samedi 16 mars 2024

Hommage à Rachel Corrie





"Il y a 21 ans, Israël assassinait une jeune militante américaine, Rachel Corrie, juste parce qu’elle dénonçait les crimes contre les Palestiniens. Elle a été écrasée par un bulldozer israélien le 16 mars 2003. Hommage à son courage. Paix à son âme." (Free Palestine)

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BONUS

Il y a quelque chose qui ne va pas en Israël. Et, il est quasiment impossible de dénoncer les dérives d'un État hors-la-loi sans être accusé d'antisémitisme. Mais un texte particulièrement respecté n'est pas avare de critiques à l'encontre du peuple qui est impitoyable envers les Palestiniens et les pacifistes qui tentent de les protéger.

Alec Sander a fait un surprenant travail de recherche. Il écrit :

« Je vais à présent retranscrire des passages d’un livre très connu qui dit des juifs, qu’ils sont :

- Un peuple mauvais et déraisonnable,

- Un peuple abruti,

- Un peuple insensé,

- Une nation coupable,

- Un peuple chargé de crimes,

- Une race de malfaiteurs,

- Des enfants vicieux,

- Un peuple qui aime le mal,

- Un peuple qui exècre la justice,

- Peuple qui tort tout ce qui est droit;

- Qui construit Sion dans le sang,

- Des enfants de sorcières,

- Une race adultère,

- Une race prostituée,

- Des enfants désobéissants,

- Une race menteuse,

- Un peuple stupide,

- Des enfants sans cervelle,

- Experts pour faire le mal,

- Des rebelles endurcis,

- Tous des malfaiteurs,

- Des enfants de « putain »,

- Des tueurs de Prophètes,

- Des enfants du Diable.

A coups sûr, ce livre d’où proviennent ces passages serait censuré pour propos raciste et antisémite. Mais paradoxalement, ce livre est la Bible. Ces critiques s’adressent à des juifs à un moment donné du passé. Ils ont été critiqués à cause de leur mauvaise conduite, à cause de leur désobéissance. Voici les passages entiers avec les références. A chacun d’aller vérifier.

« Le Seigneur est un rocher protecteur. Il agit de manière parfaite, toutes ces décisions sont légitimes, toujours fidèle, jamais injuste, il est plein de droiture et de vérité. Mais vous, peuple mauvais et déraisonnable, vous avez offensé le Seigneur. Honte à vous ! Vous n’êtes plus ses enfants ! Peuple abruti, peuple insensé, peut-on se conduire ainsi envers lui ? N’est-il pas votre père, votre créateur, celui qui a fait de vous son peuple ? » (Deut. 32, 4-6.)

« Quel malheur, nation coupable, peuple chargé de crimes, race de malfaiteurs, enfants vicieux que vous êtes ! Vous avez abandonné le Seigneur, vous avez dédaigné l’unique vrai Dieu, le Dieu d’Israël, vous lui avez tourné le dos. » (Esaïe 1, 4)

« Vous avez beau faire prière sur prière, je refuse d’écouter, car vos mains sont couvertes de sang. Nettoyez-vous, purifiez-vous, écartez de ma vue vos mauvaises actions, cessez de faire le mal. » (Esaïe 1, 15-16)

« Puis je dis : Écoutez donc, chefs de la maison de Jacob et commandants de la maison d’Israël ! N’est-ce pas à vous de connaître le droit, vous qui haïssez le bien et aimez le mal, qui leur arrachez la peau, et la chair de sur leurs os ! Écoutez donc ceci, chefs de la maison de Jacob et commandants de la maison d’Israël, vous qui exécrez la justice et qui tordez tout ce qui est droit, vous qui construisez Sion avec le sang et Jérusalem avec le crime !
« Ses chefs jugent pour des présents, ses prêtres décident pour un salaire, ses prophètes vaticinent à prix d’argent. Et c’est sur Yahvé qu’ils s’appuient ! Ils disent : " Yahvé n’est-il pas au milieu de nous ? Le malheur ne tombera pas sur nous. » (Livre de Michée, chapitre 3)

« Embouche la trompette ! Comme un aigle, le malheur fond sur la maison de Yahvé. Car ils ont transgressé mon alliance et ont été infidèles à ma Loi. » (Osée 8 ,1)

« Approchez ici, vous autres, enfants de sorcière, race adultère et prostituée ! De qui vous moquez-vous ? A qui faites vous des grimaces et tirez-la langue ? N’est-il pas vrai que vous êtes des enfants désobéissants, une race menteuse ? » (Esaïe 57, 3-4)

« Mon peuple est stupide, il m’ignore, dit le Seigneur d’Israël. Ce sont des enfants sans cervelle, ils ne comprennent rien. Ils ne sont experts que pour mal faire. Mais pour ce qui est de bien faire, ils n’y comprennent rien. » (Jérémie 4, 22)

« Ce sont tous des rebelles endurcis, des calomniateurs, durs comme le bronze ou le fer, ce sont tous des malfaiteurs. » (Jérémie 6, 28).

