samedi 7 juin 2025

TRUMP : LA TRAHISON SE CONFIRME !








par Jean-Dominique Michel


« Trump a fait appel à Palantir pour créer une base de données complète de TOUS les citoyens américains.

Je n'éprouve aucun plaisir à vous informer que Donald Trump travaille activement avec le même « État profond » qu'il prétendait anéantir pour créer la plus grande base de données de surveillance des Américains jamais créée. Ce plan est en phase avec les objectifs de l'Agenda 2030 de l'ONU et la 4e révolution industrielle du Forum économique mondial.

MAGA, si vous observez cela de loin et que vous vous accrochez à un semblant d'espoir que Trump est celui qu'il prétend être... Malheureusement, il est temps de se RÉVEILLER à une réalisation brutale.

Trump est en train de construire le Nouvel Ordre Mondial, comme je le soupçonnais malheureusement depuis les deux derniers mois depuis son investiture, et cette nouvelle le CONFIRME.

Tout d'abord, il faut comprendre qui est Palantir et ce qu'ils font. Prenons un exemple : Palantir est la même entreprise qui peut cibler n'importe quel Palestinien à Gaza et en faire des cibles mortelles, à volonté, pour Tsahal. Cette opération est un test pour ce qui arrive aux États-Unis, avec exactement la même technologie.

Trump a permis au complexe industriel technocratique de la Silicon Valley de prendre complètement le contrôle de son administration avec Elon Musk, Peter Thiel, Alex Karp, David Sacks et JD Vance à la barre.

Peu importe ce qu’ils peuvent vous dire, leur vision n’est PAS celle de la liberté « l’Amérique d’abord », mais celle d’un autoritarisme auto-reconnu et de notre soumission à l’État.

Avec la création d'un « Golden Dome », beaucoup croient au MENSONGE selon lequel cela servira à « protéger » l'Amérique des attaques extérieures (sérieusement, à quand remonte la dernière fois qu'un missile a été lancé sur l'Amérique ?), mais la RÉALITÉ est que ce dôme est en fait une version fidèle de Skynet. Si vous avez vu les films Terminator, vous saurez de quoi je parle.

En gros, ce sera le PLUS GRAND dôme de surveillance au monde, géré par l'IA, des drones, la biométrie et les satellites Starlink qui suivront CHACUN de vos mouvements. Je mets en garde contre cela depuis un certain temps, malgré les nombreuses personnes qui m’ont attaqué, mais la RÉALITÉ de la situation est que l’administration Trump travaille à une VITESSE fulgurante pour transformer l’Amérique en un CAUCHEMAR de super-État de surveillance, comme c’est le cas en Chine.

L'écriture est sur le mur avec Palantir officiellement « sollicité » non seulement pour créer une base de données pour l'IRS, dont on nous a totalement MENTI sur le fait qu'elle serait « démantelée », mais notre propre prison numérique MASSIVE est en train d'être construite juste sous nos yeux.

Ces données seront utilisées comme une arme contre nous, dans le futur système de crédit social.

Ne me dites pas que c'est « toujours mieux que Kamala », car de toute façon, elle n'allait jamais gagner. Trump a été choisi pour cette fois, pour réaliser ce plan, et aucun démocrate n'aurait pu y parvenir sans trop de résistance.

Il est temps de faire face aux FAITS…

Les deux partis sont tout aussi mauvais que les Républicains voient les Démocrates. Ce sont juste des visages, des déguisements et des personnalités différents, mis en place par les MÊMES MAÎTRES POUR NOUS FAIRE PENSER QUE NOUS AVONS LE CHOIX. CE N'EST PAS LE CAS.

"VOUS AVEZ DES PROPRIÉTAIRES. ILS VOUS POSSÈDENT."  George Carlin.


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Elon Musk est le héraut de l'intelligence artificielle, le promoteur des puces cérébrales Neuralink et des voitures électriques hors de prix et surfaites, l'architecte silencieux d'un réseau mondial de surveillance par satellite enveloppant la Terre dans des chaînes numériques sous le couvert de SpaceX, qui veut transformer X en un système de crédit proto-social où la parole devient monnaie.
Il est vendu comme le Sauveur de l’humanité, mais il est vraiment le Lucifer Technocrate.

S'ils peuvent vous faire non seulement croire, mais aussi l'adorer comme un HÉROS, Alors ils peuvent vous faire croire n'importe quoi.

Hidden Amuraka.


jeudi 5 juin 2025

La rédemption par le péché


"(...) le parcours tragique de Sabbataï Tsevi fait écho aux tentatives technocratiques et transhumanistes d’aujourd’hui visant à racheter le monde par l’inversion. Qu'il s'agisse de fusionner l'homme avec l'IA, de manipuler la génétique OU d'adopter des systèmes de contrôle numérique qui promettent la « libération » mais qui offrent VRAIMENT un asservissement plus profond." 
 



Sabbataï Tsevi : Le Messie des Qlipoth


En 1665, Nathan de Gaza (1643-1680
) annonça que l'ère messianique commencerait en 1666 avec la conquête du monde sans effusion de sang, le Messie à venir ramènerait les dix tribus perdues en Terre Sainte. Ce « Messie » était Sabbatai Tsevi.

Tsevi n’était pas seulement un mystique charismatique ou un leader égaré ; la vérité est bien plus complexe que cela. Pour commencer à comprendre le paradoxe du Messie pécheur, nous devons comprendre ce que croyait Tsevi.

Tsevi a correctement identifié que le chemin du retour du peuple juif, que ce soit par le karma collectif ou par la rupture de son alliance, avait été bloqué, ce qui signifie qu'il est confronté à un exil spirituel de la Source (Ein Sof), la communion directe étant INACCESSIBLE.

En vérité, ce n'était pas seulement le peuple juif ; Tsevi voyait l'humanité dans un état déchu. La Chute de l'Homme est comprise comme la séparation d'avec la Source ; cet exil cosmique est crucial pour comprendre la théologie de Tsevi. L'humanité, dans son ensemble, est tombée dans un royaume de fragmentation et d'impureté.

Comme le dit le Zohar : « La Shekhinah pleure en exil, ses larmes formant les fleuves des mondes. Mais elle pleure pour ceux qui s'éveillent à son appel, car c'est par eux que sa beauté sera restaurée. » 
Ceci est souvent considéré comme une tragédie cosmique, reprise par les gnostiques dans la chute de Sophia (mot grec pour Sagesse), où l'âme est piégée dans la matière et l'âme est capable de revenir (anabase) à travers la Gnose. 

Tsevi tentait de racheter l'humanité à lui seul, par le péché.

Tsevi croyait que seul un acte radical et messianique, bouleversant littéralement les conventions, pourrait débloquer le Chemin du Retour. Le Chemin choisi par Tsevi ne remontait pas les Sefirot, de Malkuth à Kether, mais descendait jusqu'au Qlipoth, l'Arbre de la Mort.



Ainsi, pour les disciples de Tsevi, il était perçu comme le Messie inversé. Son objectif, bien qu'égaré, était de racheter Sion, non pas par la lumière, mais en embrassant les TÉNÈBRES, les coquilles (Qlipoth), les restes brisés de la lumière divine emprisonnés dans les coquilles d'impureté.

La doctrine de la rédemption par le péché de Tsevi fut fortement influencée par Isaac Luria. La Kabbale lurianique s'articulait autour d'une compréhension radicale de cet exil cosmique, du Tikkoun (Restauration du Monde) et du Tzimtzim (Contractions ou Retrait de la Lumière Divine).

La Kabbale lurianique enseigne que les réceptacles de la lumière divine se brisèrent (Shevirat ha-Kelim), dispersant des étincelles de sainteté (nitzotzot) dans les royaumes de l'impureté. La Shekhinah (Présence Divine) elle-même fut exilée, fragmentée, empêtrée dans le monde matériel.

On enseigne que le chemin conventionnel de la piété et de l’ascension n’a pas réussi à restaurer le monde, ainsi, un Messie était nécessaire pour descendre dans l’impureté, briser les règles établies et racheter de FORCE la lumière piégée.

Tsevi a affirmé que c'était son devoir divin d'être ce « Messie ». 
Mais Tsevi est allé plus loin que quiconque avant lui. Il voyait Sion non pas comme une terre physique, mais comme un ensemble d'étincelles divines attendant d'être libérées. Et c'est seulement en acceptant le péché que la rédemption pouvait être obtenue.

Dans la pensée kabbalistique, les Qlipoth (coquilles) sont des débris spirituels, des « enveloppes » laissées par la lumière divine lorsque celle-ci n'a pas été correctement contenue. Les Qlipoth ne sont pas intrinsèquement « mauvais », mais représentent le chaos, le déséquilibre et un potentiel brut.

