vendredi 4 juillet 2025

SIX CENT SOIXANTE-SIX



"0800 06 66 66, moi je croyais que c’était une blague ! Le 666, ils l’ont fait ! Il existe, c’est le numéro canicule !"


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SIX CENT SOIXANTE-SIX


Ce n'est pas pour nous effrayer que de grands clairvoyants et des prophètes ont prédit l'apparition prochaine d'un puissant démon sur notre planète. Une calamité comme il n'y en a jamais eu. D'où les spéculations autour du nombre 666 dont on croit avoir identifié la trace dans les technologies de pointe. S'il ne s'agissait que de cela ! En réalité, apparaît la synthèse du double démon que l'on appelle diable et Satan - les pôles matériel et subtil des puissances adverses. Cela a commencé depuis le début de ce 21e siècle, après l'intense préparation du siècle précédent. Nous devons nous y préparer au lieu de nous voiler la face.

Pourquoi inquiéter l'humanité avec le problème du Mal, se demandent les faux prophètes qui nous anesthésient ? Les bergers des orthodoxies ont continuellement dissimulé la gravité du problème du Mal pour faire croire qu'ils avaient« la situation bien en mains ».

Pourquoi était-il hérétique d'investiguer du côté de la face cachée des choses ? Parce que les autorités planétaires qui nous désinforment sont les représentantes du « Prince de ce monde ». L'histoire officielle est un lavage de cerveau. Donc, en ce qui concerne l'origine et la nature du Mal, circulez, il n'y a rien à voir !

Ce n'est pas pour nous faire peur que des prophètes nous ont alertés sur ces démons tapis à l'arrière-plan de l'existence ordinaire, et dont nous sommes les médiums inconscients. Les sages ont-ils voulu nous nuire en nous apportant une connaissance que nous ne pourrions pas assumer ? Au contraire, ils nous ont prévenus par amour, afin de nous préparer à identifier le Mal, à le démasquer et le vaincre à l'aide de notre force d'âme. « La vérité vous affranchira ».

Pourquoi l'être humain devrait-il connaître la nature d'un Mal cosmique qui le dépasse entièrement? N'avons-nous pas déjà tellement à faire avec notre existence si compliquée, la lutte pour la vie, les soucis, la maladie ... ? Pourquoi charger notre conscience d'une connaissance aussi affligeante ?

Nous espérons toujours qu'un «sauveur »va mener le combat à notre place, comme des soldats qui abandonnent la première ligne des opérations alors que les renforts sont en vue.

Peu s'interrogent sur le sens de la parole : «Michaël a combattu le Dragon et l'a jeté sur la terre où il erre en grande fureur». Si ce Dragon a été jeté sur la terre, l'affaire n'est donc pas réglée, et la bataille ne fait que commencer. Voilà ce qu'il faut comprendre si l'on veut vivre en conscience et devenir fort. Nous devons connaître la réalité du Mal jusqu'au fond parce que c'est notre devoir en tant qu'humains incarnés dans la matière. Nous avons une immense responsabilité aux yeux des êtres spirituels vivant sur d'autres dimensions et qui ne peuvent pas voir à travers les zones denses où nous sommes incarnés. Ils n'ont pas la faculté de précision mentale que nous procure la condensation matérielle. Ici-bas, on vient apprendre la vérité avec la précision que nous procure l'acuité de la douleur. On n'est pas là pour se prélasser dans le « meilleur des mondes » mais pour apprendre les lois de la vie réelle. Nous sommes là pour transmuter la souffrance en conscience, et la conscience en amour. Celui qui n'apprend pas de l'expérience va souffrir dans l'avenir.

L'homme est le partenaire des dieux ... et des démons

L'économie universelle implique que des règnes vivent au service d'autres règnes. Ainsi, des êtres de nature spirituelle, dieux et anges, ont besoin d'être informés par les humains incarnés dans la matière qui sert à forger la conscience. Certains dieux ne peuvent connaître le Mal comme nous l'éprouvons dans la chair, et ils guettent notre éveil pour parer aux assauts des puissances démoniaques.

L'homme est le partenaire des dieux. De son sort dépend celui de hiérarchies spirituelles qui attendent son redressement spirituel pour se transférer sur un plan d'existence supérieur. Cela explique l'agitation qui règne ici-bas, et pourquoi le Mal cosmique, à travers le relais des sociétés secrètes terrestres, mène une guerre totale aux forces de l'Esprit. La terre est le théâtre d'enjeux cosmiques.

L'être humain est au centre de ce conflit car il participe de deux natures : terrestre et spirituelle (diable signifie « celui qui sépare», et Satan est « celui qui s'oppose »). Ces démons ne sont pas des images mythiques, mais des puissances insatiables, des anti-dieux qui se sont nourris de nos faiblesses au fur et à mesure de notre descente dans la densité matérielle.

Les plus terrifiants vivent sur les plans sous-humains, là où les hommes de pouvoir puisent leur énergie en rendant un culte aux démons à travers les organisations terrestres - religieuses, politiques, occultes. Tout pouvoir terrestre dépend de la puissance démoniaque, et c'est pourquoi la recherche de la vérité sur le Mal est un sujet tabou. Notre culture oblitère totale ment la question du Mal, et il est conseillé de se contenter des maigres explications de la théologie et de la science. Celui qui se risquerait à exposer la terrible vérité est jugé fou ou hérétique - comme le furent les Cathares.

Par sa double nature, l'homme est donc le mieux placé pour connaître les démons et les affronter, car n'est-ce pas lui qui les nourrit par son existence même ? Seuls les hommes sont capables de connaître les secrets des démons.

« C'est par cette offrande des hommes aux dieux, de secrets arrachés aux démons, que peuvent être détournés les noirs agissements de ces démons, et ainsi, là où avaient dominé les ténèbres, peut à nouveau rayonner la lumière spirituelle. » R. Steiner, "An die Freunde", octobre 1925.

Confronter le Mal

Bien entendu, voir le Mal n'est pas agréable quand nos tendances naturelles nous portent à l'insouciance. Mais que nous le voulions ou non, il arrive un moment dans l'histoire où nous sommes face à la terrifiante réalité. Souvent, c'est à cause de catastrophes historiques qui emportent nos illusions sur leur passage, alors que nous aurions voulu nier la réalité. Certains s'obstinent à nier la vérité, ce qui les mène à se ranger du côté du Mal. Ils en deviennent les serviteurs, par ignorance ou par goût. Ils régressent et doivent être écartés.

C'est pourquoi il existe des retardataires qui demeurent à l' arrière de l'évolution et qui sont rétrogradés sur des systèmes planétaires plus lents - la lune par exemple.

Notre époque est trompeuse car nous pourrions nous croire à l'abri, hors des zones du Mal qui a sévi durant le 20e siècle, où l'atrocité fut à son comble avec le nazisme et le bolchevisme. Des prophéties apocalyptiques nous annoncent que ces atrocités passées ne sont que les prémisses du Mal à venir. La propagande médiatique nous matraque avec les abominations idéologiques du 20e siècle pour nous faire croire que le pire est derrière nous. Et le Nouvel Âge proclame par mille channels inconscients « le mal est vaincu, l'Âge d'Or est là ! ». On connaît cette propagande de diversion ...

Les marchands de faux espoirs sont les ennemis du genre humain. Ce sont des traîtres lorsqu'ils nous proposent comme solution aux fléaux de notre époque de nous adapter en saupoudrant l'horreur moderne de bons sentiments. Cela s'appelle collaborer avec l'ennemi. Le Mal leur fait si peur qu'ils n'osent plus l'évoquer, jugeant toute tentative d'investigation derrière l'aspect caché des choses comme étant du masochisme.

Il nous faut être attentif à la propagande qui tend à dissimuler le vrai visage du Mal car son but, pacifiste et généreux en apparence, est de nous désarmer. On nous livre à l'ogre comme des enfants gavés de sucreries. On nous trahit, on nous vend. À l'opposé de la spiritualité molle avec sa névrose sécuritaire, l'esprit véritablement positif accepte de voir la situation telle qu'elle est. Il anticipe sereinement l'évolution dramatique des choses. Toutefois, le démasquage du Mal ne peut s'effectuer que progressivement. Il ne faut pas perturber les êtres trop fragiles qui doivent traverser beaucoup d'expériences avant de réaliser ce qui se joue derrière le décor.

Il y eut dans le passé des fraternités spirituelles qui ont confronté le Mal en pleine conscience. C'est grâce à leurs efforts héroïques que nous ne sommes pas entièrement submergés. Ces êtres ont foré un couloir de lumière à travers les ténèbres du monde. Ils ont transmuté le Mal en Bien. Si les Manichéens avaient refusé d'aller jusqu'au bout de leur lucidité en ce qui concerne la nature des puissances qui se déchirent sur la terre et au ciel, le Mal serait aujourd'hui encore plus arrogant. Ces chevaliers de la vérité furent cruellement persécutés par les autorités civiles et religieuses de leur temps, car celles-ci n'aiment pas qu'on s'intéresse à leurs secrets. Il en fut de même pour les Templiers qui s'apprêtaient à arracher le monopole de l'or à la puissance bancaire naissante, ce qui aurait changé radicalement le cours de l'histoire.

C'est parce qu'il y a toujours eu des êtres héroïques jusqu'au sacrifice que nous bénéficions d'une marge de liberté de conscience. Sinon, la puissance mauvaise, ne rencontrant aucune résistance de la part des humains, aurait tout emporté : corps, âme et esprit. Déjà, ayant investi l'âme de l'humanité, elle veut désormais s'emparer du sanctuaire le plus intérieur. C'est « l'abomination de la désolation dans le Saint des Saints » dont parle le prophète Daniel.

À chaque époque, l'assaut du Mal prend un caractère différent, brutal ou séducteur, et il rivalise de violence ou de charme pour attaquer la citadelle de la conscience. Car le Mal veut s'approprier l'humain par lequel il espère venir à l'existence - en prenant sa place - et sans lequel il n' au rait aucun pouvoir créateur. Car le Mal ne crée rien. Il doit d'abord vider l'être de son individualité autonome afin de s'emparer de son corps et de sa conscience.