« Accusez Israël, votre mère, ne vous en privez-pas, dit le Seigneur, car elle n’est plus ma femme et je ne suis plus son mari. Qu’elle ôte de son visage les marques de sa prostitution ! Qu’elle enlève d’entre ses seins les signes de son adultère. Sinon je la mettrai toute nue, dans l’état où elle était au jour de sa naissance !... Je n’aime pas ses enfants : ce sont des enfants de prostituée, car leur mère s’est prostituée, celle qui les a mis au monde s’est conduite honteusement. » (Osée 2, 4-7)

« Que n'ai-je au désert une cabane de voyageurs ! J'abandonnerais mon peuple et m'en irais loin d'eux ; car ce sont tous des adultères, c'est une troupe de perfides. » (Jérémie 9, 2)

« Leur langue est un trait meurtrier qui profère le mensonge ; chacun a la paix dans la bouche avec son prochain, mais au-dedans il lui dresse des embûches.
Ne les punirais-je pas pour ces choses-là, dit l'Éternel ? Mon âme ne se vengerait-elle pas d'une telle nation ? » (Jérémie 9, 8)

« L'Éternel a dit : C'est parce qu'ils ont abandonné ma loi, que j'avais mise devant eux, et qu'ils n'ont pas écouté ma voix et ne l'ont pas suivie. Mais qu'ils ont suivi la dureté de leur cœur et les Baals, comme leurs pères. C'est pourquoi, ainsi a dit l'Éternel des armées, le Dieu d'Israël : Voici, je vais nourrir ce peuple d'absinthe, et je lui ferai boire des eaux empoisonnées. Et je les disperserai parmi des nations qu'ils n'ont connues, ni eux ni leurs pères ; et j'enverrai après eux l'épée, jusqu'à ce que je les aie consumés. » (Jérémie 9, 13-16) [...]

« J’avais l’intention de les détruire (les juifs) complètement et d’effacer tout souvenir d’eux de la Terre. Mais j’ai eu peur que leurs ennemis se moquent de moi, en imaginant avoir accompli eux-même cet exploit, en pensant que je n’y suis pour rien. » (Deutéronome 32, 27.)

Alec Sander, "Tous victimes d'une mascarade organisée ou le Saint Empire."

Il est inutile de rapporter les critiques contre les juifs que Sander relève dans le Nouveau Testament et le Coran. Ces textes sont révérés par les adeptes de religions rivales à celle des juifs et sont donc considérés comme partiaux.

PDF gratuit :



Cet ouvrage n’est pas un « livre » dans le sens où je l’entends. C'est-à-dire que pour réaliser un dossier de ce genre, nul besoin d’avoir des talents d’écrivain. C’est plutôt un travail de recherche, un exposé, un rapport portant sur des sujets allant de l’histoire à l’occultisme, de la politique à la religion.

J’ai puisé des informations dans des livres, des revues, des sites internet. Je compare des faits, j’expose, j’analyse des documents et j’en arrive à des conclusions fondée. Un des thèmes abordé dans ce dossier est la franc-maçonnerie. Plus de 70 000 ouvrages ont déjà été écrit à son sujet. Autant d’informations que de désinformations. Que n’a-t-on pas dit à son propos ? Les uns y voient une société secrète diabolique œuvrant pour l’instauration d’un nouvel ordre mondial et les autres, une société secrète initiatique œuvrant pour l’amélioration de l’humanité. Qu’en est-il ? Réponses sera données à ces questions au travers de documents.

Dans ce dossier, le lecteur européen aura accès pour la première fois à deux documents inédits sur la franc-maçonnerie, parmi d’autres. Ce travail ne vient pas s’inscrire sur la liste des ouvrages antimaçonniques ou antisémitiques ou autres. Dans certains ouvrages antimaçonniques que j’ai eu l’occasion de consulter, chaque auteur avait plus ou moins sa « théorie ». Ceux qui tiraient les ficelles c’était les Illuminatis pour certains, les Rothschild pour d’autres ou encore un groupe de sages juifs. D’autres disaient encore le Sanhédrin ou les 3 kabbalistes de la Loge de Jérusalem, sans oublier les « reptiliens » et les « extra-terrestres. » Il y avait beaucoup d’affirmations mais peu de preuves et pas mal de contradictions. En exemple les Protocoles des Sages de Sion. Pour Aron Monus, écrivain hongrois, traducteur de "Mein Kampf", l’auteur serait Theodore Herzl, pour d’autres, un groupe de sages juifs lors du premier congrès sioniste de Bâle en 1897, et pour d’autres encore les Rothschild alors que cet ouvrage n’est qu’un plagiat.

Autre exemple, l’appartenance maçonnique de Karl Marx. Certains disent qu’il était maçon du 33°, d’autres disent qu’il était du 32°, sans apporter aucune preuve concrète de ce qu’ils avancent, ni documents ni quoi que ce soit. Ils ne se contentent que de le dire.

Ce dossier, qui se veut être un dossier sérieux, ne laisse aucune place aux théories fantaisistes abordé par certains auteurs, entre autres, David Icke avec sa théorie sur les « reptiliens ».

Dans la plupart des ouvrages qui traitent de la théorie des complots, les juifs sont souvent les tireurs de ficelle, ceux qui gouvernent dans l’ombre, ceux qui dirigent le monde. Ils seraient la cause de beaucoup de malheurs. Il est vrai que certaines familles juives ont une place importante dans le milieu de la haute finance internationale : les Rothschild pour ne citer qu’eux.

Beaucoup de gens croient que tous les juifs sont « riche » ce qui est faux. Les Rothschild sont juifs mais tous les juifs ne sont pas des Rothschild.

