jeudi 14 décembre 2023

L'incroyable révélation du grand rabbin de France sur Macron

 



Macron porte sur lui le collier de Tsahal, remis naguère par le grand rabbin de France.

Le collier militaire de l'armée israélienne (Tsahal) "est, dit le grand rabbin en s'adressant à Macron, comme un fil rouge de toute votre action diplomatique". 

Une singulière action diplomatique qui ne dénonce par les crimes de guerre de Tsahal. Or ces crimes de guerres sont reconnus par des militaires israéliens eux-mêmes.

Macron ne peut ignorer que Tsahal est accusé de crimes de guerre.

Des témoignages de soldats israéliens ayant participé aux combats dans la bande de Gaza, confirment que des militaires israéliens ont tué des civils palestiniens sans défense durant l'offensive.

Lire l'article "Des soldats israéliens accusent Tsahal de crimes de guerre" :

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BONUS


4185 soldats français engagés aux côtés de l'armée israélienne contre Gaza.

La France a-t-elle déclaré la guerre à la Palestine, sans que, ni les citoyens, ni la représentation nationale n'en aient été informés...

Europe1 a mené une enquête qui a révélé l'implication des soldats français. L'engagement de plusieurs milliers de militaires français aux côtés de l'armée israélienne, accusée de perpétrer un crime de guerre contre les Palestiniens à Gaza, 17 000 morts selon l'ONU, est un acte grave de la part de Macron, qui justifie sa destitution dans les plus brefs délais. L'image de la France est une nouvelle fois souillée.

Le député LFI, Thomas Portes, dénonce la présence de plus de 4000 Français engagés dans l’armée israélienne sur le front de Gaza et demande qu’ils soient traduits en justice pour crimes de guerre :
https://infodujour.fr/societe/geopolitique/72469-plus-de-4-000-soldats-francais-dans-la-guerre-a-gaza

Voilà les sanctions et condamnations qu'encourent les 4185 soldats Français engagés dans l’armée israélienne, en vertu de l’article 23-8 du code civil :


« Perd la nationalité française le Français qui, occupant un emploi dans une armée ou un service public étranger ou dans une organisation internationale dont la France ne fait pas partie ou plus généralement leur apportant son concours, n’a pas résigné son emploi ou cessé son concours nonobstant l’injonction qui lui en aura été faite par le gouvernement. L’intéressé sera, par décret en Conseil d’État, déclaré avoir perdu la nationalité française si, dans le délai fixé par l’injonction, délai qui ne peut être inférieur à quinze jours et supérieur à deux mois, il n’a pas mis fin à son activité. Lorsque l’avis du Conseil d’État est défavorable, la mesure prévue à l’alinéa précédent ne peut être prise que par décret en conseil des ministres ».

Source :
https://youtu.be/PWqAiOhIeVM?feature=shared