Ceux qui enseignent qu'il n'y a pas d'esprit divin en l'homme sont en proie à la plus pernicieuse des maladies : l'athéisme. L'athéisme est la conséquence d'un Mal supérieur. Par cet égarement, certains démons se déchaînent en toute liberté puisque leurs victimes, athées et matérialistes, ne croient pas en l'existence des puissances divines ou démo niaques. C'est pourquoi d'après l'exemple des totalitarismes majeurs du 20e siècle, le communisme athée a pu séduire le monde plus largement que le nazisme paganiste, car ce dernier croyait en des forces invisibles dont les bolcheviques n'avaient aucune conscience, quoiqu'ils en fussent les serviteurs aveugles.

Nous avons été alors confrontés aux deux pôles du Mal - la puissance luciférienne du passé d'une part, et de l'autre la puissance matérielle qui se projette vers le futur. Mais il survient à notre époque un troisième démon, plus perfide encore car il a appris à se servir de la force des deux démons précédents. Ce démon moderne a rassemblé les forces diaboliques du dessous et du dessus.

Le démon moderne

À travers les hommes qui ont déjà succombé à l'illusion de l'idéalisme fumeux ou ceux qui vouent un culte à la matière, il s'incarnera prochainement un esprit encore plus mauvais dont le Livre de l'Apocalypse parle comme du « signe de la Bête 666 ». C'est un « nombre d'homme », ce qui signifie qu'il émergera par l'intérieur de la conscience et non par l'extérieur comme le diable et le Satan mythiques. C'est donc le démon de la bestialité à « visage humain ».

Ce démon 666 exprime l'immoralité absolue en l'homme. C'est l'homme plongé dans la bestialité et fier de l'être. Sur ce type humain qui émerge, même Hitler prédit : « j 'ai vu l'homme nouveau, il est cruel et intrépide ». On peut en voir les signes annonciateurs à travers certaines perversités contemporaines qui demeurent encore inconnues du public.

On parle de crimes odieux commis sur des enfants - la pédophilie, par exemple. Le public entend parler de scandales comme l'affaire Dutroux, mais il ne sait rien des réseaux pervers qui touchent les hautes sphères où se pratiquent des rites abominables, étouffés par la loi du silence qui règne parmi l'élite.

Le type 666 est le politicien arrogant qui ment avec effronterie en niant ce qu'il a dit la veille. Toujours avec le sourire, la main sur le cœur, et jurant sur les grands principes de démocratie, paix, justice, liberté ... et sur le Christ !

L'humanité est en danger. Le nier revient à se placer du côté des serviteurs du « démon solaire » dont l'ombre avance à travers l'élite au pouvoir sur toute l'étendue du globe. Bientôt, de nombreux êtres serviront de médium à ce démon qui cherche à pénétrer dans le monde par l'intérieur de l'être humain. l'épreuve de cette confrontation sera sévère mais indispensable car la connaissance du Mal procurera à l'humanité la victoire sur les plans inférieurs et la possibilité d'une élévation.

Pour ce démon, l'enjeu est tout ou rien, car il risque d'être identifié pour ce qu'il est : l'adversaire absolu de l'humanité. C'est pourquoi il se déchaînera d'une manière inouïe, afin d'opérer un passage en force, un viol brutal de la conscience humaine au risque, en cas d'échec, de perdre le fruit de ses efforts séculaires. Cette intrusion a nécessité pour cet esprit 666 une longue préparation, comme il ressort de l'histoire des siècles écoulés.

On peut dire que nous n'avons encore rien vu ! L'humanité va donc être placée devant un choix : accéder à la Conscience ou se soumettre au « Prince de ce monde ».

Bien entendu, chacun croit avoir fait le bon choix, mais ce n'est pas aussi évident si on considère lucidement ce à quoi nous nous relions chaque jour - ce que l' on nous oblige à faire et à penser, comment on nous manipule.

Sommes-nous des chevaliers occupés à servir la dame intérieure - l'âme - ou retardons-nous chaque jour la décision de nous engager dans le noble combat pour notre salut spirituel ? Il est difficile de savoir où nous en sommes. C'est pourquoi les véritables chevaliers de l'esprit ne suivent pas les doctrines et les croyances qui portent à l'évasion, la dispersion, la compromission, la complaisance, la mollesse ...

Nous avons déjà donné des avertissements sur les pièges à éviter. Il est utile de rappeler aux personnes facilement séduites par les révélations du Nouvel Âge, que dans le domaine spirituel, le Mal utilise la séduction comme arme majeure. Cela explique la propagande qui inonde les circuits spécialisés et qui frappe des êtres en recherche, n'ayant pas d'expérience pour déjouer les pièges flatteurs qu'on leur tend. On joue sur les points faibles : argent, maladie, frustration, névroses diverses ... pour nous rendre dépendants de quelque chose d'extérieur. Le « démon » nous rend dépendants d'une autorité extérieure, afin de limiter le champ du libre arbitre individuel, s'interposer et finalement prendre la place de cette autorité en laquelle nous avons cru un moment.

Quant à ceux qui ne recherchent que les « petits bonheurs » de l'existence, ils doivent savoir qu'il ne reste plus de temps pour se décider à devenir sérieux car, depuis 2001, tous les signaux sont allumés. Les jeux sont faits et il ne sert à rien d'essayer de convaincre celui qui n'a pas encore compris. Le combat contre le Mal à venir ne sera gagné que par ceux qui auront pris soin de préserver leur individualité et de se réunir au sein d'une famille d'êtres conscients. Les isolés devront être très forts, plus forts que le démon 666 !

L'accélération des processus en cours va sans aucun doute pousser nombre d'indécis à une décision. La plupart iront se jeter les yeux grands ouverts dans la gueule du lion.

Le meilleur moyen pour dynamiser notre aspiration, c'est de nous exercer à la lucidité envers ces forces du Mal qui ont commencé leurs grandes manœuvres. Cette lucidité implique de ne pas s'attarder sur les aspects événementiels spectaculaires mais de rechercher la cause derrière l'apparence.

Voir la réalité contemporaine sans se voiler la face, s'informer avec précision sur l'avancée de la guerre que le démon 666 mène contre notre conscience, c'est notre devoir en ces temps apocalyptiques. Cette attitude a parfaitement été décrite dans la mythologie chevaleresque, et nous connaissons tous les vertus à cultiver et les faiblesses à rejeter. Alors, lorsqu'il paraîtra de toute sa hauteur sur la scène du monde, nous ne risquerons pas de confondre le démon solaire 666 avec Dieu.

Quant à ceux qui préfèrent aller s'entasser en troupeaux apeurés dans les stades pour invoquer l'« Esprit Saint » et demander une « guérison », il n'est plus temps de les avertir car ils sont déjà pris dans le filet. Toutes les séductions du ciel inférieur et de l'enfer s'abattent sur le monde. C'est le temps de la grande sélection, le temps du « faux prophète qui séduira les élus eux-mêmes, si cela est possible».

Les foyers de résistance du futur

Pour constituer une force capable de résister au démon 666, on doit s'unir avec des âmes apparentées, au sein de communautés en dissidence avec l'Ordre Mondial. L'esprit du Mal, qui est actuellement à l' œuvre, veut empêcher ce regroupe ment d'énergie spirituelle qualitative. La constitution de foyers de résistance est la seule alternative contre l'emprise collective du système 666.

C'est pourquoi le démon 666 incite les êtres à se réfugier dans leur petit coin, et il plonge nombre d'aspirants à la lumière, dans les expériences astrales qui les déportent vers les zones éloignées de leur être le plus intérieur.

Toutefois, avec la précipitation des événements, nombre d'êtres vont se réveiller, comme pendant l'alerte d'un bombardement où chacun sait ce qu'il doit faire pour sauver sa vie. Aux abris !

Bienvenue à bord ! N'échappera au Mal que ce qui en nous n'est pas de sa nature, la conscience qui n'a pas été contaminée par l'athéisme, la culture de masse, la politique, la religion jésuite, la science matérielle, la désinformation médiatique, les modes stupides et les mœurs décadentes, les idéalismes de replâtrage, le Nouvel Âge occulte, etc. ...

C'est une période stimulante, et sans aucun doute, des événements remarquables se préparent. Qui pourrait s'attrister lorsque le voile de la vérité se déchire et laisse entrevoir une Vie entièrement nouvelle ?

Grâce à la confrontation avec les forces du Mal, nous allons pouvoir développer une force du Bien inconnue jusqu'alors. Voilà pourquoi, au lieu de nous affliger, nous faisons face et nous nous organisons matériellement et spirituellement.

Le Bien qui naît lorsque le Mal est vaincu en conscience n'a rien à voir avec la bonté ordinaire qui est souvent un aveu de faiblesse, se manifestant comme une attitude de crainte devant la souffrance de l'existence. Cette bonté humaine est légitime compte tenu des conditions pénibles qui règnent ici-bas, mais ce n'est pas le Bien. Le Bien est la pleine Conscience dominant la puissance inférieure.

Les manifestations les plus spectaculaires du démon 666 sont encore cachées dans les tréfonds de l'esprit humain. Toutefois, cette immoralité absolue se manifeste déjà à travers la recherche scientifique et médicale, qui est le prétexte d'un déchaînement de perversités au nom du « bien ». Cela frappe en premier le règne animal dont la souffrance muette monte comme un cri ininterrompu vers les cieux.

La vengeance du karma sera certainement terrible et, déjà, la dégénérescence qui assaille en retour l'humanité en est le signe précurseur.

Qu'est-ce que 666 se demande-t-on ? C'est l'esprit de perversité qui s'est manifesté depuis le Moyen Age lorsque l'Inquisition a commencé à torturer abominablement les corps, non pour des fautes commises, ni même par haine, en temps de guerre, mais au nom du « Dieu d'Amour». Aujourd'hui c'est au nom de la Science qu'on mutile atrocement des créatures sans défense dans les laboratoires, avec la bénédiction des humanistes de l'OMS, et dans une indifférence qui prouve que 666 s'est déjà emparé de la conscience« humaine ».

Il est toujours pénible de voir des esprits civilisés, se prétendant « chrétiens », enfourner dans leur bouche de la chair d'animaux assassinés, tout en discutant des bienfaits de la méditation ...