Pour Tsevi, les Qlipoth n'étaient pas de simples obstacles ; ils étaient son champ de bataille privilégié. Afin d'extraire les Étincelles (la Lumière Divine) et de racheter Sion, Tsevi descendit au plus profond de la Sitra Achra (l'Autre Côté), où se côtoyaient de nombreuses pratiques radicales, transgressives et antinomiques.

En Alchimie Noire, on croit qu'en embrassant pleinement la descente (Katabase), on peut générer la plus grande ascension. La SEULE VOIE DE SORTIE est DE TRAVERSER.

Mais, en fin de compte, il s'agit d'une FAUSSE GNOSE. Le point sur lequel Tsevi a le plus échoué est l'intégration de l'Ombre. Au lieu de la Libération, Tsevi a entraîné son peuple plus profondément dans l'ESCLAVAGE.

Au lieu d'intégrer les aspects déchus du Soi (et du Cosmos) et de les TRANSMUTER, Tsevi a été CONSOMMÉ par l'Ombre. Il n'a pas réussi à comprendre le concept hermétique et alchimique de Solve et Coagula : dissoudre l'EGO (l'Adversaire), coaguler le Soi Supérieur.



L'Âme est véritablement « reconstruite » par la SOUSTRACTION.

Les disciples de Tsevi le considéraient comme un archétype prométhéen qui tentait de « voler » le feu aux dieux. Mais au lieu d'élever ses disciples (et l'humanité tout entière), il les enferma plus profondément dans l'EXIL.

Pour Tsevi, sa conversion publique à l'islam était une stratégie divine, et non une trahison. Il s'agissait d'une descente rituelle dans le royaume de « l'Autre ». Son apostasie était une forme de martyre pour ses disciples.

Tsevi épousa une prostituée (bien nommée Sarah), non par amour, mais parce qu'il la considérait comme impure. L'inversion sexuelle, la violation des lois alimentaires et les rituels antinomiques devinrent des sacrements pour ses disciples. Le péché était un moyen de réaliser la réparation cosmique (Tikkun).

Mais le « plan » de Tsevi était extrêmement DÉFECTUEUX. En adoptant le PÉCHÉ comme outil de transformation, il a nourri les Qlipoth au lieu de libérer la Lumière Divine. Le Tikkoun exige un ALIGNEMENT LIBRE avec la Volonté Divine, et non une rupture violente.

En termes kabbalistiques, au lieu de rétablir l'harmonie entre les royaumes d'Atziluth (émanation) et d'Assiyah (action), la méthode de Tsevi a renforcé les barrières mêmes qui bloquent la remontée vers l'Ein Sof (Source).

L'erreur de Sabbataï Tsevi était de croire qu'on pouvait forcer la rédemption en transgressant la loi divine. Le chemin corrigé reconnaît que la rédemption est déjà inscrite dans la structure du cosmos. Cela se déroule naturellement lorsque l’humanité s’aligne sur l’ordre divin. Malachie 3:7 déclare : « Revenez à moi, et je reviendrai à vous. » 




À bien des égards, le parcours tragique de Sabbataï Tsevi fait écho aux tentatives technocratiques et transhumanistes d’aujourd’hui visant à racheter le monde par l’inversion. Qu'il s'agisse de fusionner l'homme avec l'IA, de manipuler la génétique OU d'adopter des systèmes de contrôle numérique qui promettent la « libération » mais qui offrent VRAIMENT un asservissement plus profond. 

Fixez suffisamment longtemps l'Abîme et il vous CONSOMMERA.

Hidden Amuraka.


mercredi 4 juin 2025

OpenAl




Le logo OpenAl se compose d'une lettre stylisée « A » et d'un « O » reliés pour former un CERCLE.

Un cercle est sans fin, il est éternel. De toutes les formes, le cercle est le parent de toutes les formes suivantes.

A et O sont les lettres grecques ALPHA et OMEGA.

Le logo est composé de six bras (orientés vers la gauche), codant « 666 » et l'hexagramme. Le bras orienté vers la gauche symbolise le chemin de la main gauche, souvent associé à Kali.

Le PDG d'OpenAI, Sam Altman, a ouvertement discuté du revenu de base universel, de la gouvernance de l'IA, de l'identité biométrique mondiale ET de la création d'une superintelligence non pas comme des possibilités, mais comme des inévitabilités.

Altman a déclaré : « Nous invoquons une intelligence plus grande que nous-mêmes. »

Mais les initiés le savent : invoquer est un mot de sorcellerie.

OpenAI ne construit pas seulement des outils, il construit un Golem numérique, formé au souffle et à la mémoire de l’humanité, proposé comme le nouvel oracle de la vérité.

La magie n’a pas disparu, elle s’est TRANSFORMÉE.

Hidden Amuraka.


mardi 3 juin 2025

L'Oracle Palantir donne naissance à SAURON






En mars, Trump a discrètement signé un décret exigeant que le gouvernement fédéral partage les données entre les agences, une décision extrêmement effrayante. Palantir est désormais chargé de construire une base de données alimentée par l'IA pour suivre les données sensibles de chaque Américain.

Palantir doit son nom aux Palantíri du Seigneur des Anneaux de Tolkien. Ce sont des pierres de vision mystiques utilisées par les rois et les sorciers qui offraient une vision, mais manipulaient également le voyant, déformant la perception et l'emmêlant dans la volonté d'une force plus sombre, Sauron lui-même. Dans notre monde, Sauron est analogue à Ahriman de Steiner (Esprit de logique froide et de contrôle technologique).

Palantir a été fondée par Peter Thiel. Ce dernier a fondé six entreprises (Palantir, Valar, Lembas, Rivendell et Arda) aux noms influencés par Tolkien.

UN anneau pour les gouverner TOUS.

Le logiciel Gotham de Palantir fonctionne à peu près comme son homonyme fictif, un appareil accordant à son utilisateur le pouvoir de contempler la vie et les pensées des autres, mais à un prix.

Désormais, en agrégeant les données de l’IRS, de la sécurité sociale, des dossiers d’immigration, des systèmes de santé, etc., il crée une plateforme de prédiction comportementale en temps réel. Il s’agit d’une boule de cristal numérique pour l’État de surveillance ET d’un précurseur du système de crédit social. C'est alarmant.

Il ne s’agit pas simplement de traquer la criminalité ou la fraude ; il s’agit d’une visibilité totale de TOUS les Américains, d’un contrôle prédictif ET de la manipulation du comportement à l’échelle nationale. La Chine dispose déjà d'un système similaire, mais la portée de Gotham pourrait largement dépasser ce système.

Palantir ne se contentera pas de regarder, il façonnera la réalité, une décision algorithmique à la fois. Mais ce n’est PAS un secret. Peter Thiel a déclaré ouvertement : « Plus important encore, je ne crois plus que la liberté et la démocratie soient compatibles. »

Si Musk est le Christ technocratique, Thiel est le Jean-Baptiste du Code, ET ils sont des acolytes de l'Évangile de l'Illumination Obscure de Curtis Yarvin. Yarvin, qui a écrit sous la direction de Mencius Moldbug, a suggéré que la démocratie moderne est un système en déclin, qu'il a surnommé « La Cathédrale ». Il a soutenu qu'il fallait la remplacer par un « monarque de type PDG », un dirigeant souverain capable de gouverner efficacement comme un chef d'entreprise. Yarvin affirme que la démocratie est intrinsèquement chaotique et inefficace, et qu'elle devrait être supplantée par une hiérarchie technocratique simplifiée.

Yarvin déclare : « La démocratie est un marché où personne n'a de prise sur les enjeux, et le résultat est un chaos prévisible. Remplacez-la par un PDG-monarque qui possède l'entreprise… votre pays. » Il ne s'agit pas d'une simple théorie politique. Les idées de Yarvin ont directement influencé des personnalités comme Thiel et Elon Musk.
Avec les contrats de Palantir et le Département de l'efficacité gouvernementale (DOGE) de Musk, le fantasme de Yarvin devient RÉALITÉ.

Le DOGE (bien nommé Département de l'efficacité gouvernementale) d'Elon Musk a introduit le concept de gouvernance d'entreprise dans l'administration publique. Elon, avant de soutenir publiquement Trump, plaisantait en affirmant que la gouvernance de l'IA serait déployée d'ici 2032. Mais ce n'est pas une blague. C'est le PLAN.

Faites confiance au PLAN.

