samedi 22 juin 2024

L'enfer et le satanisme


Comment une âme se retrouve en enfer


A propos du Satanisme

Il s’agit en général d’une religion perverse, en tout cas rétrograde, rejetant l’essence cosmique (spirituelle) et déifiant le daïmon planétaire. […] Si la sorcellerie proprement dite se classe plutôt parmi les sciences occultes (basées sur l’exploitation du tellurisme), le satanisme apparaît franchement comme une passion religieuse car son arcane est la haine – haine de toute hiérarchie cosmique. Le satanisme fera pacte avec les « ténèbres », les enfers ou « fleuves » souterrains du tellurisme, le sombre empire de Satan où se désagrègent les ombres mortes. Il versera rituellement un peu de son sang, exprimant ainsi son renoncement à l’infini céleste ; le sang humain contient en effet une vertu cosmique. En somme, par ce renoncement aberrant, le sataniste perdra peu à peu le contact avec les éléments supérieurs de son âme, ceux qui échappent au géocentrisme. Il sera mort spirituellement et, si les choses vont loin, il se muera en zombie, en mort-vivant ! Le pacte avec Satan entraîne pour le psychisme une reconversion négative qui, dit la tradition, s’inscrit dans la peau sous la forme de taches, auxquelles les satanistes se reconnaissent entre eux.

A sa mort biologique, le sataniste se survivra parmi les ombres des enfers, avec l’illusion de régner sur un « asile d’aliénés » - c’en est un puisque les ombres mortes se décomposent aussi mentalement ! Il ne pourra se dégager des enfers que par le retour à la terre, soit en se réincarnant en marout, soit en possédant un être faible. Cette forme de réincarnation anormale serait le choc en retour du satanisme. Le cinéma d’épouvante, surtout anglo-saxon, a fort bien décrit ce cercle vicieux. Dracula en est une illustration : un sataniste mort qui se prolonge biologiquement en vampirisant des humains."





mercredi 12 juin 2024

Le parti unique (secte ?) au pouvoir en France




L’unanimisme politique sur des questions aussi vitales que la santé publique, le contrôle de la monnaie confisqué par l’Union européenne, la décision (prise à Washington au lieu de Paris) de désigner un ennemi (la Russie) et de déclencher contre lui une guerre en Ukraine, malgré l’existence de partis d’opposition présents au Parlement, nous conduisent à affirmer que nous sommes en présence d’un parti unique au pouvoir avec une aile gauche (LFI), une aile droite (RN, LR) et un centre de contrôle (Macron et son parti).

Ceci étant dit, il nous faut aller au-delà du constat et expliquer les tendances de fond qui ont mené à cette situation.

Jusque dans les années 1970 le système des partis – qui est né, comme l’a fait remarquer la philosophe Simone Weil (1909- 1943), durant la période de la Terreur ayant opposée les Jacobins et les Girondins – était structuré par une droite plus ou moins enracinée dans le catholicisme et une gauche dans le socialisme et sa variante communiste tenant lieu de contre-Église. En quelque sorte une thèse et son antithèse qui maintenaient l’échiquier politique français dans un état stable entretenu par une propension idéologique.

La mise en apesanteur idéologique du système politique français débute dans les années 1970 avec la décatholicisation sociologique de la droite ; droite privée de son garde-fou, l’Église, et qui sera absorbée idéologiquement par la gauche libérale, c’est-à-dire par la Révolution et les Lumières. Tandis que le parti communiste, qui existait en opposition au catholicisme et dont le matérialisme antireligieux faisait pièce à la spiritualité de l’Église, et qui exerçait une influence sur le parti socialiste, disparut avec le catholicisme de l’échiquier politique.

« Républicanisme, socialisme, communisme se sont en pratique définis contre un catholicisme résiduel, qui les structurait pour ainsi dire négativement. La mort de cette religion a tué comme par ricochet les idéologies modernes. C’est l’un des points nodaux de la crise qui, bien loin de n’affecter que la surface politique des choses, touche en réalité le socle métaphysique de la société, fonds de croyance irrationnelles et inconscientes venues d’une histoire très lointaine. » (E. Todd)

Logiquement, ce processus a amené la gauche et la droite à fusionner, étant privées de leurs «garde-fous» idéologico-politiques, respectivement le Parti communiste et l’Église. C’est ce qui explique pourquoi, en 2007, le candidat de la droite libérale, Nicolas Sarkozy, à peine élu, recrute des membres du Parti socialiste. C’est cette fusion, de ce qu’il convient d’appeler la droite et la gauche de l’oligarchie, qui a permis à Emmanuel Macron de débaucher tous azimut, à droite comme à gauche.

