Un juriste dresse la liste de ce qui a été violé au niveau juridique depuis 2 ans.
Les mesures Covid liberticides sont voulues par un pouvoir occulte mondial omnipuissant qui, avec la complicité des gouvernements et des plus hautes instances, a balayé tout ce qui faisait l'Etat de droit.
« Les non vaccinés sont devenus des pestiférés »
Pour Maître Pierre Gentillet, la crise sanitaire nous a ainsi fait basculer « dans un autre monde » et les mesures prises pour lutter contre l’épidémie marquent une rupture anthropologique profonde.
« Ce qui m'inquiète ce n'est pas que l'État soit liberticide, ce n'est pas qu’Emmanuel Macron nous accoutume à un régime d'exception, ce qui m'inquiète c'est l'absence de conscience critique, l'absence de soulèvement de la population contre des mesures totalement liberticides et discriminatoires », estime cet avocat.
D’après Me Gentillet, la crise sanitaire a en effet mis en lumière « une pulsion autoritaire de nos élites libérales ». En acceptant « le principe d’entrer dans une société d’autorisation » par le biais de la mise en place du passe sanitaire, nous avons selon lui « mis le doigt dans un engrenage » qui pourrait constituer un dangereux préalable à la mise en œuvre d’autres mesures restrictives de liberté dans le cadre d’un « exercice de domestication progressive » de la population.
« Aujourd’hui on met un passe vaccinal, pourquoi pas un passe écologique demain ? Au nom d’un objectif très important, la préservation de la planète. Et pourquoi pas un passe bancaire, si votre situation fiscale n’est pas satisfaisante ? », s’interroge Me Pierre Gentillet.
S’il déplore le fait que le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel aient renoncé à jouer leur rôle de garant des libertés en avalant « toutes les couleuvres » pendant la crise, le juriste estime que cet épisode sanitaire doit toutefois être l’occasion de « repenser notre droit » et notre système juridique dont l’hyperinflation conduit à la production de normes et de lois absurdes, détachées des réalités.
« Il y a une prétention du droit à vouloir réguler absolument tous les éléments de notre vie. »
« Nous entrons dans une société folle, nous ne comprenons même plus les règles que nous faisons et leur réelle utilité. Nous respectons les règles pour ce qu’elles sont et non pour l’objectif qu’elles poursuivent. »
« Ce qui m'inquiète ce n'est pas que l'État soit liberticide, ce n'est pas qu’Emmanuel Macron nous accoutume à un régime d'exception, ce qui m'inquiète c'est l'absence de conscience critique, l'absence de soulèvement de la population contre des mesures totalement liberticides et discriminatoires », estime cet avocat.
D’après Me Gentillet, la crise sanitaire a en effet mis en lumière « une pulsion autoritaire de nos élites libérales ». En acceptant « le principe d’entrer dans une société d’autorisation » par le biais de la mise en place du passe sanitaire, nous avons selon lui « mis le doigt dans un engrenage » qui pourrait constituer un dangereux préalable à la mise en œuvre d’autres mesures restrictives de liberté dans le cadre d’un « exercice de domestication progressive » de la population.
« Aujourd’hui on met un passe vaccinal, pourquoi pas un passe écologique demain ? Au nom d’un objectif très important, la préservation de la planète. Et pourquoi pas un passe bancaire, si votre situation fiscale n’est pas satisfaisante ? », s’interroge Me Pierre Gentillet.
S’il déplore le fait que le Conseil d’État et le Conseil constitutionnel aient renoncé à jouer leur rôle de garant des libertés en avalant « toutes les couleuvres » pendant la crise, le juriste estime que cet épisode sanitaire doit toutefois être l’occasion de « repenser notre droit » et notre système juridique dont l’hyperinflation conduit à la production de normes et de lois absurdes, détachées des réalités.
« Il y a une prétention du droit à vouloir réguler absolument tous les éléments de notre vie. »
« Nous entrons dans une société folle, nous ne comprenons même plus les règles que nous faisons et leur réelle utilité. Nous respectons les règles pour ce qu’elles sont et non pour l’objectif qu’elles poursuivent. »