Joël LaBruyère.



jeudi 3 juillet 2025

Si vous trouvez que les journées passent trop vite, sachez que ce n’est pas qu’une impression


Cet été 2025 va encore connaître plusieurs records de jours exceptionnellement courts





« L’Heure 
(le jour du jugement) n’aura pas lieu tant que le temps ne se sera pas contracté : l’année passera comme un mois, le mois comme une semaine, la semaine comme un jour, le jour comme une heure, et l’heure s’écoulera aussi vite qu’un tison qui s’enflamme. » (Rapporté par At-Tirmidhî – authentifié par Al-Albânî)

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La Terre tourne de plus en plus vite et on ne sait pas vraiment pourquoi

Alors qu’à long terme, notre planète tend plutôt à ralentir, la tendance s’inverse ces dernières années : sa rotation s’accélère pour une raison méconnue, peut-être liée à ses mouvements internes. Cet été 2025 va encore connaître plusieurs records de jours exceptionnellement courts.

Si vous trouvez que les journées passent trop vite, sachez que ce n’est pas qu’une impression : les observations scientifiques prouvent que la rotation de la Terre est en train de s’accélérer depuis quelques années, raccourcissant la durée des jours. Rien de détectable à l’œil nu, en réalité : ces variations sont à l’échelle de la milliseconde. Mais le plus fascinant, c’est que personne ne sait pourquoi.

A long terme, en effet, la Terre a plutôt tendance à ralentir. A l’époque où apparaissaient les premières plantes terrestres et les premiers insectes, il y a 430 millions d’années environ, notre planète réussissait à tourner 420 fois sur elle-même le temps de boucler sa révolution autour du Soleil. Il y avait donc 420 jours dans une année – on le sait grâce aux coraux fossilisés, qui en ont gardé la trace.

Depuis cette époque, la Lune s’éloigne progressivement de nous, au rythme de 3,8 centimètres par an (car le mouvement des marées est en avance sur l’orbite de la Lune, et par le jeu des forces de gravitation, cela lui fait gagner de l’élan et la décale sur une orbite plus lointaine), et la rotation de la Terre ralentit en conséquence.

La suite dans Libération (abonnés)...

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BONUS

Les 3 dimensions du temps

par Philippe Guillemant


Une nouvelle théorie physique révolutionnaire selon laquelle le temps aurait 3 dimensions agite depuis peu la communauté scientifique, entre fascination due à son potentiel prédictif impressionnant, et mépris dû à son caractère excessivement disruptif. Il s’agit en effet d’une transformation complète de notre vision de la réalité, qui va d’ailleurs dans le sens de tout ce que j’enseigne moi-même depuis des années, et notamment le fait que l’espace est une construction issue du temps lui-même (le temps étant notoirement lié à la conscience).

Les 3 dimensions de temps dont il est question ici remplacent en quelque sorte notre unique temps linéaire - illustré au plus simple par une ligne de temps - par un volume de temps : nous ne serions plus contraints à avancer vers le futur selon une ligne où tout est prédéterminé d’avance, mais nous pourrions « sauter » d’une ligne de temps à une autre, au sein de ce volume de temps, grâce à la seconde dimension du temps. Ceci correspond à la vision d’un multivers qui nous appartient, celle que je soutiens avec la possibilité de changer d’univers, au contraire de l’idée mainstream selon laquelle tous les univers seraient séparés.

Le premier temps serait purement lié à la mécanique, dont nous savons aujourd’hui qu’elle est de nature essentiellement quantique : elle reste déterministe tant que l’on n’observe pas, mais elle décrit un réel qui est différent de ce que l’on perçoit dans la mesure où il est multiple, c’est à dire composé de réalités superposées (multivers quantique). Ce déterminisme mécanique du temps ordinaire, qui à notre échelle perd ses superpositions en semblant immuable, correspond au temps « chronos » des anciens grecs.

Le second temps serait lié au passage de l’ontologie quantique à l’ontologie classique, c’est-à-dire à notre réalité perçue et donc à l’observateur : le fait d’observer contraint la réalité à se manifester de façon unique en faisant un choix. Ce choix dépend de notre attention. En général nous n’avons pas le choix car le futur reste unique à notre échelle macroscopique, mais à certains moments nous avons devant nous des bifurcations face auxquelles l’opportunité se présente de changer de ligne de temps. C’est pourquoi le second temps correspond là aussi au temps « kairos » des anciens grecs.

Le troisième temps serait d’ordre cosmologique, entrainant des changements de lignes de temps jusqu’à la plus grande échelle cosmique. Dans chaque branche d’univers concernée, le futur serait complètement différent. La configuration des lignes de temps de chaque échelle de l’univers serait alors bouleversée. C’est pourquoi cette troisième dimension du temps correspond là encore au temps cyclique appelé « aïon », le troisième temps des anciens grecs.

Selon cette nouvelle vision mathématique de l’univers, ce dernier aurait six dimensions au lieu de quatre : trois dimensions d’espace et trois dimensions de temps, et ses dimensions de temps seraient liées, voire engendreraient la matière et la masse des particules élémentaires. Chose particulièrement difficile à appréhender. Il semble encore plus difficile dans ces conditions très matérielles de relier les dimensions additionnelles du temps à la conscience, ce que je fais pourtant dans mes livres et conférences.

Mais si l’on considère la différence entre conscience et matière telle que je la conçois, et que je résume ainsi :

- La matière est de la conscience cristallisée,

- La conscience est de la matière réveillée.

Alors tout devient beaucoup plus clair, puisque notre réalité, d’apparence très matérielle, se met à acquérir non plus six mais douze dimensions :

- Six dimensions d’espace-temps-matière, avec 3 dimensions de temps et 3 d’espace, représentant la conscience gelée ou cristallisée, c’est-à-dire la mémoire du vécu de la conscience.

- Six dimensions d’espace-temps-conscience, qui sont les dimensions vibratoires de la conscience elle-même, qui lui permettent de « réveiller » la matière afin de la retravailler en rejouant ses lignes de temps auparavant cristallisées.

Auquel cas, nos sensations d’espace et de temps seraient liées aux dimensions de la conscience, alors que nos sensations de matière seraient liées aux dimensions matérielles, c’est-à-dire à l’information-matière correspondant à d’anciens vécus de la conscience, figés dans l’éternité hors du temps.

Je ne sais pas si je me fais comprendre. Je ne sais même pas si ce que je dis est correct ou au contraire à côté de la plaque, s’agissant d’une synthèse intuitive que j’ai élaboré dans un premier temps.

Or s’il existe d’autres temps, alors ladite plaque risque bien de m’échapper !?



mercredi 2 juillet 2025

Le Sanhédrin honore Trump comme « Antéchrist préparatoire »


Trump a un rôle crucial à jouer en cette fin des temps. Il doit :

1. Permettre le génocide de centaines de millions de chrétiens (en utilisant la guerre comme prétexte).

2. Permettre l'orchestration et le déclenchement de la Troisième Guerre mondiale (version chabad du « Plan Albert Pike »).

3. Permettre l'installation de l'Antéchrist final au plus tard le 2 octobre 2027, qui vise à asservir l'humanité sous ce que l'on appelle officiellement un « régime noahide », mais que l'on appelle officieusement le « nouvel » ordre mondial talmudique.



Le SANHEDRIN a frappé cette PIÈCE TRUMP ANTICHRIST gravée avec le mémo « LA DÉCLARATION CYRUS-BALFOUR-TRUMP 1917-2017 »


Cyrus est un roi perse qui a permis aux Juifs de revenir en Israël.

Ministre israélien : « Trump est le Cyrus de notre époque… et plus encore » - Israel365 News

https://israel365news.com/409995/israeli-minister-trump-is-the-cyrus-of-our-times-and-more/

« Trump a non seulement permis aux juifs d'agir selon leur volonté, et a non seulement fourni à Israël les armes dont il avait besoin, [mais] il a activement participé au subterfuge précédant l'attaque et à l'attaque elle-même », a affirmé Karhi, faisant référence à la récente campagne militaire israélienne, l'Opération Résurrection du Lion.




Le Sanhédrin honore Trump comme « Antéchrist préparatoire »


Par Patrick O'Carroll
(henrymakow.com) 



En février 2025, le SANHEDRIN de Jérusalem a reconfirmé que le fasciste Donald Trump est « le Non-juif Antéchrist Préparatoire » qui doit préparer la voie à l'Antéchrist final (le CHABAD souhaite que ce dernier soit installé à Jérusalem d'ici octobre 2027).

Le SANHEDRIN a adressé la lettre de félicitations suivante au fasciste Trump, datée du 12 février 2025, déclarant : « Vous avez été élu, comme Cyrus en son temps, POUR ACCOMPLIR UNE MISSION CÉLESTE. » :


https://israel365news.com/wp-content/uploads/2025/02/Letter-to-Trump-on-UECC1.pdf

La démonologie judaïque prévoit deux antagonistes : un Antéchrist Préparatoire [1] à chaque époque, mais un Antéchrist Final à la Fin des Temps. L'Antéchrist préparatoire est souvent juif, mais parfois non juif. Mais aujourd'hui, le CHABAD a officiellement désigné deux Antéchrists préparatoires simultanés : Donald Trump comme Antéchrist préparatoire non juif (officiellement nommé à ce poste en juillet 2024) et Benjamin Netanyahou comme Antéchrist préparatoire juif. Tout Antéchrist Préparatoire est appelé « Moshiach ben Yosef », et l’Antéchrist Final est appelé « Moshiach ben David ».

LE CULTE CHABAD DU JOUR DU JUGEMENT DERNIER

CHABAD est une secte apocalyptique gnostique-dualiste (luciférienne) qui suit les traditions du sabbatéisme-frankisme, souvent résumées par le « salut par le péché ». Le CHABADISTE doit équilibrer ses bonnes et mauvaises actions. Par exemple : s’il aide un million d’enfants khazars dans l’État antéchrist d’Israël, il ressent « naturellement » le besoin de commettre le génocide d’un million d’enfants arabo-sémites à Gaza (soit environ le nombre actuel de victimes de l’Holocauste de Gaza).


