Par Aaron
Après notre article sur Guénon « L’aporie démocratique », quelqu’un a cité ceci dans les commentaires :
« Le cas de Freud lui-même, le fondateur de la psychanalyse, est tout à fait typique à ce point de vue, car il n’a jamais cessé de se proclamer matérialiste. Une remarque en passant : pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles comme Einstein en physique, Bergson en philosophie, Freud en psychologie… sont-ils à peu près tous d’origine juive, sinon parce qu’il y a là quelque chose qui correspond exactement au côté « maléfique » et dissolvant du nomadisme dévié, lequel prédomine inévitablement chez les juifs détachés de leur tradition ? » (René Guénon, Le Règne de la quantité, p. 228, note de bas de pages 152.)
Dans Le Règne de la quantité, Guénon parle de différentes phases du cycle actuel : tout a commencé avec le mécanisme, où certains hommes s’imaginaient l’univers fonctionnant à la manière d’une montre bien réglée. Puis après cela il y eut le matérialisme, où la vision atomique du monde fait son apparition et où l’homme conçoit les êtres comme des systèmes fermés dont les limites sont celles de leur corps. Quoique la plupart des personnes ont entendu parler du « matérialisme », très peu sont ceux qui savent qu’il existe quelque chose d’autre : ce que Guénon a appelé la « dissolution ». Déjà à son époque Guénon avait remarqué qu’une autre manière de penser (ou une autre mentalité) avait fait son apparition.Elle est relativement aisée à décrire, puisque, de nos jours, elle s’est affirmée d’une manière extrême. Cette manière de penser à ceci de spécifique qu’elle est fortement liée à la sphère des émotions (nous expliquerons plus en détail par la suite). Le mécanisme et le matérialisme sont deux modes de penser rationnelles ; les personnes qui pensent ainsi (rationnellement) ont une tendance à penser de manière « séparative » (ou « discursive ») ; c’est-à-dire que l’homme qui pense de manière rationnelle sépare les êtres pour les envisager en eux-mêmes, séparés du reste de la Création. Mais lors de cette phase de « dissolution », la pensée se lie de manière plus étroite à la sphère émotionnelle, ce qui signifie que ce n’est plus la « raison » qui domine en l’homme, mais les émotions. Or c’est précisément cela, l’augmentation du caractère émotionnel de la société, qui explique la place grandissante occupée par les femmes, les juifs et même les enfants.
À l’inverse du matérialisme (qui admettait malgré tout les évidences qui lui tombaient sous les yeux, comme celles de la biologie), la « dissolution » se caractérise par la dispersion et l’instabilité (c’est pourquoi certaines personnes pensent pouvoir « changer de sexe » : car plus rien n’est considéré comme « fixe » et, par conséquent, tout est soumis au changement). Il importe de noter que la « dissolution » décrit avant tout un phénomène mental, et pas seulement un état de la société. D’un point de vue psychologique, ce sont les émotions qui ont ce caractère instable, qui est typique de la « dissolution » ; car nos émotions changent d’un moment à l’autre, et ce sont elles qui, en faisant fluctuer le rythme cardiaque, génère cette instabilité si caractéristique de l’époque actuelle et dont le symptôme le plus typique est l’anxiété. C’est pourquoi la « dissolution » s’accompagne nécessairement d’une augmentation de l’émotivité : car, dans les facultés de l’âme (pensée, volonté et émotion), l’émotion prend une place prépondérante, ce qui signifie que l’homme tend à s’identifier avec son ressenti : je me sens femme et donc je suis femme. Il s’« identifie » à son ressenti car le ressenti prend une grande place dans sa constitution psychique.
Or si la « dissolution » tend à faire sombrer l’homme dans un monde d’émotions incessantes, les individus possédant ce caractère (c’est-à-dire les personnes les plus émotionnelles) viendront à prendre plus de place dans la société, puisque ce sont précisément ces individus qui « impulseront » ce mouvement consistant à faire sombrer la société dans le désordre permanent. C’est ici qu’interviennent les femmes et, surtout, les juifs, deux types d’êtres dans la constitution psychique desquels les émotions ont un grand poids.
