vendredi 29 novembre 2024

L'holocauste des pauvres

 

Monique Pinçon-Charlot

Les riches s’enrichissent tandis que les pauvres s’appauvrissent. En reprenant ce constat de plus en plus manifeste, Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot poursuivent leur mission obstinée de sociologues de la bourgeoisie sous l’angle de ses relations avec les catégories populaires. Ils instruisent le dossier accablant d’un écart croissant qui exacerbe la violence de la domination. On ne s’enrichit pas de façon très conséquente sans prendre aux autres non seulement le travail mais aussi l’estime de soi.

Le sujet ne prête pas à l’humour — encore que les auteurs n’en soient pas dépourvus lorsqu’ils évoquent leurs pérégrinations dans les beaux quartiers —, et l’on risque la déprime tant une vive impression d’impuissance sociale sourd de ces pages écrites à l’encre de l’inéluctabilité. Pourtant, devant l’évocation de la vie des riches, on n’est pas si sûr de les envier : toujours soigner son allure, assister à d’ennuyeuses réunions de travail ou soirées mondaines, s’inquiéter de sa fortune… Misère sociale ! Qui ne peut être évidemment comparée au souci de survivre.

Alain Garrigou

https://www.monde-diplomatique.fr/2013/11/GARRIGOU/49833


Chronique d’une immense casse sociale

Sur fond de crise, la casse sociale bat son plein : vies jetables et existences sacrifiées. Mais les licenciements boursiers ne sont que les manifestations les plus visibles d'un phénomène dont il faut prendre toute la mesure : nous vivons une phase d'intensification multiforme de la violence sociale.

Mêlant enquêtes, portraits vécus et données chiffrées, les auteurs dressent le constat d'une grande agression sociale, d'un véritable pilonnage des classes populaires – un monde social fracassé, au bord de l'implosion.

Loin d'être l'œuvre d'un " adversaire sans visage ", cette violence de classe a ses agents, ses stratégies et ses lieux. Les dirigeants politiques y ont une part écrasante de responsabilité. Les renoncements récents doivent ainsi être replacés dans la longue histoire des petites et grandes trahisons d'un socialisme de gouvernement qui a depuis longtemps choisi son camp.

À ceux qui taxent indistinctement de " populisme " toute opposition à ces politiques qui creusent la misère sociale et font grossir les grandes fortunes, les auteurs renvoient le compliment : il est grand temps de faire la critique du " bourgeoisisme ".


mardi 26 novembre 2024

"Tout ce qui est spirituel est quasiment tabou"

 


"On a affaire à Satan, on a affaire à des armées très sombres… tout ce qui est spirituel est quasiment tabou, on n’en parle pas." Ludovic Malot



Une guerre spirituelle

Depuis quelques années, une offensive sans précédent se déroule contre la civilisation occidentale, la religion catholique, et plus particulièrement, les églises de France. Ces attaques, orchestrées par des forces mondialistes et d’inspiration satanique, visent à détruire les racines spirituelles et culturelles de notre pays. L’incendie de Notre-Dame de Paris, que beaucoup ont vécu comme un traumatisme national, n’était que le premier acte visible d’un plan plus vaste. Les récents incendies, comme ceux de Saint-Omer ou de Rouen, témoignent de cette accélération. En 2023, pas moins de 27 églises ont été incendiées, selon l’Observatoire de la christianophobie.

Ces événements sont bien plus que de simples actes isolés. Ils révèlent une guerre spirituelle dont la France est la principale cible. C’est une attaque concertée contre ce qui symbolise encore la résistance à la mondialisation, l’âme chrétienne de l’Europe. En effaçant ces symboles, les forces mondialistes cherchent à briser ce qui reste de cohésion spirituelle et nationale.

La France en première ligne de mire

L’incendie de Notre-Dame de Paris en 2019 a bouleversé la France et le monde. Mais au-delà des théories officielles, beaucoup considèrent cet événement comme un acte délibéré, un message adressé par les forces occultes qui orchestrent cette guerre spirituelle. Ces élites, au service d’une mondialisation déshumanisante, auraient ciblé ce monument pour affaiblir le cœur spirituel et historique de la France.

Cet incendie n’est pas un simple accident, mais l’un des nombreux signes d’une lutte où la religion catholique se trouve en première ligne. La France, souvent considérée comme la fille aînée de l’Église, est devenue le centre névralgique de cette bataille. Pourquoi la France ? Parce que ce pays, de par son histoire chrétienne et sa position géopolitique, représente un enjeu symbolique majeur pour ces forces. La destruction de ses symboles religieux marque un tournant dans la guerre culturelle et spirituelle à laquelle nous assistons.

La renaissance de la France

Les événements actuels, aussi dramatiques soient-ils, ont été prédit par l’une des plus grandes mystiques françaises : Marie-Julie Jahenny. Cette paysanne bretonne, stigmatisée, a reçu plus de 3000 visions entre 1873 et 1941. Sans éducation formelle, mais en profonde communion avec le Christ, elle a prophétisé de nombreux événements marquants de l’histoire, tels que les deux guerres mondiales, la guerre d’Algérie, et même la crise financière de 2008.