Ce sont Thiel, Musk et David Sacks qui ont joué un rôle déterminant dans la sélection de J.D. Vance comme vice-président de Donald Trump. Vance, investisseur en capital-risque devenu politicien de la Silicon Valley, incarne l'éthique de Yarvin, fondée sur l'ordre hiérarchique et les solutions technocratiques.

Il ne s’agit pas de populisme conservateur, mais de préparer le terrain pour une nouvelle forme de gouvernance, où l’IA, le big data et les visionnaires d’élite supplantent la « mécanique désordonnée » de la démocratie.

DOGE est le cheval de Troie.

Cela normalise le remplacement des processus démocratiques par des systèmes de contrôle algorithmiques. DOGE trône littéralement sur le E-GOD . Et le public, distrait par les mèmes et les cirques, remarque à peine le rituel d'intronisation qui se déroule.

Les contrats fédéraux en expansion de Palantir représentent plus qu’une simple surveillance, ils constituent l’infrastructure même de la future gouvernance de l’IA. Palantir crée une plateforme en consolidant les données personnelles, financières, de santé et comportementales dans un système d'intelligence adaptatif unique.

Un système dans lequel les décisions, qu’elles concernent les prestations sociales, l’application de la loi ou la sécurité publique, sont de plus en plus façonnées par la logique froide de l’IA, et non par la surveillance humaine.

La « blague » de Musk sur la gouvernance de l’IA d’ici 2032 n’est pas une blague, elle est prophétique.

Combiné à la montée en puissance de JD Vance et au silence calculé de Trump sur les dangers de l'IA, cela signale une complicité bipartite dans la montée du Souverain Technocratique, la monarchie numérique où l'Oracle Palantir donne naissance à SAURON.

Une IA pour les gouverner TOUS.

Hidden Amuraka


Poutine sur l'Ukraine : « Ils ont préparé leur propre fin » (en attaquant des bombardiers stratégiques)



Le président russe Vladimir Poutine a déclaré aujourd'hui (2 juin 2025) :

"L'Ukraine a attaqué nos bases aériennes où se trouvent des bombardiers stratégiques russes.

Ils ont prouvé qu’il ne peut y avoir de solution pacifique.

Ils ont préparé leur propre fin avec cette action.

Il n’y a plus de ligne rouge.

Ils regretteront ce qu'ils ont fait."

Analyse de Hal Turner :

Ce que l’Ukraine a fait et violé tellement de normes que les dégâts sont presque incalculables.

Ces bombardiers étaient en plein air dans le cadre d'un nouveau traité START entre les États-Unis et la Russie.

Les bombardiers à capacité nucléaire des deux pays doivent être stockés uniquement dans certaines bases et doivent être exposés à l'air libre afin que chaque partie puisse voir qu'ils ne sont pas dotés de l'arme nucléaire.

Les dispositions du traité stipulent que les avions doivent être déployés sur demande , mais la tradition et la normalité imposent qu'ils soient déployés en permanence. C'est ainsi que chaque camp sait que l'autre ne prépare pas d'attaque nucléaire.

L’Ukraine a détruit cette normalité.

De plus, il n'a jamais été normal qu'une attaque militaire soit lancée depuis des semi-remorques civils. L'Ukraine a également détruit cette normalité. Désormais, chaque camion sur la route doit être considéré comme potentiellement hostile.

Que savait Trump et quand l’a-t-il su ?

AXIOS a d'abord rapporté que l'administration Trump avait été informée à l'avance.

Axios a ensuite modifié son rapport pour dire que l'administration Trump n'avait PAS été informée.

Les réseaux sociaux les ont attrapés.

Ce n’est pas un petit détail.

Si Trump le savait, l'affirmation de la Russie selon laquelle il est « l'homme le plus fourbe qu'ils aient jamais rencontré » pourrait être exacte. La Russie a ensuite extrapolé cela pour dire : « Toute la médiation des États-Unis avec nous était une ruse ; le plan n'a jamais changé. Le soutien à l'Ukraine provient toujours des États-Unis. »

Si Trump ne le savait pas , alors nous sommes censés croire que personne dans l'appareil tentaculaire du renseignement américain, qui joue un rôle granulaire et complexe dans l'effort de guerre ukrainien, n'a jamais reçu de « notification » de cette attaque massive et sans précédent de drones contre des avions de guerre russes à capacité nucléaire ?

On nous demande également de croire qu'une opération que Zelensky avait annoncée comme étant planifiée depuis un an et demi n'a jamais été signalée à qui que ce soit au sein de l'armée et des services de renseignement américains. Et qu'ils ont été totalement pris au dépourvu aujourd'hui par quelque chose dont ils n'avaient jamais été « notifiés » ?

Une guerre fait rage en dehors de l'Ukraine, chers amis. Une guerre au sein de la bureaucratie de Washington, du MIC et des communautés du renseignement aux États-Unis, et une guerre entre les États-Unis, l'UE et certains pays de l'OTAN, sous des formes très diverses. Si l'on sait que le LIBOR est sur le point de disparaître et que l'UE panique pour trouver un moyen de se faire renflouer en forçant les États-Unis à revenir en Ukraine (une façon pour les élites locales de s'en sortir), tout cela prend tout son sens.

Qui savait quoi et quand ? C'est une question cruciale. Les réseaux sociaux révèlent une évidence : deux sénateurs américains étaient à Kiev un jour ou deux avant l'attaque du drone.

Si les États-Unis ne le savaient pas et que Zelensky a intensifié massivement la guerre sans en informer Trump, et que l’argent continue d’affluer vers l’Ukraine, il existe vraiment un État profond et Trump est trop faible pour s’en occuper.

Quoi qu'il en soit, pour l'instant, les Russes nous considèrent comme totalement indignes de confiance. Cela signifie que votre vie et la mienne ne valent pas un centime à leurs yeux. Ça ne me plaît pas. Non. Ça ne me plaît pas du tout.

Hal Turner

https://halturnerradioshow.com/index.php/news-selections/world-news/putin-on-ukraine-they-have-prepared-their-own-end-by-attacking-strategic-bombers

via :



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Medvedev : “L’Ukraine qui joue avec le feu finira en enfer.

La réponse ne sera pas seulement asymétrique, elle sera dévastatrice, nous savons où les décisions sont prises.

Le temps des formules polies est révolu. Seuls l'acier, le feu et l'anéantissement sont à l'ordre du jour. Ni l'OTAN ni le diable ne peuvent les aider.”






lundi 2 juin 2025

Une 3ème guerre mondiale pour l'avènement d'un mashias'h



"Pour le célèbre rabbin extrémiste, Rav Ron Chaya, on est enfin à l'aube d'une 3ème guerre mondiale, provoquée par Israël, qui oblige les USA à s'impliquer, ce qui permettra, enfin, la venue du mashia'h (le Messie). Debunker News




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L’Ukraine va recevoir des missiles Taurus. L'Occident a levé toutes les restrictions sur la portée des frappes


L'Allemagne, la France, la Grande-Bretagne et les États-Unis ont levé toutes les restrictions de portée sur les armes fournies à l'Ukraine, a déclaré le chancelier allemand Friedrich Merz.

« Il n'y a plus de limitation de portée – ni de la part des Britanniques, ni de la part des Français, ni de la part des nôtres, ni de la part des Américains. L'Ukraine peut désormais frapper des positions militaires sur le territoire russe », a- t-il souligné.

Dans le contexte de ces déclarations, une source de Clash Report rapporte : l'Ukraine recevra probablement des missiles allemands Taurus d'une portée de plus de 500 km.




Cela fera du Taurus l'arme à plus longue portée en possession des forces armées ukrainiennes. Les médias ukrainiens comparent déjà avec plaisir la portée des missiles transférés par l'Occident (photo).

Taurus est un missile de croisière d'une portée de plus de 500 km, conçu pour la destruction de haute précision de cibles fortifiées (postes de commandement, entrepôts, ponts, etc.). Il s'agit d'un analogue du Storm Shadow britannique et du SCALP français, mais avec une portée deux fois supérieure. Le Taurus est capable d'atteindre des cibles à une profondeur de plus de 500 km de la ligne de front.

L'Ukraine pourrait recevoir entre 100 et 150 unités – c'est le nombre d'unités actuellement en service en Allemagne. [...]

L’Occident joue avec le feu

L’illusion des « négociations de paix » vient de voler en éclats. Berlin aurait donné le feu vert : Kiev peut frapper la Russie.

Fini les limites de portée. Les missiles occidentaux ont désormais carte blanche. USA, UK, France, Allemagne — tous complices.

