Un acteur clé d’une guerre eschatologique
Depuis cinq ans, je martèle une vérité que beaucoup refusent encore de voir : Macron n’est pas la France. Il n’est ni un simple pion ni un technocrate zélé, mais une force destructrice, un architecte du chaos, un rouage d’un projet qui dépasse les frontières hexagonales. Avec son binôme à l’Élysée, il façonne l’Histoire dans une direction précise : dissolution, asservissement, mensonge total. Ceux qui le réduisent à un exécutant d’intérêts étrangers sous-estiment la gravité du mal qu’il incarne. Pour moi, il est un acteur clé d’une guerre eschatologique qui approche, un feu bien plus vaste que les calculs politiciens ne peuvent saisir.
Longtemps, mes alertes ont résonné dans le vide. Mais voilà que Scott Ritter, ancien officier du renseignement américain, lâche une bombe verbale qui fait écho à mes mises en garde. Dans un texte récent (6 mars 2025), il déclare : « Il est temps d’affaiblir et de calmer la France. » Pour lui, tant que Macron dirigera un pays doté de l’arme nucléaire, la sécurité mondiale restera en péril. Il va plus loin, suggérant que si les Français ne règlent pas cela via les urnes, les États-Unis pourraient considérer la France comme une « menace existentielle » et agir – une allusion à peine voilée à une intervention. Ritter, comme moi, voit dans la France sous Macron un danger, non pas à cause de son peuple, mais à cause de ceux qui la mènent à sa perte. Bientôt, d’autres voix, comme celle de Jeffrey Sachs, pourraient rejoindre ce constat, pointant des dynamiques similaires à Tel Aviv, bien que dans une moindre mesure.
En face, Dmitri Medvedev, dans un tweet du 5 mars 2025, adopte une posture radicalement différente. Réagissant aux propos de Macron sur la « menace russe », il ironise : Macron « ne représente pas une grande menace » et « ne manquera à personne » après 2027, date de la fin de son mandat. Cette lecture minimisante m’inquiète profondément. Elle risque de tromper les Russes – et d’autres – sur la dangerosité réelle du duo Macron, en le réduisant à une parenthèse électorale. Medvedev va même jusqu’à relayer une fake news grotesque : un message sur X (début mars 2025) prétendant que Macron aurait été « assassiné » dans un complot, une rumeur absurde qu’il amplifie avec son sarcasme habituel pour discréditer le président français. Cette désinformation, bien que risible, illustre une stratégie : minimiser Macron pour mieux détourner l’attention de son rôle, au sein de son binôme étrange d’un couple d’inconnus, dans les tensions actuelles.
Là où Ritter décèle une crise immédiate – un Macron « désespéré » prêt à des actes imprudents, selon sa référence à Shakespeare (« Ô méfait, tu es prompt à entrer dans les pensées des hommes désespérés ! ») –, Medvedev mise sur une disparition banale en 2027. Ni l’un ni l’autre ne saisit pleinement la dimension eschatologique que je défends. Ritter s’arrête à une menace stratégique, Medvedev à une moquerie simpliste. Pourtant, les faits s’accumulent et j’en reprendrai beaucoup dans la suite de cette lettre : discours belliqueux de Macron sur l’Ukraine, proposition d’étendre le parapluie nucléaire français à l’Europe (5 mars 2025), fake news russes amplifiant le chaos, mais avant l’incendie de Notre Dame, les cérémonies des JO, la politique Covid de la France, etc. Ces éléments se télescopent, signes d’un bouleversement plus profond que les analyses conventionnelles ne captent.
Macron n’est pas la France, mais c’est la France – et peut-être le monde – qui risque de payer le prix de ses actes. Chaque jour, des analystes chevronnés rejoignent mes pas, mais trop peu osent nommer l’ennemi pour ce qu’il est : un mal implacable qui avance tandis que les consciences reculent. Jusqu’à quand tiendrons-nous avant que le feu ne consume tout ?
Il est facile de se perdre dans le bruit médiatique incessant, les récits simplistes et les manipulations grossières qui dominent les discussions sur la Russie, l’Ukraine, et leurs relations avec l’Occident. On nous répète à l’envie que tout est noir ou blanc : la Russie serait un agresseur assoiffé de conquêtes, l’Europe une victime potentielle, et Zelensky un héros défendant la liberté. Mais si l’on prend un peu de recul, si l’on gratte sous la surface, on se rend vite compte que cette version est non seulement simpliste, mais aussi vulgairement fausse et trompeuse. C’est en effet tout l’inverse, comme en Palestine d’ailleurs !
Je sais, je sais, ce n’est pas la première fois que j’aborde ce sujet. Mais comment faire autrement ? Partout autour de nous, on est submergés par un flot incessant de messages qui parasitent nos réflexions, nos échanges, et qui sèment des doutes aussi inutiles que destructeurs. Vous me direz peut-être que vous ne regardez plus trop les grands médias – et je vous crois, tant mieux ! – mais est-ce qu’on peut vraiment leur échapper complètement, en plus vous écoutez parfois comme une drogue des marchands du temple, que vous n avez pas encore démasqués pour ce qu’ils sont ?