Parmi ses prophéties, Marie-Julie Jahenny a averti de la montée des mondialistes et de leur plan destructeur pour la France. Elle a prédit les incendies d’églises, la guerre civile, ainsi que la chute des élites financières qui dominent notre société. Mais son message le plus marquant concerne l’arrivée d’un nouveau roi messie, qui viendrait restaurer l’ordre spirituel et temporel en France, après une période de grande tribulation. Selon elle, la France est destinée à jouer un rôle central dans le retour du Christ et la restauration d’un ordre chrétien.


Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.

La seule monnaie véritable et honnête est l'or physique ! 
S'émanciper de l'Euro pour conjurer la tyrannie
Ludovic Malot


Vous en avez marre de faire partie des moutons lobotomisés et profanes ? Alors suivez le chemin indiqué à droite par le berger – Le Baron – il vous montre la voie vers l’initiation. L’initiation, c’est l’acquisition de la connaissance, du talent et de la réalisation personnelle dans un monde fabuleux à reconstruire. 

Vous n’y connaissez rien en économie ni sur les enjeux de la monnaie ? Tout va devenir plus clair, plus net, plus transparent. 

Vous êtes à la porte de révélations sur LA cause primordiale du désordre et du chaos. La monnaie et son rôle sont ignorés par l’écrasante majorité de la population. Ce n’est pas une fatalité et vous allez apprendre beaucoup de choses sur des concepts en apparence compliqués qui sont en fait très simples ! 

Découvrez maintenant les principes économiques de base et les fondamentaux de la monnaie, à quoi elle doit servir et quel est son rôle.  

Vous comprendrez qui dirige et contrôle réellement le « système », dont la pierre angulaire est l’émission d’une monnaie artificielle et frauduleuse. L’or métallique n’est certainement pas une « relique barbare » – le narratif des imbéciles –, mais un instrument, un médium puissant pour protéger votre épargne et vos libertés.

Détachez vos chaînes, sortez de la servitude et entrez maintenant dans le cercle initiatique qui va agir sur vous comme une miraculeuse plante dépurative. 


vendredi 22 novembre 2024

Ahriman, "le démon des machines"



GPTV :

Depuis des siècles, les textes bibliques comme l’Apocalypse de Jean ou les écrits des apôtres dépeignent une figure fascinante et troublante : l’Antéchrist. Ce personnage, à l’apparence séduisante et doté d’une grande influence, incarne la promesse d’une paix universelle qui dissimulerait un projet de domination absolue. Vladimir Soloviev, dans "Les Trois Entretiens", en offre une vision saisissante : celle d’un jeune homme charismatique, capable de manipuler les foules pour asseoir une autorité insidieuse et implacable. Ce thème ancien reste d’actualité, résonnant face aux défis contemporains liés aux pouvoirs invisibles et aux manipulations de masse.

Au XXe siècle, Rudolf Steiner enrichit ces réflexions en introduisant la figure d’Ahriman, "le démon des machines". Cette entité, selon lui, symbolise les dérives du matérialisme et de la technocratie, menaçant de réduire l’homme à un rouage anonyme dans une société hyper-équipée. À travers les progrès technologiques, Steiner voyait poindre le risque d’une existence dépourvue de spiritualité et d’humanité. Ahriman ne serait pas une personne, mais une force agissant par le biais de structures et d’idéologies, façonnant un monde où l’efficacité prendrait le pas sur les valeurs humaines, reléguant la créativité et l’épanouissement au second plan.

Ces concepts trouvent un écho troublant dans les évolutions actuelles, où la technologie envahit tous les aspects de la vie. L’intelligence artificielle, omniprésente, transforme non seulement le travail mais aussi les relations sociales, tandis que la gestion des données personnelles soulève des questions sur les libertés individuelles. Les récits évoquant un "monde d’après" plus centralisé ravivent les inquiétudes sur un contrôle renforcé au détriment de l’autonomie. Les figures comme l’Antéchrist ou Ahriman, bien qu’invisibles, peuvent s’incarner à travers des systèmes ou des choix collectifs, exigeant une vigilance accrue pour préserver ce qui définit notre humanité.

jeudi 21 novembre 2024

Les « six points » de l’étoile





Le symbole que les Juifs ont « adopté », consiste en deux triangles entrelacés. Et bien qu’il soit appelé « Sceau de Salomon » et « Bouclier de David », il n’est pas juif. Comme symbole, il précède les Juifs de milliers d’années. « Adopté » par les Juifs, le symbole est composé de deux triangles entrelacés, un blanc et l’autre noir. Dans les plus anciennes représentations, une femmes est représentée dans le triangle noir inversé, et un homme dans le triangle blanc. Mais de nos jours, le personnage d’une « personne non initiée » présenté comme un bouffon, est représenté dans le triangle noir inversé, tandis qu’au sommet du triangle blanc, le personnage dépeint est « un adepte » représenté comme un homme sage. Et le tout est souvent entouré d’un serpent avec la queue dans la bouche.