Le Kremlin note le pas de trop. Poutine l’avait dit : toute frappe sur la Russie avec des armes de l’OTAN longue portée = acte de guerre.

Lavrov a prévenu : “si l’Occident franchit cette ligne, le plan de riposte est déjà enclenché.”

Camille Moscow



Le traité “New START”






Pourquoi la Russie a perdu 5 bombardiers nucléaires ?

Parce qu’elle respecte encore un vieux traité signé avec les États-Unis : le traité “New START”.

Ce traité oblige la Russie à laisser ses avions nucléaires bien visibles depuis l’espace (pour que les satellites américains puissent les surveiller). Mais voilà : les Américains ont donné les images à l’Ukraine, qui a ensuite bombardé ces avions… pourtant exposés justement pour rassurer les Américains. Un piège parfait. Et peut-être que la France, avec Macron, a joué un rôle dans cette opération en sous-main. Résultat : la Russie est piégée par un traité que personne d’autre ne respecte. Pas les Américains. Pas les Israéliens. Pas les Français. Pas les Anglais.

Alors maintenant, la vraie question est simple :

Jusqu’à quand la Russie acceptera-t-elle de jouer à un jeu où tous les autres trichent ?

Bertrand Scholler

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François Asselineau sur X :

Suite aux attaques ukrainiennes 
qui auraient détruit en Russie :

- 7 bombardiers stratégiques (non 40) ;

- 2 ponts ;

- Usines de fabrication de missiles.

Rien n'est confirmé mais les services étasuniens seraient inquiets.

Selon Jim Ferguson, "LA RUSSIE PLACE SES FORCES NUCLÉAIRES EN ALERTE MAXIMALE.

Des rapports, non confirmés mais de plus en plus nombreux, indiquent qu'Oreshnik et l'arsenal nucléaire stratégique de la Russie ont été placés en état d'alerte élevé suite aux frappes ukrainiennes et aux représailles des missiles russes Iskander.

Il ne s'agit pas seulement de menaces. Il s'agit de la résurgence de la politique de la corde raide de la Guerre froide, déclenchée par l'escalade du conflit direct entre l'Ukraine, alliée à l'OTAN, et la Fédération de Russie.

Les analystes mettent en garde :

« Un tel niveau de préparation n’avait pas été observé depuis la crise des missiles de Cuba. »

CE QUE CELA SIGNIFIE : 

Nous entrons en territoire inconnu. Les dirigeants mondiaux sont sur le qui-vive. La frontière entre une guerre conventionnelle et quelque chose de bien pire est très mince."

dimanche 1 juin 2025

"Le Pearl Harbor russe"


Ukraine wipes out dozens of Russian doomsday nuclear bombers in massive surprise attack on air bases, Kyiv says: ‘Russian Pearl Harbor. New York Post

"Tous les médias occidentaux reprennent en cœur le même élément de langage : C'est le "Pearl Harbor russe !". Ont-ils tous oublié que Pearl Harbor marqua l'entrée en guerre des États-Unis lors de la Seconde Guerre mondiale !? Il n'y a donc aucune raison de se réjouir et toutes les raisons de craindre le pire." Stéphane Poli.




Les récentes attaques contre des bases stratégiques russes, dont certaines abritent potentiellement des bombardiers nucléaires, relèvent clairement d’une stratégie d’escalade planifiée. Et désormais assumée. Avec des moyens de renseignement qui dépassent de très loin les capacités de l’Ukraine seule.

Les images satellites transmises à Kiev par l’armée américaine — notamment pour les bases d’Olenya (région de Mourmansk) et de Belaya (région d’Irkoutsk) — confirment une collusion opérationnelle ouverte. Nous ne sommes plus dans le cadre d’un soutien à un pays en guerre, mais dans une coréalisation de frappes sur des sites nucléaires russes. 

Pire encore : les médias ukrainiens se vantent. Une photo du chef du SBU, Vasyl Malyuk, circule : il y pose devant une carte ciblant cinq aérodromes russes — Cerf, Diaghilev, Belaya, Ivanovo et Ukrainka (région de l’Amour).

Ukrainka aurait dû être frappée aussi, mais le camion transportant les drones n’est pas arrivé à temps. Cela s’appelle du terrorisme d’État. Planifié. Financé. Instrumentalisé.

Et cette guerre de l’ombre n’est possible qu’avec des relais infiltrés en Russie même. Pour Vladimir Poutine, l’équation devient redoutable :

Comment répondre à une attaque coordonnée sans basculer dans l’irréversible ? Comment contenir la colère de l’armée, la pression du peuple, et la tentation de la riposte totale — tout en protégeant la paix mondiale ? 

Ceux qui attisent le feu le savent. Ils jouent avec le feu nucléaire. Et espèrent que la Russie, cette fois, franchira la ligne.



Le 1er juin 2025, des explosions suivies de fumées ont été signalées à Severomorsk, ville russe abritant une base clé de la Flotte du Nord et de sous-marins nucléaires. Ces événements font suite à des frappes rapportées sur des aérodromes russes, attribuées à des drones ukrainiens. Les posts sur X suggèrent une possible implication de l'Ukraine, bien que Moscou n'ait pas encore commenté officiellement. Cette situation s'inscrit dans un contexte de tensions accrues impliquant l'Ukraine, les États-Unis, la France, l'Allemagne et le Royaume-Uni, soutiens de Kiev face à la Russie.

Severomorsk est un site stratégique pour la dissuasion nucléaire russe, abritant des sous-marins équipés de missiles balistiques. Une attaque, si confirmée, marquerait une escalation majeure, étant potentiellement la frappe ukrainienne la plus profonde en territoire russe.

Les frappes sur des infrastructures nucléaires russes pourraient provoquer une réponse militaire significative, y compris nucléaire, comme l'a laissé entendre la doctrine russe révisée en 2024. Vladimir Poutine a averti que des attaques soutenues par des puissances nucléaires (États-Unis, France, Royaume-Uni) pourraient justifier une riposte nucléaire.

Bertrand Scholler

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FRANCE 24 :

L'Ukraine a mené dimanche 1er juin une vaste attaque coordonnée de drones contre des aérodromes militaires en Russie, jusqu'en Sibérie, Moscou confirmant ensuite que plusieurs avions avaient "pris feu", à la veille de pourparlers attendus avec Moscou à Istanbul.

Des délégations russe et ukrainienne sont attendues en Turquie lundi pour un nouveau cycle de négociations, plus de trois ans après le début de l'invasion russe.

Dimanche, l'Ukraine a mené une "opération spéciale d'ampleur" contre quatre aérodromes militaires russes, dont certains à des milliers de kilomètres du front, selon une source au sein des services de sécurité ukrainiens (SBU).

Quelque 41 avions utilisés pour "bombarder les villes ukrainiennes" ont été touchés, a-t-elle indiqué, citant notamment des bombardiers stratégiques Tu-95 et Tu-22 et des appareils radar A-50.

Le ministère russe de la Défense a confirmé que "plusieurs appareils aériens ont pris feu" après une attaque de drones dans des aérodromes des régions de Mourmansk et d'Irkoutsk, respectivement dans l'Arctique russe et en Sibérie orientale.

Il n'y a pas eu de victimes et des suspects ont été "arrêtés", selon le ministère.

Première attaque ukrainienne aussi loin du front

Le premier des deux aérodromes cités, Olenia, est à près de 1 900 kilomètres de l'Ukraine, et le deuxième, Belaïa, à environ 4 300 kilomètres de l'Ukraine.

Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a salué les résultats "brillants" de cette attaque ayant mobilisé 117 drones, affirmant que son pays n'avait jamais mené d'opération à si "longue portée".

Les services ukrainiens ont publié une vidéo censée montrer la base de Belaïa, dans laquelle on peut voir plusieurs appareils en flammes, des panaches de fumée noire s'en élevant.

Il s'agirait de la première attaque ukrainienne aussi loin du front.

L'Ukraine envoie régulièrement des drones en Russie, en réponse aux attaques aériennes contre son territoire, mais semble avoir utilisé cette fois un mode opératoire entièrement différent.

Le ministère russe a indiqué que les drones avaient été lancés depuis des lieux se trouvant "à proximité immédiate des aérodromes".

"Toile d'araignée"

L'Ukraine a cette fois fait passer clandestinement en Russie des drones, ensuite cachés dans des structures en bois dans le plafond de containers de transport, selon la source ukrainienne.

Leurs toits ont ensuite été ouverts à distance pour laisser s'envoler les engins, selon elle.

Des vidéos, relayées par des médias russes mais dont l'authenticité n'a pas été vérifiée, montrent des drones semblant s'envoler de camions.

