lundi 29 janvier 2024

17 millions de morts à cause de la toxicité des injections expérimentales


Les yeux sont ouverts mais voient-ils ?


Nous avons le douteux privilège d'assister à un génocide dans une inaction générale hormis quelques voix qui s'élèvent ici et là, qui sont tolérées pour entretenir l'illusion qu'il y a réellement une discussion possible et donc espoir sur le sujet. Ces voix discordantes sont bien sûr systématiquement ignorées en milieu décisionnel et la propagande officielle du "eux contre nous" les enterre largement. Pour un certain coin de pays entre l'Europe et l'Asie que je ne peux nommer ici, nous sommes à l'étape 9 sur 10 de l'échelle des génocides.

Dans un autre domaine mais dans le même ordre d'idées, le même cheminement à été suivi durant la mise en scène covid et la plandémie où nous arrivions à l'étape 7 sur 10 de cette même échelle avec les camps d'internement en Australie, les passeports vaccinaux et les droits différenciés entre les groupes. Ils auraient continué, sans l'ombre d'un doute, si nous avions laissé faire.

Le Pr. Denis Rancourt et son équipe ont calculé que 17 millions de personnes sont mortes mondialement à cause de la toxicité des injections expérimentales. J'ajoute qu'elles étaient faites sans consentement éclairé et souvent forcées. C'est énorme et cependant peu cité.

On ne parle pourtant pas beaucoup de génocide dans le cas de l'injection parce que le groupe visé ne correspond pas à une couleur de peau, à une religion ou à un groupe linguistique. De plus les morts et les handicapés sont tous dans le groupe dominant de des citoyens enrôlés comme délateurs et accusateurs, celui de la bien-pensance conformiste et "vaccinée", ce qui constitue une grande première dans ce genre de crime. Cela sème la confusion et empêche de nommer la chose.

Combien de gens devaient mourir selon les Georgia Guidestones ? 8 milliards pour n'en laisser que 0.5 milliards sur Terre. Schwab et Gates ont échappé des chiffres du même ordre pour la dépopulation annoncée.

En conclusion, l'échelle d'évaluation ci-dessous est un excellent outil pour voir au travers des discours mensongers dégoulinants de bonnes intentions et pour enfin observer leurs agissements pour ce qu'ils sont vraiment : des crimes. À conserver et à relayer.

ÉCHELLE DE RÉFÉRENCE 


LES 10 ÉTAPES D'UN GÉNOCIDE :


- 1) Classification : Le peuple est divisé en deux : "nous et eux".

- 2) Symbolisation : les gens ciblés sont forcés de s'identifier comme "différents".

- 3) Discrimination : les victimes sont soumises à une discrimination systématique.

- 4) Déshumanisation : les membres du groupe visé sont comparés à des animaux, à de la vermine ou à des maladies.

- 5) Organisation : le gouvernement créé des groupes spécifiques (police/militaire/volontaires civils) pour les débusquer et pour faire appliquer les politiques discriminatoires.

- 6) Polarisation : le gouvernement diffuse une propagande incessante pour exciter la colère de la population contre le groupe visé.

- 7) Préparation : Action officielle pour isoler et relocaliser les gens en question pour les faire disparaître du paysage social.

- 8) Persécution : début des incarcérations arbitraires indéfinies, des assassinats, du vol de propriétés, des relocalisations massives.

- 9) Extermination : élimination globale du groupe. On parlera d'extermination, comme pour des insectes, et jamais de meurtre car les victimes ne doivent pas être perçues comme étant humaines.

- 10) Déni pour la suite : le gouvernement nie avoir commis ces crimes même devant l'évidence documentée. Tout au plus admettra-t-il avoir dû prendre des décisions difficiles dans l'intérêt collectif sous contraintes urgentes menaçant la nation. Tout ça est derrière vous, vous dira-t-on ensuite, il faut regarder vers l'avant maintenant. Oubliez. Obéissez. Tout va bien.

Post scriptum : si l'holocauste se déroulait sous vos yeux, combien parmi vous le verraient et dénonceraient Hitler ?

Source :
L'Observateur Q2


*******

BONUS :

"Cancer du poumon à 17 ans (non fumeur)... Cancer du colon chez une petite fille de 7 ans (injectée contre le COVID)..." 
Source : Eric Archambault.