Le symbole signifie un grand nombre d’idées, qu’il est inutile d’énumérer ici. De même qu’il n’est pas nécessaire d’examiner le symbole associé de l’« étoile à cinq branches » qui signifie, entre autres idées, « sous contrôle » - bien que les plus studieux soient tentés de retrouver la trace d’une connexion entre « l’instrument éclairé », « l’étoile rouge » qui orne l’« Armée rouge » de Russie, et l’« étoile » de Saturne ou d’Israël.

Les Juifs aiment imaginer qu’ils sont le « masculin » et tous les autres peuples le « féminin ». Et ils aiment à croire qu’ils se sont tellement insinués et enchevêtrés dans les affaires des Gentils, qu’ils ne peuvent pas être délogés.

Le sens secret du symbole est le suivant : 

Le « non initié » crée dieu comme une image amplifiée de lui-même projetée sur un arrière-plan d’ignorance, représenté par le triangle noir, au-dessous duquel il se recroqueville dans la terreur de sa monstrueuse conception. L’« adepte » crée dieu également, en ne projetant cependant pas sa ressemblance sur l’inconnu, mais en concevant son pouvoir et sa connaissance comme un symbole représenté par le triangle blanc par-dessus lequel il est posé, parce que l’intelligence est au-dessus de ce qu’elle crée. L’initié est par conséquent « dieu » pour le profane, l’«adepte» est la véritable déité finie qui se trouve sur la Terre, pour l’hypothétique « dieu » qu’il a créé ; et il a le pouvoir absolu sur toute conception particulière de divinité qu’il a formée, et qui peut à tout moment recevoir la vénération de la population.

« Jéhovah est celui qui dépasse la nature » disent les magiciens. « Les décisions du Talmud sont les mots du Dieu vivant. Jéhovah lui-même demande l’opinion des rabbins terrestres quand il y a des affaires difficiles au ciel ». « Jéhovah lui-même dans le ciel, étudie le Talmud de longue date, il a tant de respect pour ce livre » disent les rabbins.

Ainsi, enfin, Jéhovah est devenu le dieu créateur d’« adeptes » qui a « le pouvoir d’un esprit complètement émancipé sur les esclaves de la superstition et de l’ignorance » ! Et de cette façon, très souvent, quand les Juifs d’aujourd’hui parlent de Dieu », ils veulent dire « le peuple juif », les « adeptes » de leurs sociétés secrètes, ou « le dieu de l’Humanité », « le Juif de la Cabale », etc…

Ainsi donc, un « Néo-Messianiste » nommé Baruch Levy, écrivit à Karl Marx (un Juif dont le véritable nom est Mordecai) ce qui suit : « Le peuple Juif, pris collectivement, sera son propre Messie. Son règne sur l’Univers sera obtenu par l’unification des autres races humaines, la suppression des frontières, et l’établissement d’une « République Universelle ». Dans cette nouvelle organisation, de l’Humanité, les fils d’Israël deviendront sans opposition l’élément dirigeant partout ; par-dessus tout, ils réussiront en imposant aux masses travailleuses, le contrôle stable de certains d’entre eux. Les gouvernements des nations formant la République Universelle passeront tous, sans efforts, aux mains des Israélites, en faveur de la victoire du prolétariat. La propriété individuelle sera ensuite supprimée par les gouverneurs de la race juive qui administrera en tous lieux la richesse publique. Ainsi sera réalisée la promesse du Talmud qui, quand les Temps du Messie seront venus, les Juifs détiendront les propriétés de tous les peuples du monde ».

C’est la fin vers laquelle les activités de tous ceux qui participent au Masque, que ce soit les Juifs ou leurs dupes qui dirigent. Et dans nos temps modernes, les « six points » de l’étoile formée par les triangles entrelacés, ont été créés pour symboliser, entre autres idées, les moyens principaux par lesquels cette fin sera atteinte.

Ces « six points » peuvent être décrits comme suit :

Le premier… Religieux :

Pour saper et discréditer tous les Gentils, et spécialement les croyances des Chrétiens ; et d’introduire, d’encourager et de propager des cultes fous, du mysticisme malsain, de la pseudo-science, et des philosophes imposteurs.

Le deuxième… Ethique :

Pour introduire et propager des codes dégradants et des pratiques (incluant « le commerce illicite de la drogue », « le commerce illicite de l’alcool » et « le trafic des esclaves blancs ») ; pour corrompre les mœurs, affaiblir le lien matrimonial, détruire la vie de famille, et abolir l’héritage (et même les noms héréditaires) parmi tous les peuples, spécialement au sein des races nordiques.

Le troisième… Esthétique :

Pour introduire et favoriser le culte du laid et de l’aberrant, et tout ce qui peut être décadent, dégradant et dégénéré dans l’art, la littérature, la musique et le théâtre, etc.

Le quatrième… Sociologique :

Pour briser les grands états et abolir l’aristocratie ; pour mettre sur pied la ploutocratie et une « monnaie standard » ; pour encourager l’affichage vulgaire, l’extravagance et la corruption, pour provoquer la jalousie du prolétariat, le mécontentement, les incendies volontaires, le « sabotage » et fomenter la « lutte des classes ».