Principaux objectifs du CHABAD dans un avenir proche :

1. Lancer la Troisième Guerre mondiale afin de reprendre la suite de l’Holocauste chrétien (qui, jusqu’à présent, n’a « génocidé » que 150 millions de chrétiens pendant les Première et Seconde Guerres mondiales). Le « saint » rabbin Menachem Mendel Schneerson a dirigé le CHABAD de 1951 à 1994 et a contribué à la planification de la Troisième Guerre mondiale jusqu'en 1994 [2]. Son grand-père était le « saint » rabbin Shalom Dovber Schneerson, chef du CHABAD de 1892 à 1920, qui a contribué à orchestrer la Première Guerre mondiale et le génocide de 65 millions de chrétiens. Enfin, son père était le « saint » rabbin Yosef Yitzchak Schneersohn, chef du CHABAD de 1920 à 1950, qui a contribué à orchestrer la Seconde Guerre mondiale et le génocide de 85 millions de chrétiens.

2. Décapiter la plupart des chrétiens américains en vertu des « lois noahides » [3]. Aujourd'hui, 30.000 guillotines sont stockées sur des bases militaires américaines afin d'appliquer les « lois noahides », inscrites dans le code des lois américain en 1991 par la résolution conjointe H.J.RES.104.ENR de la Chambre des représentants. En vertu de ces « lois noahides », tous les chrétiens américains seront décapités à l'aide de ces guillotines une fois la loi martiale déclarée aux États-Unis (pas encore). Si chacune de ces 30 000 guillotines ne tuait que 1 000 chrétiens américains par jour, cela signifierait qu'il ne faudrait que 8 jours pour commettre le génocide prévu des 240 millions de chrétiens américains.

3. Installer l'Antéchrist. En 1994, le chef du CHABAD, le « saint » rabbin Menachem Mendel Schneerson, a déclaré que l'Antéchrist ne pourrait arriver que si les Juifs avaient d'abord accompli leur « saint » devoir en génocidant la plupart des chrétiens. Cela signifie forcément que le CHABAD souhaite que la plupart des chrétiens soient génocidés d'ici le 2 octobre 2027.

LE SANHEDRIN, TRIBUNAL DE SORCELLERIE

Le SANHEDRIN a été rétabli à Jérusalem en octobre 2004 en tant que tribunal « religieux » composé de « saints » rabbins désireux d'installer l'Antéchrist près de leur lieu de culte à Jérusalem. Globalement, le SANHEDRIN est plus « religieux », tandis que le CHABAD est plus politique et financier. Cependant, le Sanhedrin 17a du Talmud stipule qu'un homme doit pratiquer la sorcellerie pour être nommé au SANHEDRIN. Il est donc clair que le SANHEDRIN a bien plus à voir avec la SORCELLERIE qu'avec la « religion » (ce qui est peut-être le cas pour la majeure partie du judaïsme).

POURQUOI LE « NOUVEL » ORDRE MONDIAL TALMUDIQUE EST-IL APPELÉUN RÉGIME NOAHIDE

L'Encyclopédie juive envisage un régime noahide comme un « ordre » mondial précédant immédiatement le « règne universel du Talmud » (une hégémonie juive satanique dans laquelle le Talmud « règne », ce qui est d'ailleurs la raison même pour laquelle le « nouvel ordre mondial talmudique » est ainsi appelé). [On peut supposer ici que l'Antéchrist est en fait le Talmud.]

Dans les Hilkhot Melakhim du Mishneh Torah, le « saint » rabbin Maïmonide a statué qu'un tribunal juif devait « imposer l'obéissance » et « juger » les Gentils (ou Goyim ou Non-juifs). Maïmonide y a également décrété que toute nation non juive « non soumise à notre juridiction » serait la cible d'une « guerre sainte juive ».

Le 13 juillet 2024, le CHABAD a organisé le rituel de Butler PA. Ce membre du mouvement CHABAD et sioniste fasciste a oint Trump comme l'Antéchrist préparatoire, qui s'est soumis symboliquement à son statut d'ESCLAVE CHABAD en sa nouvelle qualité de « Machia'h ben Yossef ».

Ce rituel judaïque est mentionné dans l'Ancien Testament, par exemple dans Exode 21:6 [« Son maître le mènera devant les juges. Il le conduira à la porte ou au montant de la porte, et lui percera l'oreille avec un poinçon. Alors il sera son serviteur pour la vie. »] ; et dans Deutéronome 15:17 [« Tu prendras un poinçon, tu lui perceras l'oreille jusqu'à la porte, et il sera ton serviteur pour toujours. »] ; et également ailleurs dans l'Ancien Testament.

LE PLAN DE TRUMP POUR GAZA EST « LA TÂCHE FINALE AVANT LE MESSIE [ANTICHRIST] »

En février 2025 également, le « saint » rabbin Yekutiel Fish de Jérusalem, auteur du blog Sod HaChashmal, a salué le « PLAN DE GÉNOCIDE À GAZA » de Trump, tout en affirmant qu'il s'inscrivait dans le cadre du PROJET DU GRAND ISRAËL (la vision globale) :

Fish a déclaré : « Tout le monde se concentre sur Gaza, mais ce n'est qu'un aspect du programme de fin des temps, qui prévoit que les Juifs vivent dans les frontières prophétisées d'Israël. La Torah [ici, veut dire « instruction »] inclut explicitement Gaza. Ce que fait Trump, c'est nettoyer Gaza de tous les ennemis d'Israël [l'État antéchrist]. Ils ne pourront pas être en Israël après la venue du Messie. Après le Messie, seuls ceux qui croient en Lui et en Son nom pourront se trouver dans les frontières bibliques d'Israël. Cela inclura Gaza, la moitié du Liban et une grande partie de la Jordanie. »

https://israel365news.com/400058/kabbalist-trumps-gaza-plan-the-final-task-before-messiah/




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NOTES de H. Genséric

[1] L’Antéchrist ou Antichrist est une figure commune aux eschatologies chrétienne et islamique, bien que les deux traditions lui attribuent des formes et des fonctions différentes. Elle apparaît dans les épîtres de Jean et dans la deuxième épître aux Thessaloniciens sous des formes variables, mais puise ses origines dans la notion d'« anti-
messie » déjà présente dans le judaïsme.

Dans l'islam, diverses traditions prophétiques (hadiths) mettent en scène al-Dajjâl (« l’Imposteur ») — l'équivalent de l'Antéchrist — dont la venue est un point déterminant de l’eschatologie musulmane. Il apparaît à la fin des temps et doit être éliminé par le prophète Îsâ (Jésus) lors de son retour. Les traditions sont nombreuses à ce sujet et varient selon les confessions et les commentateurs.

L'expression "Antéchrist Préparatoire" n'est pas une terminologie courante ou définie dans les textes religieux ou philosophiques courants. Cependant, on peut interpréter ce concept de plusieurs manières en se basant sur les diverses significations de l'Antéchrist et sur des ouvrages philosophiques comme ceux de Nietzsche.


L'Antéchrist : désigne une figure eschatologique, un adversaire du Christ qui s'incarnera à la fin des temps pour s'opposer à Dieu et aux croyants. Il est lié à des « esprits antichrist » qui nient la divinité de Jésus ou l'Incarnation.

Dans un sens plus large, l'Antéchrist peut être vu comme toute force ou personne qui s'oppose à la doctrine chrétienne et à la foi en Jésus-Christ.

En résumé, bien que "Antéchrist Préparatoire" ne soit pas un terme officiellement établi, il pourrait évoquer soit la manifestation progressive de l'esprit de l'Antéchrist à travers diverses formes d'opposition religieuse, soit une démarche philosophique visant à remettre en question et renverser des valeurs établies, comme chez Nietzsche.


[2] 9 novembre – Trump appartient à la secte juive Chabad



https://numidia-liberum.blogspot.com/2025/06/patrick-ocarroll-le-sanhedrin-honore.html


mardi 1 juillet 2025

Un adorateur de Yahvé crucifie un pasteur chrétien

  

Adam Christopher Sheafe, 51 ans, a avoué avoir crucifié le pasteur William Schonemann, connu de ses fidèles sous le nom de « Pasteur Bill », l'une des 14 exécutions de pasteurs qu'il prévoyait de mener dans 10 autres États. Il a été appréhendé avant de pouvoir commettre d'autres crimes.

Le pasteur Bill a été découvert à son domicile le 28 avril par la police qui effectuait un contrôle médical. Il a été retrouvé mort dans son lit, une couronne d'épines posée sur sa tête. Sheafe a déclaré qu'il avait ciblé le pasteur de 76 ans parce qu'il pensait qu'il prêchait « le contraire de ce que Dieu a dit ».

Adam Sheafe

En caractères hébreux, Yahvé tatoué sur la gorge.


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L'interview d'Adam Sheafe par Briana Whitney




"Adam Sheafe a avoué avoir tué le pasteur Bill Schonemann, en Arizona, et l'avoir crucifié ensuite. Il décrit les efforts qu'il a déployés pour accomplir ce crime, et je l'incite à souligner l'horreur de la chose.

Sa raison ? Il croit que quiconque affirme que Jésus est le fils de Dieu mérite la mort. Mais cela faisait partie d'un plan bien plus vaste…

Adam Sheafe décrit son plan calculé visant à tuer 14 pasteurs à travers le pays, en commençant par quatre en Arizona. Il a failli en tuer un à Phoenix et deux autres à Sedona après avoir tué le pasteur Bill.

Il est allé jusqu'à préparer des couronnes d'épines pour leurs crucifixions.

Obsédé par l'Ancien Testament et par l'idée de « débarrasser la terre du mal », il prétend suivre le premier commandement..."

Premier commandement :

"Tu aimeras le Seigneur (Yahvé), ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée." 

Selon Julie Couvreur, "Yahvé était un Elohim, qui par une habile manipulation des textes bibliques, fut propulsé au rang de Dieu unique, immatériel et omnipotent, mais qui présente pourtant des caractéristiques humaines indéniables : il boit, mange, dort... et fait preuve d'un incroyable cruauté".

La face cachée de Yahvé







lundi 30 juin 2025

CHRISTIANISME : Bilan provisoire de l'opération rédemption




Le christianisme sentimental nous a désarmés, nous livrant sans défense aux mains de l'élite prédatrice qui utilise notre pacifisme ramolli pour nous faire la guerre et nous réduire à l'état de sous êtres socio-économiques.