L’élection de « l’enfant soldat de David de Rothschild » n’a fait qu’acter la phase finale de cette fusion de la gauche et de la droite.

La mort des idéologies modernes a privé les partis politiques traditionnels de leur charpente. Cela a conduit à leur fragmentation en sous-partis ne défendant plus donc des idéologies ou idéaux mais de simples idées séparées les unes des autres dans une incohérence et un désordre complet.

Les évolutions de Mélenchon vers le wokisme et de celle du parti de Marine Le Pen, qui est favorable au mariage entre personnes du même sexe, sont des symptômes de la décomposition des idéologies modernes et de la convergence de la gauche et de la droite vers l’unité. Le vide religieux a produit à la fois une société atomisée et, avec un temps de retard, son reflet à l’échelle politique : un système des partis éclatés puis fondus en un seul.

C’est ce parti unique de l’oligarchie qui contrôle l’État, et c’est ce qui rend le pouvoir politique particulièrement dangereux.


Présentation du livre :

"Youssef Hindi a rassemblé là ce qui lui permet d'établir le récit d'une guerre permanente, vitale, économique, celle qui oppose les États-Unis à l'Europe. Cette guerre a une histoire, mais elle a aussi une généalogie, et pour la reconstituer, il faut remonter à Athènes et à son hégémonie maritime. 

Dans un second temps, l’auteur déplace le point de vue. Nous quittons la strate matérialiste de ce conflit pour nous déplacer vers le terrain de la « théologie politique ». Il nous faut nous demander le rapport qu'entretiennent l'élection divine et la « Destinée manifeste » des États-Unis. 

L’auteur poursuit sa réflexion en analysant la fin de l’État de droit, conséquence de la guerre que nous mène l’Amérique."



mercredi 5 juin 2024

"Le serpent est le culte mondial qui utilise Israël comme canal"





David Icke a posté le 5 juin 2024 sur X :

"Le serpent est le culte mondial qui utilise Israël comme canal pour sa dystopie qui se déroule. C’est pourquoi l’État israélien a été créé par les Rothschild et compagnie. Les Juifs en général sont des pions dans un jeu qu’ils sont programmés depuis leur naissance pour ne pas comprendre, mais beaucoup d’autres commencent maintenant à voir la vérité – à savoir que leurs « dirigeants » sataniques les méprisent vraiment (voir le vaccin « Covid » imposé de manière fasciste en Israël).

Il est temps d’abolir les lignes de fracture entre juifs et musulmans, entre Orient et Occident, et de s’unir dans une cause commune pour démanteler le système de contrôle qui impose sa volonté à travers TOUS les pays, croyances, cultures, races et religions. Divisés, nous sommes gouvernés."


Dans son livre, "Race humaine, lève-toi ! Le lion s'est réveillé", David Icke écrit :

La plus "cruelle des farces" Nous avons tendance à croire que les Rothschild sont issus du peuple juif biblique originaire de l'Égypte et de l'Israël de l' Ancien Testament. C'est faux. Ce sont des Sumériens et je conte l'histoire en détail dans "The David Icke Guide to the Global Conspiracy (and how to end it ) - Le guide David lcke sur la conspiration mondiale (et comment y mettre un terme)".

Sumériens et babyloniens ont émigré vers le nord dans une région proche des montagnes du Caucase, à l'endroit où se trouve aujourd'hui la Géorgie. Le Dr Sandor Nagy, auteur de "The Forgotten Cradle of the Hungarian Culture" (Le berceau oublié de la culture hongroise) affirme qu'il y a eu deux migrations bien distinctes des Sumériens. La première est passée par la Turquie, par le Bassin des Carpates, faisant aujourd'hui partie de la Roumanie (pays des vampires de Transylvanie}, par la Hongrie, la Bulgarie et par les pays de l'ancienne Yougoslavie, comme la Serbie et la Croatie. La seconde migration partit vers l'est, puis vers le nord, à travers les montagnes du Caucase, une région entre la mer Noire et la mer Caspienne. Ces anciens Sumériens se sont fait connaître sous le nom de « Khazars » et leur nouveau pays fut nommé Khazarie.