Le cinquième … Industriel et Financier :

Pour provoquer le « chômage » et vouloir faire baisser les idéaux du savoir-faire et abolir la fierté du travail artisanal, pour encourager l’avidité du « profit » et la standardisation du bon marché et de la mauvaise qualité ; pour entraîner la « Centralisation » et la formation de Trusts et de Cartels ; pour abolir la propriété individuelle et établir des « Monopoles d’État », des « Banques de Réserve » et une « Banque Mondiale », avec le contrôle de l’or dans les mains de dirigeants internationaux.

Le sixième… Politique :

Pour sécuriser le contrôle de la presse, l’audiovisuel, le cinéma, le théâtre et tous les moyens de la publicité ; pour garantir la présence d’« agents » sur tous les Conseils, Commissions, etc., des Gentils, et aux postes confidentiels (tels que « secrétaire particulier » des personnes haut placées, pour maintenir une activité d’espionnage sur les activités des Gentils ; pour déclencher et maintenir les dissensions dans toutes les institutions des Gentils, et ainsi briser tous les autres groupes politiques dans leur parties constituantes, en installant entre elles de l’hostilité ; pour décourager, dénoncer et extirper le patriotisme, la fierté et la race ; et au nom du « Progrès » et de l’« Evolution », et sous le prétexte de promouvoir la « Paix Universelle » et « la « Fraternité Humaine », pour établir l’« Internationalisme » comme un idéal, sapant ainsi l’unité nationale et affaiblissant le gouvernement ; pour le « Désarmement » et des « Forces de Police Internationales » contrôlées par la « Ligue des Nations » préparant ainsi le chemin pour ceux qui, discrètement, augmenteront le contrôle de la « Ligue des Nations » et de la « Banque Internationale » qui gouverneront le monde à travers elles.

Les Dirigeants Internationaux cependant, n’agissent jamais ouvertement et directement ; ils restent toujours dans l’ombre et travaillent en secret et indirectement ; en exerçant des pressions en tous points, mais en cachant soigneusement sa provenance « aucun Gentil ne doit être autorisé à découvrir sa source ».

"Le grand masque juif ou l'âne dans la peau du lion". Traduction du livre d'un auteur érudit inconnu. Titre anglais original : "The great jewish masque or the ass in the lion's skin".


Version papier (E. Dasko) :



Un texte de cette ampleur, rédigé par un érudit anonyme, se devait d'être tôt ou tard édité en français : on y découvre l'histoire vraie des juifs - ce mot écrit sans majuscule ne désignant ici que des religieux pratiquants et non des habitants de tel ou tel pays, notamment du fait de la diaspora d'iceux -, leurs pérégrinations, des origines à nos jours (ou presque - ce texte ayant été, semble-t-il, rédigé vers les années 1940-45 par un ressortissant britannique, probable fonctionnaire en poste en Palestine), leurs mœurs entre eux et à l'égard des non-juifs...

On y découvre la naissance de ce qu'il appelle le Masque, c'est-à-dire la grande et universelle mascarade jouée dans le monde entier par les guides monopolisateurs des juifs : les rabbins, c'est-à-dire, historiquement et sociologiquement parlant, les successeurs et animateurs roués de la secte des Pharisiens, secte à la source - d'une part - de tous les maux de ces malheureux Juifs (et donc pas seulement des religieux), et - d'autre part - ceux qui assassinèrent Jésus, le Christ (l'oint), roi des juifs (comme en témoigne la pancarte placée au sommet de la croix de son supplice, INRI = Iesus Nazarorum, Rex Iudeorum ; Jésus de Nazareth, Roi des Juifs) et grand-prêtre qui, revenu du dernier exil des Jérusalémites en Babylonie, et plus précisément en Adiabène, dans l'actuelle Arménie, revint demander son héritage et pour cela - étant plus légitime que les rabbins usurpateurs - fut à la fois humilié, haï, diffamé, torturé puis tué et diabolisé jusque dans la personne de leurs désormais adversaires, les chrétiens, puis des personnes sur lesquelles son influence généreuse, sociale, philosophique, morale et culturelle s'est étendue : le monde entier ! 

Mais ce n'est pas tout : on apprend, grâce à ce bref écrit, que tout ce qui semble inexplicable dans la vie du monde en matière de troubles est écrit dans le livre qui tient lieu de guide aux rabbins héritiers de la secte de Pharisiens, à laquelle s'attaqua Jésus : le Talmud. Or celui-ci n'est toujours pas accessible aux goïm que sont les non-juifs (bétail, animaux), seuls deux exemplaires traduits en anglais étant - très difficilement - accessibles...


dimanche 17 novembre 2024

La barbarie qui nous déshonore pour l’éternité

 




"Des bouts de corps coupés en morceaux. Ici des jambes qui étaient celles d’un enfant. Au pied de l’une d’entre elles est encore attachée une chaussure de sport blanche.

Les bouts sont mis dans un drap, lequel est chargé dans une ambulance dont la carrosserie est tachée de sang. Ces images, quotidiennes depuis un an, sont celles de l’horreur. Elles devraient rejoindre dans l’Histoire les témoignages les plus odieux de la barbarie qui nous déshonore pour l’éternité. Surtout quand elles sont accompagnées d’un silence qui les légitime."

