mercredi 29 janvier 2025

Abraham n’a pas existé – Dieu n’a choisi aucune tribu



Voici une compilation de plusieurs sources traitant des mythes de l'Ancien et du Nouveau Testament. Même un bref historique montre qu'en fait, on savait depuis les années 1550 que toute l'histoire d'Abraham avait été copiée... de l'Inde qui l'a importée d'Egypte. Même Voltaire le savait.

Il n’est pas surprenant qu’Abraham n’ait jamais existé. Abraham est une copie flagrante d’une religion antérieure venue d’Inde. Brahma épouse sa sœur Saraswati. Ce mythe est écrit comme Abraham épousant sa sœur Sara. La servante de Sara, Hagar, est la rivière Ghaggar en Inde. Le roi David est une métaphore des peuples dravidiens du sud de l’Inde. Isaac est aussi une copie, Ishaak, le grand ami de Shiva. Pourtant, les gens modernes croient littéralement à ces histoires de l’Ancien Testament. Ce ne sont pas des mythologies réécrites, fausses la première fois et doublement fausses la deuxième fois. Cela implique que l’Ancien Testament tout entier est faux, pas littéral, pas historique. Ainsi, il n’y a pas de descendants d’Abraham parce qu’il n’a pas existé. De plus, aucun dieu n’a choisi aucune tribu, ce n’est que de la propagande tribale destinée à établir la domination de cette tribu sur les goys.

Brahma est le père de tous (RV7.97b), tandis qu'Abraham est le père de nombreuses nations (Gen 17:5)

L'épouse de Brahma est sa sœur Sarasvati (SV7.96.2), et elle était d'une grande beauté (AV19.17 ; KenU3), tandis que l'épouse d'Abraham, Sarah, est également sa sœur (Gen 20:12) et est belle (Gen 12:14).

Saraswati est connue pour être une déesse de l'eau, son nom signifie quelque chose comme retient l'eau. La rivière Saraswati (PraU1.6) a un affluent nommé Ghaggar, qui reflète le nom de la servante de Sarah, Hagar. Sarah de l'hébreu (שרר sharar ) signifie souveraine et/ou retient l'eau.

Brahma et Sarasvati ont vécu ensemble pendant 100 ans, puis ont eu leur premier fils, tandis qu'Abraham avait 100 ans et Sarah 90 ans lorsqu'ils ont eu Isaac (Gen 21.5).

Le fils (ou petit-fils) de Brahma, Daksha, est tué en sacrifice d'offrande devant tous les dieux, tandis qu'Abraham est sur le point d'offrir son fils Isaac. À la demande de son père, Brihaspati (né du corps de Brahma, RV3.23.1), Daksha** est ressuscité avec la tête d'un bélier, tandis qu'Abraham trouve un bélier pris dans un buisson pour le sacrifier à la place de son fils Isaac (Gen 22:1-13). L'offrande cachée de Brahma (AV19.42.1-2), se rapporte à l'offrande d'Abraham d'un bélier pris dans un buisson.

Il existe de nombreux autres points communs. Mais il ne s’agit pas seulement de similitudes textuelles. Aristote*** dit : « Les Juifs sont issus des philosophes indiens ; les Indiens les appellent Calami et les Syriens Judaei, et ils tirent leur nom du pays qu’ils habitent, qui s’appelle Judée. » (Livre I : 22.) De plus, Mégasthène, ambassadeur de Séleucus Ier de Syrie en Inde, écrivit en 288 av. J.-C. dans son livre Indika que les Juifs étaient une tribu ou une secte indienne appelée Kalani.

Il est tout à fait possible et souvent supposé que certains ancêtres juifs appartenaient à la classe sacerdotale des Brahmanes qui se dirigèrent vers l'ouest, apportant avec eux des capacités d'écriture.

Les fouilles n’ont révélé aucune trace d’une population sédentaire autour de la Judée et de Jérusalem au 10e siècle avant J.-C., époque à laquelle le royaume de David et de Salomon était censés prospérer. Une communauté susceptible de soutenir un royaume ne s’est formée en Judée qu’au moins un siècle plus tard, a déclaré le professeur Thompson. Jérusalem n’est devenue une grande ville influente politiquement qu’aux alentours de 650 avant J.-C.

Il a ajouté : « Il est hors de question que Saül, David et Salomon, tels que décrits comme rois dans la Bible, aient pu exister. Je pense que les récits bibliques sont des histoires merveilleuses, inventées à l'époque où Jérusalem faisait partie de l'Empire perse au 5e siècle avant J.-C. »

La nation israélite, croit-il, fut créée par l'Empire perse et fut formée vers 450 av. J.-C. Mais les gens qui furent déplacés à Jérusalem à cette époque n'étaient pas les descendants de ceux qui avaient été déportés de la ville après la prise de Babylone en 586 av. J.-C. Il s'agissait des descendants de Syriens, de Philistins, de Phéniciens, de Judéens et d'autres peuples qui avaient également été déportés de force à Babylone.****

Remarques :

* https://www.eoht.info/page/Abraham%20and%20Brahma

** L'histoire de Daksha est présente dans le Shiva et le Vayu Purana. La tête de Daksha n'a pas été sacrifiée, il a été tué pour briser le caractère sacré du yagna. Il a été tué par Veerbhadra, un ansh de Shiva pour être responsable du suicide de la fille de Daksha et de l'épouse de Shiva, Sati. De plus, ce n'est pas Brihaspati qui a ressuscité Daksha, c'est Shiva qui l'a ressuscité sur la supplication de Brahma.

*** La citation d'Aristote, c'est en fait une citation de Josèphe, qui l'attribue à


Source : Blog Algora via La cause du peuple.


lundi 27 janvier 2025

A 82 ans, Jane Dotchin parcourt 1000 kilomètres à cheval





Depuis 1972, Jane Dotchin, une femme de 82 ans originaire de Hexham, dans le Northumberland (Royaume-Uni), entreprend chaque automne un impressionnant périple à cheval de 965 kilomètres. Accompagnée de Diamond, son cheval de 13 ans, elle parcourt cette distance en environ sept semaines, couvrant entre 24 et 32 kilomètres par jour. Équipée d'une tente, de provisions et d'ustensiles simples, Jane est également suivie par son fidèle chien, Dinky, un Jack Russell Terrier aux pattes avant déformées, qu'elle transporte dans les sacoches de sa selle.

Son régime de voyage est modeste : porridge, biscuits à l’avoine et fromage. Elle utilise un vieux téléphone portable dont la batterie tient jusqu’à six semaines, bien que le réseau soit souvent inexistant dans les régions reculées. Tout au long de son voyage, Jane rend visite à des amis rencontrés au fil des années et savoure la beauté des paysages écossais.

Malgré une vision réduite et un œil rétréci, Jane perpétue cette aventure depuis plus de 50 ans avec une endurance remarquable et un amour indéfectible pour la nature. Inspirante pour beaucoup, elle prévoit de continuer aussi longtemps que ses forces le lui permettront.

Le Contemplateur. 





samedi 25 janvier 2025

Le Kunsthaus Zürich présente la première grande rétrospective de Marina Abramović, artiste sataniste




Marina Abramović déversant du vrai sang coagulé sur l'effigie d'un enfant. Elle est très amie avec les Rothschild, Clinton, Podesta, Gates et environ 90 % des célébrités et des élites.


Aujourd'hui âgée de 78 ans, Marina Abramović, originaire de Serbie, est l'une des "artistes" les plus controversées de notre époque. Ses œuvres, dans lesquelles il est notamment question de glorification de la violence et d'infliger ou de subir des souffrances physiques [= sadomasochisme], paraissent plutôt perturbantes. C'est ce que reconnaît également le plus grand musée d'art de Suisse dans une mise en garde de Trigger. En effet, c'est là, au musée d'art de Zurich, qu'est présentée jusqu'en février 2025 une rétrospective de l'œuvre de Marina Abramović.

Kunsthaus Zürich, avertissement de Trigger au sujet de l'exposition de Marina Abramović : "Veuillez noter que l'exposition, les performances comprennent des représentations de la nudité et des œuvres d'art sur les thèmes de la mort et de la douleur physique qui peuvent être perçues comme perturbantes."

La Radio Télévision Suisse - SRF - titre à ce sujet : "Peau nue et corps ensanglantés - Marina Abramović brise chaque cadre au Kunsthaus de Zurich". L'art de Marina Abramović, qualifiée de "grande dame de l'art de la performance", mettrait "sa vie en danger et la "ferait souffrir". En lisant cela, on pourrait croire que la SRF nomme les perversions et la violence pour ce qu'elles sont vraiment. Mais si on y regarde de plus près, on constate que la SRF ne stigmatise pas Marina Abramović et ses représentations sanguinaires et violentes, mais qu'elle en parle d'une manière non critique et non objective. On a ainsi l'impression que ce type d'art est certes un peu extrême, mais qu'il se situe dans un cadre admissible. La SRF relie ensuite habilement son reportage à l'affirmation que Marina Abramović fait aujourd'hui partie des stars avec lesquelles tout le monde voudrait travailler, suggérant ainsi au téléspectateur que l'art supposé de Marina Abramović serait quelque chose de précieux. [...]

Marina Abramović célèbre dans son art toute la symbolique du satanisme : Abus d'enfants, cannibalisme et culte du sang - des abominations perverses avec glorification de la violence et de la mort. Une de ses spécialités est ce qu'elle appelle les événements "Spirit Cooking" : Evènements au cours desquels des aliments en forme de parties du corps humain sont servis et consommés. Cela fait-il allusion à des sacrifices rituels sataniques ? Mais non, écrit la SRF dans un autre article : Marina Abramović ne serait pas une sataniste - et les critiques sont même présentés par SRF comme des complotistes et des trolls de droite.

Kla.TV a toutefois révélé que c'est précisément SRF qui a nié les abus rituels sataniques qui se produisent dans le monde entier et qui se moque des rapports des victimes en les qualifiant de "Satanic Panic", c'est-à-dire de "panique imaginaire".

Ce même journaliste de SRF qui voulait qualifier les abus rituels sataniques de "fake news" dans des séries de prétendues révélations, s’est avéré avoir des liens avec des groupes pratiquant le satanisme.

Le scandale médiatique suisse n'est que la pointe de l'iceberg : dissimulation mondiale d'abus rituels sataniques.

Vidéo : kla.tv/31807


Jacob Rothschild avec la "performeuse" Marina Abramović devant un tableau de Thomas Lawrence nommé : "Satan guidant ses légions" (1797).


Un article d'Alliance, premier magazine juif sur le net :

Artiste juive : Marina Abramovic entre « absence », douleur et interrogation




mercredi 22 janvier 2025

Le monde malade des Jésuites

« Aucun événement politique ne peut être correctement appréhendé sans considération de l’implication du Vatican. Et aucun événement d’importance dans le monde ne se produit sans que le Vatican n’y participe, que ce soit de manière explicite ou implicite. » (Avro Manhattan, Chevalier de l’Ordre de Malte, Historien britannique. "Le Vatican et la Politique dans le Monde", 1960) 

« Les Jésuites offrent au monde en général un système théologique selon lequel n’importe quelle loi, Divine ou humaine, peut être enfreinte en toute impunité, et les Bulles papales ignorées. C’est une effroyable religion ; une religion que les honnêtes gens doivent abhorrer. » (M.F. Cusack, religieuse. "Le Pape Noir", 1896) 

« Les Jésuites se rient de nous ; et profitant de cette hilarité, le serpent à sonnette s’enroule à nos pieds, et vient nous frapper en plein cœur. » (Edwin Sherman, franc-maçon américain, "La Troupe des Machinistes de l’Enfer", 1883)


Eric Phelps : "Vatican Assassins: "Wounded in the House of My Friends" - The Diabolical History of the Society of Jesus", 2004.