Qu’entend-t-on par le mot « juif ». Quand on dit « juif », de quel juif parle-t-on ? Du juif religieux, du laïc, du juif orthodoxe, du juif ultra-orthodoxe, du néo-othodoxe, du juif réformé, du juif sioniste, du juif athée ou encore du juif Karaïte, du Samaritain, du Dönmeh ? Les juifs ne forment pas un bloc homogène et nous verrons dans ce dossier les rivalités qui existent entre eux. Il n’y a pas de complot judéo-maçonnique, il y a « complot » tout court, où prennent part des gens de toutes nationalités et de toutes religions. Je ne dis pas que ce sont les juifs qui contrôle la franc-maçonnerie, bien que les faits nous font penser le contraire, ni qu’ils en sont les inspirateurs, bien que la franc-maçonnerie puise son idéologie dans la Bible et la Kabbale. Il y a aussi des « ingrédients » emprunté à l’Egypte ancienne, à Babylone, et au christianisme.

Je ne fais pas de références non plus au fameux « Protocoles des Sages de Sion », que je viens de citer, qui, malgré l’exactitude de son programme, est un faux manifeste plagié du livre « Dialogues aux enfers entre Montesquieu et Machiavel » de Maurice Joly. Disons que les Protocoles sont véridiques mais pas authentique. Beaucoup de groupes s’obstinent encore à accorder un certain crédit à ces Protocoles. Il existe toutes une série de documents de ce genre fabriqués de toute pièce que vous aurez l’occasion de découvrir au premier chapitre. 

Bref. Je compare aussi à travers la symbolique, l’organisation des Témoins de Jéhovah et la franc-maçonnerie. Existe-t-il un lien entre ces deux organisations qui en apparence n’ont rien avoir entre-elles ?Charles Taze Russel était-il maçons ? 

Même question à propos des Mormons et de leur « prophète » Joseph Smith. 

A toutes ces questions je tenterai de répondre en étant le plus exhaustif possible. 

Vous comprendrez la difficulté d’une telle démarche puisque les ramifications de cette société secrète sont nombreuses car il n’y a pas une maçonnerie mais des maçonneries qui peuvent paraître opposés en apparence mais qui vont dans la même direction. Ces rivalités sont artificielles ainsi que nous le verrons plus loin. Par exemple, l’opposition apparente entre l’anarchiste Bakounine et le révolutionnaire Karl Marx, touts deux maçons. Nous retrouvons cette même rivalité entre Atatürk et les communistes. Atatürk ne cachait pas son animosité envers le communisme. Ce qui est étrange c’est qu’Atatürk, aussi bien que Marx, Staline ou Lénine étaient maçons. Abraham Lincoln, maçon, fut assassiné par un franc-maçon. Ou encore à la Bataille de Waterloo où l’on voit s’affronter des francs-maçons, Napoléon face à Wellington et Blücher. Ou encore l’opposition apparente entre le bloc capitaliste et le bloc communiste, deux blocs à la tête desquels se trouvent des juifs non sémite et des francs-maçons comme nous le verrons plus loin. 

Ce sont des plans machiavéliques qui sont appliqué et l’homme de la rue, l’homme ordinaire n’est pas tout à fait capable d’en saisir la portée, plongé qu’il est dans un monde d’illusion, où sa vie défile au travers de schémas, de modèles imposé à son esprit par les moyens de télécommunications qui sont entre les mains des « soldats » de la contre-initiation, que dénonce René Guénon. 

Vous constaterez que cet ouvrage comporte beaucoup d’images. Une image vaut mille mots disent les chinois. Ma part d’écriture dans ce dossier est faible, mais ce dossier n’est pas un travail d’écriture. C’est une approche des événements par des documents et des photos. Parfois des photos peuvent vous faire comprendre plus de chose que des dizaines de pages, dans la mesure où la photo n’est pas truquée. Nous verrons quelques photos truquées de l’époque des soviets. 

Ce dossier est original dans son genre car il a la prétention de faire la lumière sur des points qui sont occultés. Pour tous ceux qui ont reçu un enseignement conventionnelle, ce dossier pourra les « déstabiliser ». Ils se heurteront à la véracité des faits et pourront difficilement sortir de leur conditionnement. Des gens peuvent se trouver face à des réalités, mais s’obstineront et refuserons de voir la vérité en face. Soit, les faits sont là, les documents aussi. 

Ce dossier s’adresse à un public déjà « initié » mais les « profanes » pourront satisfaire leurs curiosités et découvrir des choses qu’ils n’imaginent même pas. 

De par son style, son approche et son contenu, ce dossier est différent de tout ce qui a été fait jusqu'à présent. Brièveté et concision ont été les mots d’ordre pour la réalisation de ce travaille. Un dossier percutant qui vient mettre les points sur les i. 

Tout ce que je dis dans ce dossier, je le dis d’après des preuves. Je n’invente rien. Je ne rentre pas dans des analyses détaillées, mais je vais à l’essentiel. Et c’est ce qui compte. J’ai privilégié le fond plutôt que la forme, le contenu plutôt que le contenant, la qualité plutôt que la quantité. 

Enfin, j’espère avoir réussi. Ce n’est pas une haine quelconque qui m’a poussé à entreprendre ce travail mais le souci de faire connaître au public le fruit de mes petites recherches effectuée au cours des ces dernières années, ce qui c’est concrétisé par ce que vous allez lire et voire. Ce dossier n’est pas une œuvre de polémique. Je n’attaque pas, j’expose. Je décris un phénomène. J’étudie un système. J’examine des conséquences. Rien de plus. 

Alec Sander. 



samedi 9 mars 2024

Qui est l’ennemi de la France aujourd’hui ?