La politique est partout, les mensonges niés et les vérités travesties et inversées en mensonges ou en propagandes voir en complots.
Cette musique empoisonnée, mes amis, s’insinue dans nos vies avec la sournoiserie d’une ombre qui jamais ne s’efface. Elle n’a pas de visage, pas de nom, mais elle est partout, tenace, implacable. Prenez l’école, par exemple : dès le berceau de l’enfance, on y façonne les esprits, on y plante les graines d’une pensée docile, d’un monde déjà dessiné pour eux. On leur apprend à réciter avant même de réfléchir – une leçon bien apprise, n’est-ce pas ? Puis vient le travail, ce théâtre quotidien où la machine à café devient l’autel des grandes vérités. Là, entre deux gorgées tièdes, les voilà qui s’improvisent stratèges géopolitiques, débitant des certitudes qu’ils ont avalées sans mâcher, sans jamais se demander d’où elles viennent.
Et que dire de nos loisirs, ces instants où l’on croit naïvement s’échapper ? On allume un écran, on ouvre un livre, on tend l’oreille à une mélodie, pensant se libérer, mais elle est là encore, tapie, prête à surgir. Cette musique empoisonnée ne nous lâche pas – elle est le murmure incessant qui accompagne chaque pas, chaque souffle. Mais le pire, permettez-moi de le souligner avec une pointe d’amertume, ce sont ceux qui se targuent d’être armés, intellectuellement parlant. Ces esprits soi-disant affûtés, ces chevaliers autoproclamés de la pensée libre, qui s’effondrent pourtant dès le premier dîner en ville. Oh, ils brillent un instant, entre le foie gras et le Château Margaux, mais à la moindre bourrasque du discours dominant, les voilà qui plient, par lâcheté ou par conformisme. Incapables de tenir bon, incapables de risquer une fissure dans leur petite image soigneusement polie. Tout ça pour quoi ? Pour préserver encore un peu leurs existences fragiles de jet-setters d’opérette, ces vies vaines qui s’effritent au moindre souffle de vérité.
Comprenez bien ceci : ce poison ne se contente pas d’effleurer la surface. Il s’enracine, il corrompt, il nous détourne de ce qui compte. Mais il y a une issue, une lumière dans cette nuit – et elle passe par le courage, par la foi en quelque chose de plus grand que ces mascarades. Cette bataille, je vous le dis, est eschatologique. Elle exige que nous soyons lucides, humains, libres. Alors, ouvrez les yeux, tendez l’oreille, et refusez de danser sur cette mélodie qui n’est pas la nôtre, c’est celle du diable et de son bal des vampires.
Réfléchissons deux secondes : dans les films hollywoodiens ou les séries qu’on se tape sur Netflix, les méchants ont toujours un accent slave (ou arabes et parfois chinois) et une gueule patibulaire, comme s’ils étaient nés pour faire peur. Ce n’est pas un hasard, c’est une machine à stéréotypes bien huilée. Depuis des lustres, l’Est, et surtout la Russie, est vendu comme le grand méchant loup. On pourrait se marrer de cette caricature si elle ne servait pas à manipuler l’opinion et à justifier des décisions qui nous écrasent un peu plus chaque jour.
Prenez un instant pour examiner vos dernières factures – électricité, gaz, essence – ou le prix de votre baguette à la boulangerie. Peut-être avez-vous aussi cherché un dentiste, en vain, avant de recevoir une note salée pour vos soins. Ces chiffres, qui grimpent en flèche, ne vous ont sans doute pas échappé. Et pourtant, que faisons-nous ? Nous restons, pour la plupart, étrangement silencieux. On nous sert des explications bien commodes : les tensions avec la Russie, les sanctions économiques, une conjoncture internationale soi-disant inévitable. Mais la vérité, celle que l’on évite soigneusement de prononcer, mérite d’être mise en lumière.
Ces sanctions, orchestrées par des esprits que l’on pourrait qualifier d’exaltés – pour rester polis –, ne sont pas sans conséquences. Elles se retournent contre nous tel un boomerang, faisant s’envoler les prix, fragilisant notre industrie et resserrant chaque jour un peu plus l’étau de notre dépendance. Pendant ce temps, ceux qui les ont décidées semblent indifférents à notre sort. Ils évoluent dans un univers dont la plupart d’entre nous ne soupçonnent même pas l’existence, un monde où l’argent ne se contente pas de couler : il déborde, il inonde.