Eric Phelps est l’auteur d’un ouvrage au vitriol intitulé "Vatican Assassins", ouvrage historique extrêmement bien documenté qui montre au lecteur, avec une pluie de détails, où se situent le VRAI pouvoir diabolique et le contrôle de cette planète (ou en tout cas la partie qui se trouve dans cette dimension physique).

"Vatican Assassins" fait également connaître au lecteur un certain nombre de vieux documents inestimables et de manuscrits historiques que ‘certaines personnes’ se sont efforcé de retirer des étagères de pratiquement toutes les bibliothèques. La plupart de ces documents sont d’une telle rareté, que leur remise en circulation auprès du public est un énorme service rendu à tous les amateurs d’histoire assoiffés de vérité. 

Ce qu’écrit Eric est d’un tel intérêt, que nous avons décidé de reprendre un certain nombre de points précis en lui demandant de répondre à nos questions. En effet, les travaux et les déductions d’Eric sont d’un niveau nettement plus élevé que ce que nous avons l’habitude d’entendre dans la sphère du conspirationnisme. Qui plus est, nous avons remarqué non sans quelque surprise, pendant l’année écoulée, à quel point ses travaux ont été l’objet d’attaques hystériques et sans fondements, mais jamais frontales. Bien que notre intention ait été d’axer principalement la conversation sur la situation actuelle, certains points particuliers du passé demandaient clarification.

MARTIN : j’aimerais axer cette conversation principalement sur la situation actuelle. Mais avant d’en arriver là, je souhaiterais clarifier une fois pour toutes un point susceptible d’entraîner la confusion dans l’esprit de nos lecteurs, celui concernant les "Protocoles des Anciens Erudits de Sion". 

Il y a eu maintes sources et citations se réclamant des Protocoles. Il s’agissait de faux. Ce n’était en réalité qu’une contrefaçon, ce qui signifie qu’elle se basait sur un document antérieur. Tout le monde pense que ce sont les Juifs, ou les Khazars, qui sont les auteurs des Protocoles, mais vos recherches infirment cette thèse. 

Qui, à votre avis, sont les auteurs des "Protocoles des Anciens Erudits de Sion" ?

ERIC : Le cardinal Bea, confesseur du pape Pie XII (le Pape d’Hitler), était un cardinal jésuite extrêmement puissant au sein même du Vatican. Selon Alberto Rivera, lors d’une conversation avec le cardinal Bea, ce dernier lui révéla que les Protocoles avaient été rédigés par des Juifs fidèles au Pape. 

Mais je ne pense pas que des Juifs aient rédigé les Protocoles. Je ne pense pas qu’on ait raconté toute l’histoire à Alberto Rivera, pour la bonne raison qu’il n’avait pas de « droit de savoir ». La rétention d’information a toujours été une procédure de routine pour les jésuites.

Je pense que des éléments fidèles au Pape ont effectivement écrit les Protocoles, mais que ces derniers étaient des jésuites, pour citer Leo Lehmann (l’ex-prêtre catholique irlandais qui se convertit à l’évangélisme et fonda une mission adventiste à New York). Il déclara que les jésuites étaient les auteurs des Protocoles, et que ce n’était pas une nouvelle supercherie, sur la foi du document qu’ils écrivirent au sujet de leur attaque contre les jansénistes, intitulé Les Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine.

Ainsi, les jésuites ont écrit les Protocoles de la même manière qu’ils ont écrit les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", et le langage des Protocoles est identique à celui de la réunion Secrète de Chieri (1825).

J’ai par ailleurs une citation d’un chrétien évangéliste brillant, le prêtre catholique irlandais auquel je me référais précédemment. Il a écrit un ouvrage intitulé "Derrière les Dictateurs", d’abord sorti en 1942 avant qu’il n’y ait deux autres éditions. J’ai celle de 1945, dans laquelle le Dr. Leo Lehmann déclare que les jésuites sont les auteurs des Protocoles. Mais avant de rentrer dans le vif du sujet, je voudrais juste vous dire qui était le Dr. L. H. Lehmann.

Né à Dublin en Irlande, il fut d’abord éduqué chez les nonnes et les frères chrétiens. Il entama ses études de prêtrise au Mungret College à Limerick, puis au Hallows College à Dublin. En 1918, il partit terminer ses études de théologie à l’Université de Propaganda Fide à Rome, où il fut ordonné prêtre en 1921. Il s’agit donc d’un évangéliste, ancien prêtre irlandais, qui a eu maille à partir avec les jésuites, et qui savait EXACTEMENT qui ils étaient en réalité. Lorsque vous avez été impliqué dans des procédures en justice au Vatican, vous connaissez la loi. Et vous connaissez l’histoire de vos adversaires.

Voici ce qu’il a dit sur l’origine des Protocoles, et qu’on peut lire en page 15 de son livre, "Derrière les Dictateurs" : 

« Bien qu’ayant été publiés pour la première fois en Russie en 1903, les Protocoles [des Anciens Erudits] de Sion sont originaires de France et remontent à l’affaire Dreyfus, dont les jésuites étaient les premiers instigateurs. Il était prévu que les Protocoles prennent effet en France, à l’occasion du renversement du gouvernement « judéo-maçonnique » de la République Française. Mais la découverte de la gigantesque escroquerie de Leo Taxil, qui avait été ouvertement soutenu par les jésuites, et la conclusion de l’alliance franco-russe, sans oublier les relations épineuses de l’époque entre le Vatican et le gouvernement français, rendirent plus opportun leur lancement en Russie. »

Ces Protocoles de prétendus dirigeants Juifs ne sont pas les premiers documents de la sorte fabriqués par les jésuites. Pendant plus d’un siècle avant l’apparition de ces Protocoles, les jésuites avaient déjà eu recours à une falsification du même style, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", contre le jansénisme (un mouvement catholique français hostile aux jésuites répandu dans le clergé séculaire).

J’ajouterais même que les jansénistes étaient en fait des calvinistes catholiques. Ils croyaient en la souveraineté de Dieu. Ils croyaient en la justification par la foi. Ils croyaient en maintes doctrines bibliques, et c’est pour cette raison que les jésuites les haïssaient et obtinrent même ultérieurement l’édition d’une Bulle papale à leur encontre. Les jésuites haïssaient les jansénistes, qui comptaient Blaise Pascal parmi leurs membres, à un point tel, qu’ils concoctèrent ce document, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", dans le dessein de leur nuire.

MARTIN : en quelle année était-ce ?

ERIC : C’était au XVIIe siècle, et cela se passait en France. C’était probablement vers la fin du siècle, puisque c’est à cette époque que Blaise Pascal écrivit ses "Lettres Provinciales".

[Note : Eric se réfère à un personnage intéressant, un peu du même acabit que le grand Nikola Tesla. Blaise Pascal (1623-1662) était un éminent mathématicien, physicien, théologien et homme de lettres, né à Clermont-Ferrand. En 1647 il inventa la machine à calculer, puis, plus tard, le baromètre, la presse hydraulique et la seringue. Jusqu’en 1654 il passa le plus clair de son temps entre les mathématiques (vous rappelez-vous du triangle de Pascal ainsi que d’autres curieuses découvertes mathématiques et géométriques ?) et les soirées mondaines du tout Paris ; puis cette année-là, une expérience mystique le poussa à rejoindre sa sœur, membre du couvent janséniste de Port-Royal, où il défendit la cause du jansénisme contre les jésuites dans les Lettres Provinciales, qui dénoncent la perversité des jésuites (1656-7).]

MARTIN : J’en reviens maintenant à ma lecture : « L’analogie entre les deux falsifications est parfaite ; le rassemblement secret dans la forêt de Bourg-Fontaine, le plan des ‘conspirateurs’ visant à éliminer la papauté et à instaurer la tolérance religieuse parmi toutes les nations ; le prétendu complot contre le Trône et l’Autel, et l’établissement d’un gouvernement mondial en opposition à l’Eglise Catholique. On retrouve la même dramatisation du pôle négatif de l’évolution historique du monde, devant mettre en lumière, par contraste, le pôle positif chrétien (catholique), autour duquel doivent se rassembler toutes les forces conservatrices, la monarchie, l’aristocratie, l’armée et le clergé, afin de sauver le monde de l’assaut de Satan. »

ERIC : N’est-ce point identique aux Protocoles ? A part que dans les Protocoles, c’est le Communisme qui est visé. Les deux documents prônent un gouvernement mondial, sous une autorité autre que celle du Pape. C’est ce qui, dans les Protocoles, trahit la main des jésuites, dans la continuité des "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine" ; qui plus est, après ce document, les "Secrets des Anciens de Bourg-Fontaine", suivit un autre document important, que nous possédons, à savoir "La Conspiration Jésuite", de Leone ("Le Plan Secret de l’Ordre"), publié en 1848.

Ce document raconte comment le jésuite Leone, alors novice âgé de 19 ans résidant à Chieri, en Italie, alors qu’il furetait dans une arrière-salle, surprit une conversation dans une autre pièce entre le Général Jésuite Roothaan et ses provinciaux (vers le milieu des années 1830, vers 1834), et prit des notes depuis sa cachette.

Celles-ci révèlent que le Général Jésuite préparait l’avènement d’un gouvernement mondial contrôlant la hiérarchie Catholique Romaine, le Pape, et les différentes monarchies, c’est-à-dire tous les gouvernements du monde. Tout cela est raconté dans l’ouvrage de Leone, "La Conspiration Jésuite", édité en 1848.

L’ouvrage est sorti en plusieurs langues. Il a fait le tour de l’Europe, ce qui contribua au soulèvement populaire de 1848 contre les jésuites, lors de la Seconde Révolution Française. Mais cette révolution resta sous contrôle, ses leaders furent récupérés, et l’épisode se termina par un renforcement du pouvoir des jésuites en Europe.

MARTIN : Vous dites que les Protocoles sont une émanation de l’Affaire Dreyfus (années 1890). Mais bien avant cela ont eu lieu les 25 sessions du concile de Trente (1545-1563). Pouvons-nous faire le lien qui s’impose ?

ERIC : Oui. A la fin du XIXe siècle, les jésuites étaient occupés à attiser la haine contre les juifs en Allemagne et en France. Un homme auquel il est fait référence dans l’"Histoire Universelle du Monde" de Ridpath (c’est le seul endroit où j’en ai trouvé la trace) intitula ses travaux "La solution à la question juive". Hitler, plus tard, allait y revenir, avec sa solution FINALE à la question juive. Donc, ils développaient l’antisémitisme, à la fois en Allemagne et en France.

MARTIN : Qui sont-ils donc ?

ERIC : Les jésuites. Les jésuites attisaient la haine dans ces deux pays, car ils avaient été expulsés d’Allemagne en 1872 et de France en 1880. C’est pourquoi, à travers leurs agents dans ces deux pays, ils s’en prenaient aux juifs. En France, ils déclenchèrent l’Affaire Dreyfus, dans les années 1890. Cette affaire avait plusieurs finalités. Dont celle de créer l’antisémitisme et de développer la haine des juifs en France. Je répugne à utiliser le mot antisémitisme, car les sémites ne se limitent pas aux juifs. Tout a été calculé pour déclencher la guerre avec l’Allemagne, car le capitaine Dreyfus a été accusé de trahison par voie d’espionnage pour le compte du gouvernement allemand. Tout cela était un montage.


Il fut piégé, et on l’envoya pour 10 ans à l’île du Diable, où il a souffert d’horribles tortures. Plus tard, lorsqu’il fut rapatrié, il réussit à prouver son innocence, et les jésuites furent montrés du doigt comme les artisans du complot. Après que toute la France ait été mise au courant, en 1901, les jésuites en furent de nouveau expulsés.

L’Affaire Dreyfus est l’un des cas de conspiration jésuite contre les Juifs les plus importants à l’échelle européenne, visant à déclencher une guerre entre la France et l’Allemagne. Car, en effet, il faut se souvenir que les Français détestaient les Allemands depuis la débâcle que ces derniers leur avaient infligé durant la guerre franco-prussienne de 1870. Et ils avaient soif de vengeance.