Aymeric Caron, député de Paris (18ème circonscription), fondateur de la Révolution Écologique pour le Vivant (REV).


samedi 9 novembre 2024

L'échec du Nouvel ordre mondial



Deux courtes vidéos (en français) qui vont nous permettre de relativiser ce qui arrive actuellement et qui n'est que l'aboutissement de l'échec cuisant du Nouvel ordre mondial tant voulu par les psychopathes génocidaires dont nous connaissons maintenant les acteurs, décideurs, marionnettes et serviteurs zélés.

- La première vidéo date d'environ deux ans. Je résume en une phrase extraite de ses paroles : 

"Donc, la seule chose qui leur reste est de créer le plus de chaos possible. Et la seule chose que nous puissions faire, c'est d'atténuer ce chaos, et aussi de nous assoir et de nous moquer d'eux, parce que c'est la seule façon d'entrer dans la peau d'un narcissique, c'est se moquer d'eux et de les faire passer pour la blague qu'ils sont. Ils dysfonctionneront encore plus et finiront par faire tellement d'erreurs que même les personnes les plus stupides, les plus endormies de cette planète commenceront à voir clair dans leur jeu."




- La seconde va dans le même sens avec un scientifique de renom, Philippe Guillemant. Le titre en est un parfait résumé : "Un ancien futur est en train de disparaître".




Les acteurs de la mise en place du nouvel ordre mondial ont échoué. Ils ont échoué en voulant accélérer leur plan diabolique de dépopulation et d'esclavagisation par la fausse pandémie du Covid et l'arme de destruction massive du vaccin ARNm.

Klaus Schwab en personne n'était pas sûr de lui quand, à la sortie de son "Mein Kampf", "Covid 19 et Great Reset", il disait "Nous avons, avec le Covid, une fenêtre étroite pour mettre en place le gouvernement mondial." C'est échec et mat donc. Et le retour aux commandes des USA de Donald Trump devrait accélérer la mort de ces monstres et de leurs serviteurs.

Bien sûr, il y a et il aura encore des victimes mais ce n'est rien à côté du désastre humanitaire qui aurait eu lieu si leur plan satanique était parvenu à ses fins.

Alors, comme il est dit, de manière différente, dans ces deux vidéos, n'ayons pas peur et délectons-nous de leur chute.


Source des deux vidéos : https://t.me/leveil2022




mardi 5 novembre 2024

Des psychopathes au pouvoir

 


Face occulte des années 2020-2024

Des psychopathes au pouvoir



Par Dharma


1 – Les corruptions institutionnelles au sein des différents pouvoirs dominants, qu'elles soient visibles ou camouflées, caractérisent le prédateur, en particulier le pervers narcissique capable du pire. Prenons le cas original de ce fou prédateur qui jouit en réitérant son slogan du « en-même-temps ». Ces individus sadiques, vampiriques, avides psychopathes réunis en un club du siècle maléfique, porteurs d'obscurité et non pas de lumière, voilà de grands promoteurs des fanatismes. Experts manipulateurs, prestidigitateurs illusionnistes, ils usent constamment de l'inversion accusatoire, de la sidération par la peur qu'ils injectent et entretiennent au goutte à goutte, pour maltraiter, culpabiliser, infantiliser, hypnotiser, rendre débiles, anesthésier les masses asservies si crédules et irrationnelles. Leurs agendas planifiés sont habilement déployés au mot à mot par leurs chiens de garde médiatiques très bien payés pour violer consciemment les corps et les cœurs.


Quand le désir arrive à un point extrême, le dominant peut aller jusqu'à la dictature, dictature des guerriers, des politiques, des religieux, des scientifiques ! Et toujours, guerres, massacres, tortures, meurtres. Le désir sensuel lui aussi peut ne pas connaître de limites : drogues, horreurs, viols, etc. Ne peuvent sortir de ce bourbier que ceux qui ont le courage de réfléchir. Un mouton finit toujours à l'abattoir de sa destinée.


2 – La notion métaphysique de « Témoin »  s'intègre à cet humain dont la force de vigilance lui permet de séparer le spectateur du spectacle. Dès lors, il ne sera plus possible de lui raconter quelque sornette car depuis qu'il observe les phénomènes par son regard sceptique et méthodique, qu'il les analyse patiemment, qu'il en fait sa propre synthèse, il en vient normalement à comprendre qui l'humain qui se dévoile à ses yeux dessillés n'est pas du tout ce qu'il croyait ou qu'on voulait lui faire croire. Les propagandes ne l'impactant plus, il ne plus être hypnotisé.


3 – Les années 2020-2024 furent infernales et sordides. Des hypnotisés des troupeaux y participèrent cependant, plus ou moins consciemment, voire « à l'insu de leur plein grés ! ». Prédateurs et Prédatés jouèrent leurs partitions et ils la jouent encore pour leur malheur certain. Quand la musique sonne faux, c'est que le «LA» ne fonctionne pas.


4 – L'Intuition métaphysique, la Connaissance métaphysique, transcendante, est au-delà de l'intellect, n'en déplaise aux intellectuels infantiles soumis aux pouvoirs stupides.