Le Général Coustou, président d'honneur de Place d'Armes, a clairement défini qui est l’ennemi de la France aujourd’hui. Ce n’est pas la Russie mais Macron lui-même...



Marcel D (Le Média en 4-4-2) sur X :

Dmitri Medvedev vient de déclarer que la France est en grand danger suite aux propos IRRESPONSABLES du Président Macron !

"Macron a déclaré : « Il n’y a plus de lignes rouges, il n’y a plus de limites » en matière de soutien à l’Ukraine (Le Monde). Cela veut dire que la Russie n’a plus de ligne rouge pour la France."

Puis il ajoute ces mots en latin "in hostem omnia licita". Cela veut dire dans le contexte de la guerre : "tout est permis contre l'ennemi".
  Sachez, Français que vous êtes tous en danger, vos femmes, vos enfants, vos parents, vos amis à cause d'un homme qui n'a pas de gosses et qui doit posséder un bunker pour protéger ses miches !

Pour en savoir plus :



BONUS


Le président de la République et la pulsion de mort 


Macron a demandé à l’armée de tirer sur le peuple en décembre 2018. L’armée a bien entendu refusé d'obéir. 

YouTube : 

"Les mots d'un ancien général à Emmanuel Macron..."




jeudi 7 mars 2024

Covidisme, Climat et Wokisme : Les nouvelles religions ; les religions postchrétiennes occidentales

 

Un livre écrit par Aldo Sterone



Covidisme, Climat et Wokisme 
Les nouvelles religions ; les religions postchrétiennes occidentales


Par Aldo Sterone


Contrairement à ce qu’aime affirmer une certaine presse qui me «décode» régulièrement, je ne suis pas conspirationniste. Au contraire, je crois que les choses sont ce qu’elles ont l’air d’être.

On ne peut pas me pisser dessus et dire qu’il pleut. Si ceci arrive, je vais te dire : mais c’est de l’urine ce truc ! A ce moment, le décodeur va intervenir : le liquide en question n’a pas été soumis à des laboratoires certifiés. Il n’y aucune preuve qu’il s’agit d’urine comme l’affirmait Aldo Sterone dans un Tweet partagé cinq mille fois en début de semaine…

Chapitre Premier :

Où l’on fait connaissance et nous nous échangeons plein de points Godwin.

Ça fait trente ans que j’ai quitté mon pays natal, l’Algérie, pour débarquer en Occident, ou ce qu’il en reste. En 1991, pendant que je regardais défiler les côtes d’Oran, de Mostaganem et de Chlef depuis le hublot du 737-200 qui entamait son vol vers Genève, les premiers islamistes prenaient le maquis. Dans de nombreuses villes du pays, les groupes terroristes s’organisaient et recrutaient. Les premières armes automatiques circulaient ; pas au grand jour encore.

Une guerre bestiale, une véritable boucherie, était sur le point de se déclencher. Elle n’allait épargner personne. Pas une famille qui ne sera touchée durant ce qu’on nomma par la suite «la décennie noire». Cette appellation, incluant la couleur noire dans un contexte négatif, serait considérée comme douteuse dans l’Occident d’aujourd’hui. Essayez de balancer un «noir de monde» dans un VTC parisien pour voir…

La guerre civile sur fond de religion exacerbée ne nous est pas tombée dessus du ciel (le jeu de mots est accidentel). Elle faisait suite à dix ans, les années quatre-vingt, d’hystérie collective autour d’idéologies importées et introduites de force dans notre société.

En tout cas, j’étais jeune et naïf. Le cœur plein d’espoirs et de rêves, en quittant l’Algérie, j’avais l’impression de m’évader d’un asile psychiatrique. Je ne savais pas que j’allais atterrir dans un autre…

En Algérie, nous avions une seule religion. En Occident, il y en a mille. Après sa déchristianisation à pas forcés, ce monde a développé un rapport dogmatique et malsain avec tout ce qui l’entoure ; de la religiosité sans religion dirait René Guénon. L’Occident a aussi ses idéologues, ses intégristes, ses officines de chasse aux sorcières. En plus de tout ce monde, il a les islamistes également. Le Covid, l’Ukraine, les LGBT+, le Brexit, la vaccination… chaque sujet est religion.

Dans ce livre, les problèmes de ce monde seront couverts sous un angle particulier : celui de la France. Le même agenda se déroule au Royaume-Uni, en Suisse, en Belgique… dans pratiquement tout le monde Blanc postchrétien. On exclut la Russie qui reste en dehors tant que Poutine sera à sa tête. Le jour où il partira, ce grand pays sera une priorité pour les forces de destruction. Ou bien elles tomberont sur un autre os, ou bien on verra un grand chantier démolition pour rattraper le retard sur la feuille de route.

Ce monde, dont la France n’est qu’un cas particulier, est en plein coulage. Cette chute inexorable n’est pas un accident, ni une fatalité. Elle correspond au déroulement d’un plan, d’un agenda bien huilé. Il est impossible que des actions aussi diverses et variées viennent s’emboîter comme par magie et concourir dans la même direction sans qu’il y ait une intention derrière. Nier l’existence d’un plan est une position intellectuellement intenable. C’est comme prétendre qu’un tas de pièces détachées renversées par un tremblement de terre se soient organisées, agencées et structurées par hasard pour fabriquer une voiture prête à circuler. C’est croire à la génération spontanée.