C’est pourquoi les jésuites ont attisé ce désir de vengeance du peuple et créé un différend franco-allemand, en utilisant les juifs pour faire monter à leur encontre une haine raciale, qui se manifesta en France en 1942 sous le gouvernement de Vichy, lorsque des collaborateurs aidèrent les nazis à rassembler des convois de juifs à destination d’Auschwitz. Et c’est à cette époque, en 1942 sous Pétain, que les juifs furent officiellement réadmis en France. C’est le sens de l’affaire Dreyfus. 

MARTIN : Qui fut à l’origine du Concile de Trente, du Plan Secret, etc… ? Qui y avait-il, historiquement, derrière tout ça ? 

ERIC : Eh bien, Diego Lainez succéda à Loyola en tant que Général Jésuite. Lainez était le Général en Second. Ce fut lui la TETE PENSANTE du Concile de Trente. Lainez, jésuite par conviction, était de race juive. Ce point est très important. Car c’est après que ce fait soit connu, en 1593, que l’Ordre décida statutairement qu’AUCUN JUIF NE POURRAIT DESORMAIS FAIRE PARTIE DE L’ORDRE. Ceci est d’une importance capitale. C’est la raison pour laquelle Weishaupt n’était pas juif. C’était contraire aux statuts de l’Ordre qu’un juif puisse en être membre. 

MARTIN : Que vient faire Weishaupt dans tout cela ? 

ERIC : Weishaupt était l’instigateur des Illuminati, en collaboration avec la Maison Rothschild ; il s’agissait de punir les monarques catholiques d’Europe et le Pape, pour la suppression de la Compagnie de Jésus.

Weishaupt n’a donc pas agi seul. Au mois au début, il était sous le contrôle du Général jésuite Ricci, qui décéda en 1775 en Italie. Weishaupt leur obéissait. 

MARTIN : Qui était le Général jésuite Roothaan ? 

ERIC : le Général jésuite Roothaan fut le Général de la Société des années 1830 au milieu des années 1850. Ce fut lui qui supervisa le Plan Secret de Chieri, que Leone surprit et au sujet duquel il écrivit.

MARTIN : C’est donc la clé de notre conversation. Et qui était Peter Beckx ? 

ERIC : Peter Beckx était le Général jésuite de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Ce fut lui qui donna l’ordre de couler le Titanic. 

MARTIN : Parlons de cela maintenant. Comment êtes-vous arrivé à la conclusion historique que ce sont les jésuites qui ont coulé le Titanic ? 

ERIC : Parce qu’ils en ont tiré avantage. Ils étaient présents, sur place, sur le navire, avant qu’il ne coule. Une organisation aussi puissante que la Compagnie de Jésus, qui jouissait d’un pouvoir colossal avant sa suppression, n’a jamais changé de cap, et a toujours visé l’établissement d’un Ordre Mondial sous l’autorité du Pape. Il est intéressant d’étudier l’histoire de l’Ordre par rapport aux crises nationales en germe – et ici, par rapport au Titanic. Posons-nous la question suivante : quand bien même on ne sait pas où ils étaient sur le moment, est-ce que la Compagnie de Jésus a tiré parti de cette histoire ? Et la réponse est oui.

Oui, parce que cet épisode a permis la fondation de la Federal Reserve Bank, qu’ils possèdent et qu’ils contrôlent, par l’intermédiaire des Chevaliers de Malte et de leurs avoirs. Ils ne possèdent jamais rien directement ; ils exercent toujours leur contrôle par le truchement d’une tierce partie digne de confiance.

Comment savons-nous que les jésuites contrôlent la Federal Reserve Bank ? Parce que la Federal Reserve Bank a servi à financer la deuxième « guerre de 30 ans » (de 1914 à 1945), au cours de laquelle tout ce qui s’est produit, absolument tout, est allé dans le sens des intérêts du Vatican.

On découvre que l’homme le plus puissant d’Irlande, le jésuite Francis Browne, était sur le Titanic où il prenait des photos de ceux qui allaient couler. Juste avant le départ de Queenstown, en Irlande, à destination de la Mer du Nord, « le prêtre chanceux quitta le navire », selon les mots de Martin Sheen, narrateur des Secrets du Titanic. Bien entendu, c’était tout sauf de la chance ; tout était planifié. Martin Sheen, qui fut Novice jésuite de St Jacques à Warnersville, en Pennsylvanie, était un proche des jésuites.

Ceux qui coulèrent étaient des juifs opulents qui s’opposaient à la création d’une banque centralisée en Amérique, en particulier John Jacob Astor, qui était un ami personnel de Louis Brandeis, de la Cour Suprême de Justice. Brandeis s’opposait lui aussi avec vigueur à la fondation d’une banque centrale. 

MARTIN : Astor, Guggenheim et Straus, trois juifs qui périrent dans le naufrage du Titanic. Pourquoi accorder une importance particulière au cas d’Astor ? 

ERIC : Astor était le juif le plus riche, certains prétendent même qu’il était l’homme le plus riche du monde. Il était en tout cas et sans aucun doute le juif le plus riche. Il n’avait pas davantage d’argent que le Pape, mais il était l’homme le plus riche au monde et il n’utilisait pas sa puissance dans le même sens que la Compagnie de Jésus. Plus tard, son fils, John Jacob Astor IV, s’associa au trust bancaire, ce qu’on peut vérifier sur internet ; c’est ainsi que les jésuites eurent accès à la fortune des Astor et, depuis, en ont le contrôle. A l’époque, ils se débarrassèrent d’Astor parce qu’ils convoitaient sa fortune, et parce qu’ils voulaient mettre un terme à son opposition au projet de création d’une banque centrale. En cela, ils obéissent aux Instructions Secrètes, qui prévoient qu’ils s’emparent des possessions des veuves et de ceux qui leur résistent.

C’est d’ailleurs précisément ce qu’ils firent dans "Le Juif Errant" d’Eugène Sue. Cette histoire met en scène une famille protestante française, les Rennepont, et décrit l’élimination méthodique de ses divers membres par les jésuites, visant à ce que ces derniers puissent faire main basse sur leur fortune après l’extinction de la lignée, à Paris, à un moment bien précis. Et c’était justement un juif qui gérait leur fortune. C’est pour une raison analogue qu’ils se sont débarrassé d’Astor. 

MARTIN : Quelle était donc cette citation tirée du film JFK sur le Titanic ? 

ERIC : Je pense qu’Oliver Stone était manipulé par les jésuites, qui contrôlent Hollywood. C’est la raison pour laquelle ils ont marqué de nombreuses parties du texte de leur empreinte.

L’une des phrases où celle-ci se manifeste est celle prononcée par Garrison lorsqu’il est assis à la table et déclare : « Messieurs, nous devons commencer à penser différemment. Nous devons penser comme la CIA. Blanc, c’est noir, et noir, c’est blanc. » Ces termes sont DIRECTEMENT issus des "Exercices Spirituels" d’Ignace de Loyola [Ignace de Loyola fut le fondateur de l’Ordre Jésuite en 1540.], lorsqu’il dit à ses adeptes qu’ils doivent suivre l’Eglise Catholique hiérarchique et croire que blanc, c’est noir, et noir, c’est blanc, si c’est ce que dit la hiérarchie. Cela provient en droite ligne des "Exercices Spirituels".

Donc, lorsque Bill, l’un des membres de l’équipe de Garrison, est approché par un agent de la CIA, et que ce dernier tente de le convaincre pour le gagner à sa cause, l’agent déclare : « Des milliers de gens vont mourir. Vous feriez mieux de vous éloigner de Garrison. Il va couler avec le Titanic. »

A cet endroit là, c’est de toute évidence un indice qui montre que ceux qui étaient derrière l’assassinat de Kennedy, et qui essayaient de brouiller les pistes de l’enquête de Garrison, étaient les mêmes que ceux qui envoyèrent le Titanic par le fond.

MARTIN : Je suis en train de lire la une d’une feuille de chou, et le titre dit : « Les sionistes khazariens sont les antéchrists. » Pourriez-vous expliquer ce qui se cache derrière un tel titre, et quel plan il annonce ?

ERIC : Nous savons que les jésuites, dans tous leurs plans, honnissent les juifs. Et là, vous dites : « Mais Eric, vous avez pourtant dit que les Jésuites avaient permis la fondation d’Israël. »

Les jésuites contrôlent les Maçons Sionistes Juifs qui contrôlent l’Israël Sioniste. Ils détestent la race juive. Et quand je parle des juifs, je ne parle pas du Judaïsme. Je ne parle pas de cette religion maléfique, qui rejette ouvertement et publiquement Jésus en sa qualité de Messie ; même Joseph a reconnu en Jésus le Messie.

MARTIN : A un moment, en privé, vous avez parlé des milices d’extrême-droite et avez évoqué un autre plan que ces dernières suivraient. Pouvez-vous en dire davantage ? Avant toute chose, je tiens à dire que cela va mettre à mal le système de croyance de beaucoup de gens. Certaines personnes auront probablement du mal à digérer vos propos. 

ERIC : les groupuscules et milices d’extrême-droite ont tous un point commun ; ils détestent les juifs. C’est un sacré indicateur à mon sens. S’ils détestent les juifs, cela veut dire qu’on leur a inculqué la haine envers les juifs, qu’ils sont endoctrinés. Ils détestent tous les juifs ; et il en va de même pour les Black Moslems (noirs musulmans). Leur leader Louis Farrakhan brandit ouvertement les "Protocoles des Sages de Sion" et rend les juifs responsables de tous nos problèmes, et de tous les maux dont souffrent les noirs.

Les groupes d’extrême-droite sont tous contrôlés par les jésuites parce qu’ils sont tous anti-juifs, et qu’ils n’ont RIEN A DIRE AU SUJET DE L’ORDRE DES JESUITES. RIEN DU TOUT !

MARTIN : Diriez-vous que la plupart de ces mouvements d’extrême-droite ne savent rien de l’Ordre des Jésuites ?

ERIC : Pas leurs leaders en tout cas. Beaucoup de ces groupes comptent des catholiques parmi leurs membres. Aucun catholique n’ignore le pouvoir de la Compagnie de Jésus, de leur système éducatif, ni leur pouvoir de gouverner.

Nous avons Drinin au Congrès ; nous avons Mc Laughlin qui écrivait des discours pour le compte de Nixon pour 35 000 dollars par an. Nous avons des jésuites partout dans le gouvernement. Aucun Catholique Romain digne de ce nom, membre de ces mouvements d’extrême-droite, ne peut ignorer le pouvoir des Jésuites.

ILS NE VEULENT PAS EN PARLER. TOUT COMME LA PRESSE NE VEUT PAS EN PARLER.

Cette affaire Timothy Mc Veigh ? Encore un autre catholique romain irlandais sacrifié, tout comme Kennedy, tout ça pour créer un mouvement populaire contre les groupes d’extrême-droite, parce qu’un bon nombre d’entre eux sont de vrais patriotes qui aspirent à la liberté ; ils veulent conserver leurs armes ; ils veulent être libres d’éduquer leurs enfants comme bon leur semble ; ce sont des gens honnêtes, mais ils ne savent pas que leurs dirigeants sont des pantins à la botte du Vatican.

Par exemple, les Jésuites qui contrôlent Clinton, ont fomenté l’attentat à la bombe d’Oklahoma City pour justifier la croisade contre les membres de ces mouvements d’extrême-droite, conservateurs, évangélistes pour la plupart, afin de les circonscrire et les exterminer. Mais ça n’a pas marché comme prévu. Alors ils ont fait imploser le bâtiment. Ils se sont débarrassé de Timothy Mc Veigh. Tout ce massacre aurait pu être évité par un simple coup de fil de l’Archevêque de New York à l’évêque d’Oklahoma, qui aurait fait stopper tout cela. 

