Bertrand Scholler :
Ce n’est pas un simple événement. C’est un signe. Un signe fort, à la fois spirituel, prophétique et profondément lié à l’époque trouble que nous vivons.
Selon la célèbre prophétie de saint Malachie, chaque pape est associé à une devise symbolique. Celle du pape François – “Petrus Romanus”, “Pierre le Romain” – est la dernière de la liste. Ce texte ancien, que l’Église elle-même regarde avec prudence mais que des siècles de croyants ont scruté avec fascination, annonce qu’après ce dernier souverain pontife, la fin viendra pour Rome, et un jugement terrible pour l’humanité.
Alors… Était-ce vraiment le dernier pape ?
Était-il celui qui, selon certaines lectures mystiques, devait accompagner l’Église dans sa passion, comme le Christ avant la Résurrection ?
Nous le saurons bientôt. Car si un autre pape lui succède, ce sera peut-être un antipape. Ou alors, un pontife éphémère, placé dans un monde déjà prêt à basculer.
Le contexte géopolitique actuel semble, lui aussi, confirmer cette intensité eschatologique. Un simple éclair d’ Israël l’état au régime génocidaire contre les Palestiniens de Gaza, contre l’Iran, et c’est tout le Moyen-Orient – voire le monde – qui s’embrasera. Les tensions s’accumulent comme du bois sec sous une étincelle.
Nous vivons un temps qui dépasse la simple logique humaine : un temps prophétique, un temps de dévoilement, un temps de bascule. Entre effondrement et transfiguration. Entre ténèbres et lumière.
Et la mort du pape François, précisément pendant la fête la plus sacrée du christianisme, n’est pas un hasard.
Le pape François s’éteint à 88 ans le 21 avril 2025. Ce n’est pas un simple décès : c’est un signal, un point de départ, une pendule qui s’enclenche dans des temps eschatologiques. Les chiffres parlent, et leur message est clair : nous sommes à 0:00, l’heure du dévoilement.
Ce jour, le 111e de l’année 2025, n’est pas anodin. Le 21 avril – 21, un nombre de perfection dans la mystique chrétienne – marque un tournant. Selon la prophétie de saint Malachie, François, Petrus Romanus, est le dernier pape, celui qui guide l’Église dans sa passion avant la chute de Rome et le Jugement. Sa mort, survenue ce lundi de Pâques, résonne comme un glas prophétique.
Regardez les chiffres, ils murmurent une vérité. Le 21 avril 2025, réduit en numérologie (2+1+4+2+0+2+5 = 16), donne 16. L’âge de François, 88 ans, se réduit aussi à 16 (8+8 = 16). Et 16 moins 16 ? 0:00. L’heure zéro, l’instant où tout bascule. Plus troublant encore : 16, en numérologie, se réduit à 7 (1+6 = 7), un chiffre divin, celui des sept sceaux de l’Apocalypse. En binaire, 7 s’écrit 111 – comme le 111e jour de l’année. Une coïncidence ? Non, un signe.
Un post énigmatique, publié il y a des mois (numéro 651), montrait François avec, en bas à gauche, un 0:01 clignotant. Aujourd’hui, la pendule affiche 0:00. Il avait annoncé ce jour, ce 21 avril, comme un point de départ. La prophétie de Malachie, vieille de 900 ans, désigne Petrus Romanus comme le pasteur des tribulations finales. Après lui, « la ville aux sept collines sera détruite, et le Juge redoutable jugera les peuples ». Nous y sommes.
Que signifie cette heure zéro ? Un nouveau pape émergera-t-il, ou sera-t-il un antipape, comme certains mystiques le redoutent ? La pendule a démarré, et chaque tic-tac nous rapproche d’un dévoilement. Le 21 avril 2025 n’est pas une fin, mais un commencement : celui des temps derniers, où ténèbres et lumière s’affrontent avant la transfiguration.
Restez éveillés. Les chiffres ne mentent pas. La prophétie s’accomplit.