Rassurez-vous, l’existence d’un agenda ne suppose nullement l’existence d’un méchant au ricanement diabolique caressant un chat endormi d’une main couverte de bagues et de tatouages représentant des têtes de mort. L’organisation derrière le plan est plus subtile. L’époque est à la décentralisation. On dirait même à l’uberisation. Le plan n’est pas une liste d’ordres à destination de personnes précises ; ce n’est pas non plus une recette de cuisine. C’est plutôt une plateforme diffuse. Au plus fort, elle impliquera des millions de personnes qui agissent chacune pour une raison différente, mais toutes dans la même direction. L’auteur du plan se fiche pas mal pourquoi telle ou telle personne y participe. L’important est que l’agenda avance. Certains y viendront par appât du gain, d’autres par idéologie, ou par conformisme, ou par lâcheté, ou parce qu’ils ne «faisaient que leur travail»… chaque participant en bout de chaîne ne voit que sa pièce du puzzle, mais jamais l’image entière.

Durant la Seconde Guerre mondiale, les nazis utilisaient les trains pour déporter des familles entières depuis les territoires sous leur zone d’influence. Rien que le 16 et le 17 juillet 1942, c’est 4115 enfants, 2916 femmes et 1129 hommes qui ont été raflés par la police française et entassés dans le Vélodrome d’Hiver à deux pas de la Tour Eiffel. Au-delà de l’horreur du crime, cela montre comment à l’époque tout était centralisé ou concentré au même endroit. D’où l’idée des camps de concentration.

Serait-on capable de perpétrer les mêmes crimes aujourd’hui ? Certainement. Avec les mêmes méthodes ? Probablement pas. Tout d’abord, si on devait déporter de nos jours, on n’utiliserait pas le train nécessairement. En effet, pour la régularité, il faudrait créer des «contrats déportation» et les ouvrir à la concurrence. Les entreprises de transport aérien, routier et ferroviaire soumettraient leurs offres. Naturellement, on ne retiendra pas la plus efficace, ni la moins chère, mais celle qui offre les meilleurs pots-de-vin, qui finance les campagnes électorales ou qui offre un poste de cadre supérieur au petit qui vient de finir son université. C’est ce qu’on appelle pudiquement «le marché libre».

En réalité, ça ne se passerait pas complètement ainsi de nos jours. Nous vivons dans un monde décentralisé. À quoi bon rassembler les gens dans un vélodrome puis les transporter vers des lieux de concentration ? En plus, avec ce genre de procédures, on finira toujours par mettre trop de responsabilités entre peu de mains. Regardez Maurice Papon ! Il a été poursuivi pour avoir déporté 1600 juifs. Avec la décentralisation, ça ne serait plus possible parce que le crime serait dissous entre beaucoup d’intervenants tellement ubérisés que nul n’y serait à plein temps ou ne comprendrait à quoi il a participé. Il n’y aura plus de «gardien de camp de concentration entre 1941 et 1943», mais uniquement des gens qui «font des heures» qu’ils traquent sur une «appli» qui affiche les sous qui rentrent. Le gars est sur un mirador entre 13 h et 17 h 15 et le soir il frappe chez les gens pour livrer des pizzas. Le matin, il conduit un van qui se gare comme une loque pour décharger une cuisinière à gaz achetée en ligne à tempérament sur le site d’une grande enseigne. L’après-midi, il livrerait des canettes de Zyklon-B et comme personne n’est là pour signer, il les laisserait devant l’entrée et des gamins viendraient piquer le consignement et l’ouvrir sur une aire de jeux.

Honnêtement, si le crime était commis aujourd’hui, on aurait 12 millions de morts, mais 120 millions de coupables.

Je n’ai encore jamais participé à un peloton d’exécution, mais on dit qu’il y a toujours un fusil chargé à blanc et on ne sait pas qui le porte. Ça permet à chacun de se dire plus tard : «c’était peut-être le mien» et ainsi dormir plus tranquillement. Notez la faillite morale dissimulée par un micro-string. Si la personne se joint au peloton, pointe un fusil et tire, le reste, c’est du détail. Le fait que le fusil ne marche pas ou qu’il n’était peut-être pas chargé ne change rien au fait que l’intervenant a participé à une exécution. Si on veut faire une virée sur le plan physique, tirer avec un fusil chargé offre un tel recul (ça tape fort sur l’épaule) qu’il est difficile de ne pas s’en rendre compte.

Dans le paragraphe plus haut, remarquez comme le fusil est chargé à «Blanc». Cela veut dire qu’il ne tue pas. Qu’il n’est pas dangereux. Décidément, il y a beaucoup de justice sociale à faire sur la langue. Un gros chantier de déconstruction.

La digression sur les pelotons d’exécution vient de mon côté africain. D’ailleurs ce livre n’est rien d’autre qu’une vision africaine de l’Occident. Quand il est à l’école, l’Occidental se tape un zéro pour un hors sujet. Des légions de profs sont chargées par l’éducation nationale de détruire tout germe de pensée humaine chez les têtes blondes (ou ce qu’il en reste. Les Jules et les Prosper ne seront pas la France de demain). On leur impose une pensée structurée et organisée en silos. En fait, c’est de la pensée dirigée qui doit rester dans les limites imposées ; penser, mais pas trop. Écrire une dissertation sur la Seconde Guerre mondiale peut ramener un 17 sur 20. Parler de ceux qui l’ont financée est un hors sujet valant zéro. Dans notre monde, tout est connecté à tout. Or, travailler sur ces connexions est un réflexe anti-pavlovien. Des millions de gens se contentent d’une vision zoomée, comme au microscope, sur un aspect précis du problème. Dès qu’on cherche à dézoomer, les coups de bâton arrivent sur la tête. Seuls vos maîtres qui planifient votre sort ont le droit de voir la vision globale de l’image que forme le puzzle. Le citoyen moyen doit rester avec des miettes d’image qu’il tournera dans sa tête sans jamais comprendre. Cette incompréhension nourrira ses peurs, ses angoisses, ses inquiétudes et le rendra enfin mûr à être manipulé.