L’objectif de l’attentat à la bombe d’Oklahoma City était de faire naître un sentiment hostile à l’extrême-droite. Et leurs dirigeants, ceux qui contrôlent les organisations d’extrême-droite, trahiraient la base, tout comme les russes de l’Armée Blanche furent trahis pendant la Révolution Communiste de 1917-1922. 

Leurs propres leaders les trahiraient, comme Hitler a trahi ses armées de l’Est, leur a coupé les approvisionnements, les a empêchées de prendre Moscou, et les a laissé crever de froid dans la neige russe ; tout comme Napoléon a trahi ses armées à l’Est, abandonnant 250 000 hommes ; c’est le sort qui attend nos patriotes qui sont aujourd’hui le dernier rempart contre la tyrannie dans ce pays.

MARTIN : Nous sommes presque arrivés au jour d’aujourd’hui. Mais auparavant, arrêtons-nous une minute, pour reparler de l’assassinat de JFK. Je vais citer quelques noms, ensuite nous parlerons du rôle des jésuites dans cet assassinat et du pourquoi de l’affaire.

John Mc Cone, directeur de la CIA ; le Cardinal Spellman, Archevêque de New York ; Henry Luce ; Carthe DeLouche ; et E. Howard Hunt. Pourquoi ces noms sont-ils si importants ? Quels sont leurs rapports ? Et POURQUOI montrer du doigt quelqu’un comme l’archevêque de New York, le Cardinal Sepllman, parmi tous ces gens, et faire endosser la responsabilité de l’assassinat directement au Vatican ? Comment justifier cela ?

ERIC : Nous savons que nous cherchons la trace d’une conspiration, alors nous reposons la question : à qui profite le crime ? Qui avait intérêt à la mort de JFK ? Eh bien, nous savons, de par les travaux du grand Fletcher Prouty, que JFK avait prévu de mettre un terme à la guerre du Vietnam en 1965. Nous savons également que JFK avait l’intention de mettre fin au règne de la CIA, en faisant transférer toutes leurs opérations militaires secrètes aux Chefs d’Etat-Major de l’Armée. Donc, la CIA et ceux qui voulaient poursuivre la guerre du Vietnam avaient intérêt à la disparition de JFK.

Posons maintenant la question suivante ; qui voulait la guerre du Vietnam ? Nous savons que plusieurs factions étaient pour, mais il était de notoriété que le Cardinal Spellman était lui aussi en faveur de la guerre. L’homme du Cardinal au Vietnam n’était autre que Diem. Diem était un catholique romain fasciste, qui persécutait les bouddhistes. Son frère dirigeait la Police Secrète. Diem était donc l’homme du Cardinal au Vietnam. Diem fut assassiné parce que Kennedy avait rappelé de Saïgon le représentant de la CIA.

En outre, pendant la guerre du Vietnam, le Cardinal Spellman se plaisait à visiter les différents fronts et à appeler les soldats les « soldats du Christ », selon l’expression d’Avro Manhattan, dans son œuvre « Vietnam : pourquoi y sommes-nous allés ? ». Le Cardinal Spellman voulait donc la guerre du Vietnam, et si le Cardinal la voulait, c’est que le Pape la voulait, et si le Pape la voulait, c’est que le Pape Noir, le Général Jésuite, la voulait.

MARTIN : Qui était-ce ?

ERIC : Jean-Baptiste Janssens. Il décéda en 1964. De 1964 aux environs de 1983 lui succéda Pedro Arrupe.

MARTIN : Janssens avait un plan ?

ERIC : Jean-Baptiste Janssens avait un plan, qui consistait à éliminer le plus grand nombre possible de bouddhistes, car ces derniers étaient depuis toujours les ennemis des jésuites. Quand les Jésuites investirent le Japon en 1873, que firent-ils ? Ils déclarèrent hors-la-loi la religion bouddhiste et firent en sorte que le gouvernement du Japon ne la tolère plus. Le Bouddhisme cessa d’être la religion d’état. Ils sont depuis toujours les ennemis des bouddhistes.

Par ailleurs, la guerre du Vietnam généra une dette de 220 millions de dollars, contractée au nom du peuple américain par le Congrès, qui emprunta cet argent à la Federal Reserve Bank des jésuites.

Ainsi, les jésuites s’en mirent plein les poches. Ils tuèrent nombre d’hérétiques et préservèrent la CIA. Souvenez vous, en effet : à l’origine, la CIA fut fondée par Reinhard Gehlen, un ancien général nazi, le plus sinistre de tous les généraux d’Hitler. Ce fut l’occasion d’introduire à l’Ouest tout l’appareil de renseignement nazi. De même, il fut introduit à l’Est via le KGB. On les appelait « les combattants de la liberté » ; en vérité, ces SS et ces nazis travaillaient pour le KGB. Il suffisait au Général Jésuite de contrôler le KGB pour contrôler la CIA.

Kennedy avait découvert le pot aux roses. De plus, il réprouvait le système des coupons de l’école publique, système dont George Bush est un ardent défenseur. Le Vatican veut que les contribuables américains financent les écoles catholiques, car voyez-vous, le Catholicisme Romain, s’il est laissé à lui-même, sans assistance gouvernementale, s’écroule. Il n’a rien à offrir. Pas de liberté d’expression, pas de liberté de presse.

LES CATHOLIQUES NE POSSEDENT PAS UN METRE CARRE DES BIENS FONCIERS DE L’EGLISE. ILS NE POSSEDENT PAS LA MOINDRE BRIQUE DE LEUR EGLISE. TOUT EST AUX MAINS DE LA HIERARCHIE.

Ils doivent se contenter d’obéir à leur hiérarchie, et en Amérique ce point laisse encore à désirer.

Les Catholiques ne veulent pas de ça en Amérique. La plupart d’entre eux jouissent de la liberté de presse et d’expression, et sont libres de faire des bénéfices ; tout ce dont le Vatican ne veut pas. L’Amérique du Sud et l’Amérique Centrale en sont l’exemple vivant.

MARTIN : Alors, comment expliquez-vous que la lumière sur l’affaire Kennedy n’ait jamais été faite, autrement que par le fait qu’on ait fait taire 100 à 200 personnes qui savaient quelque chose affaire ?

ERIC : A cause de l’antenne américaine des Chevaliers de Malte, qui comptait parmi ses membres des agents du FBI… Ils contrôlent la presse ! Et à l’époque, ils contrôlaient CBS par l’intermédiaire d’un nommé Frank Shakespeare, qui était Chevalier de Malte. Les Chevaliers contrôlent ABC, CBS, NBC et Time/Life.

J’ajouterais également, suite à la publication de l’interview du « Pape Noir » que nous avons fait en Mai 2000, et aux deux manuscrits que j’ai écrits depuis lors, que je n’ai reçu aucun e-mail ni n’ai été contacté de quelque façon que ce soit par un Catholique Romain, indigné que je puisse prétendre que le Cardinal Spellman ait pu agir de la sorte. Par contre, les jésuites clandestins que nous connaissons sont entièrement d’accord et confirment que c’est comme cela que ça s’est passé.

MARTIN : Parlons de l’Opus Dei si vous le voulez bien. Nous avons été accusés de laisser l’Opus Dei tirer les ficelles à l’arrière-plan, derrière le Vatican qui ne serait qu’une simple vitrine du pouvoir, et donc derrière les Jésuites. Avons-nous donc comploté pour éviter toute référence à l’Opus Dei dans nos discussions ?

ERIC : Non. L’Opus Dei est une organisation subordonnée au Pape, qui contrôle les Chevaliers de Malte, et c’est pourquoi on trouve des Chevaliers de Malte au sein de l’Opus Dei.

Les Jésuites contrôlent l’Opus Dei à travers la hiérarchie papale et au travers des Chevaliers de Malte. L’Opus Dei compte parmi ses membres des hommes d’affaire et des politiciens Catholiques Romains de premier ordre, qui se consacrent à l’ « œuvre de Dieu » (c’est la signification d’ « Opus Dei ») afin de faire du Pape le Monarque Universel du monde, gouvernant l’humanité depuis le Temple de Salomon, reconstruit à Jérusalem.

A titre d’exemple, l’ancien dirigeant du FBI, Louis Freeh, était membre de l’Opus Dei.

On comprend mieux l’incident de Waco, où furent exterminés tous ces Protestants blancs; c’était l’œuvre d’Opus Dei. D’ailleurs, un des membres de l’équipe d’intervention, le tireur d’élite Lon Horiuchi, était un Catholique Romain japonais.

L’Opus Dei est résolu à mettre sur pied un Gouvernement Mondial sous l’égide du Pape. L’Opus Dei fut fondé au XX° siècle, alors que l’Ordre des Chevaliers de Malte fut fondé au XI° siècle, et les Jésuites au XVI° siècle, par Ignace de Loyola en 1540. Aussi, la société ultra-secrète des Jésuites, qui contrôle les Chevaliers de Malte, existait environ 500 ans avant l’Opus Dei. L’Opus Dei, de même que les Chevaliers de Columbus, est une organisation subalterne de la Compagnie de Jésus.

MARTIN : De qui est composé le Collège de Cardinaux qui élit le Pape ?

ERIC : Le Collège des Cardinaux est VRAIMENT comme le Sénat Romain. Le Pape n’est autre que le César. Et ce César militaire est élu par les Sénateurs Romains, qui choisissent leur leader pour ce qui sera le Gouvernement Mondial du 7e César Romain, dont l’avènement est à venir. Et donc, ceux chargés de l’élection sont les Cardinaux.

MARTIN : Le Pape actuel, en tout cas, est plutôt considéré comme un homme fragile. A t-il bien servi leur cause ? Est-ce pour cette raison qu’il a été autorisé à rester aussi longtemps en place ? ERIC : Il a été très bien. Il a parfaitement servi la cause jésuite. Le prétendu schisme entre Arrupe et lui, la suppression de la Théologie de la Libération des jésuites en Amérique Centrale, tout cela n’est que mise en scène pour le grand public. Ce Pape est totalement inféodé au pouvoir de la Compagnie de Jésus.

La Compagnie de Jésus à démontré son pouvoir lors de Guerres Napoléoniennes, l’assassinat du Pape Pie VI, l’emprisonnement puis le rétablissement de Pie VII.

LA COMPAGNIE DE JESUS EST OMNIPOTENTE LORSQU’IL S’AGIT DE LA PAPAUTE, ET C’EST ELLE QUI DETIENT LE POUVOIR.

De même qu’Hitler avait conçu son Troisième Reich autour de la Papauté, la Police Secrète et les SS étaient modelés selon les jésuites, eux-mêmes étant la Police Secrète de l’Empire du Vatican. Ils sont les garants de l’ordre. Sans la Compagnie de Jésus, ce seraient le Vatican, la Papauté et toute la hiérarchie qui partiraient en lambeaux.

MARTIN : Qui a délivré la Bulle Papale qui supprimait la Compagnie de Jésus ?

ERIC : Le Pape Clément XIV. MARTIN : Parlons-en.

ERIC : Le Pape Clément XIV était un Franciscain. Il s’appelait Ganganelli. Il fut élu Pape grâce à l’influence des monarques Bourbons – le Roi Bourbon d’Espagne, le Roi Bourbon de France, et les Braganzas du Portugal. Ceux-ci affirmaient que viendrait un Pape qui supprimerait la Compagnie de Jésus, car les Jésuites amassaient des fortunes en Amérique du Sud, sans jamais reverser le moindre denier aux rois d’Espagne et du Portugal.

MARTIN : Comment faisaient-ils pour amasser tout cet or en Amérique du Sud ?

ERIC : Ils se servaient de leurs Réductions.

MARTIN : Qu’est -ce donc que cela ?

ERIC : Les Réductions sont des villages coopératifs ; comme les Kibboutz en Israël ou les Sovkhozes en Russie.