5 – Les fantasmes de suprémacistes dominants par l'arc en ciel de leurs instincts primaires allaient bon train. Leurs espoirs intellectuels les conduisaient directement et sûrement vers le ravin de leur échec du sein de l'infinité des possibles, mais ils ne le savaient pas. Leurs perspectives illusoires s'amusaient entre elles comme des enfants dans leurs parcs à jouets. Leur analyse des choses dans les choses demeurait tronquée, incohérente, confuse, et révélait leur incapacité de synthèse. Leur insuffisance bredouillait lamentablement.


6 – L'homme a cette manie addictive de mentir, de se laisser corrompre, de corrompre, de nuire, de vampiriser, de tuer, de torturer, de se vautrer dans le masochisme ou le sadisme, de se montrer un prédateur expert, et ceci depuis la nuit des temps. Le pathos le caractérise.


7 – Souffrant de plusieurs handicaps mentaux, la plupart des pouvoirs dominants gouvernent leur asile de fous nommé institutions et leurs dominés esclaves assez souvent aussi fous. Un chercheur français, journaliste d'investigation, se rendit en octobre 2024 à Kazan en Russie. Il y trouva et considéra avec vigilance quelques infos révélatrices. A son retour en France, il lamina en partie le puzzle mensonger du « jeu de l'ego » insalubre d'un Occident en putréfaction.


8 – Le mot sanskrit Smrti, signifie «Vigilance maintenue, mémoire constante, rappel de soi, présence attentive et nécessaire à une démarche de compréhension pour le sans-attachement ». Smrti conduit ainsi ce « Témoin Vigilant » à y voir clair pour solder l'équation du temporel insatisfaisant.


9 – Les conditionnements psychologiques liés en partie au déterminisme biologique sont tels que la souffrance psychologique qui en résulte, affirme ainsi l'ego dont le mécanisme de défense consiste en son déni des causes profondes de cette même souffrance. L'intellect demeure impuissant à découvrir la vue profonde des faits tels qu'ils sont. L'absence de souffrance n'est vraiment reconnue et soldée qu'au moment du coup de sifflet final qui annonce la fin de la partie du jeu enfantin des propagandistes aveuglés et contaminés, sans vues justes, qui aveuglent autrui. Suivent, à la sortie du tunnel, les applaudissements silencieux des Sages qui rendent hommage à la Connaissance métaphysique éveillante. Cet éveil dont il est ici question est à fois progressif et abrupt. Prenons une image de cet éveil. Progressif, car les barreaux de la prison sont en cours d'être sciés. Abrupt et vertical, car lorsque tous les barreaux sont sciés, ils tombent d'un seul brusquement, condition de cette ouverture vers la sortie de l'errance. Ce qui est dénommé « moi » est alors libéré de l'ego intoxiqué ! L'arbitre éveillé qui œuvre sur le terrain de ce jeu existentiel est l'Intuition métaphysique, la Connaissance transcendante, Pra-jñâ. Toute accumulation des choses (liens) terrestres ligote aux purulences des opinions (!) et autres liens quels qu'ils soient. Cette accumulation encombrante construit le karma défavorable, inéluctable, qui mène à la ruine individuelle et des empires. L'entropie est toujours supérieure à la néguentropie des mondes des phénomènes. En physiologie, l'entropie-néguentropie est le catabolisme-anabolisme qui correspondent à la mythologie hindou de Shiva-Vishnu, « destruction-construction », le boulot de Brâhma, dit le principe conciliateur, étant d'orienter et de maintenir autant que possible l'équilibre instable, avant la possible sortie de la prison ! La sortie de cette prison est la voie sans issue qui s'opère par la catharsis, la purification de l'affectivité, clé de voute de la maïeutique, accouchement du cœur obnubilé pour la connaissance de soi vers Rien du tout, fin de l'errance, nirvâna. Y = 0.


10 – Selon la métaphysique orientale méconnue en Occident, voire quasi inconnue, « Rien n'est égal à la Compréhension par la Connaissance métaphysique » que tous les phénomènes, même les plus subtils, (grec. Phainomenon ; latin. Phaenomenon = « apparences ») sont vides mais tels qu'ils sont. L'attachement aux phénomènes est la plus grande erreur épistémologique qui soit, et la souffrance psychologique en est la rétribution. Le détachement n'est pas à craindre car il est sans peur.


11 – Le bonheur mondain est fugace, impermanent. Il ne repose que sur les phénomènes. Le Bonheur supra-mondain qui culmine en Béatitude sereine, résultat de l'intuition métaphysique développée, impersonnelle, ne repose sur rien ni personne. « Le Sage qui n'a pas d'humour est un scélérat », dira un Moine Hindou Bodhisattva éveillé qui vécut en France entre 1937 et 1957 !

… « Ne cherchez pas à obtenir la libération puisque vous l'avez déjà, mais vous ne le savez pas », ajoutera-t-il !


12 – Selon Jean Paul Sartre, « l'enfer c'est les autres ». Ne savait-il donc pas que : « l'enfer c'est surtout le moi qui fait les autres ?! » Cependant, parmi les « autres infernaux », on retrouve toujours ces mêmes fomenteurs faux prophètes charlatans et leur « Ordo Ab Chao », gouverner par le chaos, imposteurs sans aucun honneur, en collusion avec Lucifer, conseiller privé nommé « Mac-qui-sait », au service de monarques déglingués et de leurs porteurs de portefeuilles.


