mercredi 28 août 2024

Le pape François, agent de l'Antéchrist ?




Le Vatican sous le choc après que les théologiens les plus influents de l’Église catholique ont demandé au pape de démissionner 


Léo Zagami


Le Vatican est une fois de plus dans la tourmente après qu'un groupe de 17 universitaires et militants a publié une longue déclaration appelant à la démission du pape François ou à ce que le Collège des cardinaux lui demande officiellement de démissionner, affirmant que le pape jésuite a « provoqué une crise sans précédent dans le monde ». l’Église catholique » par ses paroles et ses actes. Les 17 signataires ont attesté que le pape a « fait beaucoup de mal à l'Église et au monde entier » depuis son accession au trône papal en mars 2013. (La déclaration complète est ci-dessous, avec un PDF téléchargeable ici) .

Dans un communiqué publié le 2 mai, les signataires en question ont déclaré que « les membres de la hiérarchie de l’Église ont le devoir d’agir pour empêcher François de causer davantage de tort ». Ils ont ajouté :

"Nous appelons donc le pape François à démissionner de ses fonctions papales, à se repentir et à faire pénitence pour ses actes. S’il ne le fait pas, nous demandons aux cardinaux et aux évêques de l’Église catholique de demander au pape François de démissionner de ses fonctions de pape.

Si cela ne devait finalement pas avoir lieu, les signataires appelleraient les cardinaux et les évêques à déclarer que François a perdu la papauté d’une manière ou d’une autre :

S'il refuse de démissionner ou de renoncer aux hérésies qu'il a défendues, nous demandons qu'ils déclarent qu'il a perdu la charge papale.

Les signataires attribuent la « crise sans précédent » susmentionnée à deux choses :

Le pape François a commis des actes criminels gravement préjudiciables à l’Église et à certains croyants.

Il a montré qu’il rejetait la foi catholique et s’est efforcé de détruire la foi des autres catholiques."

Les signataires et leurs accusations

Les dix-sept signataires comprennent un mélange d'universitaires, de militants dans diverses sphères de la vie ecclésiale et d'un prêtre :

- Révérend Linus F. Clovis, Ph. D., MSc, JCL, STB
- Yves Daoudal : rédacteur en chef de Reconquête et vice-président du Centre Charlier
- Dániel Fülep : théologien, Hongrie
- Michael Kakooza, Ph. D. : Gestion stratégique, Afrique de l'Est
- Thaddeus J. Kozinski, Ph. D. : professeur de philosophie, Memoria College
- Peter A. Kwasniewski, Ph. D.
- John RT Lamont, DPhil
- John Rist, Ph. D. : Professeur de lettres classiques, de philosophie et de théologie paléochrétiennes (à la retraite)
- Dr Cesar Felix Sánchez Martínez : Professeur de philosophie, Universidad Nacional de San Agustin, Pérou
- Wolfram Schrems, Mag. théol., Mag. phil.
- Peter Stephan, Dr Phil. Habil : Professeur de théorie de l'architecture et d'histoire de l'art, Université des sciences appliquées, Potsdam
- Anna Silvas, Ph. D. : Spécialiste des pères grecs, UNE, Australie (ret.)
- John-Henry Westen, MA : Fondateur et rédacteur, LifeSiteNews
- Michael Wiitala, Ph. D. : maître de conférences associé en philosophie, Cleveland State University
- Elizabeth F. Yore, Esq. : Fondatrice de Yore Children
- John Zmirak, Ph. D. : rédacteur en chef, The Stream

La longue déclaration présente un résumé de ses interactions et de ses relations avec plusieurs personnalités de l'Église, telles que les cardinaux Godfried Danneels, Reinhard Marx, Theodore McCarrick, Wilton Gregory et Víctor Manuel Fernández. La longue liste d'individus présentée par l'État signataire fait partie du « dossier de protection des agresseurs sexuels » de François qui « illustre son caractère et son mode opératoire ». 

Le pape François, en disgrâce auprès de nombreux conservateurs depuis le début de son pontificat, semble être l'un des principaux partisans du futur Antichrist avec sa position ambiguë sur l'homosexualité et le transgenre, son soutien à l'islam et la création d'une « religion mondiale unique » en collaboration avec la franc-maçonnerie...

Les signataires accusent François d'avoir commis « des crimes autres que l'hérésie », attestant que les actes énumérés sont « des crimes parce qu'ils violent soit le droit canonique, soit le droit des États temporels, le droit naturel, le droit divin positif, ou une combinaison de lois de ces différents Systèmes juridiques.


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