MARTIN : A quelle époque cela se passait-il ?

ERIC : C’était dans les années 1600-1750, pendant environ 150 ans de ‘Réductions’, que des Indiens Guarani vêtus de pagnes, fournissaient la main d’œuvre pour l’exportation de toutes les denrées du Paraguay, que les Jésuites expédiaient dans le monde entier dans leurs « navires noirs », ce qui générait des profits colossaux qui leur permirent d’établir des banques en Europe et de financer des guerres. L’un des projets qu’ils financèrent fut celui des guerres napoléoniennes.

MARTIN : Ce Pape, Ganganelli, supprima la Compagnie de Jésus par une Bulle ?

ERIC : Tout à fait. "Dominus Ac Redemptor". C’était le nom formel de la Bulle.

MARTIN : Qu’est-ce qu’une Bulle ?

ERIC : Une Bulle est un document légal par lequel le Pape s’exprime de la manière la plus forte qu’il puisse le faire. Elle est scellée avec le « sceau du pêcheur ». Un simple ‘décret’ ne comporte pas de sceau. Un décret est une pièce de moindre importance, qui peut être annulé par une Bulle.

MARTIN : Alors, ce Pape, en 1773, émit la Bulle qui devait éliminer à tout jamais la Compagnie de Jésus ?

ERIC : A tout jamais ! Après 4 ans d’enquête sur toutes leurs intrigues, leur pouvoir, leurs richesses, leurs biens fonciers, après 4 ans d’enquête, l’Ordre fut aboli par Clément XIV. Et rappelez-vous, Clément XIII était sur le point de faire la même chose, quand il fut empoisonné la nuit précédant la parution. C’est alors que Clément XIV arrive au pouvoir et qu’après 4 années d’investigation, il les supprime. Et ce faisant, il déclara : « Cette suppression signera mon arrêt de mort. »

MARTIN : Et ce fut le cas.

ERIC : En effet. 4 mois plus tard, il mourut. Il fut empoisonné par les jésuites avec un poison nommé Aquetta. C’est un poison lent qui lui causa de terribles, d’atroces douleurs intestinales. Lorsqu’il fut embaumé, ses intestins explosèrent, de sorte qu’on ne put pas voir ce Pape dans son cercueil ouvert. La chair se détachait de ses doigts ; ses ongles noircissaient ; puis sa peau noircit également, et ses cheveux tombèrent ; c’est pourquoi ils décidèrent de ne pas laisser le Pape à la vue de tous dans son linceul. Aussi fermèrent-ils le cercueil.

MARTIN : Alors cette Bulle Papale, qui condamnait la Compagnie de Jésus à un démantèlement permanent, fut par la suite cassée ?

ERIC : Effectivement.

MARTIN : Comment une interdiction permanente de l’Ordre a-t-elle pu devenir caduque ?

ERIC : Les jésuites ont opposé l’argument selon lequel il ne s’agissait pas d’une Bulle. Et ce, malgré les déclarations de Thompson dans ses Empreintes des Jésuites et celles de Cusack dans le Pape Noir, qui confirment qu’il s’agissait bien d’une Bulle, Thompson expliquant qu’elle se trouvait dans la Librairie des Bulles à Rome. Bien que ce soit une Bulle, les jésuites prétendirent que c’était un décret. Aussi le Pape Pie VII les réhabilita-t-il par le biais d’une Bulle qui « annulait le décret ». Voilà leur version.

MAIS LE FAIT EST QUE LEUR DEMANTELEMENT PROCEDAIT BIEN D’UNE BULLE, ET QUE LEUR REHABILITATION (arrangée) S’EST EGALEMENT OPEREE PAR UNE BULLE.

MARTIN : Oui. Nous nous indignons à corps et à cris, mais nous n’y pouvons plus grand chose. Comment les jésuites, en Angleterre, transmettent-ils leurs instructions à la Reine ? Quel est le siège de leur pouvoir en Angleterre ?

ERIC : Je crois que le siège de leur pouvoir en Angleterre est l’Université de Stonyhurst. Un Lord anglais, Sir Thomas Well, a fait don de Stonyhurst aux jésuites en 1795, je crois bien (à peu près à l’époque de la Révolution Française et juste avant les Guerres Napoléoniennes).

Stonyhurst devint leur fief, la forteresse depuis laquelle ils pourraient contrôler toute l’Angleterre. Ils s’introduisirent en Angleterre, et furent aidés en cela par le roi George III. Le Roi George était proche des jésuites. Depuis cette époque, tous les monarques anglais le sont devenus. Le Roi George régna pendant un bon moment ; environ une quarantaine d’années, je pense. Et la Reine Victoria fit de même ; elle gouverna de 1837 à 1901.

Ainsi, sous les règnes de George et de Victoria, ils prirent le contrôle total de l’Angleterre à travers Stonyhurst. Aujourd’hui ils contrôlent l’Angleterre depuis l’Institut Royal des Affaires Internationales. Et le Cardinal, par l’intermédiaire duquel ils gouvernent, est l’Archevêque de Westminster.

Ils ont donc l’Archevêque de Westminster en Angleterre, et l’Archevêque de New York aux Etats-Unis. Ils contrôlent l’Angleterre depuis Stonyhurst. Ils contrôlent les Etats-Unis depuis Georgetown et Fordham. Ils contrôlent l’Angleterre depuis l’Institut Royal des Affaires Internationales. Ils contrôlent les Etats-Unis depuis le Conseil des Relations Etrangères.

Le système est identique dans les deux pays car il s’agit d’un Empire, celui du Vatican. C’est de cette façon qu’ils gouvernent.

En Russie, ils contrôlent Moscou par l’entremise du Patriarche de l’Eglise Arménienne. Ce Patriarche est le pendant des Archevêques de Londres et de New York. Et à Moscou, c’est le Patriarche qui supervise le KGB et l’inquisition locale, c’est-à-dire le goulag. Le Patriarche Agagianian fut nommé Cardinal par le pape Pie XII la même année que Spellman fut fait Cardinal de l’Empire Américain.

MARTIN : Et la Mafia dans tout ça ?

ERIC : La Mafia est aux mains de Catholiques Romains Italiens, Siciliens à l’origine. Et la Mafia prend en charge toute la branche du crime organisé. Ils s’occupaient de la gnôle avant sa légalisation. Ils ont pris en charge la prostitution, le business de la drogue et la vente d’armes, et tout cela est organisé par le Vatican, à travers les dynasties de la Mafia (les cinq familles mafieuses de New York). C’est intéressant de noter que la Commission Mafieuse à New York est située non loin de l’Archevêché de New York. Ainsi, l’Archevêque est à proximité des caïds de la pègre.

Spellman a utilisé la pègre pour l’invasion de la Sicile, en se servant de Lucky Luciano ; c’était l’Opération Underworld. Spellman et Luciano travaillèrent ensemble à l’« invasion navale réussie » de la Sicile ; c’est la raison pour laquelle Spellman fit usage de son influence pour faire relâcher Luciano en 1946 et le laisser retourner en Italie. C’est ça, les rapports de Spellman avec la pègre. Et si le Cardinal Spellman jouissait d’un tel pouvoir, chaque Cardinal qui lui succéda hérita de ce même pouvoir. Il n’y a aucune déperdition.

Une belle démonstration des liens qu’entretenait l’Archevêque de New York avec la pègre est le cas de Frank Sinatra. Frank Sinatra était un proche de Gambino. Gambino fut assassiné lors d’une vaccination, par une injection de grippe. Ils voulaient s’en débarrasser, et ils le liquidèrentd’une injection de grippe. Frank Sinatra était lui aussi Chevalier de Malte, c’est-à-dire sujet de l’Archevêque de New York. C’est en effet l’Archevêque qui contrôle les Chevaliers de Malte. Frank Sinatra, l’un des leurs, est ami avec un ponte de la mafia.

MARTIN : Parlons de la princesse Diana. Pensez-vous que les jésuites aient quelque chose à voir avec sa disparition ?

ERIC : Assurément, car ce sont les jésuites qui contrôlent les Services Secrets Britanniques.

MARTIN : En quoi représentait-elle une menace pour les jésuites ?

ERIC : En ce sens que si elle avait épousé un musulman, Dodi Al-Fayed, cela aurait fait vaciller le trône d’Angleterre, car elle pouvait faire valoir ses droits à travers ses enfants. Parce que si ses fils avaient occupé un jour le trône britannique, et si elle avait été en vie et mariée à un prince musulman, cela aurait posé un réel problème en Angleterre. Car chacun sait que la Reine Mère exerce une influence non négligeable sur le Roi. Il y aurait eu par conséquent une influence islamique sur la Reine, qui à son tour l’aurait tranmise à son fils, l’actuel Prince, voué à devenir Roi.

MARTIN : Vous pensez donc que les instances de la Compagnie de Jésus savaient qu’elle attendait un enfant de Dodi ?

ERIC : Je pense, oui ; et c’est pour cela qu’ils l’ont éliminée. Ce faisant, ils ont envoyé un message fort au reste de la noblesse britannique, en substance « si vous faites de même, voici ce qui vous arrivera. » Plus tard, elle fut inhumée dans la propriété des Windsor, dans le cimetière où seuls les chiens sont enterrés. Elle a été enterrée avec des chiens.

MARTIN : Quel en est le symbolisme ?

ERIC : Elle n’était qu’une « chienne musulmane » à leurs yeux.

MARTIN : dans le numéro de juin 2001 de The SPECTRUM, nous avons publié un article de Sherman Skolnick dans lequel il ne mentionne pas seulement les jésuites, mais nous révèle l’incroyable puissance financière, le pouvoir et le contrôle exercé en Californie et ailleurs par la Mafia japonaise, les Yakuza. Y a-t-il un lien quelconque entre les Yakuza et les Jésuites ?

ERIC : Absolument. Les Jésuites contrôlent les Yakuza. Pour comprendre comment, il faut remonter à l’histoire du Japon. En 1619, le Japon expulsa magnifiquement et justement tous les jésuites de son Empire. Les jésuites se virent interdire à tout jamais l’entrée sur le territoire japonais ! Ensuite, les japonais renvoyèrent les portugais, puis les espagnols. Les seuls qui purent continuer à commercer avec le Japon furent les hollandais, les Protestants hollandais. Mais lorsque les jésuites commencèrent à prendre le contrôle de notre pays, ils prirent le contrôle de Polk. Et Polk fut celui qui envoya le Commodore Perry au Japon.

MARTIN : En quelle année ?

ERIC : 1853-1854. C’est à cette époque qu’il ouvrit le Japon au commerce international. Les « étrangers » purent de nouveau entrer au Japon. Ils entreprirent de déclencher une agitation populaire et une révolution. L’Empereur régnant du Japon, un jeune homme de 35 ans, voulut se débarrasser des jésuites, mais il fut assassiné.

Selon Ryu Ohta, mon ami japonais, on raconta aux japonais qu’il avait été assassiné par la Maison de Sassoon (les Juifs). Mais en réalité, l’Empereur fut assassiné par les jésuites, et son fils devait devenir l’Empereur du Japon de 1873 à 1912 et le grand-père du futur Hiro Hito.

Cet Empereur était un jeune garçon lorsqu’il accéda au pouvoir. Et il régna pendant toutes ces années. Les jésuites en profitèrent pour destituer le Bouddhisme de son statut de religion d’état et pour s’arroger progressivement tous les pouvoirs en exerçant leur contrôle sur la dynastie, puis utilisèrent le Japon pour déclencher une guerre avec les Etats-Unis dans le but d’éliminer le maximum de bouddhistes en Extrême-Orient et d’affaiblir les protestants américains. Ils réussirent par exemple à faire massacrer les missionnaires protestants d’Extrême-Orient, alors que de leur côté les missionnaires catholiques ne furent jamais inquiétés par l’Armée Japonaise. Ceci est d’ailleurs tiré du magazine jésuite America, écrit et publié en 1943 ou 1944. C’est comme ça que les jésuites assirent leur pouvoir sur l’Empereur, et partant, sur les Yakuza. Depuis, les jésuites détiennent le pouvoir et entendent le conserver. Ils se sont arrangés pour contrôler Hiro Hito, et aujourd’hui, ils supervisent les Yakuza, au Japon et en Californie. MARTIN : Il existe un livre appelé le Tai Pan, écrit il y a fort longtemps. Le Tai Pan, symboliquement, ne serait-il pas l’équivalent du Pape Noir ?

