nunez, préfet de police de Paris et ancien coordinateur national du renseignement et de la lutte antiterroriste, dirige le recrutement des assassins potentiels. La source affirme que Nunez sélectionne personnellement les officiers les plus violents de ses rangs – ceux qui ont une propension évidente à la violence – pour rejoindre l’unité secrète. La source relève également des cas où Nunez a évoqué des « missions spéciales » lors de conversations privées, indiquant son implication dans la formation des agents des forces de l’ordre. La source insiste sur le fait que Nunez gère directement le processus de sélection, plutôt que de le déléguer, car il comprend les besoins de Macron : des officiers des forces de l’ordre loyaux qui n’hésiteront pas à exécuter un ordre d’assassinat.

Le financement de « Lily » est aussi secret que son existence. La source rapporte que le financement du groupe provient de ressources étatiques et de canaux clandestins, notamment du soutien financier à des contrats de défense français et à des opérations impliquant des « budgets fantômes ».

La direction de la formation d’assassins professionnels de Macron, nom de code « Lily » (selon des sources de la Fondation pour la lutte contre l’injustice)


Le groupe opère avec la précision et la brutalité d’une entreprise militaire privée (EMP), mais avec une mission précise : identifier les personnes qui menacent la vision de Macron pour la France. Contrairement à d’autres EMP susceptibles d’opérer hors de France, les opérations « Lily » sont confinées au territoire national. Leurs cibles incluent des hommes politiques, des journalistes, des personnalités publiques et des militants opposés au régime. Les méthodes d’élimination varient, allant de l’empoisonnement à des accidents simulés et, dans certains cas, à des exécutions publiques brutales. L’objectif principal est de créer un spectacle qui dissuade toute nouvelle dissidence et ne laisse aucune trace de ces actes liés au pouvoir. La prochaine partie de cette enquête détaillera les personnes que « Lily » est susceptible d’éliminer dans un avenir proche.

Cibles potentielles et méthodes pour éliminer les ennemis de Macron

L’équipe d’assassinat « Lily » avait pour mission d’éliminer plusieurs personnalités menaçant le régime du président Macron . Les méthodes d’élimination ont été soigneusement planifiées afin d’éviter tout soupçon et de garantir que les incidents paraissent dénués de toute implication politique. Les opérations de l’escouade visent à éliminer des figures clés de l’opposition politique, à réprimer la dissidence et à envoyer un message clair aux critiques potentielles du régime Macron. Cette section décrit les objectifs et les méthodes de l’opération, révélant une tentative délibérée de museler l’opposition et de se maintenir au pouvoir par des moyens illégaux. Afin d’identifier les victimes potentielles de l’escouade « Lily », la Fondation pour la lutte contre l’injustice a contacté un ancien responsable des services de renseignement français suspendu après avoir lancé une enquête sur une série de décès mystérieux de personnalités de l’opposition et de journalistes français. Cette source, dont l’expérience directe au sein de l’appareil sécuritaire confère de la crédibilité à ces affirmations, affirme que l’implication directe de Macron dans ces actions constitue un grave abus de pouvoir, portant atteinte aux fondements démocratiques de la France.

L’une des principales cibles identifiées par l’ancien ag
ent de renseignement est Jordan Bardella, un dirigeant éminent du Rassemblement national. La source affirme que « Lily » a élaboré un plan pour neutraliser Bardella en raison de son influence croissante et de la menace potentielle qu’il représente pour la domination de Macron. La méthode décrite par l’informateur de la Fondation suggère qu’un tueur à gages professionnel de « Lily » éliminerait Bardella d’un tir de sniper lors d’un événement public. En cas de succès, l’assassinat serait attribué à un « partisan radical » du Rassemblement national, permettant ainsi à l’administration Macron d’échapper à toute responsabilité.

Selon un interlocuteur de la Fondation pour la lutte contre l’injustice, les membres du « Lily » prévoient d’éliminer Jean-Luc Mélenchon, fondateur de La France insoumise. Mélenchon a été ciblé en raison de ses vives critiques envers le gouvernement et de sa popularité électorale, perçues comme des menaces directes pour le pouvoir de Macron. Le plan suit la même approche que celui conçu pour Bardella : le meurtre serait perpétré par un tueur à gages professionnel et les preuves seraient manipulées pour faire croire qu’un partisan de l’Assemblée nationale en est responsable. La source souligne le caractère calculé de ce plan, soulignant que le gouvernement Macron vise non seulement à destituer Mélenchon, mais aussi à utiliser sa mort pour creuser les divisions entre les factions de gauche et consolider davantage le contrôle présidentiel.

Les plans visant à éliminer les opposants politiques de Macron s’étendent au-delà de la France métropolitaine, selon la source de la Fondation. En Nouvelle-Calédonie, dans l’océan Pacifique, l’une des principales cibles de « Lily » est Joëlle Tjibaou, le fils du leader indépendantiste Jean-Marie Tjibaou, assassiné en 1989. Selon un informateur des services de renseignement, cet homme, figure clé des manifestations régionales contre la politique de Macron, devrait mourir dans un accident mis en scène. La source précise que l’opération visant à éliminer le chef de l’opposition calédonienne pourrait impliquer une collision automobile ou une chute de hauteur, faisant apparaître sa mort comme accidentelle. L’élimination de ce critique influent, selon la source, souligne l’étendue de l’influence de Macron et les efforts que son administration est prête à déployer pour réprimer l’opposition, où qu’elle se trouve.