Un homme manipulé (ou manipulée) deviendra, sans s’en rendre compte, l’ennemi de sa famille, de sa nation et même de sa propre personne. Il soutiendra ses oppresseurs. Il répètera leur propagande comme un perroquet. On hésite entre le bousculer mentalement, le prendre en pitié ou bien lui offrir un sachet de cacahuètes de production organique et carbone neutre.

Je disais que la pensée africaine dont ce livre est l’issue est déstructurée. Pour ceux qui font l’informatique, c’est une sorte de NoSQL. L’absence de structure formelle permet d’associer des données non semblables sans relation entre elles et qui seraient impossibles à faire tenir ensemble dans un cadre où une structure forte est imposée.

Connaissant mes lecteurs, je perçois d’ici l’agacement de certains : mais alors toi l’Einstein africain, si votre pensée est si puissante, pourquoi vous vivez dans la galère sur votre vaste continent et que nombre d’entre vous ne rêvent que d’immigrer chez nous ? Présentement, nous ne sommes ni plus ni moins intelligents que les Occidentaux. Nous avons nos forces et nos travers, mais ceux-ci sont différents des vôtres. Quelque part, nous sommes complémentaires. C’est pour cela aussi que j’écris ce livre.

L’Occidental a une très forte intelligence organisationnelle. Nous l’admirons pour cela. Là où il est capable de lancer une industrie qui emploie 100 000 personnes et conquiert le monde, nous ouvrons un atelier avec deux cousins et un copain. Notre structuration est si faible, que nous n’arrivons même pas à faire respecter des règles collectives aussi simples que le Code de la route. Chaque fois que je débarque en Algérie, je vois des morts : des bus dans des ravins, des taxis renversés, des piétons dans un arbre, un motard porté disparu, un carambolage dans le brouillard, un camion-citerne qui déchire une Renault 4 TL pleine de pommes de terre, une mobylette qui rentre dans une boulangerie à plus de 80 km/h, un vélo qui se prend un portail, un accident face à face, une Dacia sous un semi, un tracteur renversé… C’est le prix de la liberté.

Je n’ai pas toujours pensé ainsi. Au départ, à mon atterrissage en Suisse, j’admirais l’ordre et l’organisation. Le courrier A qui arrive exactement le lendemain. Le courrier B arrive dans deux jours. Le bus qui vient à l’heure. Le croyez-vous ? ils avaient même des tables, genre Excel, avec les heures exactes de passage. Ça donnait des trucs du style : 10 h 17, 10 h 33, 10 h 41… et ça marchait. Il m’arrivait d’observer le manège montre en pogne juste pour la beauté de la chose. En Algérie, nous avions le bus 34, celui de la cité des 200 logements, qui ne passait plus parce que des jeunes se sont bagarrés avec des contrôleurs puis ça a fini avec un parpaing dans le pare-brise et une grosse fitna. Tu peux devenir fou quand tu passes d’un monde à l’autre, moi je te le dis.

Maintenant, il faut aussi voir le bon côté des choses. Si Adolf Hitler avait surgi en Algérie, nous l’aurions appelé «Moustache» et ses projets n’auraient pas pu aller trop loin. Si tu veux construire un camp d’extermination près d’Alger, je vais te dire ce qui va se passer. Cinq ans après le début du projet, nous attendons toujours les autorisations nécessaires. Puis, on change de chef de projet et le nouveau venu découvre que le budget a été détourné et que les caisses sont vides. Le terrain pressenti pour la construction est inondable. Le matériel laissé sur place a été volé sauf un engin trop lourd pour être pris, mais qui a été vandalisé par des jeunes qui s’amusaient. Le Zyklon B vient de Chine. Il est bloqué au port parce qu’il manque des documents. On graisse la patte à un douanier qui promet de s’en occuper puis on apprend qu’il a été arrêté dans une affaire de viande d’âne alors qu’il revenait d’un pèlerinage à la Mecque. Enfin, quand les canettes de gaz arrivent, elles sont éventées et ce sont peut-être même des fakes parce que le gars qui s’occupait des achats s’est arrangé avec son frère qui tient une boucherie hallal à Barbès pour fabriquer un société écran et commander du faux gaz surfacturé.

Si nous avions besoin de commettre un crime pareil dans mon pays d’origine, nous devrions probablement faire appel à des entreprises allemandes. Même Saddam, quand il a voulu bombarder les Kurdes, a fait venir les gaz de chez Heberger AG (prononcer le G comme dans hamburger) et Karl Kolb Gmbh. Pour des raisons évidentes, l’opinion publique allemande est généralement très sensible sur les crimes utilisant des produits chimiques sauf quand ce sont des sous-hommes qui se font tuer.