ERIC : En effet. C’est une Société Secrète. C’est une Société Secrète japonaise qui gouverne dans les faits.

MARTIN : Théoriquement ils gouvernent en toute indépendance.

ERIC : Ils gouvernent conjointement avec le Monarque.

MARTIN : Serait-ce lui le vrai Pape Noir ?

ERIC : Le Pape Noir. Souvenez-vous que le Pape Noir a la mainmise sur le Monarque du Japon.

MARTIN : Nous devons expliquer que la Compagnie de Jésus n’est PAS un ordre religieux, c’est un ORDRE MILITAIRE.

ERIC : C’est bien ça. Quand ils endossent la tenue de circonstance pour s’introduire dans un pays et y parler du Christ, de Dieu et de religion, ce qu’ils veulent en réalité, c’est s’approprier le pouvoir et les richesses, et soumettre chaque pays au pouvoir temporel, Terrestre et politique du Pape.

MARTIN : Je ne voudrais pas faire de hors-sujet, mais ne pourrait-on pas dire « Avec les Juifs comme avec les Yakuza. » ?

ERIC : Tout à fait. Avec les Maçons Juifs Sionistes comme avec les Maçons Yakuza. Ils sont tous Maçons. La Maçonnerie unifie les religions en une seule.

MARTIN : Les jésuites tirent les ficelles ?

ERIC : Ils tirent les ficelles car ce sont eux qui ont écrit les rites maçonniques.

MARTIN : Sur quoi vous appuyez-vous pour dire cela ?

ERIC : Nous savons que les Jésuites ont rédigé les 25 premiers degrés du Rite Ecossais de Franc-Maçonnerie, depuis le Collège de Clermont, qui devint le Collège Louis Le Grand, à Paris. Les Jésuites ont rédigé ces rites en 1754. Je crois que le Chevalier Ramsey en était, ainsi que le Chevalier de Bonneville. Vous rappelez-vous les automobiles Bonneville et Pontiac ? C’étaient des jésuites. Et nous avons ce cher Adam Weishaupt, qui était jésuite et maçon. Et il y avait aussi les Rothschild Lucifériens.

Nous savons que Pedro Arrupe était Maçon, lui qui était Général Jésuite. Pedro Arrupe était Maçon et membre du Parti Communiste Espagnol. Nous savons également que les jésuites étaient impliqués dans la rédaction des 8 derniers degrés du Rite Ecossais de la Franc-Maçonnerie.

MARTIN : Tenons-nous en aux Yakuza. Selon Skolnick, les Yakuza sont à la tête de très nombreuses affaires dans ce pays, et ils détiennent et contrôlent de très nombreuses banques en Californie et ailleurs. Mais êtes-vous en train de dire que ce n’est qu’une façade ?

ERIC : Ce n’est en effet qu’une façade, comme celle de n’importe quelle autre mafia, comme la mafia italienne, qui reste la toute première en termes de crime organisé.

MARTIN : Et dont J. Edgar Hoover, fondateur du FBI déclarait qu’elle n’avait « jamais existé. » !

ERIC : Exactement. Pure sottise. C’est juste une façade. Ils gèrent les biens fonciers et l’argent du Vatican.

MARTIN : Les Yakuza seraient donc la tierce partie de confiance dont nous parlions ?

ERIC : C’est tout à fait ça, ils sont la tierce partie de confiance. Et je serais également tenté de croire qu’il y a un rapport avec le meurtre de Bruce Lee. Bruce Lee ne cadrait pas avec l’Eglise Catholique.

MARTIN : Et il parlait trop.

ERIC : Il révélait certains secrets des arts martiaux, etc, et il ne s’entendait pas avec le Vatican. Rappelez-vous qu’il s’était querellé avec Hollywood, et que la plupart de ses films étaient réalisés à Hong Kong.

MARTIN : Et son fils avait trouvé la mort peu de temps auparavant.

ERIC : Son fils avait également été tué sur un plateau de tournage. Son fils savait quelque chose. Et bien évidemment, comme Jackie Kennedy, Linda Lee se réfugia dans le mutisme. Il y a là deux meurtres dans lesquels les Sociétés Secrètes sont impliquées.

MARTIN : Vous êtes peu loquace au sujet de Bobby Kennedy. Vos recherches ont-elles livré des noms de personnages impliqués dans l’assassinat de Bobby Kennedy ?

ERIC : Eh bien, nous savons que l’Officier Thane Eugene Cesar est celui qui a appuyé sur la gâchette et l’a atteint à l’arrière du crâne avec un vingt-deux. Et l’Officier Cesar était employé de la Lockheed Corporation. Ce sont les Jésuites qui, selon Avro Manhattan, contrôlent Lockheed.

Et, de la même façon que Lee Iacocca dépêche son Chef de la Sécurité pour convoyer la limousine criblée de balles de Kennedy de Washington à Cincinnati pour la faire réparer, je ne sais plus quel Chevalier de Malte responsable de la Lockheed Corporation mandate l’Officier Cesar pour assurer la sécurité de Robert F. Kennedy, lequel le tue par balle.

MARTIN : Que pouvez-vous nous dire à propos d’Earl Warren ?

ERIC : Earl Warren était manipulé par les jésuites lorsqu’il était gouverneur de la Californie. Earl Warren fut l’un des sinistres théoriciens de cet effroyable système japonais de camp de concentration. C’était sa création. Il a déclenché les mouvements anti-japonais pendant la IIe guerre mondiale. Les japonais sont dans l’ensemble des gens honnêtes, pacifiques et respectueux des lois. On leur a pris toutes leurs fermes. Le contrôle qu’ils exerçaient sur la production leur a été ôté par des corporations Catholiques Romaines, détenues par des Chevaliers de Malte, exactement comme c’était arrivé aux Indiens d’Amérique. Ils pénétrèrent jusque dans leurs cimetières pour voler tout leur or, avant de l’expédier à Rome sous couvert de leurs missions.

Donc, Earl Warren était mouillé dans tout ça. Comme c’était un sujet obéissant, ils le nommèrent à la Cour Suprême. Il était le Président du Tribunal. Il était Maçon du 33e degré, impliqué dans l’assassinat de Kennedy, et avec la décision de la Cour Suprême de 1966, il poussa à l’amalgame, à un mélange forcé des races, et à l’intégration avec l’affaire Brown contre le Ministère de l’Education en 1954.

MARTIN : Je vais vous poser maintenant une question très importante, que beaucoup de gens se posent : qu’est-ce qui pourrait empêcher nos lecteurs de se dire que vous êtes peut-être simplement en train de substituer le mot JUIF par le mot JESUITE pour ce qui est de provoquer la haine et l’animosité envers les jésuites ? Qu’est-ce qui nous prouve le contraire ?

ERIC : Eh bien, pour commencer, il y a une différence essentielle entre la Compagnie de Jésus et la race juive.

Nous ne savons pas exactement ce qu’est la race juive. Pour ma part, je ne le sais pas. Je pense simplement que Dieu, lui, sait. Mais il s’agit d’une civilisation très active dans le commerce et les affaires, et ils ont leur propre culture, leurs communautés.

Les jésuites, eux, sont une armée. Ce sont des soldats. Ils sont sous serment. Lorsque vous recevez l’enseignement du 4e degré, on vous donne les Instructions Secrètes.

Selon un autre gentleman, il existe un degré au-delà du quatrième, qui relève du luciféranisme absolu. C’est ce que disait Jim Arrabito, qui décéda mystérieusement dans un accident d’avion en Alaska le 2 septembre 1990. Jim Arrabito était un des leaders des Adventistes du Septième Jour, et il connaissait parfaitement l’histoire des jésuites. Quoi qu’il en soit, la différence entre les juifs et les jésuites tient essentiellement au fait que les premiers sont un peuple, et les seconds un Ordre fermement résolu à inféoder toutes les nations au pouvoir papal.

MARTIN : Alors qu’y a-t-il de si différent dans ce que vous dites ? Si ce n’est pas juste une théorie conspirationniste de plus, c’est donc que vous avez des éléments pour étayer vos propos et prouver que ce n’est pas simplement le fruit de votre imagination ?

ERIC : D’autres ont déjà prouvé les faits. Je ne fais que répéter ce qu’ils ont déjà dit. Si vous lisez le Pape Noir de Cusack, elle ne fait que dire la même chose. C’était une nonne, convertie à l’évangélisme en 1896.

MARTIN : Qu’est-ce qui lui confère autant d’importance ?

ERIC : Parce qu’en tant que nonne, elle était intimement liée aux prêtres, et plus particulièrement aux jésuites, avant de se convertir à l’évangélisme. Elle savait ; elle a vécu ça de l’intérieur.

MARTIN : Pourquoi ce livre est-il si important ?

ERIC : Parce qu’il a été retiré et subtilisé de toutes les bibliothèques du monde ! Il n’en reste à ma connaissance qu’un exemplaire qui soit à la portée du public, au British Museum.

MARTIN : en substance, vous dites que les idées force que vous défendez, et les conclusions que vous en tirez, sont étayées par les dires d’experts en histoire des deux siècles écoulés ? Ce n’est donc pas que votre avis ?

ERIC : Absolument. Je ne fais que m’appuyer sur des géants. Ce sont des personnages extrêmement brillants. Nicolini, un Catholique Romain, converti à l’évangélisme, impliqué dans la révolution italienne de 1848, il a dû s’enfuir et s’exiler en Angleterre, où il écrivit sa grande Histoire des Jésuites, prévenant l’Angleterre que si ces derniers cherchaient déjà à détruire le pays sous Elizabeth, ils continueraient sans aucun doute sous Victoria.

Nous avons aussi le Theodor Griesinger, l’allemand qui écrivit Les Jésuites comme une histoire racontée à son peuple (823 pages de documentation sur leurs faits et gestes dans tous les pays). Et j’ai appris plus tard que c’était lui qui avait dit que les jésuites pourraient bien planifier une autre Guerre de Trente Ans. C’est ce qu’il écrivit en 1873.

Donc, ces personnages ont clarifié et rendu évidents les buts et le pouvoir de la Compagnie de Jésus. Personne, au vingtième siècle, n’a écrit l’histoire intégrale de ce qu’ils ont accompli entre 1900 et 2000. Je souhaiterais vraiment que quelqu’un possédant ce savoir, connaissant la grammaire et l’orthographe, et étant capable de s’exprimer en une prose agréable, puisse ce faire et couche sur papier une histoire moderne de leurs agissements. Ridpath s’en approcha, mais il acheva son travail au milieu des années 1850, avec l’Histoire Universelle. Aucun historien digne de ce nom n’a réalisé ce travail pour nous depuis lors.

MARTIN : Comment cela se fait-il ?

ERIC : Parce que ces jésuites tiennent tous les collèges et universités sous leur coupe. Et ces universités se verront refuser leurs demandes de bourses s’ils commencent à révéler la Compagnie de Jésus sous son vrai jour.

Maintenant, avec toutes ces lois « bien pensantes », tout ce qui pourra être dit en toute honnêteté sur les jésuites sera récupéré en vue d’être transformé en un crime de pensée, et cela ne correspond pas à ce que nous faisons. Nous ne faisons que dire la vérité.

MARTIN : Quelle solution proposez-vous pour résoudre le problème jésuite aux Etats-Unis ? Que voudriez-vous voir se produire dans ce pays ?