13 – Se servir des mots sans être pris au piège des mots.


14 – Le fameux adage des Romains : « Donnez-leur du pain et des jeux » fait que cette humanité reste nourrie de ce « pain » (tout comme julien…) qu'accompagnent les « distractions » habilement épandues à grand renfort publicitaires et de propagandes dans les cerveaux piratés par les fous enragés.


15 – « Réfléchir » est ce jour un délit : 1984 = 2024… Jusqu'à quand ?


16 – Les jeux du cirque repassés et caressés dans le sens des poils, promus par les journaux du 20h00, tournent en boucle. Ils font la belle affaire des «-ismes » crapuleux qui préparent ainsi leurs cercueils en or massif mais persistent curieusement à vampiriser les peuples, juste avant de les «liquider», les rendre liquides, les liquéfier, comme le font les maffieux. Les histoires d'amour finissent mal, en général…


17 – Tandis que la folie du samedi soir préparait ses prochaines vacances au terrain de camping de Trifouilly–les–oies, la compétition si attendue dans les arènes entre gladiateurs était précédée d'une surexcitation qui montait d'un cran par sa puissance aliénée.


18 – Les foules amassées au sein de ces arènes, comparables à des barbares non civilisés, hurlaient à l'unisson leurs hystériques glapissements, lorsqu'elles ne se battaient pas entre elles, avant, pendant ou après, dans et hors les tribunes, foules parfois déguisées en démons allumés et affamés avant halloween et thanksgiving, fêtes imposées et aussi programmées par Dr Big Brother.

Faute de pouvoir s'y rendre, certains restaient chez eux face à leur poste de TV. D'autres rejoignaient celui en grand écran du terrain de camping de Trifouilly. Tous observaient tendus, anxieux, le spectacle d'un massacre en direct, le portable à la main, tout en buvant du coculala abondamment distribué tout en mangeant des cacahuètes tombées d'un arbre à arachides du zoo ladatie de Trifouilly et ses singeries. Des drapeaux nationaux rivaux flottaient à l'entrée des lieux. Le peuple entier tout excité attendait le dénouement de l'événement. Des cris de joie puériles se faisaient enfin entendre pendant que des pleurs retentissaient des déceptions vécues ; d'un côté des cœurs rassasiés pour un temps éphémère, de l'autre des affamés insatiables autant débiles que les premiers mais frustrés, à présent.


19 – Le lendemain, dès le réveil, au son du clairon, la musique changea de ton. Des réquisitionnés reçurent l'ordre de se présenter devant la mairie du village pour être embarqués dans des camions militaires afin d'être conduits à la guerre, à l'est ou au sud, pour remplacer ceux qui étaient déjà tous morts ; les autres, non réquisitionnés, durent retourner au boulot pour rembourser la fausse dette de la frauduleuse planche à billets, en prenant, en rang par deux, le bras droit levé, le périphérique à 50 km/heure tout en écoutant cette chanson à la date périmée : « Douce France, cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance … ».


20 – Au même moment, au Moyen-Orient, des snipers, tireurs isolés, préparaient leurs sélections pour les futurs jeux 2028, en s'entrainant au ball-trap sur des civils qui fuyaient les bombes en courant sur des champs de ruines. Sous la chape de plomb nationale de la lâcheté internationale régnait partout un silence complice.


21 – Pendant que des politiques dévoyés et des religieux hypocrites œuvraient de leurs paluches souillées, les masses hypnotisées devenaient psychotiques. Les dominants se cachant des regards du « vulgum pecus », ne savaient pas que la mort est très partageuse et qu'elle les attendait aussi avec beaucoup d'amour bienveillant, bien sûr, à l'entrée de la voie mystérieuse sans issue.


22 – Depuis 4000 ans de mythologies douteuses, souvent farfelues, et d'écritures falsifiées, des barbouzes en rouflaquettes, portant chapeau, dansent en tournicotant, leur intelligence coincée et tourmentée sous les ornières de leur manteau noir.


23 – Le spectacle qui se déroule devant les yeux écarquillés de certains spectateurs lucides leur offre l'économie d'un mauvais film payant et pas net du tout, pendant que ceux qui ont reçu la sauce mayonnaise sous-cutanée à 3 reprises et qui sont encore en vie « n'y voient que du feu ».


24 – Des fanatiques politiques, religieux, scientifiques-technocratiques et autres tiques, réunis en colloque, ne savaient plus où se cacher et cachaient leurs tunes engrangées qui débordaient ou s'écoulaient de leurs poches et de leurs valises diplomatiques. Pour en posséder encore plus, ils avaient décidé de s'allier à l'autre folie des cultes religieux du rationalisme et du scientisme, pour développer, mais aussi pour d'autres desseins, un homme neuronal augmenté, artificiel, utopique, vain, n'ayant toujours pas intégré qu'ils ne pourraient échapper à la loi de l'impermanence, ne sachant toujours pas, comme disait le Sage Montaigne, que « vivre c'est apprendre à mourir ».