Réfléchissons-y un instant. Comment expliquer que des bouteilles de vin ou de cognac s’arrachent à plusieurs milliers d’euros pour 75 centilitres ? Que des sacs à main minuscules coûtent davantage qu’une automobile ? Que des souliers atteignent le prix d’un tour du monde en classe affaires ? Et, plus troublant encore, comment justifier que des transitions de genre – présentées comme une nécessité médicale, jamais comme un caprice ou une pente glissante encouragée par certains – soient prises en charge par l’assurance maladie, alors que tant de besoins élémentaires restent ignorés ?
Ce contraste, n’est pas anodin. Il révèle une fracture, un décalage vertigineux entre ceux qui décident et ceux qui subissent. Les premiers vivent dans une opulence qui défie l’entendement ; les seconds, vous et moi, voyons notre quotidien s’éroder sous le poids de choix qui nous échappent. Alors, ouvrons les yeux : ces sanctions, ces priorités absurdes, ne sont pas des fatalités. Elles sont le fruit de décisions humaines, et il nous appartient de les questionner.
Donc, pourquoi ce cirque ? Les naïfs diront que c’est juste de la géopolitique foireuse. Les lucides, eux, savent que c’est plus tordu : c’est un plan pour nous habituer à morfler, à nous diviser, à nous pousser vers le chaos – des guerres civiles, carrément sadique … et ça marche, ils n’ont pas d’oppositions qui comprennent leur manège. Car comprendre c’est risqué d’être ridiculisé ou mis en garde à vue, voire même en prison.
Les peuples sont déjà à bout, rincés par les injections forcées qu’on nous a enfoncées dans le bras, les manipulations climatiques bidon, et les agendas sociétaux à la con, genre LGBTQ+, qu’on nous fait avaler de force. C’est pas une théorie fumeuse que j’affirme, c’est sous nos yeux, et ça pue la volonté de nous écraser en nous divertissant et détournant de notre humanité.
Regardez autour de vous : même les syndicats, qui devraient protéger les plus fragiles, les ordres professionnels (dont médicaux etc.) sont largués, coincés entre leurs vieux combats et les délires qu’on leur impose, ils dépendent de l’argent de Bruxelles ou sont infiltrés d’envoyés spéciaux par des sociétés secrètes dont le rôle et de servir et d’asservir le beau et le saint, en marécage et sables mouvants (…). Et les églises, ces soi-disant refuges de paix et de spiritualité ? Foutaises. Même là, c’est la merde, merci McKinsey et “le vaccin c'est l’amour” qu’ils ont réussi à nous injecter dans l’âme urbi et orbi. Les cardinaux se permettent même de taper sur la Russie en public. C’est pas un détail innocent, c’est une preuve : l’Église, qui devrait planer au-dessus des magouilles politiques, plonge tête la première dans le jeu des puissants. Ils ne font qu’attiser le feu au lieu d’être des médiateurs neutres qui défendent la vie.
Et heureusement, il y a la Russie au milieu de ce bordel – la “sainte Russie”, comme on l’appelait avant, avec son passé chargé de foi et de grandeur. Aujourd’hui, c’est Vladimir Poutine qui tient la barre, et il divise autant qu’il fascine. Il va à la messe, parle de Dieu, défend des valeurs qu’on a piétinées chez nous, il respecte les puissants et les déshérités, il relève une société fracturée et sait prouver que son pays, son peuple ne va pas rompre. Pour beaucoup, pour moi, c’est le leader le plus chrétien du monde actuel. Écoutez sa sortie sur “le bal des vampires est terminé” : une façon de dire que notre décadence crasse, nos excès et notre abandon de toute morale nous mènent dans le mur, mais aussi qu’il y a en notre des seins des assoiffés de sang et qui ont signé un pacte avec le diable. D’accord ou pas, il cogne là où ça fait mal, il désigne et nomme les ennemis qui se reconnaissent, et il voit les enjeux et risques réels de fin du monde mieux que nos clowns en costard, qui pour la plupart n’ont pas compris qu’ils étaient manipulés. Lui ne fait pas parler la poudre pour relancer une industrie, il le fait pour sauver l’humanité !
Bertrand Scholler.
Dans les ombres de l'histoire, une vérité sombre murmure, une vérité que peu osent évoquer : un groupe d'individus, maîtres de mystères et d'ombres, a tissé sa toile à travers le monde. Ils ont signé un pacte, avilissant, dans l'obscurité avec chaque peuple, chaque nation, pour les asservir dans un esclavage moral, absolu et total.
Dans les ombres de l'histoire, une vérité sombre murmure, une vérité que peu osent évoquer : un groupe d'individus, maîtres de mystères et d'ombres, a tissé sa toile à travers le monde. Ils ont signé un pacte, avilissant, dans l'obscurité avec chaque peuple, chaque nation, pour les asservir dans un esclavage moral, absolu et total.
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BONUS
55 OFFICIERS FRANCAIS TUES A DNIPRO & A ODESSA EN REPONSE AU DISCOURS DE MACRON.
(11:05)