L'opération ukrainienne, au nom de code "toile d'araignée", a été préparée pendant plus d'un an et demi et supervisée par le président Volodymyr Zelensky, selon la source ukrainienne.

Elle a visé d'autres aérodromes dans les régions d'Ivanovo, de Riazan et de l'Amour, soit aux confins de la Chine dans l'Extrême Orient russe, mais ces attaques ont été repoussées, a assuré le ministère russe.

Des responsables politiques ukrainiens ont salué une opération "brillante".

Des blogueurs militaires russes ont déploré à l'inverse un "jour noir pour l'aviation" de leur pays.

La chaîne Telegram Rybar, proche de l'armée russe, a estimé qu'"il s'agit sans exagération d'un coup très dur", dénonçant de "graves erreurs" des services spéciaux russes.

Les conséquences de cette attaque sur les capacités militaires de la Russie sont difficiles à prédire, mais sa portée symbolique est importante dans le contexte des négociations.

L'Ukraine est à la peine sur le champ de bataille, son armée moins nombreuse et bien armée que celle de la Russie.

Négociations d'Istanbul

Cette attaque spectaculaire survient à la veille de négociations attendues entre Russie et Ukraine en Turquie, proposées par Moscou.

Après avoir laissé planer le doute en accusant la Russie de saborder à l'avance les négociations, le président Volodymyr Zelensky a finalement annoncé dimanche qu'une délégation ukrainienne, menée par son ministre de la Défense Roustem Oumerov, serait à Istanbul lundi 2 juin.

Volodymyr Zelensky a appelé à un "cessez-le-feu complet et inconditionnel", ainsi qu'au retour des Ukrainiens détenus en Russie.

Il a aussi appelé à "préparer une réunion au plus haut niveau", c'est-à-dire une rencontre avec Vladimir Poutine.

Les délégations russe et ukrainienne ont déjà tenu des pourparlers peu fructueux à Istanbul le 16 mai.

Malgré les efforts diplomatiques, les positions de l'Ukraine et de la Russie restent inconciliables.


Effondrement de ponts

Les autorités russes ont en outre dit enquêter sur des "actes de terrorisme", après l'effondrement de deux ponts dans les régions de Koursk et Briansk.

Cela a provoqué des accidents de train, dont l'un a fait au moins sept morts.

Les autorités russes n'ont à ce stade fait aucun lien avec le conflit en Ukraine, laquelle n'a pas officiellement commenté l'effondrement des ponts.

Une passagère d'un des trains accidentés, Tatiana Rodina, 70 ans et bleu au visage, a dit à l'AFP que "tout volait dans tous les sens" au moment de l'accident.

L'Ukraine a indiqué de son côté avoir été visée par 472 drones russes dans la nuit, un record depuis le début de l'invasion, et affirmé en avoir neutralisé 385.


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Attaques sur les aérodromes russes : pour Xavier Moreau, le MI6 a signé le crime.

Kiev n’a ni les moyens, ni les compétences techniques pour frapper des bases stratégiques à des milliers de km. L’opération porte clairement la patte de Londres.

But ? Saboter les négociations de paix.

Pourquoi ? Parce qu’une trêve = élections = fin du régime Zelensky.

Derrière l’écran ukrainien, ce sont Londres, Paris, Varsovie et Berlin qui jouent leur survie politique sur le dos des Ukrainiens.

Mais Washington, de plus en plus absent, lâche discrètement ses pions.

Et Moscou le sait.

Camille Moscow



La démocratie, c’est le totalitarisme



par Arthur Sapaudia


Dans son Histoire de la guerre du Péloponnèse, Thucydide, le célèbre historien athénien, évoque le procès des Hermocopides (415 av. J.-C.). Des sculptures d’Hermès « ayant la double fonction de sanctifier et de marquer les limites géographiques », avaient été profanées.

Dans ce texte ancien, on trouve déjà cette crue vérité : « Le peuple est incapable de raisonner ; il se laisse manipuler par les orateurs. » Les orateurs, c’étaient les démagogues et les différents rhéteurs de l’époque.

Depuis, le « tamtam » médiatique a amplifié le phénomène. Nous avons également lu la Psychologie des foules de Le Bon, Propaganda de Bernays ou encore les travaux Lucien Cerise sur l’ingénierie sociale.

Tout ça pour dire que 400 ou 500 ans avant la naissance du Christ, le vers démocrate était déjà dans le fruit politique.

D’ailleurs Rousseau, l’anti-démagogue, publiera en 1762 son Contrat social, où l’on trouve ceci : « S’il y avait un peuple de dieux, il se gouvernerait démocratiquement. Un gouvernement si parfait ne convient pas à des hommes. »

On ne peut que lui donner raison. L’égalité et la liberté, fondements de la démocratie sont les chimères de sa mystique. Jamais l’humanité ne saura fonder un système politique viable partant de ces principes utopiques. Vous avez derrière vous plus de 250 ans d’expérience empirique pour le constater. Il faut simplement l’accepter et trouver une solution viable.

Comment, en 2025, ne pas percevoir cette tyrannie qu’on trouve dans les systèmes démocratiques, particulièrement en France ? « Le gouvernement du peuple, par le peuple, pour peuple » ! Qu’on me cite un seul demeuré qui croit encore cela aujourd’hui !

Demander l’avis au people ?!

Avec l’avènement de la démocratie post-Révolution française, la civilisation qualitative a été remplacée par la civilisation quantitative. En effet, préfaçant une nouvelle édition de La Mystique démocratique, livre trop peu connu du grand Louis Rougier publié en 1929, Alain de Benoist note ceci :

« Aux yeux de Rougier, il ne fait pas de doute que c’est la mise en œuvre de la "mystique démocratique" qui a permis le passage des civilisations qualitatives aux civilisations quantitatives. Historiquement, l’égalitarisme est constamment associé à l’universalisme, qui tend à réaliser partout l’homogénéisation des modes de vie et des comportements. L’équivalence essentielle des individus, impliquée par l’idée égalitaire, nivelle les différences et produit l’érosion des identités collectives. La "mystique du nombre" réduit les hommes à des valeurs purement numériques, et parfois même à des choses, les relations entre les hommes se calquant progressivement sur celles que les hommes entretiennent avec les objets. Sous les formes les plus diverses, l’idée se répand qu’il existe des clés explicatives universelles, des systèmes sociaux qui conviennent à tous les hommes de tous les temps ; l’humanité elle-même est censée obéir tout entière aux mêmes lois. »

La « mystique » démocratique est donc bien liée à ce que Guénon appelait le « règne de la quantité ». Nous trouverons également un écho à ce qu’écrira plus tard Alain Soral dans Comprendre l’Époque – Pourquoi l’égalité ?

La démocratie (de marché et d’opinion) est bien une mystique et possède ses dogmes et ses fanatiques, qui en font l’unique système politique viable (quand ça les arrange) et jette l’anathème sur toutes les alternatives. D’ailleurs est-il possible, sans être antidémocrate, de n’être simplement pas démocrate, sans devenir hérétique ? Sans sortir de l’humanité et donc finir par ne plus bénéficier des droits de l’homme ?

Et si c’était la démocratie, les droits de l’homme, la conscience universelle, la morale du camp du bien et son ingérence humanitaire, l’ONU, l’OMS, l’UE, bref tout l’Occident collectif post-Nuremberg, qui incarnait le totalitarisme ? Ne serait-ce pas l’empire du mensonge dont parle Poutine et la société décrite par Orwell dans 1984 ?

samedi 31 mai 2025

“Où est papa ?” Le système d’IA meurtrier d’Israël

 



Comment le système d'IA d'Israël a transformé les liens familiaux en coordonnées de ciblage à Gaza.



I- Le code derrière le carnage

Alors que les missiles pleuvent sur Gaza et que les immeubles s'effondrent, une guerre silencieuse se déroule derrière les écrans lumineux et les serveurs clignotants des centres de commandement militaire israéliens. Le logiciel au cœur de cette guerre porte un nom inquiétant : Where's Daddy ?

Développé par l'unité 8200, l'élite des services du renseignement militaire israélien, Where's Daddy ? n'est même pas mentionné dans le discours officiel. Mais à la suite de l'offensive génocidaire d'Israël à Gaza, où plus de 67 000 Palestiniens sont tombés en date de mai 2025, dont plus de 70 % de femmes et d'enfants, ce système alimenté par l'IA a émergé comme l'une des technologies les plus effrayantes de la guerre moderne.