Pendant que nous luttons pour survivre, l'élite est en guerre contre nous pour préserver ses privilèges. Elle nous a désarmés par le faux pacifisme chrétien. Le croyant chrétien ne comprend pas que son sauveur est venu apporter le glaive et non la paix. On l'a dressé à se soumettre aux autorités et il ne peut plus les considérer comme des exploiteurs sans se sentir coupable. Le chrétien ne veut pas ressentir de haine car son idéal est l'amour pour tous, en pardonnant aux puissants qui se font passer pour de bons pères de famille.

Nous avons été domestiqués. Nous avons été dressés à ramper et à nous soumettre aux caprices de l'élite, et lorsqu'un révolutionnaire pointe son glaive vers cette engeance, nous le maudissons, lui, le Caïn révolté, qui en toute justice, finira par le glaive.

C'est une chose difficile à comprendre : « pourquoi les moutons tondus et promis à l'abattoir défendent-ils leurs mauvais bergers ? » Parce que les bergers les ont dressés sur la base des valeurs dévoyées d'un christianisme sentimental et décadent. Pour les christianisés timorés, le mal est désormais virtuel. Il n'y a plus de mal, en dehors de leur imperfection morale. Il n'y a donc personne à combattre en dehors d'un satan individuel subconscient. Le chrétien s'acharne contre lui-même, il se livre une guerre intérieure pour dominer ses mauvais penchants. Il ne voit pas que ses tendances, traits et comportements négatifs lui ont été implantés par la culture où il baigne depuis des siècles. Mais il est plus simple de se culpabiliser et de se stigmatiser soi-même que de se confronter aux agents de Satan.

On peut s'attaquer à soi-même avec acharnement et même cruauté car, finalement, c'est moins risqué que de lutter dignement contre un système qui nous réduit à l'esclavage. Le Chrétien est donc essentiellement un être sécuritaire qui peut certes mener un rude combat moral, sans jamais remettre en cause ceux qui l'ont réduit à l'état de sous-être. Pire encore, il se targue de cet état vil comme d'une occasion d'acquérir la sainteté par la vertu d'humilité. Fier de sa déchéance, il remercie ses exploiteurs d'avoir rabaissé son méchant orgueil. Le drame de l'homme moderne christianisé est qu'il ne croit plus au diable.

Le vieux Satan des Anciens est donc doublement déchu. Il n'est plus qu'une image virtuelle. Puisque le Mal n'existe plus, on se soumet au pire, et on puise même dans cette acceptation de notre déchéance une fierté religieuse. Le diable a disparu du monde visible et invisible, et nul n'ose dénoncer les scientifiques, les financiers et les politiques pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire des démons incarnés. Ne sont-ils pas des humains, et ne faut-il pas pardonner ?

On entend les partisans de l'amour inconditionnel, qui seraient bien en peine d'aimer leur voisin de palier, nous conseiller l'amour de l'élite « reptilienne », ces pauvres créatures vampiriques ! 

Il est incorrect de haïr le Mal. C'est même pire que de tuer, car au moins la psychologie accordera les circonstances atténuantes au criminel. Puisque le mal est pardonné d'office, le Chrétien n'a plus d'adversaire contre lequel éprouver sa force de Bien. N'ayant plus d'adversaire, il n'a même plus besoin d'un dieu. Son Christ est donc venu pour crever une bulle. Il est venu pour rien, et c'est pourquoi les christianisés ne croient plus en rien.

S'ils implorent encore, malgré tout, un Christ à leur image, c'est pour qu'il descende sur terre leur procurer une vie tranquille dans la paix et l'abondance. 

La cause de notre apathie face au diable et ses serviteurs s'appelle « manger ». Pour manger, on est prêt à se masquer la face devant les horreurs de la civilisation. La révolte nous entraînerait dans une remise en question si radicale qu'il ne serait plus possible de mener une existence tranquille. Or, la valeur suprême est l'arrêt du conflit, la paix flasque des ventres repus. C'est pourquoi la lucidité sur le monde est réservée aux âmes guerrières, et qu'elle fait peur aux âmes sécuritaires. Ils craignent la vérité et la fuient par mille dispersions.

Toutefois, on sait que la révolte primaire qui consiste à lever le poing vers les principautés, les trônes et les dominations, est vaine. Les révolutionnaires dialectiques sont les agents de l'élite qui finance les révolutions. Il ne peut rien advenir de noble à partir du bas. La révolte spontanée de la masse n'a jamais existé. La révolution est manœuvrée par des lobbies occultes et bancaires. Les masses ne désirent que du pain et des jeux : la justice sociale.

Le Chrétien moderne est identifié à la masse. Il a même fini par croire que son Christ n'est venu sur la terre que pour apporter le confort et la sécurité, la libération sociale. Du pain et la paix, voilà le programme transcendant du Chrétien de base, qu'il soit catholique ou membre d'une secte évangélique. En ce qui concerne le Chrétien plus spirituel, aspirant à l'amour, son idéal se réduit à établir sur la terre une parodie du royaume céleste en caricaturant un amour divin, ravalé au niveau de l'humanisme. C'est le résultat de 18 siècles de faux christianisme.

Nous sommes au fond de la décadence. La faute n'en incombe pas au christianisme car, parmi les Chrétiens, peu en connais sent le sens mystérieux. 

On ignore que cette religion surnaturelle est la plus grande opération guerrière de tous les temps. Elle est la lente pénétration d'un feu céleste dans l'eau passive du monde. Cette pénétration a commencé pendant la préhistoire, à travers les révélations spirituelles de l'Antiquité.

Le grand être lumineux que les rishis de l'Inde védique voyaient venir lorsqu'ils regardaient le soleil, c'est le Christ. Au fil de trente trois émanations, s'étalant sur des dizaines de milliers d'années, cet être a touché le plan physique au temps du Golgotha. Alors, le christianisme historique est né, sans que son sens profond ne soit révélé jusqu'à aujourd'hui à cause de la récupération religieuse luciférienne. 

En effet, lorsque le grand esprit solaire émane sur la terre, les puissances terrestres captent le reflet de sa manifestation secrète et ils en font une copie qui devient une religion de masse. C'est le christianisme que nous connaissons. Ses valeurs sont absorbées dans l'ordre de la sagesse luciférienne. Toutes les religions émanant de l'esprit solaire ont été ainsi récupérées. Le Christ est un esprit étranger au monde, et le monde ne l'a pas connu et ne peut pas le reconnaître. Le monde peut seulement projeter sur le Christ les valeurs terrestres les plus hautes qui sont les valeurs civilisatrices de Lucifer, le porteur de lumière. C'est pourquoi le christianisme vulgaire est une religion luciférienne, sans doute plus élevée que d'autres à cause de son idéal de sacrifice rédempteur, mais qui devait inévitablement déchoir en humanisme et en sentimentalité, c'est-à-dire en une doctrine mondaine, inversion et trahison de son impulsion originelle.

Le christianisme n'existe pas encore. Nous n'en connaissons que l'ombre terrestre, car la lumière de Lucifer est l'ombre de la lumière surnaturelle. 

La question est : l'Opération Rédemption a t-elle porté ses fruits, et à quoi va t-elle aboutir ? La suite au prochain épisode d'Armageddon.

Joël LaBruyère.


dimanche 29 juin 2025

« La Famille », une secte en plein Paris





La "Famille", c’est ainsi qu’ils se nomment. Entre deux et trois mille en plein Paris, ils attendent patiemment l’Apocalypse, pratiquant l’endogamie à tout va et la reproduction sociale, comme une science mathématique. Pas de mariages avec les « gentils », donc, nous autres, ceux du Monde. Regroupés en huit familles, on vit plus que secrètement, on ne rencontre personne à part ceux du cercle fermé, on se fait discret, dans l’espoir d’une fin du monde qui tarde, mais dont on espère qu’elle fera de soi et des membres de la communauté les élus d’un renouveau planétaire.

Ces mariages intrafamiliaux ne sont pas sans conséquence : les tares, les handicaps, les maladies génétiques se multiplient au sein du groupe, sans qu’aucun n’en prenne ombrage. C’est le prix à payer pour conserver une certaine pureté, croient-ils ; huit familles, c’est bien peu pour fouetter le sang, mais c’est suffisant pour asseoir sa domination prochaine sur la Terre.

C’est en plein XVIIe siècle qu’il faut chercher les racines du mouvement, à l’abbaye de Port-Royal. Le courant janséniste, durement réprouvé par le pouvoir royal et l’Église catholique, donne lieu à toute une série de dissidences hétérodoxes, pour le moins farfelues. Au premier rang d’entre elles, les Convulsionnaires du cimetière Saint-Médard, à Paris. Essentiellement composé de femmes, ce groupe mystico-religieux est saisi de transes qui résistent à la médecine de l’époque.

Certaines adeptes se font brutalement tabasser durant leur délire, à coups de bâton ou de bûche, pour éprouver leur foi, frappant de stupeur les témoins de ces scènes à la violence inouïe. Le groupe essaime dans tout Paris et en province, avec ses prophètes et ses croyants, particulièrement à la fin du XVIIIe siècle à Fareins, près de Lyon, avec les frères Claude et François Bonjour, qui fonderont la secte des "Bonjouristes", active jusqu’au milieu du XIXe siècle. À Paris, c’est dans l’Est de la capitale que se rassemblent les adeptes de la communauté, à quelques familles donc, et ce, encore de nos jours.

Y a-t-il matière à s’inquiéter ? La Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires – Mivilude – le pense, elle qui s’est saisie de l’affaire et qui mènerait son enquête.

L’endogamie galopante au sein du groupe représente un sérieux problème de santé publique, et le repli sur soi, une raison de s’interroger sur le devenir des enfants au sein de la communauté. Comme si ce n’était pas suffisant, les rumeurs d’abus de toutes sortes – sexuels, en premier lieu – sont en nombre, et plusieurs témoignages d’anciens zélateurs de la secte vont dans ce sens.