Les juifs constituent un peuple nomade, et la mentalité des nomades se caractérise par le mouvement (c’est pourquoi on désigne certains nomades comme « gens du voyage ») ; or la « dissolution » est essentiellement une forme d’instabilité, c’est-à-dire un état de mouvement permanent où tout change sans cesse et où, par conséquent, il n’existe plus aucun repère, puisqu’on on ne peut « repérer » (ou fixer mentalement) une chose que si elle reste ce qu’elle est durant un temps déterminé. Or seuls certains individus (comme les nomades), dont l’être même est caractérisé par le mouvement, peuvent faire advenir cet état d’instabilité caractéristique de la « dissolution ». De là le rôle des théoriciens juifs cités par Guénon, comme Freud, Einstein et Bergson ; et on pourrait en ajouter bien d’autres, comme Judith Butler ou encore Noam Chomsky. Mais la « dissolution » se retrouve aussi sur le plan géopolitique avec, notamment, le rôle des juifs en Occident (par exemple les néoconservateurs américains) et le rôle destructeur d’Israël dans le monde. Si les choses doivent se dérouler ainsi, c’est parce que la « fin des temps », c’est aussi l’unification de l’espace – temps et espace étant liés, la fin de l’un signifie nécessairement la plénitude de l’autre, ou son expansion la plus totale. Or le monde ne peut devenir un que s’il est d’abord envisagé ainsi, et c’est justement ainsi qu’il est envisagé par le nomade : comme un immense champ dans lequel il peut déployer son être :
« […] les peuples nomades et pasteurs n’édifient rien de durable, et ne travaillent pas en vue d’un avenir qui leur échappe ; mais ils ont devant eux l’espace, qui ne leur oppose aucune limitation, mais leur ouvre au contraire constamment de nouvelles possibilités […]. » (Le Règne de la quantité, p. 106)
C’est pourquoi être français vous rattache à une terre alors qu’être juif vous rattache à un peuple, c’est-à-dire à quelque chose qui n’est pas circonscrit à un territoire quelconque. Voilà pourquoi, avec l’avènement des juifs sur la scène internationale (conséquence de la chute du catholicisme, entre autres), la nation tend à s’effacer et le monde tend à devenir un vaste champ unifié où tout est soumis à la loi du marché et où le catholicisme disparaît, comme le veulent les écrits du rabbinisme – car il y a aussi quelque chose de théologique là-dedans. Il y a là une sorte de logique, pour qui peut la saisir, et qui veut que celui qui domine impose son être au monde.
Avant d’achever cet article, on notera qu’en plus de cette forte influence du ressenti sur la personnalité qui définit la subjectivité à proprement parler, le nomade a comme caractéristique une tendance à la « discursivité ». C’est pourquoi il a souvent tendance à se perdre dans toutes sortes de propos longs, de circonlocutions, à élaborer des phrases avec tout un ensemble de déductions avec des néologismes qui rendent la compréhension pénible. C’est une tendance qu’on retrouve chez Freud, avec son vocabulaire spécial (stade « anal », « phallique », etc., lorsqu’il parle du développement infantile), et, aussi, chez Judith Butler avec ses spéculations interminables sur le genre. C’est ici qu’on retrouve quelque chose du « nomadisme dévié » dont parle Guénon. Cette manière de procéder (par un discours incessant et difficile d’accès) a quelque chose de particulièrement dissolvant sur la personnalité de celui qui s’intéresse à ce genre de travaux, notamment sur les jeunes, c’est-à-dire ceux dont la personnalité ne s’est pas encore forgée. Nous nous souvenons d’un philosophe juif du nom de Jacques Derrida qui disait que même le contexte ne suffisait pas pour connaître le sens exact d’un mot, ce qui signifie qu’on ne pouvait – selon lui – jamais connaître le sens exact d’un mot, ce qui ne l’a pas empêché d’écrire en pensant pouvoir être compris... Il est aisé de retrouver cette tendance chez Michel Foucault et Roland Barthes (tous deux homosexuels par ailleurs), dans cette manière compliquée qu’ils ont de s’exprimer, surtout le premier. Cette tendance à la discursivité-subjectivité se retrouve chez la plupart des pseudo-intellectuels modernes, ce qui montre bien que, en réalité, tous ces individus ne font que servir de « support » à une influence maléfique et subversive qui s’exerce à travers eux. Lorsqu’on s’intéresse à la personnalité de tous ces littérateurs et pseudo-intellectuels modernes, on constate qu’ils sont souvent juif, ou homosexuel, ou bisexuel, voire tout en même temps (comme Hirschfeld, le pionnier de la « sexologie » moderne qui a inspiré le mouvement LGBT). Et il convient de mentionner, à ce propos, que Tel-Aviv est la ville dans le monde avec la plus grande quantité d’hommes homosexuels. Or ce que voulait dire René Guénon lorsqu’il parlait des juifs, c’est qu’il y avait quelque chose qui faisait que, lorsqu’ils n’étaient plus religieux, ils étaient beaucoup plus susceptibles de jouer ce rôle de « support » à l’activité des forces de subversion modernes, ou, pour le dire autrement, le juif détaché de sa tradition se comporte (selon Guénon) comme un parfait outil du « Nouvel Ordre mondial ».