Avant de critiquer, laissez-moi vous dire quelque chose : j’ai déjà vécu en Allemagne. Toutes ces histoires de mémoire, c’est du folklore germanique. À force de répétition, c’est devenu un peu comme ces fêtes de village ou parfois interviennent des acteurs masqués et des chorégraphies étranges, mais que peu de gens savent expliquer. Il faut parfois remonter loin dans l’Histoire pour trouver des événements, parfois tragiques, à l’origine de ces fêtes. Ça se passe ainsi en Allemagne : des courbettes mémorielles, des salamalecs, de la contrition, mais prêts à recommencer demain matin.

En Afrique, notre désorganisation nous empêche de fabriquer des industries de large échelle et viables. Dans le même ordre d’idée, elle nous empêcherait d’industrialiser l’horreur. Hors guerres civiles, un dictateur africain c’est cinquante morts par décennie. Les plus ignobles tournent autour de 2 ou 3 kilomorts par mandat.

Source : Nouveau Monde




lundi 4 mars 2024

La crise sanitaire analysée par un collectif de médecins, spécialistes, lanceurs d'alerte

 



Un autre regard sur le Covid-19

(cliquer sur le lien pour commander le livre)


Début 2020, un nouveau virus d'origine naturelle apparaît en Chine, avant de se répandre rapidement sur toute la planète. Parce qu'il n'existe aucun traitement pour se protéger de ce coronavirus extrêmement mortel, les gouvernements sont contraints de confiner leurs populations. Les confinements bouleversent nos vies, tout comme l'arrivée des masques, des gestes-barrières, du gel hydro-alcoolique, des couvre-feux, du télétravail, des passes (sanitaire puis vaccinal) que nous impose la "nouvelle normalité".

L'espoir de sortir de cette crise ne peut venir que de la mise au point rapide de vaccins à ARN-messager, une nouvelle technologie "sûre et efficace". Après l'inoculation de milliards de doses du "produit-miracle" et malgré l'apparition de variants, l'épidémie est finalement contrôlée, grâce au courage et à la lucidité de nos gouvernants. Les effets secondaires sont rares et sans gravité. Bienvenue dans le merveilleux "monde d'après" ! ...


Problème : tout ou presque de ce discours officiel répété jusqu'à la nausée par les médias de masse est FAUX.

Le Sras-Cov-2 est le fruit de manipulations de type "gain de fonction" menées par des scientifiques américains et chinois croyant pouvoir maîtriser tous les risques inhérents à ce genre d'expériences.

Il existe de nombreux traitements simples, efficaces et peu coûteux contre le Covid-19 : ils ont été utilisés avec succès dans beaucoup de pays, principalement dans le Sud global.

Dans les pays à économie développée, le bilan humain des mesures prises pendant cette crise sanitaire est désastreux, incontestablement beaucoup plus élevé que dans les pays qui ont fait d'autres choix.

Cela signifie que les décisions adoptées dans la panique et l'urgence en Occident n'ont pas fonctionné :

- les confinements ont aggravé les contaminations, le manque de soins et la mortalité des plus âgés ;

- les masques ne servent à rien contre les virus respiratoires ;

- les tests RT-PCR ou autres, dévoyés de leur fonction première, ne sont pas fiables ;

- les enfants ne développent pas la maladie, et ne la transmettent pas : ils furent maltraités sans aucune raison ;

- les "vaccins" ne protègent ni de la contamination ni des formes graves et leur utilisation massive sur une population qui n'était pas à risque n'avait strictement aucun sens ;

- l'ARNm inoculé est responsable d'un nombre inédit et incroyable d'effets secondaires graves, jamais observé dans l'histoire vaccinale.

En France, les statistiques ont été utilisées à des fins politiques pour justifier les décisions prises qui ont coûté aux contribuables plus de 400 milliards d'euros, lesquels auraient pu et dû être utilisés à des objectifs plus raisonnés comme le sauvetage de l'hôpital public.

Documents scientifiques à l'appui, les auteurs de ce livre collectif expliquent clairement tous ces éléments et bien d'autres encore pour remettre les choses à l'endroit et mieux comprendre la période que nous avons traversée.

Ils sont en majorité des médecins humanistes et des professionnels spécialistes de la santé publique, ainsi que des lanceurs d'alerte. Le choix est entre vos mains : vous pouvez estimer qu'il s'agit là de propos de "rassuristes", d'"antivax" ou de "complotistes", comme l'ont répété à l'envi les principaux médias pour discréditer les voix discordantes ; vous pouvez chercher à oublier cette période complètement folle... Ou bien, vous pouvez oser écouter ces autres voix, au risque de bousculer certaines de vos certitudes. Dans ce cas, préparez-vous à apprendre beaucoup de choses !




dimanche 3 mars 2024

Cyber Satan, l'IA et le logiciel Habsora planifient le génocide des Palestiniens

 


Les bombes israéliennes visent délibérément des civils palestiniens grâce au logiciel Habsora.




Guerre Israël-Gaza : qu’est-ce que le logiciel "Habsora", qui utilise l’intelligence artificielle pour appuyer l’armée israélienne ?


Depuis la reprise des frappes israéliennes sur Gaza, et l’extension de celles-ci au sud du territoire de l’enclave palestinienne, l’utilisation d’un logiciel particulier par l’armée israélienne fait couler beaucoup d’encre. Ce logiciel de fabrication israélienne est appelé Habsora, ce qui signifie "évangile" en hébreu.

L’existence d’Habsora a été révélée dans la presse par un ex-officier israélien. Ce dernier expliquait que le logiciel aidait l’armée israélienne à frapper de façon très rapide des quantités très grandes de cibles.