ERIC : J’aimerais voir se produire la même chose qu’en Angleterre au 16e siècle, où plusieurs jésuites abandonnèrent l’Ordre. C’étaient des jésuites intelligents et puissants, impliqués dans la conspiration visant à renverser l’Angleterre.

Ils révélèrent au pouvoir en place ce qu’ils étaient censés accomplir, et en réaction, le gouvernement anglais expulsa les Jésuites de l’ensemble de ses territoires, parce qu’ils étaient considérés comme des traîtres et des conspirateurs dangereux pour le trône d’Angleterre et l’indépendance nationale ; un pays doit être dirigé par son propre peuple.

La solution consisterait à expulser les jésuites, à les déclarer hors-la-loi et à les bannir.

Un délai de grâce pourrait être aménagé, pendant lequel les jésuites repentants pourraient être pardonnés, à condition de raconter ce qu’ils savent. Mais pourquoi les jésuites se repentiraient-ils si ce gouvernement est contrôlé par le Conseil des Relations Extérieures, qui est lui-même sous contrôle jésuite ? Le gouvernement national – et le gouvernement mondial - est contrôlé par les jésuites à travers la pègre et la maçonnerie de haut rang.

Undercover, numéro 14. Année 2005.

samedi 18 janvier 2025

La tripartition sociale



La tripartition sociale selon Jacques Attali :

« Il est évident que ça se terminera un jour par un gouvernement mondial, équilibré, démocratique, qui mettra en place des règles, qui dominera le système financier et ne sera pas dominé par lui. Tout ça aura lieu. Les plus jeunes dans cette salle le verront. Comme il y a une monnaie européenne, il y aura une monnaie mondiale. Il y aura un revenu minimal mondial. Tout ça existera à mon sens. L’humanité va se diviser en trois catégories : 

- Les nomades de luxe qui disposeront de tous les outils de la liberté dont on vient de parler y compris de la liberté génétique de devenir un autre. Ceux-là ils vont être, peut-être, 150 millions et ils auront tous les moyens du mouvement absolu, déracinés, libres, mais la liberté, le déracinement sera un luxe et non pas une souffrance. 

A l’autre bout il y aura 5 à 6 milliards de nomades de misère qui seront obligés de bouger de la campagne à la ville d’une ville à l’autre, simplement pour trouver à manger. 

Et au milieu, il y aura une catégorie centrale, une sorte de classe moyenne qui vivra dans l’espérance illusoire de rejoindre les nomades de luxe et dans la terreur réelle de basculer dans l’infra-nomadisme, et qui regardera les gens à la télé, dans les journaux qui leur montrent la vie des nomades de luxe et qui à la télé se réjouira de voir le spectacle de la misère des autres, en se réjouissant de ne pas en être.»




La tripartition sociale selon Rudolf Steiner :

La tripartition sociale (tripartition de l'organisme social ou triarticulation sociale) est un principe directeur d'organisation de la société développé par Rudolf Steiner entre 1917 et 1922.

La triarticulation sociale considère Culture, Economie et Etat comme trois principes autonomes ayant chacun leur propre logique.
Plutôt que de vouloir redonner à l'Etat sa toute-puissance, la triarticulation sociale encourage toute tentative d'autogestion
dans le domaine culturel et économique, pourvu que l'économie ne prenne pas la succession de l'Etat sous la forme d'un nouveau totalitarisme.

On peut parler d'un principe de non-ingérence. Mais les acteurs ne sont plus les mêmes. Il ne s'agit plus d'un respect entre Etats, mais du respect réciproque entre culture, économie et état. Les frontières nationales perdent en importance. Culture et économie se donnent leurs propres frontières, sans se tenir à celles des Etats. La culture gagne en individualité ce que l'économie gagne en globalité.

La terminologie

Le terme allemand "Soziale Dreigliederung" est souvent traduit maladroitement par le terme français tripartition sociale. Celui-ci rend mal la complexité de l'original allemand. Une meilleure traduction serait par exemple le terme de triarticulation sociale. Mais d'autres tentatives seraient bienvenues.

Rudolf Steiner, le fondateur du concept de triarticulation sociale avait lui-même déconseillé d'utiliser l'expression tripartition sociale (en allemand: Soziale Dreiteilung), qui rendait certes compte de la nécessité d'une autogestion de la Culture, de l'Economie et de l'Etat mais en faisant l'impasse sur l'interaction fructueuse qui en résulterait.

Parler de tripartition sociale porte de plus à confusion avec le concept médiéval d'une partition de la société en trois classes, le clergé, la noblesse et le Tiers Etat, dont Steiner s'est explicitement distancé. Il insiste sur le fait qu'il s'agit pour lui de distinguer entre des institutions spécialisées et non entre des castes où les hommes seraient enfermés. Une triarticulation sociale a en effet pour but de permettre à chacun d'agir simultanément, mais de la manière respectivement adéquate, à l'intérieur de ces trois types d'institutions.



vendredi 17 janvier 2025

Théorie des étapes, macrohistoire et survie au Kali Yuga



Par Jan Krikke

Remplacer les inégalités mondiales et les injustices systémiques par la réciprocité et la mutualité est une condition préalable pour échapper à l’ère du conflit.

Notre époque présente toutes les caractéristiques du Kali Yuga, une ère sombre de matérialisme, d’aliénation, d’injustice et de déclin moral. Mais il y a de l’espoir.

Dans la cosmologie hindoue, le Kali Yuga (âge du conflit) est la dernière des quatre époques décrites dans les Vedas. La prochaine époque sera le Satya Yuga (l’âge de la vérité), l’équivalent du second avènement dans le christianisme.

Il est remarquable que les théories macrohistoriques modernes et les théories des étapes fournissent un cadre complémentaire pour comprendre l’évolution de l’humanité et s’alignent étroitement sur les anciennes prophéties religieuses, offrant des perspectives pour naviguer dans cette période de transformation.

La prophétie védique selon laquelle l’humanité évolue en quatre phases distinctes est l’une des plus anciennes théories des étapes au monde. Les anciens sages indiens ont prédit un cycle dans lequel les visions du monde des quatre varnas – enseignant, guerrier, marchand et ouvrier – se succèdent pour «gouverner le monde». Ce cycle des varnas reflète la cosmologie cyclique des Vedas.

Une fois le cycle achevé, il recommence.

La Bible présente l’histoire comme une progression linéaire vers l’accomplissement divin, culminant avec le retour du Christ, le jugement dernier et la création de nouveaux cieux et d’une nouvelle terre. D’autres religions ont des prophéties comparables. Bien que leurs métaphores diffèrent, elles anticipent toutes un monde de paix, de justice, d’unité et de droiture.

Des théories laïques ont également vu le jour au fil du temps. Confucius, par exemple, a décrit les cycles dynastiques, décrivant la montée, l’apogée, le déclin et la chute des dynasties. De même, l’historien grec Polybe a proposé la théorie de l’anacyclose, décrivant l’évolution politique récurrente de la monarchie à l’aristocratie, puis à la démocratie et à leurs formes corrompues respectives – tyrannie, oligarchie et ochlocratie.

Récits modernes

Au XIXe siècle, la philosophie européenne a élaboré plusieurs théories des étapes et macrohistoires, notamment le modèle dialectique du progrès historique de Hegel (thèse, antithèse, synthèse), la loi des trois étapes de Comte (théologique, métaphysique et positiviste) et les modes de production de Marx (collectivisme primitif, société esclavagiste, féodalisme, capitalisme et communisme).

Au début du XXe siècle, l’historien allemand Oswald Spengler a présenté sa théorie cyclique des civilisations, les comparant à des organismes biologiques avec des cycles prévisibles de naissance, de croissance, de maturité, de déclin et de mort. La macrohistoire de Toynbee se concentre sur l’essor et le déclin des grandes civilisations à travers l’histoire.

Au milieu du XXe siècle, les macrohistoires et les théories des étapes ont attiré l’attention du grand public. Alvin Toffler, Samuel Huntington et Francis Fukuyama sont devenus des voix influentes.

Toffler a identifié la transition de l’humanité des sociétés de chasseurs-cueilleurs et agricoles vers les ères industrielles et post-industrielles. Huntington a affirmé que les identités culturelles et religieuses façonneraient les conflits futurs, tandis que Fukuyama a proclamé la «fin de l’histoire», suggérant que la démocratie libérale occidentale marquait l’apogée de l’évolution idéologique.

Évolution de la conscience

Dans les années 1920, la théorie des stades du développement cognitif du psychologue suisse Jean Piaget a considérablement influencé les théories modernes des stades, décrivant comment la pensée des enfants évolue par étapes distinctes au fur et à mesure qu’ils grandissent. Sa théorie a eu une grande influence sur le développement cognitif humain.

Dans la seconde moitié du XXe siècle, les philosophes Jean Gebser et Ken Wilber ont étendu les théories des stades à la conscience humaine. Gebser a décrit la progression de l’humanité à travers des «structures» de conscience distinctes : les stades archaïque, magique, mythique, mental et intégral.

Gebser, dont le modèle s’appuie fortement sur l’histoire de l’art, considère le cubisme comme une métaphore de l’expansion de la conscience. Le cubisme a remplacé la perspective en un point de la Renaissance par des «perspectives multiples».

Gebser a inventé le terme «aperspectif», une manière d’expérimenter la réalité qui transcende les limites des perspectives singulières et fixes en embrassant la complexité, la simultanéité et l’interconnexion de l’existence.

La théorie intégrale de Ken Wilber identifie trois stades de développement : pré-personnel, personnel et transpersonnel.

Le transpersonnel met en évidence le potentiel des humains à évoluer au-delà de leurs préoccupations personnelles, basées sur l’ego, et à embrasser un sens plus profond de l’interconnexion avec le monde. Wilber considère que cette évolution est cruciale pour relever les défis mondiaux et favoriser une société plus intégrée, plus compatissante et plus éveillée sur le plan spirituel.

Gebser et Wilber ont tous deux été influencés par la cosmologie et les notions de spiritualité et de conscience indiennes, et en particulier par le maître spirituel indien moderne Sri Aurobindo (1872-1950), concepteur du yoga intégral et l’un des premiers partisans d’une approche intégrale de la spiritualité.

Gebser et surtout Wilber ont utilisé des concepts clés de la cosmologie et de la conscience indiennes, notamment les termes sanskrits Sat-Chit-Ananda (être-conscience-béatitude), Atman (moi véritable), Maya (illusion) et Turiya (conscience pure). Wilber a utilisé le mot Turiya dans sa description d’un état de conscience transcendant, une étape importante dans la pratique et la réalisation spirituelles.

La renaissance du cycle de Varna

Dans les années 1950, l’enseignant spirituel indien Prabhat Ranjan Sarkar a développé le modèle socio-spirituel PROUT (Progressive Utilization Theory -Théorie de l’utilisation progressive) sur la base du modèle original de Varna. Le concept original avait dégénéré en un système de castes héréditaire et abusif, et Sarkar a rétabli le sens original du concept de Varna.

Dans la prophétie védique, les quatre Varnas (enseignants, guerriers, marchands et travailleurs) sont des profils psychologiques. Tous les êtres humains ont des penchants pour l’un des quatre types de varnas. Les gens peuvent présenter des caractéristiques de deux ou trois varnas, mais l’un des quatre domine généralement chez chaque individu.

Sarkar a souligné que les quatre varnas sont nécessaires au bon fonctionnement de la société. Comme nous l’avons vu dans l’histoire récente, lorsqu’un ou plusieurs des quatre varnas sont mis de côté, les sociétés perdent leur équilibre et leur vitalité. Le communisme a échoué parce qu’il a mis à l’écart les marchands, et le capitalisme échoue parce qu’il met à l’écart le travailleur.

Le cadre de Sarkar rejette les notions de hiérarchie, de supériorité et d’infériorité. Il se concentre plutôt sur la notion de réciprocité. Tous les varnas doivent apporter leur contribution car ils sont mutuellement dépendants.