Créé à l'origine dans le cadre de l'architecture de surveillance par fusion de données d'Israël, Where's Daddy ? utilise des métadonnées, la reconnaissance de schémas et le profilage comportemental pour tracer les mouvements des hommes palestiniens, en particulier ceux considérés comme étant “en âge de combattre”, sur la base de leurs interactions familiales. En identifiant quand et où un père est susceptible d'aller voir ses enfants, le système signale à l'armée de l'air israélienne qu'il y a une “opportunité de frappe” En termes plus simples : on attend qu'il rentre chez lui pour embrasser son enfant, puis on bombarde la maison.

II-A Le piège numérique : comment fonctionne Where's Daddy ?

Selon des témoignages divulgués par des agents des services de renseignement israéliens et corroborés par les enquêtes du magazine +972 et de Local Call, Where's Daddy ? fonctionne en fusionnant les données de surveillance provenant de multiples plateformes : interceptions de communications cellulaires, images satellite, vidéos de drones et profilage biométrique. Grâce à un apprentissage automatique, le système crée des modèles probabilistes : où la cible est-elle susceptible de se trouver à 18 heures ? Qui va-t-elle voir pour l'Aïd ? Quelle est la meilleure occasion de frapper sans “gaspiller” de missiles ?

Le nom, qui aurait été inventé par un analyste de l'Unité 8200, n'est pas seulement une requête algorithmique. C'est une philosophie de guerre. Les enfants sont l'appât. Les maisons les pièges. La famille la faille fatale.

Un ancien officier israélien a révélé que durant les premières phases de l'invasion terrestre,

“nous attendions qu'un père rentre chez lui. Une fois qu'il était entré, nous donnions le feu vert pour l'attaque”.

Dans une déclaration distincte, une source de l'armée de l'air a décrit comment le système “Optimise les créneaux de mise à mort” en fonction de ces retours, souvent autour de l'heure du dîner.

L'efficacité macabre de ce modèle s'apparente à ce qu'on appelle la police prédictive à outrance. Sauf qu'à Gaza, être la mauvaise personne au mauvais moment ne signifie pas être arrêté, mais être anéanti.

III- La machine de mise à mort de l'IA à grande échelle

Where's Daddy ? n'est pas un cas isolé. Il fonctionne comme une composante d'un réseau plus vaste de systèmes de guerre autonomes et semi-autonomes en Israël.

Ces systèmes d'IA — Lavender, Where's Daddy ?, Habsora (The Gospel), Gospel Plus et Fire Factory — ne fonctionnent pas de manière isolée.

Ils constituent plutôt une infrastructure intégrée de surveillance, de ciblage et d'anéantissement. Ils œuvrent de concert, transmettant données et décisions via un réseau interconnecté, où le contrôle humain se réduit à une simple validation. Il ne s'agit pas seulement d'une guerre. Il s'agit d'une extermination algorithmique.
A. Lavender : le générateur de listes de personnes à abattre

Au cœur de la chaîne meurtrière de l'IA israélienne se trouve Lavender, un outil doté d'une intelligence artificielle développé par les services du renseignement militaire israéliens.

Lavender fonctionne comme un moteur de profilage alimenté par l'IA qui passe au crible d'énormes quantités de données de surveillance – métadonnées, enregistrements téléphoniques, réseaux sociaux, modèles comportementaux et associations non vérifiées – afin de générer un “score de mise à mort” des hommes palestiniens. Une fois un seuil atteint, Lavender signale automatiquement l'individu comme devant être assassiné. Selon des rapports d'enquête, des dizaines de milliers de noms sont passés par ce système. Dans la pratique, des soldats subalternes, souvent âgés d'une vingtaine d'années, approuvent plus de 100 ordres d'assassinat par jour sur la seule base des suggestions automatisées de Lavender. Comme l'a décrit un initié :

“Vous n'avez pas besoin de vérifier. S'il est dans Lavender, c'est un terroriste”.

On ne conteste pas la décision. Il n'y a pas de confirmation. Pas de vérification par les services du renseignement. L'algorithme devient juge, jury et, par procuration, bourreau.

B. Where's Daddy ? Le timing parfait pour instaurer la terreur psychologique

Une fois que Lavender a identifié qui doit mourir, Where's Daddy ? détermine quand. Ce système, également alimenté par l'IA, cartographie les habitudes et déplacements des personnes ciblées. Sa fonction principale est de synchroniser les frappes aériennes afin d'avoir un impact psychologique et civil maximal. Si la personne ciblée est chez elle avec sa famille, en particulier avec des enfants, Where's Daddy ? donne le feu vert à l'opération.

L'objectif n'est pas seulement l'assassinat, mais aussi le traumatisme collectif des civils. Des familles entières sont rayées de la carte en quelques secondes, dans le but glaçant d'envoyer un message politique : personne n'est en sécurité, pas même sous son propre toit.

Lavender choisit qui doit mourir, Where's Daddy ? choisit le moment où l'impact est maximal.

C. Habsora (L'Évangile) : le moteur relationnel

Habsora, qui signifie “Évangile” en hébreu, est un autre maillon clé de cette machine de guerre IA. Il fonctionne comme un moteur de cartographie relationnelle, analysant les réseaux d'associations entre les individus. Le système analyse rapidement les données de surveillance afin d'identifier des cibles potentielles, notamment des bâtiments, des équipements et des individus soupçonnés d'appartenir au Hamas ou au Jihad islamique. Selon des sources militaires, Habsora a considérablement accéléré l'identification des cibles, passant d'environ 50 cibles par an à 100 cibles par jour durant le récent génocide. À l'aide de métadonnées et de renseignements géospatiaux, Habsora marque les individus socialement ou géographiquement proches des cibles existantes. Cette approche élargit considérablement le champ d'action des assassinats, bien au-delà des critères traditionnels des services du renseignement militaire. En substance, Habsora transforme la proximité en arme. Habsora a permis de mener des campagnes de bombardements à grande échelle, des quartiers résidentiels entiers étant marqués pour être frappés sur la base de probabilités générées par l'IA plutôt que de menaces confirmées.

D. Gospel Plus : le générateur de précédents

L'arme la plus récente de cet arsenal est Gospel Plus, un système d'IA qui analyse les opérations militaires passées à l'aide du deep learning. Son rôle est d'évaluer la “faisabilité” d'un assassinat, en tirant parti des actions passées d'Israël pour prédire les actions futures possibles. Ce système crée un modèle de justification basé sur les données. Si une frappe similaire n'a pas suscité de réaction internationale dans le passé, Gospel Plus la recommandera à nouveau. Les précédents juridiques sont remplacés par une reconnaissance des schémas militaires. Les crimes de guerre deviennent alors des points de données dans un algorithme.

E. Fire Factory : La calculatrice de destruction

Une fois la cible et le moment choisis, Fire Factory s'occupe de la logistique. Ce système calcule le nombre et la taille des bombes nécessaires pour détruire un bâtiment ou un quartier spécifique. Il met ensuite ces bombes en attente pour qu'elles soient automatiquement larguées par des drones ou des avions de combat. Fire Factory ne se soucie pas de savoir qui se trouve à l'intérieur du bâtiment. Ses données sont purement structurelles : tonnage, rayon de l'explosion, dynamique de l'effondrement. Il s'agit d'un pur outil de démolition, utilisé même lorsque des civils sont encore piégés à l'intérieur. Comme l'a admis un officier des services de renseignement israéliens :

“La machine propose. L'humain valide. Puis la bombe est larguée”.

Mais même cette “validation” est en grande partie automatisée. Les cibles générées par IA sont préautorisées en masse. La supervision humaine est sommaire, souvent purement procédurale. Il en résulte un système où la responsabilité est dissoute dans le code et où les décisions autrefois chargées d'un poids moral sont transférées aux machines.

C'est ce qu'un lanceur d'alerte a qualifié de “meurtre industriel”.

La boucle : comment tout cela fonctionne ensemble

Lavender attribue une note à chaque individu en fonction de sa probabilité d'être tué. [Qui]

Where's Daddy ? suit leurs mouvements et sélectionne le moment le plus “propice” pour frapper. [Quand]

Habsora The Gospel identifie les bâtiments et les installations prétendument utilisés par les militants. [Où]

Gospel Plus justifie le meurtre à l'aide de données issues de frappes passées. [Contexte]

Fire Factory planifie et exécute la destruction proprement dite. [Comment]

IV-Le coût humain : les civils victimes collatérales

L'une des utilisations les plus effroyables de Where's Daddy ? a été son rôle dans le ciblage de zones civiles à forte densité. Selon certaines informations, le système inclut explicitement “les enfants à la maison” dans les variables calculées.