À ceux qui franchissent le Rubicon et qui quittent le mouvement est promis la damnation éternelle, et, exclus de la communauté, ils perdent tout contact avec leurs proches. Refermé sur soi, le groupe n’accepte aucune dissidence. On demeure dans le secret de la naissance à la mort. La pratique quotidienne est marquée par un christianisme étrange, fondé sur une série de textes que l’on se passe de génération en génération, galimatias de cantiques et d’extraits de l’Ancien Testament. On attend patiemment la fin du monde avec une progéniture qu’on veut nombreuse, la contraception n’étant pas à l’ordre du jour.

Qu’il est étonnant de constater qu’en plein Paris, un groupe de personnes réussit à se couper de notre société hyperconnectée, pour faire survivre des croyances absconses et délétères, au risque de voir se multiplier les excès de toutes sortes, en dehors du respect de toutes les règles communes, à commencer par celles qui régissent le mariage. Car, à huit familles, les unions entre cousins et cousines germaines sont de bonne coutume, et les arbres généalogiques s’entremêlent dans des nœuds bien difficiles à démêler. Il n’est pas question ici de vivre sa spiritualité de manière originale, mais bien d’abus de pouvoir sur des esprits trompés, et de mise au carcan d’existences calfeutrées, évoluant en vase clos dans un climat étouffant.

Bref, d’une secte, quoi qu’en disent ceux qui y appartiennent. À vouloir à toute force sauver le monde, on finit par se couper de lui, et par entraîner ceux qui se pensent élus dans les pires des tourments. C’est au moins cette leçon que nous donne ce groupe étrange ; vivre sa foi est une élévation majeure, à la condition que cela ne mène pas à l’asphyxie mentale et à la coercition au nom de ses croyances. La "Famille" en est l’exemple le plus frappant, elle qui enferme et enchaîne dans le mépris de toute liberté individuelle.


https://www.la-croix.com/Debats/Famille-secte-plein-Paris-2021-02-15-1201140788




samedi 28 juin 2025

Rudolf Steiner et les vaccins

 



Voici comment vous pouvez voir clairement quelles étaient les intentions des esprits des ténèbres dans les régions de l’esprit lors du combat qu’ils menèrent contre les partisans de Michaël dans les années 1840, 1850, 1860 et 1870.

Depuis l’automne 1879, ils sont ici-bas, parmi les hommes. Mais ils n’ont pas obtenu ce qu’ils visaient : le spiritisme ne sera pas admis par tous les hommes ; et les humains ne deviendront pas intelligents, du point de vue matérialiste, au point de se dépasser eux-mêmes. Les vérités spirituelles prendront pied parmi les hommes. Mais en revanche, les esprits des ténèbres sont parmi nous, ils sont présents. Il nous faut veiller afin de remarquer où ils se trouvent sur notre chemin, afin de concevoir où ils sont présents. Car la chose la plus dangereuse dans un proche avenir, ce sera d’être abandonné à leurs influences sans en avoir conscience. Leur réalité n’est pas modifiée du fait que l’homme les connaît ou ne les connaît pas. Avant tout, il s’agira pour eux de créer la confusion, de faire dévier ce qui se répandra sur la terre en vue de rendre possible l’action juste des esprits de lumière.

J’ai déjà mentionné une de ces déviations, une des plus étranges. Je vous ai exposé que certes les corps humains se développeront de façon à ce que certaines réalités spirituelles y trouveront place, mais que la mentalité matérialiste qui se répandra de plus en plus selon les indications des esprits des ténèbres, s’opposera à cette évolution par des moyens matériels.

Je vous ai expliqué que les esprits des ténèbres souffleront à leurs hôtes, aux hommes qu’ils habiteront, de découvrir un vaccin qui puisse dès la prime jeunesse, par la voie du corps, extirper la tendance à la spiritualité.

On vaccine aujourd’hui contre telle ou telle maladie, à l’avenir, on vaccinera les enfants à l’aide d’un produit que l’on peut très bien composer, et qui empêchera les enfants de développer en eux les « folies » de la vie spirituelle, « folie » dans la perspective matérialiste, bien entendu . La chose a déjà commencé, dans le domaine littéraire du moins, où elle est moins nocive. Des écrits de médecins très savants ont déjà paru qui traitent de la pathologie de différents génies. Conrad Ferdinand Meyer, Victor Scheffel, Nietzsche, Schopenhauer, Goethe, on a essayé de les comprendre tout en faisant état de tel ou tel trait pathologique avéré. Et ce qui est le plus bouleversant dans ce domaine, c’est qu’on a aussi essayé de comprendre le Christ Jésus et les Evangiles en se plaçant au point de vue de la pathologie.

Il existe déjà deux livres qui ramènent la naissance du christianisme à l’activité au début de notre ère, d’un être psychiquement et spirituellement anormal qui aurait vécu en Palestine sous le nom de Jésus, et qui aurait somme toute inoculé le christianisme aux humains en agissant par ses anomalies psychiques. Il existe donc deux livres consacrés à la pathologie du Christ.

Je le disais tout à l’heure, ce sont là d’innocents débuts littéraires. Mais tout cela vise à trouver pour finir le moyen de vacciner les corps afin que ne s’y développe pas la tendance aux idées spirituelles, et que leur vie durant les hommes ne croient qu’à l’existence de la matière que perçoivent les sens. Tout comme on vaccine contre la phtisie, on vaccinera contre la tendance à la spiritualité. Ceci, à titre d’indication parmi beaucoup de choses qui apparaîtront dans un proche avenir et au-delà dans ce domaine, afin que la confusion se crée dans les forces qui, grâce à la victoire des esprits de la lumière, veulent descendre des mondes spirituels sur la terre. (…) 

C’est précisément quand apparaît la possibilité d’une vie spirituelle que les esprits des obstacles sont particulièrement à l’œuvre. 

Rudolf Steiner, LA CHUTE DES ESPRITS DES TENEBRES.

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Qu’en déduisent certains anthroposophes ?


« Ne voulant pas réitérer la douloureuse expérience de l’assassinat de son prophète Jésus-Christ, les forces d’intelligences surnaturelles extraterrestres qui gouvernent et guident l’humanité dans son évolution depuis la nuit des temps, ont trouvé la solution habile de multiplier les incarnations – sous forme de « micro incarnations messianiques » – à travers la planète pour éviter le « ciblage ». Un peu comme était la raison d’être d’internet en cas de conflit armé en multipliant les postes de communication.

Ces incarnations peuvent être appelées « Enfants-Lumière« . Elles possèdent des positions planétaires particulières à leur naissance qui, en créant dans leur Cerveau vibratoire, l’ouverture des canaux quantiques par distorsion de l’espace-temps (?!), leur permettent une plus grande réceptivité de ces nouvelles Energies de Conscience. D’autant que chaque septénaire est ponctuée par une maladie infantile qui participe à leur évolution. Ces enfants ne fonctionnement pas sur le principe du carbone, mais de la silice.

La vaccination est une catastrophe pour ces enfants du futur, on s’en douterait ! Ainsi matraquées, prisonniers de cette gangue biologique formée par les poisons vaccinaux (comme une bactérie qui s’enkyste ou une capside virale qui enferme l’ADN), ils tombent très souvent dans l’autisme. Leur âme céleste ultra-sensibles est prisonnière de murs formés par les toxiques vaccinaux.

C’est donc pour éviter l’évolution spirituelle des peuples et la sortie anticipée du matérialisme (le « Veau d’Or ») programmé dans les nouvelles Consciences de l’ère du Verseau, que les forces de l’argent (pour être politiquement correct), ont mis au point cette machination diabolique qu’est la vaccination massive pour, à la fois, anesthésier les consciences du futur, et surtout éradiquer l’émergence du Cerveau Vibratoire Quantique des Enfants Lumière, support actif de cette Conscience nouvelle. Ces enfants se referment alors et se murent dans l’autisme, souvent gravement : l’enfer pour les parents et un coût énorme pour la société…

Mais il était plus « rentable » pour les lobbies mondialistes, d’assumer les différents effets secondaires VISIBLES des enfants vaccinés: autisme, morts subites, encéphalites, dégénérescence neurologique… comme largement expliqué sur ce site, dans la partie « Vaccins » – et d’avoir l’assurance que le processus « invisible » d’évolution (qui mettrait le matérialisme en danger) serait totalement « matraqué »- que de risquer une émergence non contrôlée d’un nouveau Messie non « spirituellement correct ».

Par l’introduction forcée de bactéries/virus qui opèrent une inversion du sens de l’Evolution, le matraquage de ce Cerveau Vibratoire ultra-sensible, fait involuer l’Etre en devenir. L’enkystement psycho/neuronal a comme autres conséquences : ignorance, drogue, addiction, abrutissement, standardisation comportementale, perte de la vitalité, perte de la joie, de l’enthousiasme… et entrée dans la « pensée unique »…

La vaccination massive imposée par la théorie Pasteurienne (qui était franc-maçon !), au détriment de la théorie du « terrain » de Claude Bernard, semble non seulement être une arnaque scientifique et financière, savamment organisée (au même titre que l’arnaque du « mauvais cholestérol »), mais le « remake » d’une folie monstrueuse biblique, « relookée » par les forces sataniques mondialistes pour éradiquer subrepticement le nouveau Messie qui doit théoriquement se réincarner pour nous ouvrir la Voie des nouvelles énergies de Conscience et nous conduire sereinement dans l’ère du Verseau comme le fit le Christ pour l’ère du Poisson.

