mercredi 15 novembre 2023

Le massacre des innocents, une marche de soutien en France



Initiée d’abord par Yael Braun-Pivet présidente de l’Assemblée nationale qui avait exigé en séance un soutien inconditionnel de la France à l’État d’Israël, la marche contre l’antisémitisme du 12 Novembre 2023 "n’était pas destinée à lutter contre un antisémitisme galopant dont notre pays serait le théâtre. C’était un acte de soutien à la politique de l’Israël de Benjamin Netanyahou engagé dans une punition collective violente contre la population civile de Gaza" (Régis de Castelnau sur X). 

Maurice Lévy, président du conseil de surveillance de Publicis n'avait pas hésité à déclarer : "Ne pas venir, c'est soutenir le Hamas" (et condamner le massacre des civils de Gaza - 11 000 personnes dont 4 000 enfants - par des militaires israéliens assoiffés de sang)...

Parmi les manifestants, des contribuables français qui financent l'armée israélienne (Tsahal) exterminatrice de Palestiniens.

En 2016, la sénatrice Nathalie Goulet avait interpellé le Secrétaire d'État chargé du Budget et des Comptes publics au sujet des dons à Tsahal déductibles d'impôts. Sur les réseaux sociaux, la sénatrice avait fait figure d'antisémite.

L'ANTISEMITE !
Absurdité, hystérie et pouvoir illégitime du "lobby-qui-n'existe-pas"

 
Allusion à la niche fiscale en faveur de Tsahal à partir de 2:50.
La sénatrice Nathalie Goulet fut menacée de mort.