25 – Notre journaliste chercheur d'absolu, autrement plus instruit et éduqué que ces asticots susnommés, tira sa révérence à « l'enfer c'est les autres » de Jean Paul Sartre. Il rendit alors visite à son guide Eveillé pour recevoir ses dernières recommandations, le sens du sacré n'étant pas le sens du secret.


26 – Ainsi, après avoir juré mais « pas trop tard » qu'on ne l'y prendrait plus, il disparut.


27 – Ne pas fréquenter les fous mais fréquenter les Sages, voilà l'excellent comportement bénéfique.


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Lecture possible :

« Le CLAN DES SEIGNEURS, immersion dans la caste d'état », livre de Paul-Antoine Martin, aux éditions Max Milo. 2002.


Film possible :


KNOCK ou le triomphe de la médecine, un film réalisé par Guy Lefranc en 1951 avec comme principal acteur Louis Jouvet. Ce film est tiré du roman KNOCK de Jules Romain (1885-1972), écrivain, poète, philosophe, dramaturge, journaliste romancier, académicien en 1946. Son vrai nom était Louis Henri Jean Farigoule.



lundi 4 novembre 2024

“Le projet des mondialistes est un test spirituel”



Invité spécial de la rencontre des donateurs 2024 d’Essentiel News, Pierre-Antoine Plaquevent, auteur, analyste politique et créateur de Strategika, groupe de recherche indépendant (think tank), nous a livré une présentation du “projet” des mondialistes tel un test auquel nous faisons tous face.

S’informer pour comprendre

Dans son exposé, le fondateur de Strategika revient sur la manière dont le projet ou “complot” de la minorité au pouvoir est devenu perceptible et visible pour une grande partie de la population au moment de la crise sanitaire :

"Le Covid nous l’a montré, c’est d’abord par l’information que cela se passe. Si on a accès à une bonne information, ou en tout cas à une information différente, on peut résister au rouleau compresseur. Au niveau du Covid, cela nous a même sauvé la vie ou sauvé la vie de proches. Quand on a vu arriver le Covid, le fait d’avoir déjà des connaissances sur ce qu’est le mondialisme et sur ce que sont capables de faire ces gens-là, nous a permis d’anticiper et de comprendre très vite ce qu’ils étaient en train de faire."

La première étape est de comprendre leur projet, d’où l’importance fondamentale des sites de réinformation."

Un projet pour les contrôler tous

Pierre-Antoine Plaquevent met en exergue la tendance chez les gens intelligents qui ont du pouvoir à vouloir créer un système parfait et l’imposer :

"Le fait de savoir qu’il existe un projet, cela nous aide à nous défendre et à savoir qu’en face nous avons des gens qui ont réellement une idée en tête, qui veulent gouverner, et qui ont mis en place tous les instruments pour cela.

Dès les années 1920, Aldous Huxley montre ce que serait ce projet s’il était réalisé, c’est à dire une forme de fédération mondiale du genre humain, organisée par caste génétique. Huxley faisait partie de ces familles qui se transmettent, en plus d’un héritage, un projet de société mondialiste.

Le cas de Soros est emblématique car il s’agit d’un financier multimilliardaire. Il nous montre que leur but n’est pas uniquement l’argent. Une fois qu’ils ont atteint un certain niveau de richesse, leur but est le contrôle et le pouvoir. Et au-delà du pouvoir, il existe une question spirituelle. Ayant bouché tous les horizons d’attentes spirituelles, ils travaillent à la restauration d’un paradis terrestre sans Dieu et l’accomplissement d’une immortalité matérielle. C’est le sens du transhumanisme dans lequel il existe une forme de révolte fondamentale contre la Création et le Créateur."

La question de la spiritualité

Selon l’écrivain, la question de la spiritualité est une clé essentielle pour comprendre le projet de l’élite mondialiste auquel nous faisons face, et surtout pour être en mesure de lui résister.

"L’intelligence est une faculté spirituelle qui nous permet de connecter les éléments entre eux. Souvent nous nous étonnons de voir des gens qui nous paraissent très intelligents mais n’ont pas compris des choses essentielles. Et bien, c’est parce qu’ils ne sont pas sages. Ils n’ont pas eu cette sagesse d’utiliser cette faculté présente en l’homme et qui a autant à voir avec l’esprit qu’avec le cœur. Il faut faire descendre l’intelligence dans le cœur. Ces gens-là ont fermé leur cœur, ils sont dans le rationalisme pur et veulent combler ce vide intérieur par le contrôle extérieur du monde.

L’orgueil humain fait qu’ils ne peuvent pas s’empêcher de nous exposer leurs croyances, leur “religion”. Cela rejoint la question spirituelle car à un moment il faudra choisir. Cela n’est plus une question d’intelligence, c’est un choix spirituel. À un certain niveau, être bête cela devient un péché. On n’a plus le droit d’être bête face à ce qui arrive, et il faudra choisir, soit le camp de la Bête comme le nommait les premiers chrétiens, soit le camp de la Liberté, de l’Esprit."

Face à ce test à la fois individuel et général, Pierre-Antoine Plaquevent est persuadé qu’il existera toujours des poches d’humanité qui résisteront quoi qu’il arrive.

Livre de Pierre-Antoine Plaquevent SOROS et la société ouverte : Métapolitique du globalisme