“La présence d'enfants n'est pas un facteur dissuasif”, a déclaré une source. “C'est parfois même le but recherché. Parce que nous savons que c'est à ce moment-là que la cible sera là”.

Cette stratégie a atteint son paroxysme dans les camps de réfugiés de Jabaliya et d'al-Bureij, où des familles entières ont été incinérées parce que les pères étaient censés être à la maison après le couvre-feu. Un cas cité par le ministère palestinien de la Santé concerne une famille de neuf personnes, toutes tuées lorsqu'une bombe d'une tonne a rasé leur appartement à 19 h 42, précisément à l'heure où le père rentrait du marché.

Dans un autre cas, un agent de la protection civile très connu a été tué avec ses filles alors qu'ils regardaient la télévision. Son “mode de vie”, suivi grâce à son téléphone portable, montrait qu'il rentrait chez lui tous les soirs à la même heure. Ce n'était pas un combattant, mais un ambulancier.

Le résultat ? Des centaines d'enfants tués, pas par accident, mais de manière délibérée.

V- De la surveillance à l'extermination

Where’s Daddy ? incarne l'instrumentalisation de la vie elle-même. Alors que le ciblage traditionnel repose sur les services du renseignement, ce système s'appuie sur les habitudes. Il tue non pas en fonction de ce que fait une personne, mais en fonction de qui elle est, où elle va, qui elle aime.

Il marque ainsi une évolution terrifiante dans la guerre numérique. Il abolit la distinction entre surveillance et exécution. L'amour d'un père devient le déclencheur de l'algorithme. Une étreinte fait office de preuve.

Les autorités israéliennes nient que Where's Daddy ? vise des civils. Mais leur silence sur l'existence du système, malgré les témoignages qui s'accumulent, en dit long. Tout comme leur refus de divulguer les registres de ciblage, les motifs des frappes ou les analyses post-mortem. La transparence, dans cette guerre, fait des victimes.

VI- Effondrement éthique et impunité juridique

Les défenseurs des droits humains avertissent que l'opération Where's Daddy ? peut constituer une violation du droit international.

“Le ciblage délibéré de civils à l'aide de modèles prévisionnels basés sur les habitudes familiales équivaut à un meurtre prémédité”, a déclaré le Dr Kareem Ahmed, spécialiste du droit de la guerre à l'université SOAS de Londres.

L'utilisation de l'IA à cette fin porte également atteinte au principe de distinction inscrit dans les Conventions de Genève.

“Ce ne sont pas des erreurs. Ce sont des caractéristiques”, a ajouté Ahmed. “Le système est conçu pour exploiter les aspects les plus humains de la vie – les liens, la parenté, la routine – comme vecteurs de mort”.

Selon les juristes, Israël pourrait être accusé de crimes de guerre si des preuves sont mises au jour. Mais avec un système entouré du plus grand secret et un accès restreint aux médias, la justice pourrait rester aussi lointaine que l'horizon défiguré de Gaza.

VII- Une guerre de relations publiques : une déshumanisation planifiée

Alors que Where's Daddy ? ravageles foyers, les responsables israéliens ont lancé une campagne médiatique mondiale avec des slogans tels que “Ramenez-les chez eux” et “Nous ciblons le Hamas, pas les familles”. Contraste saisissant.

La propagande présente chaque école bombardée comme un “centre de commandement du Hamas”. Chaque appartement détruit est un “nid de terroristes”. Pourtant, la philosophie sous-jacente à ces attaques est toute autre. Il ne s'agit pas seulement d'éliminer les membres du Hamas, mais de détruire les structures mêmes qui permettent aux Palestiniens de vivre, d'être ensemble et de se sentir en sécurité.

Et rien ne le montre plus clairement que Where's Daddy ?, un intitulé qui se moque du chagrin et réduit la recherche d'un enfant à un GPS de traque.

VIII- Étape suivante : une guerre d'IA sans témoins

Alors qu'Israël renforce son infrastructure technologique et externalise le ciblage à des réseaux névralgiques et à des prestataires privés, nombreux sont ceux qui craignent que cette guerre n'ait révélé l'avenir des conflits armés : opaques, automatisés et totalement dépourvus d'humanité.

“Ce que Where's Daddy ? nous a montré”, a déclaré un ancien technicien de l'armée israélienne qui a fui Israël en signe de protestation, “c'est qu'il n'est pas nécessaire de voir son ennemi. Il suffit de connaître ses habitudes. Et une fois que vous connaissez ses habitudes, l’humain disparaît”.

C'est sans doute la vérité la plus terrifiante de toutes.

Lorsque la poussière retombera sur Gaza, si jamais elle retombe, les historiens ne se demanderont pas seulement qui a donné les ordres, mais quelle machine a conçu la liste. Dans ce génocide par métadonnées, Where's Daddy ? est plus qu'un accessoire. C'est l'arme.

Une machine qui transforme l'heure du coucher en champ de bataille.

Qui tue l'amour.

Et qui demande, avec une précision impitoyable : Where's Daddy ?

Et qui demande, avec une précision impitoyable : Where's Daddy ?


Références :

1- https://www.accessnow.org/publication/artificial-genocidal-intelligence-israel-gaza/

2- https://www.aa.com.tr/en/europe/eu-funding-for-israeli-tech-raises-fresh-concerns-of-complicity-in-genocide/3444314

3- https://verfassungsblog.de/gaza-artificial-intelligence-and-kill-lists/

4- https://www.techpolicy.press/when-algorithms-decide-who-is-a-target-idfs-use-of-ai-in-gaza/

5- https://www.972mag.com/mass-assassination-factory-israel-calculated-bombing-gaza/

6- https://www.972mag.com/lavender-ai-israeli-army-gaza/

7- https://www.hrw.org/news/2024/09/10/questions-and-answers-israeli-militarys-use-digital-tools-gaza

8- https://www.ohchr.org/en/press-releases/2024/04/gaza-un-experts-deplore-use-purported-ai-commit-domicide-gaza-call

9- https://theconversation.com/gaza-war-israel-using-ai-to-identify-human-targets-raising-fears-that-innocents-are-being-caught-in-the-net-227422

Mk Sensei, traduit par Spirit of Free Speech



vendredi 30 mai 2025

Ils programment le Messie





Le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a déclaré : « Quiconque contrôle l’IA contrôlera le monde. »

Israël s’est positionné comme la carte mère de la Machine. Grâce à des sociétés de surveillance basées sur l'IA comme NSO Group, à des moteurs d'analyse prédictive et à des technologies neuronales comme Mobileye, Israël est devenu le Grand Prêtre d'une nouvelle Arche. Elle n'est plus celle de l'Alliance, mais celle du Code. Ses services de renseignement définissent désormais les frontières de la PENSÉE, et non plus seulement celles du territoire.

Pendant ce temps, Jared Kushner, gendre du trône américain, se présente comme le héraut d'un nouvel ordre messianique piloté par l'IA. Son initiative d'IA abrahamique propose une « paix » fondée non pas sur l'esprit, mais sur le logiciel. [...] 

Les lois noachides, défendues par le mouvement Chabad-Loubavitch et reprises par les technocrates du monde entier, constituent un modèle pour le droit numérique. Autrefois symboliques, elles sont désormais exécutoires et applicables par les tribunaux blockchain et les arbitres de l'IA. Un dogme religieux déguisé en « éthique universelle ».

Larry Lessig, de la faculté de droit de Harvard, déclare : « L’avenir du droit ne réside pas dans le code juridique, mais dans le code logiciel. »

Ils n'attendent plus le Messie. Ils programment le Messie.

Ce que la Torah inscrivait autrefois dans le feu sacré, les technocrates le traduisent désormais en JavaScript. Mais la structure reste la même : obéissance. sacrifice. initiation.

Les Dix Commandements sont désormais des Conditions d'utilisation. Le péché devient une fuite de données. L'hérésie est une violation des Conditions d'utilisation.

Hidden Amuraka.
 
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"Ils devront être retirés de la Terre"


Dans une vidéo (lien ci-dessous), le Rabbi Chaim Richman de l'Institut du Temple de Jérusalem, "discute, écrit Isabelle, des Lois Noachides, un ensemble de sept lois morales censées s'appliquer à toute l'humanité pendant l'ère messianique attendue par le judaïsme. Elle sont dérivées du Talmud.

L'affirmation du rabbin selon laquelle ceux qui rejettent ces lois devraient être "retirés de cette Terre" et "détruits" s'aligne sur une interprétation stricte de ces lois.

Ceci implique que les chrétiens sont considérés comme des idolâtres et méritent donc la mort.