Approfondissez la question avec La Crise du monde moderne et
Le Règne de la quantité et les signes des temps
« Le cas de Freud lui-même, le fondateur de la psychanalyse, est tout à fait typique à ce point de vue, car il n’a jamais cessé de se proclamer matérialiste. Une remarque en passant : pourquoi les principaux représentants des tendances nouvelles comme Einstein en physique, Bergson en philosophie, Freud en psychologie… sont-ils à peu près tous d’origine juive, sinon parce qu’il y a là quelque chose qui correspond exactement au côté « maléfique » et dissolvant du nomadisme dévié, lequel prédomine inévitablement chez les juifs détachés de leur tradition ? » (René Guénon, Le Règne de la quantité, p. 228, note de bas de pages 152.)
Dans Le Règne de la quantité, Guénon parle de différentes phases du cycle actuel : tout a commencé avec le mécanisme, où certains hommes s’imaginaient l’univers fonctionnant à la manière d’une montre bien réglée. Puis après cela il y eut le matérialisme, où la vision atomique du monde fait son apparition et où l’homme conçoit les êtres comme des systèmes fermés dont les limites sont celles de leur corps. Quoique la plupart des personnes ont entendu parler du « matérialisme », très peu sont ceux qui savent qu’il existe quelque chose d’autre : ce que Guénon a appelé la « dissolution ». Déjà à son époque Guénon avait remarqué qu’une autre manière de penser (ou une autre mentalité) avait fait son apparition.Elle est relativement aisée à décrire, puisque, de nos jours, elle s’est affirmée d’une manière extrême. Cette manière de penser à ceci de spécifique qu’elle est fortement liée à la sphère des émotions (nous expliquerons plus en détail par la suite). Le mécanisme et le matérialisme sont deux modes de penser rationnelles ; les personnes qui pensent ainsi (rationnellement) ont une tendance à penser de manière « séparative » (ou « discursive ») ; c’est-à-dire que l’homme qui pense de manière rationnelle sépare les êtres pour les envisager en eux-mêmes, séparés du reste de la Création. Mais lors de cette phase de « dissolution », la pensée se lie de manière plus étroite à la sphère émotionnelle, ce qui signifie que ce n’est plus la « raison » qui domine en l’homme, mais les émotions. Or c’est précisément cela, l’augmentation du caractère émotionnel de la société, qui explique la place grandissante occupée par les femmes, les juifs et même les enfants.
À l’inverse du matérialisme (qui admettait malgré tout les évidences qui lui tombaient sous les yeux, comme celles de la biologie), la « dissolution » se caractérise par la dispersion et l’instabilité (c’est pourquoi certaines personnes pensent pouvoir « changer de sexe » : car plus rien n’est considéré comme « fixe » et, par conséquent, tout est soumis au changement). Il importe de noter que la « dissolution » décrit avant tout un phénomène mental, et pas seulement un état de la société. D’un point de vue psychologique, ce sont les émotions qui ont ce caractère instable, qui est typique de la « dissolution » ; car nos émotions changent d’un moment à l’autre, et ce sont elles qui, en faisant fluctuer le rythme cardiaque, génère cette instabilité si caractéristique de l’époque actuelle et dont le symptôme le plus typique est l’anxiété. C’est pourquoi la « dissolution » s’accompagne nécessairement d’une augmentation de l’émotivité : car, dans les facultés de l’âme (pensée, volonté et émotion), l’émotion prend une place prépondérante, ce qui signifie que l’homme tend à s’identifier avec son ressenti : je me sens femme et donc je suis femme. Il s’« identifie » à son ressenti car le ressenti prend une grande place dans sa constitution psychique.
Or si la « dissolution » tend à faire sombrer l’homme dans un monde d’émotions incessantes, les individus possédant ce caractère (c’est-à-dire les personnes les plus émotionnelles) viendront à prendre plus de place dans la société, puisque ce sont précisément ces individus qui « impulseront » ce mouvement consistant à faire sombrer la société dans le désordre permanent. C’est ici qu’interviennent les femmes et, surtout, les juifs, deux types d’êtres dans la constitution psychique desquels les émotions ont un grand poids.