Ce complot contre la Vie, dépasse l’entendement. Mais ce n’est que "reculer pour mieux sauter" … 

vendredi 27 juin 2025

24 février 2022, défaite de l’Occident et fin du Monde ancien




par Régis de Castelnau


Le fait que l’Occident fut à ce point surpris, par l’intervention militaire russe en l’Ukraine, témoigne de la perte d’une capacité d’analyse obscurcie par l’arrogance inconsciente de ce que l’on appelle «l’occidentalisme». Le réel échappe à tel point à nos élites, qu’elles se vautrent dans une propagande totalement grotesque. C’est Ursula von der Leyen un des leaders de cet Occident, aveuglée par une russophobie parfaitement raciste, qui prétend officiellement que les Russes volent et démontrent des machines à laver pour récupérer les plus et équiper leurs missiles ! Quand on y réfléchit, force est de constater que cette vertigineuse imbécillité est partagée par les élites européennes et américaines et relayées sans aucun complexe par leurs systèmes médiatiques. Il ne faut pas se tromper, il y a certes un souci de propagande, une volonté d’imposer «un récit», mais ces gens croient. Et que dire de Macron sociopathe cocaïné, qui psalmodie d’ineptes rodomontades, en menaçant de déployer la pauvre armée française sur le territoire ukrainien pour affronter l’ours russe, avec ses 15 000 hommes mobilisables et ses huit jours de munitions ! À quoi s’ajoute également par un rapport au temps qui passe, envahi par ce que l’on appelle le «présentisme», c’est-à-dire la limitation de la mémoire historique à ce qui s’est passé la semaine précédente. Avec ces dirigeants, assurant le service de leurs oligarchies respectives et accompagnés par leurs petites bourgeoisies urbaines respectives, qui ont pris l’habitude de plaquer sur le réel une morale unilatérale et utilitaire pour nous faire oublier le monde qui existe en dehors de l’Occident et le caractère tragique de l’Histoire de ce dernier. Le but étant évidemment de proclamer la supériorité de la «civilisation occidentale», pour poursuivre ainsi sa domination. Le problème est que le reste du monde, n’est pas d’accord et s’organise pour tourner la page.

Petit retour 500 ans en arrière

À la fin du XVe siècle, l’Europe s’est lancée à la conquête du monde dans le cadre de ce que l’on a appelé la «deuxième mondialisation» après celle de l’antiquité romaine. Pendant que la civilisation chinoise qui disposait pourtant de bases matérielles plus importantes, et dont les flottes parcouraient les mers, décidait de se refermer et de se contenter d’être l’Empire du Milieu. Juste un petit détail qui en dit long, lorsqu’au milieu du XVe siècle, la dynastie Ming mis fin aux expéditions maritimes, en fermant ses ports et ses frontières aux bateaux et aux voyageurs étrangers, construire une jonque était puni de mort. Pendant trois siècles, les Européens sillonnèrent les mers du globe et s’implantèrent massivement dans le Nouveau Monde débarrassé de ses habitants par la conquête, le génocide et les germes. Au XIXe siècle ce fut l’avènement du fameux triptyque décrit par Éric Hobsbwam. Avec la révolution industrielle (l’ère du Capital) et son accouchement faisant subir aux populations de l’Europe et du Nouveau Monde une énorme violence sociale. Puis la colonisation occidentale sur l’ensemble de la planète avec son cortège de violences et ses contradictions (l’ère des empires). Et enfin la mise en place des structures politiques en Occident dont nous continuons aujourd’hui à faire usage (l’ère des révolutions). Ce fut la troisième mondialisation qui vit des migrations considérables, l’Europe déversant sur le monde ses populations excédentaires.

Le «court XXe siècle», commencé le 1er août 1914 pour se terminer le 8 novembre 1989 fut le théâtre de deux guerres mondiales mettant la planète à feu et à sang, et d’une guerre froide qui nous fit frôler plusieurs fois la catastrophe nucléaire. Depuis la fin du XIXe, une fois réglé son problème interne avec la guerre de Sécession, les États-Unis d’Amérique ont mis en œuvre une stratégie claire, celle de la conquête de l’hégémonie sur l’ensemble occidental, devant déboucher sur la conduite des affaires du monde. Ce n’est pas exonérer Joseph Staline de ses crimes et de la mise en coupe réglée des pays conquis lors de la guerre contre l’Allemagne nazie, que de rappeler que la guerre froide fut d’abord voulue et déclenchée par les États-Unis. Le choix de Truman comme vice-président d’un Roosevelt malade dont on savait qu’il ne finirait pas son quatrième mandat en fut le premier acte. Par une manipulation de la convention démocrate 1944, Henry Wallace considéré comme soviétophile et partisan de la pérennité de la «Grande alliance» fut écarté au profit d’Harry Truman. Plus tard, l’effondrement et le démantèlement de l’URSS furent considérés par les États-Unis comme la victoire qui leur était due et signifiait la fin de l’Histoire avec la consécration définitive de la domination occidentale sur le monde, sous conduite américaine. Cette conviction explique les actes de piraterie internationale que les USA ont multipliés depuis 30 ans sans qu’aucune de ces violations du droit ne subisse ou n’encoure la moindre sanction. Tout comme la façon dont la Russie fut piétinée dans les années 90, et pourquoi l’arrivée à sa tête d’un colonel du KGB décidé à restaurer un État, fut perçue comme illégitime et une atteinte aux intérêts fondamentaux de l’Amérique.

Le piège de Thucydide ?

Le piège de Thucydide est un concept de relations internationales tiré de son livre "La Guerre du Péloponnèse" qui décrit l’affrontement entre Sparte puissance dominante, et Athènes puissance émergente, la première étant poussée à la guerre par la peur suscitée par l’ascension de son rival. C’est ce qui arrive aujourd’hui aux États-Unis avec l’émergence de la Chine.

On attribue à Lénine la citation selon laquelle : «Les capitalistes nous vendront la corde avec laquelle nous les pendrons». Si elle ne s’est pas appliquée à l’Union soviétique, le moins que l’on puisse dire est qu’elle colle parfaitement à la façon dont l’Occident a facilité le décollage de la Chine et le retour de l’Empire du Milieu dans l’Histoire. Par souci du profit immédiat, à coups de délocalisations et d’investissements, il a transformé ce pays en atelier du monde. Favorisant son décollage et lui permettant en un temps très court de rattraper ses retards. Occident incapable, probablement aussi par racisme inconscient, de comprendre que la Chine avait une revanche à prendre sur ce qu’il lui avait fait au XIXe siècle pendant «le siècle de la honte» (la puissance occidentale s’exprimant notamment à l’époque dans les Guerres de l’Opium, imposant à la Chine les règles libre-échangistes de son commerce par la force), et que le souci de cette civilisation bimillénaire était de reprendre la place qu’elle considère lui être due.

Le réveil des adeptes occidentaux du court-termisme a été brutal et douloureux. Et c’est ainsi que la question russe est devenue primordiale. Tous les étudiants russes qui envisagent des études historiques, politiques ou diplomatiques sont tenus de lire intégralement le livre de Zbigniew Brzeziński Le grand échiquier où le conseiller écouté des présidents américains expose avec franchise, voir cynisme, la théorie selon laquelle l’amélioration du monde et sa stabilité dépendent du maintien de l’hégémonie des États-Unis. Tout pays devenant concurrent est dès lors considéré comme une menace pour la stabilité mondiale. Et pour lui, la Russie doit être neutralisée, voire démantelée. Pour la bonne raison qu’il faut la détacher d’une Europe qui ainsi ne peut pas redevenir une puissance, restant ainsi soumise à l’hégémonie américaine. Les États-Unis pouvant ainsi se tourner vers le Pacifique et la Chine où ils savent qu’aura lieu l’affrontement prévu par Thucydide.

Pour les Russes, tout ce qu’ils considèrent avoir subi depuis la chute de l’Union soviétique se rattache à ce choix stratégique, et nourrit un sentiment d’insécurité traditionnellement très fort. Sentiment aggravé, il ne faut jamais l’oublier, par l’épouvantable catastrophe que fut pour eux la Deuxième Guerre mondiale. Par la suite, les pays d’Europe centrale à qui l’Union soviétique avait imposé le socialisme n’étaient rien d’autre qu’un tampon en forme de glacis défensif. Perdu avec la chute de l’URSS. Le coup d’État organisé en 2014 par les États-Unis en Ukraine, l’installation dans ce pays d’un gouvernement anti-russe corrompu et à leur botte, la volonté de le faire rejoindre l’OTAN pour y installer des armes offensives dirigées contre eux, tout ceci a convaincu les Russes que l’affrontement devenait inévitable. La façon dont ils s’y sont préparés sur les plans militaires économiques et financiers aurait dû attirer notre attention à tous. Le refus des pays occidentaux qui en étaient pourtant les garants d’appliquer les accords de Minsk ont probablement fini de les convaincre du caractère inéluctable de la solution militaire. Et que leur ennemi ne serait pas seulement le régime ukrainien mis en place par le coup d’État, mais tout l’Occident combiné, avec l’OTAN son outil militaire.

L’espoir que le pire ne soit pas toujours sûr nous a aveuglés sur ce qui nous attendait. La force du sentiment de supériorité occidentale si présent dans les têtes a empêché de comprendre le sens de l’offensive diplomatique russe de la fin 2021. Les demandes écrites de la Russie exigeant des réponses également écrites, dont manifestement leurs dirigeants savaient qu’elles étaient vouées à l’échec, tout cela constituait une maskirovka, c’est-à-dire une opération d’intoxication destinée à masquer les préparatifs militaires. Une opération du type de celle déclenchée le 24 février 2022, nécessitait plusieurs mois de préparation et la décision de principe avait probablement été prise depuis longtemps.

La fin de l’ère occidentale ?

Il est difficile de prévoir les stratégies militaires mises en œuvre par la Russie en Ukraine, mais celle-ci est de toute façon celle qui permettra d’atteindre ses objectifs. D’abord ce présentés par Vladimir Poutine dans son discours du 23 février 2022 Mettre fin à l’existence d’une Ukraine antirusse, laquelle ne perdrait pas nécessairement son statut d’État, mais serait transformée, réorganisée, neutralisée et redeviendrait partie intégrante du monde russe. Les Russes sont gens d’action, et il vaut mieux les écouter quand ils parlent. Il aurait fallu le faire lors du discours de Vladimir Poutine à Munich en 2007. Et dès ce moment-là, comprendre que parier sur la poursuite de l’effondrement de la Russie était une erreur. L’échec voulu par les occidentaux du traité de paix signé à Istanbul au printemps 2022, a imposé à la Russie une guerre d’une autre nature. Trois ans après son déclenchement force est de constater qu’il s’agit de tout autre chose désormais qu’une guerre entre deux États limitrophes. Et que nous assistons à un changement historique d’une portée considérable. Une phase de plus de 500 ans, celle de la mise en place de sa domination par l’Occident sur la planète, et en voie d’achèvement. Et ce qui se passe en Ukraine est une expression particulière du processus en cours.