Vers 740 de notre ère, le roi des Khazars, Boulan, adopta le judaïsme et la nation entière en fit de même. Après la chute de la Khazarie, tous ceux convertis au judaïsme se déplacèrent vers le nord et fondèrent les communautés juives d'Europe centrale et orientale, et beaucoup se déplacèrent vers l'Europe de l'Ouest. Parmi ces gens se trouvait la famille qui allait devenir la famille Rothschild. Ils portèrent plusieurs noms au fil des siècles, dont celui de Bauer. Les Khazars sont les ancêtres de plus de 90 pour cent de ceux qui se sont donnés le nom de "juifs" et ils n'ont aucun lien avec la terre d'Israël. Leur berceau n'était pas la Mer Morte mais la Mer Caspienne, connue autrefois sous le nom de "Mer Khazar". Le peuple israélite s'est vu voler son identité biblique par les anciens Khazars et les anciens Sumériens, mais en fait, même cette identité-là est absurde. Thomas Thompson, professeur d' Ancien Testament à l'université de Copenhague, démolit, dans son livre "The Mythic Past" (Le passé mythique), les croyances autour d'un Israël biblique.

Il dit que les recherches archéologiques et linguistiques ont révélé une Palestine antique radicalement différente de celle décrite dans la Bible. On n'y trouvait ni Adam ni Ève, ni Noé ou Abraham, ni Moïse ou Josué, et nous savons pourquoi à présent. Ce sont tous des "personnages" inventés à partir des récits anciens provenant des villes mésopotamiennes de Sumer et de Babylone. La population de Palestine à l'époque de la "grande nation" d'Israël était minuscule, quelques milliers d'individus, pas plus nous dit Thompson. Il ajoute :

"Lorsque l'on fait des recherches sur l'histoire de la Palestine, indépendamment de la vision biblique du passé, cette période montre peu de preuves de l'émergence de l'Israël biblique ... Il n'existe aucune preuve d'une monarchie unie, aucune preuve que Jérusalem en fut la capitale, aucune preuve encore d'une force politique cohérente et unie ayant dominé la Palestine occidentale, ni a fortiori de l'empire décrit par les légendes. Nous n'avons récolté aucune preuve témoignant de l'existence des rois Saul, David ou Salomon. Nous n'avons retrouvé aucune trace de temple dans la ville de Jérusalem concernant cette époque ancienne."

Comment cela se fait-il ? Tout a été fabriqué. La très grande majorité des juifs aujourd'hui ne le savent pas, mais les Rothschild et leurs congénères le savent très bien. Certains écrivains juifs, comme Arthur Kœstler, ont présenté des preuves probantes sur le fait que le peuple juif n'a aucun lien historique avec la terre d'Israël. Alfred M. Lilienthal, un ancien fonctionnaire du département d'État américain, parle de ces faits en les appelant "le talon d'Achille d'Israël" car cela réduit à néant toute réclamation envers la terre d'Israël. Dans son livre, "The Thirteenth Tribe" (La treizième tribu) Kœstler a écrit :

"Cela voudrait dire que les ancêtres de ces juifs ne venaient pas des bords du Jourdain mais des plaines de la Volga, non pas de Canaan mais du Caucase, jadis considéré comme le berceau de la race aryenne (donc caucasienne) ; génétiquement ils seraient apparentés aux Huns, aux Ouïgours, aux Magyars, plutôt qu'à la semence d'Abraham, d'Isaac et de Jacob. S'il en était effectivement ainsi, le mot "antisémitisme" n'aurait aucun sens. Il témoignerait d'un malentendu également partagé par les bourreaux et par les victimes. À mesure qu'elle émerge lentement du passé, l'aventure de l'empire khazar commence à ressembler à une farce, la plus cruelle que 'Histoire ait perpétrée."

Dans, "Race humaine, lève-toi !", David Icke nous offre la meilleure compréhension de la réalité de la manipulation dont la race humaine est victime ! Il appelle l'humanité à se lever. L'homme a les moyens de libérer le monde des sinistres réseaux de lignées et des entités non humaines qui nous contrôlent en secret depuis notre naissance jusqu'à notre mort... L'humanité est à la croisée des chemins, face à son choix. Allons-nous nous réveiller et prendre conscience de notre véritable génie et de notre potentiel, ou allons-nous rester enfermés dans cet état corps/esprit et dans l'illusion fabriquée par la matrice lunaire ?

PDF gratuit : "Race humaine, lève-toi !"