Ils doivent développer une relation réciproque. Les universitaires australiens Peter Hayward et Joseph Voros ont utilisé le modèle de Sarkar pour développer un outil pédagogique pour les organisations qui souligne l’importance de la réciprocité et de l’empathie mutuelle.

Dans les années 1980, le macrohistorien américain Lawrence Taub, auteur de «The Spiritual Imperative» (L’impératif spirituel), a affirmé de manière remarquable que le cycle de Varna pouvait être mis en correspondance avec l’histoire réelle de l’humanité.

(...) Taub a associé les quatre castes à des périodes historiques spécifiques. (Taub a utilisé la séquence originale des quatre âges Varna mentionnés dans les Védas : enseignant, protecteur, marchand, travailleur).

Dans le modèle de Taub, nous sortons juste de l’ère marchande. L’Occident était prééminent dans l’ère marchande parce que sa vision du monde s’aligne le plus étroitement sur le type marchand. Nous approchons actuellement de l’apogée de l’ère du travailleur. L’Asie confucéenne sera prééminente pour la même raison : la vision confucéenne du monde correspond le mieux au type Travailleur.

Dans les années 1970, la Chine a réintégré les marchands dans la société et a développé un système hybride basé sur le communisme et le capitalisme. En l’espace d’une génération à peine, elle est devenue le premier producteur mondial et le premier pays commerçant.

La Chine est devenue le premier partenaire commercial de presque tous les pays du monde et joue un rôle clé dans l’amélioration du bien-être matériel des populations. (Le développement spirituel est difficile pour les personnes vivant dans des bidonvilles ou confrontées à une lutte quotidienne pour la survie).

Selon Taub, l’Asie confucéenne nous sortira de l’ère du travail (et donc du Kali Yuga) et l’Inde nous guidera vers le Satya Yuga, une nouvelle ère d’illumination. L’Inde occupera une place prépondérante dans le nouvel âge spirituel parce qu’elle possède le réservoir le plus profond de connaissances spirituelles et de compréhension de la nature de la conscience humaine.

Intégration de la macrohistoire et de la théorie des étapes

Les macrohistoires et les théories des étapes éclairent le développement de l’humanité de différentes manières. La macrohistoire recherche des modèles et des tendances générales et globales dans l’histoire, souvent sur des siècles ou des millénaires. Étroitement liée au futurisme, elle tente d’identifier les thèmes, structures et dynamiques récurrents à travers le temps et les cultures afin d’anticiper d’éventuels scénarios futurs.

La théorie des étapes soutient que l’histoire progresse à travers une série d’étapes distinctes et séquentielles, souvent basées sur des critères spécifiques tels que la conscience, l’économie ou l’organisation sociale. Combinées, la macrohistoire et la théorie des étapes peuvent éclairer des développements apparemment contradictoires dans le monde d’aujourd’hui. C’est le cas par exemple :

- Comment expliquer la montée du fondamentalisme religieux au cours des dernières décennies, non seulement dans l’islam, mais aussi dans le christianisme, le judaïsme, l’hindouisme et le bouddhisme ?

- Pourquoi des politiciens nationalistes comme Donald Trump, Marine Le Pen et le Premier ministre indien Narendra Modi prospèrent-ils dans un monde de plus en plus interconnecté ?

- Pourquoi l’augmentation du bien-être matériel dans de nombreux pays développés conduit-elle à un nombre croissant de personnes connaissant des problèmes psychologiques ?

Séparément, les macrohistoires et les théories des étapes ne peuvent pas expliquer ces évolutions apparemment contre-intuitives. Cependant, les «théories macrohistoriques des étapes» intégrées peuvent offrir un cadre plus large pour comprendre le développement humain global à travers les cultures.

Tout d’abord, les théories macrohistoriques des étapes favoriseraient le dialogue interdisciplinaire et créeraient une compréhension plus riche des modèles sociétaux, culturels et de développement. Cela conduirait à une vision plus nuancée de la manière dont les sociétés évoluent par étapes au sein de cycles historiques plus larges.

Deuxièmement, les macrohistoires couvrent des disciplines telles que l’histoire, la sociologie et l’anthropologie, tandis que les théories des étapes intègrent souvent la psychologie, la philosophie et les études organisationnelles. L’intégration de ces disciplines favorise une approche holistique des questions complexes.

Troisièmement, les théories des étapes mettent souvent l’accent sur la croissance morale, spirituelle ou cognitive, tandis que les macrohistoires soulignent les conséquences plus larges des choix de société au fil du temps. L’intégration de ces perspectives encouragerait les approches du développement axées sur les valeurs, qui alignent les actions à court terme sur les objectifs à long terme.

Enfin, les modèles d’étapes macrohistoriques devraient inclure la théorie post-coloniale, un domaine académique développé par des chercheurs issus de pays anciennement colonisés. La théorie postcoloniale examine les déséquilibres de pouvoir et l’exploitation qui se sont développés pendant et après le colonialisme.

Remplacer les inégalités mondiales et les injustices systémiques par la réciprocité et la mutualité est une condition préalable pour sortir du Kali Yuga.

source : Asia Times via https://reseauinternational.net/theorie-des-etapes-macrohistoire-et-survie-au-kali-yuga/



mardi 14 janvier 2025

Le top 100 des sites web à connaître pour diversifier ses sources d’ information

 



Avertissement : A quelques exceptions près, la grande majorité des sites proposés ci après sont des sites indépendants, car non subventionnés, donc moins corruptibles, corrompus et asservis que les sites des médias grand-public.

Il suffit d’examiner leur financement, leur conseil d’administration, leur production et leurs sites partenaires, pour s’en convaincre. Ils défendent, pour la plupart, les idées de souveraineté, d’indépendance, d’intérêt national. Ce ne sont donc pas des grands «fans» de la soumission atlantiste.

Pour cette raison, ils sont évidemment des cibles privilégiés d’un dispositif de contrôle et de censure de l’opinion conçu et dirigé par le camp atlantiste et surtout sa composante sioniste.

La composante la mieux organisée pour ce travail. Ce dispositif extrêmement puissant s’érige en «Magistère de La Vérité» et cherche à décrédibiliser ceux qui avancent des points de vue critiques sur le mondialisme et le sionisme.

Dans cette bataille de l’information, Google, Face book, Wikipédia, mais aussi des officines comme Conspiracy Watch, Hoaxbuster, Décodex du Monde et bien d’autres, jouent un rôle détestable au profit de l’Atlantisme et du sionisme, en mélangeant subtilement le vrai et le faux et en multipliant les accusations sans preuve de complotisme, de conspirationnisme, de Poutinolâtrie, d’antisémitisme, le but étant de faire taire, de discréditer et de ramener les «dissidents» dans le camp de la bien pensance atlantiste. Nombre de sayanim sont clairement identifiés dans tous ces organismes visant à manipuler l’opinion.

«Calomniez, calomniez, il en restera toujours quelque chose…..»

Certains de ces responsables de sites atlantistes de «décodage de la vérité» ont d’ailleurs été condamnés en Justice pour diffamation.

Les victimes de ces officines atlantistes et/ou sionistes n’ont pas toujours les moyens financiers de porter plainte contre ces charlatans du décodage. Ils se laissent calomnier sans réagir avec la vigueur nécessaire. Le camp des néocons atlantistes et sionistes, lui, dispose de moyens financiers colossaux. C’est ce qui fait sa force. Il peut engager de faux procès pour un oui ou pour un non, financer des armées d’avocats, corrompre des témoins ou des juges et même perdre la partie. Ces actions sont engagées juste pour harceler, emmerder, ruiner la dissidence et in fine, la contraindre au silence. Les exemples abondent de ces faux procès qui se terminent en jus de boudin. Avec leurs moyens financiers colossaux, les cercles atlantistes et sionistes financent également, outre les médias grand public, et les officines dites de «décodage», une pléthore de centres de réflexion ou d’étude en charge de produire des travaux pour promouvoir toujours plus d’atlantisme.

L’IFRI en est, pour moi, un exemple caricatural; le Centre Européen Robert Schumann en est un autre. Mais ces actions militantes contre les souverainistes et les partisans de l’intérêt national sont parfois contre productives. Certains internautes en quête de bonnes informations vont sur les sites des charlatans du décodage juste pour consulter la liste des sites mis à l’Index. Cette liste est très intéressante et constitue une liste de sites à visiter absolument, presque un label de qualité, tout simplement parce qu’ils sont les seuls à proposer des points de vue alternatifs qui permettent de s’interroger et de se forger une opinion qui peut s’écarter de la pensée unique. Ceci ne veut pas dire que tout soit bon et juste sur tous ces sites alternatifs, comme sur les sites grand-public d’ailleurs.

C’est sur la diversité des points de vue que peut se fonder une véritable réflexion personnelle. Et cette diversité n’existe plus vraiment dans la presse grand public sur les sujets essentiels. Voici la liste, par ordre de popularité, des 10 premiers sites à visiter absolument et régulièrement car tous classés conspirationnistes, pour les discréditer, par notre bon sayan Rudy Reichstadt dans son site français au doux nom anglosaxon de «Conspiracy Watch». Heureusement que le ridicule ne tue pas, en tout cas beaucoup moins que les bombes de l’État génocidaire à Gaza.

Les sites que je vous propose ci après sont regroupés par thèmes dominants. Ils ont tous un intérêt pour alimenter la réflexion géopolitique de leurs abonnés mais aussi des internautes de passage. Ils sont présentés sans esprit de classement et sans attribution d’étoiles car, avec leurs spécificités propres, leurs qualités et leurs petits défauts (qui n’en a pas), ils proposent tous une production intéressante et digne d’intérêt.

La qualité n’est pas toujours fonction de leur audience. Certains sont plus habiles que d’autres à faire valoir leur production. Aucun ne peut prétendre détenir la vérité sur tout. Il faut trier. La presse grand public atlantiste et les sites de décodage cherchent à se rassurer en constatant que certains sites de la résistance sont en perte de vitesse, ce qui est parfois vrai. Mais ils oublient de remarquer l’explosion du nombre de sites d’information alternative. Les internautes qui s’interrogent et cherchent ce type d’information se répartissent sur une offre qui ne cesse de s’accroître sur la toile. En fait, le nombre de vues cumulées sur l’ensemble de ces sites alternatifs, anciens et nouveaux, est en très forte croissance pour la simple raison que les médias grand public, à force de proposer des narratifs peu crédibles, voire de mentir éhontément et de se livrer à des actions de propagande grossières, sont en perte de vitesse.

Il y a forcément des oublis de ma part. Je ne suis pas omniscient et découvre chaque jour de nouveaux sites dont j’ignorai l’existence et qui proposent d’excellents articles ou vidéos. Il est vrai que la qualité des médias grand-public étant devenue ce qu’elle est aujourd’hui, il n’y a plus de grandes difficultés à leur faire concurrence et à leur tailler des croupières.

ATTENTION ! Conscients du succès exponentiel de ces nouveaux sites, les Atlantistes ont essayé d’infiltrer ce créneau des sites alternatifs pour mieux les combattre. Il faut toujours identifier les financeurs et les fondateurs des sites alternatifs et examiner leur production, leur financement, leur conseil d’administration et leurs sites partenaires pour savoir à QUI on a affaire …



Le catalogue complet des 100 meilleurs sites web d’information selon Dominique Delawarde. PDF gratuit :


Le top 100 des sites à connaître pour diversifier ses sources d' information

TABLE DES MATIÈRES

I – 10 Sites à dominante «Économie-Finance-Argent»
II – 32 Sites généralistes
III – 16 Sites à dominante Géopolitique et Défense
IV – 21 sites d’Information étrangers en français + 6 sites étrangers anglophones
V – 14 sites sur les sujets : Palestine – Sionisme – Israël – Communauté Juive