Les juifs constituent un peuple nomade, et la mentalité des nomades se caractérise par le mouvement (c’est pourquoi on désigne certains nomades comme « gens du voyage ») ; or la « dissolution » est essentiellement une forme d’instabilité, c’est-à-dire un état de mouvement permanent où tout change sans cesse et où, par conséquent, il n’existe plus aucun repère, puisqu’on on ne peut « repérer » (ou fixer mentalement) une chose que si elle reste ce qu’elle est durant un temps déterminé. Or seuls certains individus (comme les nomades), dont l’être même est caractérisé par le mouvement, peuvent faire advenir cet état d’instabilité caractéristique de la « dissolution ». De là le rôle des théoriciens juifs cités par Guénon, comme Freud, Einstein et Bergson ; et on pourrait en ajouter bien d’autres, comme Judith Butler ou encore Noam Chomsky. Mais la « dissolution » se retrouve aussi sur le plan géopolitique avec, notamment, le rôle des juifs en Occident (par exemple les néoconservateurs américains) et le rôle destructeur d’Israël dans le monde. Si les choses doivent se dérouler ainsi, c’est parce que la « fin des temps », c’est aussi l’unification de l’espace – temps et espace étant liés, la fin de l’un signifie nécessairement la plénitude de l’autre, ou son expansion la plus totale. Or le monde ne peut devenir un que s’il est d’abord envisagé ainsi, et c’est justement ainsi qu’il est envisagé par le nomade : comme un immense champ dans lequel il peut déployer son être :
« […] les peuples nomades et pasteurs n’édifient rien de durable, et ne travaillent pas en vue d’un avenir qui leur échappe ; mais ils ont devant eux l’espace, qui ne leur oppose aucune limitation, mais leur ouvre au contraire constamment de nouvelles possibilités […]. » (Le Règne de la quantité, p. 106)
C’est pourquoi être français vous rattache à une terre alors qu’être juif vous rattache à un peuple, c’est-à-dire à quelque chose qui n’est pas circonscrit à un territoire quelconque. Voilà pourquoi, avec l’avènement des juifs sur la scène internationale (conséquence de la chute du catholicisme, entre autres), la nation tend à s’effacer et le monde tend à devenir un vaste champ unifié où tout est soumis à la loi du marché et où le catholicisme disparaît, comme le veulent les écrits du rabbinisme – car il y a aussi quelque chose de théologique là-dedans. Il y a là une sorte de logique, pour qui peut la saisir, et qui veut que celui qui domine impose son être au monde.
Avant d’achever cet article, on notera qu’en plus de cette forte influence du ressenti sur la personnalité qui définit la subjectivité à proprement parler, le nomade a comme caractéristique une tendance à la « discursivité ». C’est pourquoi il a souvent tendance à se perdre dans toutes sortes de propos longs, de circonlocutions, à élaborer des phrases avec tout un ensemble de déductions avec des néologismes qui rendent la compréhension pénible. C’est une tendance qu’on retrouve chez Freud, avec son vocabulaire spécial (stade « anal », « phallique », etc., lorsqu’il parle du développement infantile), et, aussi, chez Judith Butler avec ses spéculations interminables sur le genre. C’est ici qu’on retrouve quelque chose du « nomadisme dévié » dont parle Guénon. Cette manière de procéder (par un discours incessant et difficile d’accès) a quelque chose de particulièrement dissolvant sur la personnalité de celui qui s’intéresse à ce genre de travaux, notamment sur les jeunes, c’est-à-dire ceux dont la personnalité ne s’est pas encore forgée. Nous nous souvenons d’un philosophe juif du nom de Jacques Derrida qui disait que même le contexte ne suffisait pas pour connaître le sens exact d’un mot, ce qui signifie qu’on ne pouvait – selon lui – jamais connaître le sens exact d’un mot, ce qui ne l’a pas empêché d’écrire en pensant pouvoir être compris... Il est aisé de retrouver cette tendance chez Michel Foucault et Roland Barthes (tous deux homosexuels par ailleurs), dans cette manière compliquée qu’ils ont de s’exprimer, surtout le premier. Cette tendance à la discursivité-subjectivité se retrouve chez la plupart des pseudo-intellectuels modernes, ce qui montre bien que, en réalité, tous ces individus ne font que servir de « support » à une influence maléfique et subversive qui s’exerce à travers eux. Lorsqu’on s’intéresse à la personnalité de tous ces littérateurs et pseudo-intellectuels modernes, on constate qu’ils sont souvent juif, ou homosexuel, ou bisexuel, voire tout en même temps (comme Hirschfeld, le pionnier de la « sexologie » moderne qui a inspiré le mouvement LGBT). Et il convient de mentionner, à ce propos, que Tel-Aviv est la ville dans le monde avec la plus grande quantité d’hommes homosexuels. Or ce que voulait dire René Guénon lorsqu’il parlait des juifs, c’est qu’il y avait quelque chose qui faisait que, lorsqu’ils n’étaient plus religieux, ils étaient beaucoup plus susceptibles de jouer ce rôle de « support » à l’activité des forces de subversion modernes, ou, pour le dire autrement, le juif détaché de sa tradition se comporte (selon Guénon) comme un parfait outil du « Nouvel Ordre mondial ».
Approfondissez la question avec La Crise du monde moderne et
Le Règne de la quantité et les signes des temps
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