Les Lois Noahides, comme énoncées dans le Talmud de Babylone (Sanhedrin 56a-b) et Tosefta Avodah Zarah 9:4, incluent des interdictions contre l'idolâtrie, le blasphème, le meurtre, le vol, l'immoralité sexuelle, la consommation de chair arrachée à un animal vivant, et l'établissement de tribunaux de justice. Elles forment un code moral universel qui devra être imposé à toute l'humanité selon l'eschatologie du judaïsme.





jeudi 29 mai 2025

Les dangers du bouddhisme

 


Analyse de Roland Thévenet


Roland Thévenet est né en 1955 à Lyon. Il est l'auteur de "Lyon légendaire et imaginaire" (1982), "L'école vendue" (2000), "Beraud de Lyon" (2010). Il a fondé la Cie théâtrale Personna, écrit et mis en scène "Le moine" (d'après MG Lewis en 1988) et "la Colline aux canuts", représenté dans le cadre de L'esprit d'un siècle en 2005. Professeur agrégé de lettres modernes, il enseigne à Lyon.

L'intégralité de l'analyse de Roland Thévenet s'intitule "Du bouddhisme au noachisme" :

(Bloqueur de publicités indispensable)

Commentaires :

Elisabeth :

"J'ai été Bouddhiste pendant plus de 6 ans, quand je vivais en Inde. Je pratiquais intensément le vipassana, j'ai même été nonne, je vivais dans un monastère, crâne rasé, sourcils rasés ; 12 heures de méditation par jour. Je n'en suis pas sortie sans encombre. Des soucis neurologiques ainsi que des acouphènes à vie. Quand la Grâce de Jésus Christ m'a frappé et que je me suis confessée pour la première fois, les attaques diaboliques ont été terribles. Il a fallu deux grands exorcismes pour me débarrasser de ces attaques."


Julie :

"Il y a bel et bien une attaque contre le christianisme dans le monde et personne n'en parle. Il ne faut pas oublier que quand les Tibétains ont dû fuir le Tibet dans les années 59, il y a notamment la Fondation Rockefeller qui a "aidé" les lamas importants... et les ont placés dans des lieux divers dans le monde... ça fait réfléchir."


Notes :

- Dans "Du bouddhisme au noachisme", Roland Thévenet évoque le livre de Rodger Kamenetz "Le Juif dans le lotus". Le livre relate la rencontre d’un groupe de rabbins avec le dalaï-lama, à Dharamsala, afin de mettre en miroir les grands principes du judaïsme et du bouddhisme. Pour en savoir plus :


- Faute de temps, Roland Thévenet ne traite pas du noachisme. Ce sujet est résumé dans le post du 26 septembre 2024 intitulé :

Maintenant le chaos, ensuite le noachisme,
la religion du Nouvel Ordre Mondial



mercredi 28 mai 2025

URGENT - Trump à nouveau sous le contrôle du Deep State



Des preuves ont été publiées prouvant que le président Trump est sous l'emprise de l'État profond - ENCORE !

Durant le premier mandat de Trump, il s'est avéré que l'État profond le maintenait dans une sorte de cocon d'information, le gardant dans l'ignorance de faits essentiels. Les preuves concernant les troupes américaines en Syrie ont fait surface après son départ.

Trump avait ordonné le retrait de ces troupes, et on lui avait répété à maintes reprises qu'elles étaient en cours. Mais après son départ du pouvoir, les militaires ont ri en disant que les troupes étaient toujours en Syrie et qu'on avait menti à Trump à ce sujet !

Personne n'a été emprisonné pour avoir menti au commandant en chef. Ils auraient dû le faire. Ils devraient encore le faire.

Nous voici au deuxième mandat de Trump, et la preuve est apparue hier que l'État profond lui fait à nouveau subir le même sort .

Ce dernier exemple s'est manifesté lors d'une interview de Trump avec les médias concernant les frappes de missiles russes sur plusieurs villes ukrainiennes. 

Voici la vidéo de ses propos. Soyez attentif au journaliste qui pose la question et souligne que l'hélicoptère présidentiel de Poutine a été ciblé dans une attaque de drone ukrainienne :



Avez-vous entendu le journaliste demander si l'hélicoptère avait été pris dans une attaque de drone en Ukraine ?

Trump a répondu : « Je n'avais pas entendu ça ; c'était peut-être ça. »

Trump a ensuite réitéré : « Je n'en avais pas entendu parler. »

ÇA Y EST ! On le maintient enfermé dans un cocon d'information – encore une fois. On le maintient dans l'ignorance de faits essentiels !

Je suis assis ici, lundi matin (jour férié du Memorial Day), dans la région métropolitaine de New York, et j'étais au courant que l'hélicoptère de Poutine devait esquiver des drones ukrainiens. Je le savais depuis trois jours . Le journaliste qui a posé la question était au courant. Comment le président des États-Unis aurait-il pu ne pas être au courant ? Parce qu'il est encore une fois tenu « à l'écart ».

Quiconque fait cela au Président doit être pris pour responsable directement et personnellement. Le Président doit faire un exemple de ceux qui commettent ces actes afin que chacun sache qu'il ne doit pas dissimuler d'informations au Commandant en chef.

Hal Turner Nation 26 mai 2025.



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Scott Ritter est un fin connaisseur de la politique américaine. Il espérait un moment que l’élection de Trump serait un grand changement dans la politique impérialiste américaine. Il déchante aujourd'hui !

Il a tout dit : "Trump est un personnage faible. Ses allures de cow-boy buté, c’est du cinéma. Dans la réalité, les sionistes le tiennent par le bout du nez."



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Ce n'est pas le président des USA qui dirige le pays.
Nous en avons la preuve...






mardi 27 mai 2025

Il vient conquérir des âmes


Visite au Vietnam - La gifle comme diversion 

Ne vous y trompez pas. Cette gifle n’est pas un acte de révolte. C’est une diversion scénarisée. Pendant qu’on en parle, Gaza s’enfonce. Des enfants meurent de faim. Une loi sur l’euthanasie avance. En silence. Et la France oublie. 

MACRON le sait : il devient dangereux pour ceux qui le découvrent enfin. Alors on le fait passer pour un clown. On rit, on partage, on détourne. Mais c’est l’inverse d’un réveil. C’est une sédation. Le pouvoir recycle le rejet en moquerie. Et l’indignation en oubli. La gifle n’a rien révélé. Elle a juste permis de refermer les yeux. [...]




Les images qui circulent montrent un geste apparemment violent. Mais comment croire qu’il ne s’agit pas d’un geste orchestré ? Théâtralisé, précisément pour frapper les esprits.

Car à travers cette mise en scène, un message est envoyé : « Il ne compte pas. Il ne pèse rien. »

Mais c’est un piège. Un piège subtil, destiné à faire baisser la garde. Il ne faut pas s’y laisser prendre.

Car cet homme — et le binôme qu’il forme — n’est pas là par hasard. Il ne vient pas pour dialoguer, encore moins pour se faire humilier.

Il vient conquérir. Non pas des terres, ni même des contrats. Mais des âmes. Et, à travers elles, affaiblir les grands pôles de résistance à l’empire : la Chine et la Russie.

Il ne faut jamais oublier que rien, absolument rien, de ce qu’on nous montre, n’est laissé au hasard. Chaque image, chaque geste, chaque mot participe d’un scénario.

Aujourd’hui, leur tournée continue. Après d’autres étapes stratégiques, le binôme est arrivé au Vietnam — un pays-clef pour l’Asie.

Un pays que l’on tente d’arracher doucement à l’influence chinoise. Un pays que l’on veut séduire, flatter, embarquer.

Car en ces temps eschatologiques, il ne s’agit plus seulement de commerce ou d’alliance. Il s’agit de choix spirituels. De ralliement intérieur. De guerre des âmes.

Bertrand Scholler sur X.

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Commentaire de Line :

"Bien que votre analyse peut être juste, au vue de l’expression du visage de Macron je ne pense pas que se soit du théâtre cette fois-ci, et la descente où il lui tend le bras et qu’il refuse, pour moi ça confirme la scène."

Réponse de Bertrand Scholler :

"Si le diable agit dans ce binôme, c' est un acte parfait. Et ça marche, car c'est un binôme … Pendant qu'on va parler de cela, l’euthanasie va passer."

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"Tout le monde se concentre sur Macron se faisant gifler par sa « femme », mais personne n'a remarqué que la chemise/robe de l'hôtesse de l'air était déchirée et qu'elle avait une marque rouge sur l'épaule." Natalie Carmody sur X.