Comme le démontre le vote de la dernière condamnation de l’invasion russe par l’assemblée générale de l’ONU. Il faut regarder en détail qui a condamné, qui sanctionne, qui a refusé de condamner, mais surtout qui s’est abstenu. Reflet d’un monde multipolaire où l’on constate que seul l’Occident s’oppose réellement à la Russie. Parce que pour les autres, ce n’est pas autre chose qu’un conflit entre celle-ci et l’Occident. La Chine, l’Inde, l’Amérique latine, l’Afrique, le monde islamique et l’Asie du Sud-Est, plus personne ne reconnaît réellement le pouvoir que s’auto-attribue l’Occident à régenter l’ordre mondial. Et n’acceptera plus qu’il en fixe longtemps encore les règles du jeu.

Une fois de plus, il faut rappeler qu’il ne s’agit plus de morale, de celle dont les occidentaux savent faire peu de cas quand ça les arrange. Comme vient de le démontrer le soutien massif apporté au génocide entrepris par l’État d’Israël contre la population palestinienne. D’ailleurs une fois de plus, les élites occidentales, toujours inconscientes du réel et incapables de s’affranchir de leurs rêves absurdes, ne mesurent absolument pas la catastrophe morale absolue qu’elles subissent. Le coût sera élevé.

La Russie a donc défié l’Occident, et accepté l’affrontement militaire avec lui. Car il ne faut pas se tromper, c’est une guerre par proxy des deux côtés. L’Ukraine zelenkyste se bat, et ses soldats meurent pour le compte des oligarchies occidentales. La Russie quant à elle se bat pour affronter le risque existentiel que lui faisait courir la stratégie américaine. Mais elle le fait aussi pour le compte du sud global, qui fort normalement reste prudent, mais le conçoit bien aussi de cette façon.

Il s’agit bien d’une mutation historique, soulignée par le président chinois reçu au Kremlin en mars 2023 avec sa fameuse déclaration à Vladimir Poutine : «Le changement est en marche, un changement comme on n’en a pas vu depuis 100 ans. Et ce changement nous le conduisons ensemble». Que dire spectacle de la réaction de l’Occident à base de délires guerriers impuissants, de sanctions improductives, voire mortifères, pour ceux qui les prennent, et d’affichage d’une médiocrité tragique lorsque l’on voit qui sont les dirigeants de ces puissances ? Un bateleur erratique succédant à vieillard sénile pour diriger celle qui se veut le gendarme du monde. Des élites américaines et européennes incompétentes basculant au coup de sifflet dans une hystérie inepte, à base de propagande grossière, de glapissements et d’incantations. Des États européens multipliant à grands sons de trompe des sanctions qui sont autant d’obus de mortier qu’ils se tirent dans les pieds, et qui n’auront aucun effet sur la détermination russe. Tout cela constitue autant de symptômes permettant de penser que l’ère de la domination occidentale mondiale est en train de s’achever. Fruit du piège de Thucydide, ce processus ne se passera pas simplement, sera dangereux et chaotique, et il constitue pour notre pays, puisque nous sommes un pion dans le système occidental, et dirigés par un psychopathe incompétent, un défi particulier.

L’intervention russe en Ukraine est finalement l’étincelle qui a mis le feu à la plaine. Livrons-nous à un petit exercice intellectuel en nous rappelant l’état du monde à la fin de l’année 2021, et comparons-le avec la situation d’aujourd’hui. Ce n’est plus le même.

Le 24 février 2022 est un événement qui a déclenché la mise à jour historique du déclin de la civilisation occidentale sous hégémonie américaine.

Et lancé le processus de sa sortie de l’Histoire.

source : Régis de Castelnau


jeudi 26 juin 2025

"Les Français doivent se serrer la ceinture"


Bayrou, Premier ministre :




Larchet, président du Sénat, deuxième personnage de l'État dans l'ordre constitutionnel :



(...) un rentier de la République, qui s'est offert un coûteux fauteuil de luxe pour poser son royal fessier, nous explique qu'en période de déséquilibre budgétaire, il faut "faire mieux avec moins". 

Pour "faire mieux avec moins", on pourrait déloger de son trône Gérard Larcher, ce pilleur de deniers publics, dont la seule activité professionnelle consiste à se goinfrer à la "cantoche gastronomique" du Sénat. 

Pour "faire mieux avec moins" on pourrait réduire le budget du Sénat et supprimer les avantages et les privilèges délirants des sénateurs.

Ras-le-bol d'entendre des assistés improductifs parler de rigueur budgétaire et demander des efforts aux Français pendant qu'ils se gavent d'argent public et qu'ils vivent dans l'opulence aux frais du contribuable...


Nathalie Renard


Quant au président de la République française

"Macron est une m*rde", affirme le journaliste Vladimir Soloviev dans un entretien avec Xavier Moreau. 



"Dans cet entretien, explorez comment les dynamiques géopolitiques façonnent silencieusement notre monde, poussant parfois des nations à agir contre leurs propres intérêts affichés. Le conflit n’est pas la quête d’équilibre, mais un levier cynique utilisé pour remodeler les alliances et satisfaire des intérêts stratégiques, économiques et financiers. Derrière chaque décision, chaque mouvement diplomatique, se cache un jeu de pouvoir où la perception publique est manipulée, et la vérité, déformée. Comprendre ces mécanismes, c’est dévoiler les coulisses de l’Histoire en marche, et saisir que la paix proclamée est souvent le masque d’une réalité plus complexe.

À travers un décryptage affûté, nous révélons comment ces ingérences occultes transforment la géopolitique moderne : de la course aux ressources à l’exploitation des tensions régionales, tout est mis en scène pour servir des desseins invisibles. Il ne s’agit pas seulement d’observer le monde, mais de le lire avec attention, de questionner ce que l’on nous présente comme inéluctable.

Dans cet entretien exclusif tourné pour Géopolitique Profonde, Xavier Moreau et Vladimir Soloviev scrutent ces rouages géopolitiques avec précision, pour révéler les véritables forces à l’œuvre, celles qui façonnent la diplomatie globale et les rapports économiques mondiaux, loin des discours officiels.

Une plongée dérangeante dans les jeux de pouvoir – et pourtant, le voile est sur le point de se déchirer…"



Rubrique : Décadence de l'Occident



mercredi 25 juin 2025

Que se passe-t-il quand on meurt ?


Selon le Sud-Coréen YoungHoon Kim, ayant le QI le plus élevé au monde, "la mort n'est pas la fin".



Qui est Younghoon Kim ?

Le Dr Younghoon Kim est né le 25 mai 1989 en Corée du Sud et est largement reconnu comme l'un des esprits les plus brillants au monde. Son QI de 276 est officiellement reconnu par plusieurs organisations prestigieuses, dont le World Mind Sports Council et les World Memory Championships. En 2024, il a été officiellement intronisé au Temple de la renommée pour avoir détenu le titre de « Personne ayant le QI le plus élevé au monde actuellement ». Ce record a consolidé sa place parmi les personnes les plus intelligentes jamais enregistrées.

Au-delà de son intelligence exceptionnelle, le Dr Kim est reconnu pour son expertise diversifiée, couvrant des domaines tels que les sciences cognitives, la psychologie, les neurosciences, la linguistique, la philosophie et même la théologie. Son approche multidisciplinaire lui a valu des postes importants dans les cercles intellectuels et lui a valu des postes au sein d'organisations comme l'United Sigma Intelligence Association (USIA), qui regroupe certains des esprits les plus brillants au monde.

La contribution de Younghoon Kim aux sciences cognitives

Le QI du Dr Younghoon Kim n'est pas seulement un accomplissement personnel, il a également permis d'avoir un impact plus large sur la société. Sa profonde compréhension du cerveau et de l'intelligence l'a conduit à mener des projets innovants appliquant ses recherches et ses découvertes à des contextes concrets. Par ses travaux, il cherche à approfondir notre compréhension de l'esprit humain et à promouvoir le développement cognitif au sein de populations diverses.

Il est professeur honoraire Tony Buzan en pensée créative à l'Académie et Université Tony Buzan, contribuant ainsi à la formation de la prochaine génération de penseurs. Son influence s'étend à l'échelle mondiale, ses travaux étant présentés dans des médias de premier plan tels que Reader's Digest, The Economist, CNN et CNBC.

NeuroStory de Younghoon Kim : révolutionner la santé cérébrale
L'une des initiatives les plus innovantes du Dr Kim est la création de NeuroStory, une entreprise de santé cérébrale numérique. Reconnue par le ministère sud-coréen des PME et des startups, NeuroStory est une entreprise unique qui se concentre sur l'amélioration de la santé cérébrale grâce à des technologies de pointe comme l'intelligence artificielle (IA), l'apprentissage automatique, le big data et la neurotechnologie.

La mission de NeuroStory est de combler les lacunes en matière de santé cérébrale en fournissant des solutions numériques accessibles, notamment aux populations dont l'accès aux soins médicaux est limité en raison de facteurs socio-économiques. La vision du Dr Kim est de réduire les déséquilibres mondiaux en matière de santé cérébrale en sensibilisant et en proposant des programmes gratuits favorisant l'entraînement cérébral et la santé cognitive globale, notamment auprès des communautés défavorisées.

La personne la plus intelligente : qu'est-ce qui distingue Younghoon Kim ? Ce qui distingue Younghoon Kim des autres intellectuels, c'est sa capacité à synthétiser les connaissances issues de diverses disciplines et à les appliquer à des solutions innovantes bénéfiques pour la société. Son QI, souvent considéré comme le plus élevé jamais enregistré, témoigne d'un esprit doté d'une capacité de raisonnement et de résolution de problèmes extraordinaire.

Cependant, le véritable génie du Dr Kim ne réside pas seulement dans son intelligence, mais dans sa façon de la canaliser pour avoir un impact tangible. Son engagement en faveur de l'amélioration de la santé cérébrale mondiale, grâce à son projet NeuroStory, n'est qu'un exemple de son engagement en faveur de la responsabilité sociale. En se concentrant sur les solutions numériques pour la santé cérébrale, le Dr Kim vise à créer un monde plus équitable où le bien-être cognitif est accessible à tous, quelle que soit leur situation financière.