Alain De Nève, analyste et chercheur à l’École royale militaire explique comment fonctionne ce logiciel : "On a affaire à un système d’algorithmes pour les choix des cibles, voire à un système d’intelligence artificielle qui aide le commandement israélien à choisir, repérer ou composer des cibles. Cette intelligence artificielle a la capacité de fusionner des données qui proviennent de multiples sources, et l’intelligence artificielle qui se trouve dans Habsora propose au commandement une multitude de cibles pour accroître l’efficacité des frappes israéliennes". La capacité considérable de ce logiciel d’absorber et de compiler les informations utilisées dépasse de loin celle du cerveau humain.

"Il doit toujours y avoir une discrimination dans le ciblage"

Plus que la recherche de frappes de précision, l’utilisation de ce logiciel permet au commandement militaire israélien de prendre des décisions extrêmement vite, et les frappes sont donc plus rapides. Et surtout elles peuvent être beaucoup plus nombreuses. Avec ces caractéristiques, Alain De Nève estime en réalité que l’objectif recherché par l’armée israélienne, c’est le choc et l’effet de masse des frappes.

Mais cela pose des questions importantes, surtout en termes de dégâts aux vies humaines : "Selon le droit international il doit toujours y avoir une discrimination dans le ciblage, même quand on est dans le cas d’une légitime défense. Il doit toujours y avoir un choix qui permet de s’assurer que les frappes que l’on réalise soient en proportion avec les objectifs recherchés, et faire en sorte qu’elles créent le moins de victimes civiles possibles. On est dans un contexte particulier au niveau géographique : Gaza est une zone hyper-urbanisée. Du fait de la configuration des lieux les victimes civiles sont inévitables. Mais l’utilisation d’un logiciel qui multiplie les cibles proposées à l’état-major israélien, cela fait en sorte que l’armée israélienne s’éloigne des objectifs du droit international humanitaire et du droit de la guerre".

Ce logiciel a déjà été utilisé en 2021 par Israël, et à chaque utilisation, il s’améliore en perfectionnant les expériences de son intelligence artificielle.



dimanche 25 février 2024

GAZA, Katharine Hamnett jette son insigne de Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique

 



"Incroyable geste de solidarité de la créatrice de mode britannique Katharine Hamnett, qui a jeté son insigne de Commandeur de l'Ordre de l'Empire britannique, afin de protester contre la position du gouvernement britannique : "Je suis dégoûtée d'être britannique à cause du rôle que nous avons joué dans le génocide perpétré à Gaza" a affirmé cette icone de la mode mondialement connue, qui avait été décorée en 2011 de l'Ordre de l'Empire britannique pour ses services rendues à l'industrie de la mode."

Source : Oumma.com


lundi 19 février 2024

En France, il est interdit d'exprimer publiquement de l'empathie pour les Palestiniens



Clermont-l’Hérault : un homme arrêté au marché devant un stand affichant son soutien à la Palestine


(...) mercredi 14 février, une altercation a éclaté au marché entre un maraîcher et des gendarmes, qui lui demandaient de retirer des t-shirts et son pull, sur lesquels étaient inscrits des messages de soutien à la Palestine. Un homme qui a pris la défense de l’agriculteur a été arrêté.

Les gendarmes sans doute voulu faire du zèle, alors que le préfet de l’Hérault, François-Xavier Lauch, devait se rendre sur le marché de Clermont-L’Hérault ce mercredi matin avec des élus locaux. Mariano est un maraîcher, qui, depuis des années, est un soutien de la cause Palestinienne. Sur son stand, sur le marché de Clermont-l’Hérault, il affiche des t-shirt de BDS (la campagne Boycott Désinvestissement Sanction, un mouvement de soutien international au peuple Palestinien contre l’appartheid Israelien). Ce mercredi matin, il portait un pull “free Palestine” avec un Poing levé.

Au micro de nos confrères de Radio Pays d’Hérault, il racontait que la placière du marché lui a demandé d’enlever ledit pull ainsi que les t-shirts. Il a refusé. “Mes légumes sont imprégnés de mes idées politiques”, expliquait-il. Ce n’est pas la première fois qu’il subit de telles pressions : il y a quelques mois, la mairie lui avait envoyé un mail pour lui demander d’arrêter d’afficher ces vêtements. Mais ce mercredi matin, c’est la police qui est venue lui demander d’enlever son t-shirt.

Puis, ce sont les gendarmes qui ont débarqué, vers 10 heures. Un client a défendu Mariano en parlant de “censure”. Selon une témoin présente sur place, dont le Poing a recueilli le témoignage, l’homme aurait refusé de se soumettre au contrôle d’identité et se serait fait interpeller afin que celui-ci soit réalisé à la gendarmerie. Sur le chemin de la voiture de la gendarmerie, l’homme aurait crié “voilà ce qui arrive aux gens qui soutiennent la Palestine.” Selon nos informations, aucunes poursuites ne sont pour l’heure engagées contre cet homme.

Par contre Mariano faisait part, toujours sur RPH, de ses inquiétudes quant à la tenue de son stand la semaine prochaine sur le marché. Et sur le site Web de la radio locale du cœur d’Hérault, on peut lire, au sujet de la venue du préfet, que “le trajet de la visite aurait été modifié pour ne pas passer devant le stand de Mariano, où un groupe de militants des Semeurs du Lodévois et Larzac se sont rassemblés en fin de matinée.”

https://lepoing.net/clermont-lherault-un-homme-arrete-au-marche-devant-un-stand-affichant-son-soutien-a-la-palestine/