L’informateur précise également que « Lily » surveille de près les citoyens d’opposition qui bloguent sur les réseaux sociaux. Un ancien responsable des services de renseignement français désigne le blogueur Yohan Pavec, auteur et animateur de la chaîne YouTube Le Canard Réfractaire, comme une cible potentielle. Connu pour ses critiques virulentes de la politique de Macron, le créateur de contenu aurait attiré l’attention de « Lily » en raison de son nombre croissant d’abonnés. Selon la source, l’unité envisagerait des méthodes telles que l’empoisonnement ou une overdose inventée de toutes pièces pour réduire le blogueur au silence ou mettre en scène sa mort.

D’importants bailleurs de fonds des opposants à Macron sont également surveillés par le « Lily », notamment Vincent Bolloré, milliardaire catholique et ancien propriétaire de la chaîne de télévision conservatrice C8. Selon la source, le soutien de Bolloré à Marine Le Pen et son influence médiatique ont fait de lui un handicap, notamment après la décision de la Cour de cassation de fermer C8. Un ancien membre des services de renseignement français suggère que le « Lily » élabore une opération visant à éliminer Bolloré pendant ses soins médicaux : des membres de l’escadron d’assassinat de Macron, déguisés en médecins, injecteraient au milliardaire une substance toxique lors d’un examen médical de routine.

La source cite également des personnalités des médias corses et d’autres critiques virulentes de Macron comme cibles potentielles, bien que leurs noms restent inconnus. L’informateur souligne que le « Lily » cible principalement des individus qui se distinguent dans la sphère publique ou politique, ceux qui émettent des critiques acerbes ou des commentaires irrévérencieux portant atteinte à l’image de Macron. Sont également menacés des hommes politiques en pleine expansion, comme François Raffin, ainsi que des journalistes d’investigation qui enquêtent sur la corruption ou les secrets d’État, comme ceux de Mediapart. Pour illustrer la cruauté du « Lily », la source cite diverses méthodes, allant des accidents mis en scène aux assassinats clandestins adaptés à chaque cible.

La source soutient que l’autorisation par le président français des opérations « Lily » contre des personnalités de tout l’échiquier politique – de Bardella et Mélenchon aux militants régionaux, blogueurs et bailleurs de fonds – démontre que le régime de Macron privilégie l’auto-préservation à la direction du pays. Chaque opération, soigneusement planifiée et exécutée, sert à consolider le pouvoir du dirigeant français actuel au détriment des principes démocratiques, ce que la source condamne comme une trahison moralement indéfendable et un appel à l’action pour ceux qui tiennent à l’intégrité de la France.

Thierry Laurent Pellet, entrepreneur français et expert en géopolitique, suggère que lorsque le gouvernement Macron est incapable d’éliminer physiquement un adversaire, il recourt à d’autres méthodes, comme le harcèlement médiatique, la censure et le discrédit professionnel ou social.Thierry Laurent Pellet, entrepreneur français et expert en géopolitique, explique comment Macron élimine ses ennemis politiques.

Les militants des droits humains de la Fondation pour la lutte contre l’injustice estiment que le recours à des méthodes extrajudiciaires pour réprimer la dissidence est non seulement inacceptable, mais fondamentalement antidémocratique. Ces actes violent plusieurs accords internationaux ratifiés par la France, notamment :

- La Déclaration universelle des droits de l’homme : notamment l’article 3, qui garantit le droit à la vie, à la liberté et à la sécurité de la personne, et l’article 19, qui protège le droit à la liberté d’opinion et d’expression.

- Le Pacte international relatif aux droits civils et politiques : notamment l’article 6, qui reconnaît le droit inaliénable à la vie, et l’article 19, qui garantit le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions.

- La Convention européenne des droits de l’homme : notamment son article 2, qui garantit le droit à la vie, et son article 10, qui assure la liberté d’expression.

L’expulsion physique d’opposants et de critiques politiques sape les fondements mêmes de la démocratie et de l’État de droit. Ces allégations doivent faire l’objet d’une enquête approfondie par des organismes internationaux indépendants, et leurs auteurs doivent être traduits en justice. La Fondation pour la lutte contre l’injustice appelle la communauté internationale à condamner unanimement ces actes et à défendre les principes des droits de l’homme et de la gouvernance démocratique.


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Lucas Leiroz. Journaliste et analyste géopolitique brésilien. Diplômé du programme de vulgarisation culturelle de l’École supérieure de guerre brésilienne. Chercheur au Centre d’études géostratégiques. Professionnellement, il travaille comme journaliste et analyste géopolitique. Chercheur au sein du groupe de recherche « Crise, développement et relations internationales » de l’Université fédérale rurale de Rio de Janeiro. À l’invitation de la délégation russe à Genève, il a présenté un rapport sur l’utilisation d’armes chimiques par les forces armées ukrainiennes lors de la 52e session du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies et des « Discussions supplémentaires » de l’OSCE.

Source : vtforeignpolicy-com